Samedi 19 février 6 19 /02 /Fév 11:11

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Ciel avait une fois de plus congédié violemment sa jeune fiancée, Mademoiselle Élisabeth Midford. Il faut dire que, une fois encore, elle s'était invitée sans prévenir et avait redécoré le manoir (et ses domestiques) en l'absence du jeune comte. Il avait eu un choc lorsqu'il avait vu Tanaka avec une perruque de Marie-Antoinette... Mais ce n'était pas la véritable raison de sa violence envers la jeune marquise, du moins, pas la première. Car le comte avait eu un choc encore plus grand lorsqu'il s'était rendu compte qu'il la désirait. Il avait été attiré par ses petits seins candides, qui transparaissaient à peine sous la lourde robe et le corset de la jeune fille. Il avait été attiré par ses lèvres tentantes, toujours riantes, bien qu'elles ne s'ouvrent que sur une voix grêle, plus qu'agaçante.

Ciel s'était rendu compte de son attirance avec horreur, car ce n'était certainement pas une attitude à avoir pour une personne de son rang, encore moins pour l'héritier de la famille Phantomhive... C'est pour cela que l'héritier en question, toujours attablé, avait plongé sa tête dans ses mains et n'avait pas touché à son repas du soir depuis dix minutes... Fort heureusement, Bardroy, May Linn et Finnian n'étaient pas la, mais rien n'échappe au clairvoyant Sebastian...

 

-Vos pensées de cet après midi vous tracassent, Monsieur?

 

Le comte Phantomhive releva brusquement la tête, les joues rouges, avec dans les yeux une envie de meurtre pour celui qui le mettait ainsi dans l'embarras.

 

-Tais toi.

 

Sebastian sourit.

 

-Rassurez vous, il est tout à fait normal à votre âge, d'avoir ce genre de pensées même si, il est vrai, que de toutes façons, vous ne vivrez jamais assez longtemps pour connaître le plaisir dans les bras d'une femme...

-Je t'ai dis de te taire. Dit froidement le jeune comte.

 

Sebastian sourit un peu plus et se plaça devant son maitre. Le regardant de haut, il demanda :

 

-Voulez vous coucher avec moi, Monsieur? Après tout, c'est votre seule occasion de partager un jour le lit de quelqu'un.

 

Ciel rougit violemment et s'exclama :

 

-Tu es fou ! Moi, coucher avec toi? Tu es un homme, voyons !

-Mais le fait que je sois un homme ne rendra la chose que plus agréable pour vous, Monsieur.

 

Crispé sur son siège, le jeune comte ne répondit rien. Oui, c'était sa seule occasion de coucher avec quelqu'un, il le savait, et oui, il avait très envie de coucher avec Sebastian, pour essayer au moins, mais c'était un homme, bordel ! Son majordome en plus... Et il angoissait un peu... La main de Sebastian se posa sur sa joue :

 

-Allons, Monsieur, n'ayez pas peur.

 

Sebastian releva la tête du jeune comte et approcha son visage du sien.

 

-Êtes vous d'accord?

 

Ciel baissa les yeux et s'avoua vaincu. Sebastian le suivit calmement jusqu'à sa chambre, la bas, Ciel s'assit sur le lit. Sebastian commença à le déshabiller, comme chaque soir avant que son maitre se couche. La différence, c'est qu'il se déshabilla également. Il ne leur restait maintenant, à tous les deux, qu'un simple sous vêtement. Timide, Ciel n'osait pas lever les yeux, après tout, il n'a que douze ans... Sebastian força doucement son maitre à s'allonger, il se positionna au dessus de lui et applique délicatement ses lèvres sur les siennes. La bouche de Ciel demeurait fermée, c'est à peine si il répondait au baiser.

 

-Voyons, Monsieur, si vous n'y mettez pas un peu du votre, ce ne sera agréable pour aucun de nous deux.

 

Ciel ne répondit rien, Sebastian recommença. Cette fois ci, il sentit les petites lèvres de son maitre venir timidement à la rencontre des siennes. Le Démon s'enhardit de ce succès et alla caresser de sa langue, la bouche si douce de son jeune maitre. Ce dernier entrouvrit légèrement les lèvres, et c'est avec plus de réticence encore, qu'il écarta ses dents. Il fut bien obligé de jouer le jeu, lorsque la langue de son majordome s'introduisit entièrement dans sa bouche. Et il se rendit compte, avec un peu de surprise, que c'était un jeu bien agréable. Il prit rapidement goût à ce genre de baisers chaleureux et finalement, ce fut presque à contre cœur qu'il accepta de se séparer du Démon. Sebastian regarda son maitre avec un petit sourire.

 

-Vous voyez Monsieur, c'est agréable.

 

Ciel, les joues rougies par le baiser, ne répondit rien. Sebastian l'embrassa légèrement sur les lèvres, puis, sur la joue, le cou, la gorge... Il descendit jusqu'au torse du jeune homme, mordillant, pinçant, léchant ses tétons. La respiration de Ciel était devenue saccadée, et il gémissait à chacun des baisers brûlants de son amant. Sebastian descendit un peu plus, laissant une trace brillante sur son passage, léchant le nombril de son maitre. Il posa doucement une de ses main sur le sexe érigé du jeune garçon, le frottant à travers le tissu de son sous-vêtement, Ciel gémit de plus en plus fort. Ébloui par le plaisir, il hurla à Sebastian de lui enlever ce morceau de tissu qui lui faisait si mal. «Yes, my Lord», répondit Sebastian, une main sur le cœur. Comme si, dans un moment pareil, son maitre allait se soucier de l'étiquette. Sebastian s'exécuta et débarrassa Ciel de ce vêtement qui le gênait tant. Il l'entendit même pousser un soupir de soulagement. Avec un sourire, le Démon se pencha sur le sexe si jeune, encore imberbe de son maitre et il l'embrassa doucement, le lécha sur toute sa longueur, suçota son gland. Un peu apeuré, Ciel commença à dire :

 

-Sebastian, tu ne vas pas...

 

Mais sa phrase fut étouffée par un cri de plaisir lorsque son majordome prit entièrement son sexe en bouche. Dès cet instant, le jeune comte disparu, pour laisser la place à un garçon de douze ans, hurlant et gémissant de plaisir sous les caresses d'un homme sachant particulièrement s'y prendre. Ciel gémissait sous les coups de langue du Démon et avait l'impression de se fondre dans sa bouche. Le respiration saccadée, il peinait à reprendre son souffle. Il ne put se retenir et jouit dans la bouche de Sebastian dans un hurlement de plaisir. Sebastian se redressa et avala, léchant son doigt après avoir essuyé une goutte blanche qui coulait de sa bouche.

 

-Délicieux, dit il. Maitre, voulez vous bien me faire ce plaisir?

 

Encore sous le choc de l'orgasme, le comte se déplaça comme un automate. Machinalement, il passa la main sur le sexe dressé de son majordome assit sur le lit. Avec des gestes un peu fébriles, il le dénuda entièrement, et avec un désir mêlé d'automatisme, il prit directement le sexe de Sebastian en bouche. Cherchant à donner à Sebastian le plaisir qu'il lui avait fait ressentir, guettant ses réactions, il s'appliquait à le faire gémir. Léchant son sexe, suçant ses bourses, mordillant son gland, Ciel apprit rapidement ce qui plaisait à Sebastian, et il était presque fier en entendant les gémissements de son majordome. Il le fut encore plus lorsqu'il sentit sa semence s'écouler dans sa gorge. Les joues rouges, Ciel s'écarta et, avala, sans trop de répugnance, le liquide sucré, et il accepta avec plaisir le baiser de Sebastian.

 

-Pardon de ne pas avoir eu le temps de vous prévenir, Monsieur.

 

Il sourit lorsqu'il se rendit compte que son maitre, les joues rougies par le plaisir, s'en foutait éperdument et espérais une suite. Se félicitant intérieurement d'avoir mis son maitre dans cet état, il lui présenta deux de ses doigts. Le jeune comte les lécha consciencieusement et fut presque déçu lorsque Sebastian les retira. Ciel s'allongea sur le lit et releva ses jambes. Même à douze ans, il se doutait bien de comment il fallait faire, quand même... Sebastian, guettant les réactions de son maitre, introduisit doucement l'un de ses longs doigts fins en lui. Son maitre se tendit, se crispa, gémit de douleur lorsqu'il sentit cette intrusion brutale, mais se détendit lorsque le doigt se fut mis à bouger et que la douleur fut passée. Voyant que son maitre allait mieux, Sebastian ajouta un second doigt. La douleur passa un peu moins vite cette fois, mais elle passa tout de même. Le Démon bougea ses doigts à l'intérieur de son maitre, et lorsqu'il fut redevenu rougissant, lorsque sa respiration fut redevenue saccadée, lorsqu'il s'agrippa aux draps en gémissant et qu'un filet de salive coula de ses lèvres, il les retira, sourd au gémissement de frustration de son maitre. Sebastian alla l'embrasser pour le consoler, puis, sa langue alla prendre la place de ses doigts. Ciel cria de surprise et recommença à gémir de plaisir. La langue brûlante de Sebastian s'enfonçait en lui, aussi profond qu'elle le pouvait, elle allait et venait et revenait à nouveau... Le respiration de Ciel devint erratique, et cette fois ci, ce n'est pas un gémissement de frustration, mais un cri d'indignation qui jaillit de ses lèvres lorsque Sebastian s'arrêta.

 

-Je suis ravi que ça vous plaise, Monsieur, mais pardonnez moi, il serait dommage que vous jouissiez maintenant, dit le Démon.

 

Sur ce, il pénétra son jeune maitre avec toute la lenteur et le douceur qu'il lui devait. Ciel hurla et se cambra sous la douleur. Le sexe de Sebastian était beaucoup plus gros que ses doigts. Mais après quelques va-et-viens, il se détendit. Ciel se remit à gémir et à soupirer, sa vision se brouilla et il ferma les yeux. Il sentait Sebastian aller et venir en lui, c'était une sensation tellement merveilleuse... Ciel avait du mal à respirer tant sa respiration était saccadée, des étoiles dansèrent devant ses yeux lorsqu'il les rouvrit et qu'il demanda à Sebastian d'aller plus vite... Ciel sentit le mouvement s'accélérer et il sentit Sebastian s'enfoncer profondément en lui. Il ne put s'empêcher de crier, encore et encore son plaisir, et c'est dans un hurlement de jouissance, qu'il éjacula sur son torse, lorsque, l'espace d'un instant, Sebastian devint plus violent. Il ne fallut à Ciel que quelques secondes de plus, pour sentir la semence de son majordome le parcourir. Sebastian se retira. Les yeux déjà embrumés par le sommeil, Ciel l'appela :

 

-Sebastian?

-Oui, maitre?

-Reste ici cette nuit, ah, et aussi...

-Oui?

-On pourra refaire ça de temps en temps?

 

Sebastian sourit, il s'inclina et posa une main sur son cœur.

 

-Yes, my Lord.

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 26 février 6 26 /02 /Fév 18:20

337119-ikkaku01_large.jpgKenpachi_Zaraki.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le calme règne à la Soul Society. Partout, même au QG de la 11ème division.

 

-Raaaaaaah, putain ! Fait chier ! Hurla Ikkaku, le vice capitaine de la 11ème division en shootant dans un caillou.

 

-Un problème Ikkaku?Lui demanda son effrayant capitaine, Kenpachi Zaraki.

 

-Ouais, il se passe jamais rien ici. C'est mort. Tout va toujours bien, y a personne à défier et aucune occasion de se battre.

-Ouais, moi aussi je m'ennuie.

-Tsssk, même pas quelqu'un à qui lancer un pari.

-Moi je veux bien parier, on se fait un pierre-papier-ciseaux si tu veux.

-Mais c'est pourri si il n'y a pas d'enjeu, ou alors, quelque chose qui fait regretter d'avoir perdu !

-Ok, on fait ça en une seule manche et le perdant se fait prendre.

-Quoi !? Demanda Ikkaku en rougissant violemment. Mais capitaine, vous êtes malade !

-Ben, tu voulais quelque chose qui fasse regretter d'avoir perdu...

-La c'est sur que... Commença le vice capitaine sans finir sa phrase.

-C'est bien la première fois que je te vois refuser un défi Ikkaku, répondit placidement Kenpachi.

-Je refuse pas ! S'exclama Ikkaku. Mais d'habitude, on me défie dans un combat ! Et puis depuis quand vous êtes gay, vous!?

-Aucune idée, j'ai encore jamais essayé avec un garçon... Mais j'en ai marre des filles, c'est tout gluant et ça jouit pas assez vite, c'est chiant... Et puis généralement, elles gueulent parce que je leur fait mal... Si elles ont pas encore pigé que je suis le capitaine de la 11ème division, faut pas coucher avec moi... Alors, ce défi?

 

«Faut pas que je perde, ou je vais vraiment le regretter» se dit Ikkaku.

 

-Ok, en une manche et le perdant se fait prendre ! Hurla-t-il en mettant une main derrière son dos. Allons-y ! Janken...

-Pon.

 

Ikkaku eut, l'espace d'un instant, envie de se faire muter dans une autre division. Il avait le ciseau, Kenpachi avait la pierre.

 

-T'as perdu Ikkaku, on se voit ce soir. Et t'avise pas de te défiler ou je dis au vieux Yama que t'as déserté.

 

Kenpachi se leva et rentra chez lui. Ikkaku n'avait pas le choix, le soir, il se présenta chez son capitaine.

 

-T'as du cran Ikkaku, je ne pensais pas que tu viendrais vraiment...

-La ferme ! J'ai pas le choix vu que bous avez menacé de me faire passer pour déserteur ! Allez, qu'on en finisse, et vite !

-Je ne pensais pas que tu serais si pressé... Dit Kenpachi en s'avançant vers Ikkaku avec son air de psychopathe habituel.

 

Bizarrement, Ikkaku se recula de trois pas. Kenpachi s'avança un peu plus, Ikkaku recula encore.

 

-Dit Ikkaku, t'es au courant qu'il y a un mur derrière toi?

 

Ikkaku se retourna et constata que le mur était effectivement très proche, deux pas de plus et il était coincé.

 

-Maintenant, tu ne peux plus t'échapper. Dit Kenpachi en embrassant rageusement Ikkaku et en introduisant de force sa langue dans sa bouche. Ikkaku chercha à résister, Kenpachi s'écarta et dit :

 

-Tu sais pas embrasser.

 

Ikkaku rougit.

 

-Tu ferais mieux de te résigner. T'as perdu, accepte au moins.

 

Ikkaku détourna les yeux, puis, se résigna. Il avait perdu et acceptait sa défaite. Surtout qu'il connaissait son capitaine, et qu'il savait qu'il lui ferait payer toute sa vie s'il se défilait. Kenpachi embrassa à nouveau Ikkaku, cette fois ci, il se laissa faire.

 

-Tu vois, c'est mieux comme ça. Dit Kenpachi avant de l'embrasser à nouveau, puis, il s'écarta et balança son vice-capitaine sur son épaule.

 

-Ou est ce que tu m'emmène !? Hurla Ikkaku.

-Dans ma chambre, tiens, tu veux vraiment te faire baiser contre un mur?

-Ah... Ok...

 

Kenpachi jeta Ikkaku sur son lit et sa plaça au dessus de lui.

 

-Alors, on y va? Demanda-t-il à Ikkaku qui avait envie de s'enfuir.

 

D'un geste, il enleva son kimono à Ikkaku, il l'embrassa de nouveau et se déshabilla. Horrifié, Ikkaku se rendit compte que Kenpachi bandait déjà.

 

-Finalement, ça a pas l'air mal avec un mec, dit Kenpachi.

 

Il embrassa Ikkaku et lui pinça violemment les tétons.

 

-T'inquiète pas, je vais faire en sorte que ce soit un minimum agréable.

 

Il alla de nouveau embrasser Ikkaku, et il se comporta plus ou moins comme avec toutes les filles avec qui il avait pu coucher, c'est à dire qu'il se fit violence contre lui même, pour faire preuve d'un peu de douceur, si contraire à sa nature. Il embrassa Ikkaku dans le cou, puis, il descendit et lui mordilla gentiment les tétons. Il descendit encore jusqu'à son sexe et entama une fellation. Sa langue s'enroulait autour du sexe dressé d'Ikkaku. Sa bouche allait et venait. Ikkaku n'en revenait pas, il ne pouvait pas croire que son capitaine soit en train de lui faire ça, ce n'était pas possible. Ikkaku n'arrivait pas à déterminer ce qui était le plus étrange : que son capitaine soit en train de le sucer ou qu'il y arrive plutôt bien? Sans qu'il s'en aperçoive, presque malgré lui, Ikkaku se mit à gémir et sa respiration s'accéléra jusqu'à en devenir presque saccadée. Kenpachi reproduisait les mouvements qui semblaient plaire à son vice capitaine, se félicitant presque d'arriver à le faire gémir d'une façon si lascive, mais il ne s'attendait pas à ce que Ikkaku jouisse dans sa bouche sans prévenir.

Il se redressa et regarda Ikkaku avec des envies de meurtre. Ikkaku eut soudainement envie de se cacher dans un trou (de souris voyons^^). Finalement, Kenpachi se pencha sur Ikkaku et le força à accepter un baiser, lui faisant ainsi avaler son propre sperme. Ikkaku faillit s'étrangler.

 

-Comme ça, je suis vengé. Dit Kenpachi.

 

Il présenta deux de ses doigts à Ikkaku.

 

-Lèche. Dit-il.

 

Ikkaku mit un peu de temps à s'exécuter, mais il le fit devant le regard de tueur de Kenpachi. Sachant ce qu'il voulait faire, il lécha consciencieusement les deux doigts qu'il lui présentait... Soudain, Kenpachi retira brusquement ses doigts et en introduisit un en Ikkaku sans prévenir. Ikkaku hurla, s'agita, se cambra sous l'effet de la douleur, pendant que Kenpachi faisait bouger son doigt en lui. Il n'attendit pas que le vice capitaine se soit habitué pour introduire un autre doigt. Des larmes coulèrent sur les joues d'Ikkaku, Kenpachi se mit à rire.

 

-C'est marrant que tu soit capable de supporter les pires blessures en rigolant et que tu chiale pour ça!

-Ta gueule, répondit Ikkaku.

 

Kenpachi retira brusquement ses doigts, Ikkaku hurla de nouveau.

 

-On ne parle pas comme ça à son capitaine, dit Kenpachi d'un air effrayant.

 

Puis, comme pour punir Ikkaku, il le pénétra violemment. Ikkaku hurla, ses larmes coulèrent de plus belle tandis que Kenpachi le pilonnait violemment, puissamment. Ikkaku saignait, il le sentait, Kenpachi le savait et il n'en avait rien à foutre. Ikkaku était incapable d'apprécier. Il l'aurait peut être pu si Kenpachi avait fait preuve d'un peu plus de douceur, juste un peu plus... Ikkaku ne put s'empêcher de supplier Kenpachi d'arrêter, les larmes ruisselaient sur son visage, mais le capitaine de la 11ème division resta sourd à ses prières, et Kenpachi prenait visiblement un plaisir intense à ce qu'il faisait. Ikkaku en eut la confirmation lorsqu'il sentit Kenpachi jouir à l'intérieur de lui. Il se retira, prit son kimono et parti se rhabiller dehors, Ikkaku dut se masturber seul. Il se résolut à ne plus jamais accepter de parier avec son capitaine, et à s'ennuyer en silence... Peut être que ça marcherait mieux avec Yumichika?

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 09:49

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En avance, parceque je serais pas la ce week end...

 

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Kanda et Lavi se faisaient la gueule dans le camion qui devait les mener jusqu'à leur destination finale. Ou plutôt, Kanda faisait la gueule à Lavi. Mais c'est normal, Kanda fait la gueule à tout le monde... Un fragment d'Innocence avait été repéré dans un petit village abandonné d'Italie, un trou perdu auquel on ne pouvait accéder qu'en camion, c'était un membre de l'expédition d'éclaireurs qui conduisait, ils devaient rouler toute la nuit et une partie de la journée suivante. Les hasards de l'affectation avaient conduit Kanda à travailler avec Lavi, ce stupide exorciste-Bookman qu'il ne peut pas supporter. Il ne peut pas supporter grand monde en fait. C'est pour ça qu'il préfère travailler seul. Lavi, qui se faisait royalement chier, tenta désespérément de détendre l'atmosphère :

 

-Hey, Kanda, regarde ce que j'ai amené <3

 

Kanda regarda et rougit brusquement, Lavi tenait une paire de dés coquins.

 

-Me crois tu suffisamment stupide pour jouer à ça avec toi? Répondit Kanda.

-Ouh, mais tu réagit bien violemment mon petit Yû... Serais tu encore puceau par hasard?<3

 

Kanda rougit un peu plus et arracha les dés des mains de Lavi.

 

-Ok, t'as gagné, on va jouer. Et je t'interdis de m'appeler comme ça, sale type !

-Tu es si facile à provoquer mon petit Yû... Vas y, commence...

 

Kanda se retint de frapper Lavi et jeta les dés. Ils roulèrent et s'arrêtèrent sur «Embrasser Lèvres».

 

-Ouh, ça commence bien <3 dit Lavi avec un sourire.

 

Cette fois ci, Lavi se prit une baffe... L'instant d'après, Kanda se jeta sur lui pour l'embrasser et en finir vite. Sa langue alla caresser les lèvres de Lavi qui ouvrit immédiatement la bouche et accepta le baiser de Kanda avec plaisir. La langue de Kanda s'enroulait autour de celle de Lavi d'une façon experte, et il ne manqua pas de le remarquer :

 

-Au moins, c'est pas ton premier baiser, dit il.

-Ferme la et joue.

-Ouh, mais c'est qu'il est pressé <3<3<3 répondit Lavi.

 

Il se prit une seconde baffe et lança les dés. Cette fois ci, les mots qui sortirent furent «Embrasser Seins». Kanda se débarrassa de son manteau et enleva son T-shirt. Lavi se pencha sur lui et le fit s'allonger. Il embrassa ses tétons, les lécha, les mordilla, d'une telle façon, que Kanda ne put s'empêcher de gémir faiblement. Lavi le remarqua mais ne dit rien. Il se redressa et Kanda lança les dés. L'un des deux décida de récidiver car les mots qui sortirent furent «Chatouiller Seins». Lavi se déshabilla à son tour et Kanda pinça, titilla, tortura les tétons de Lavi jusqu'à ce qu'ils se soient mis à durcir. Lavi lança les dés. Ils tombèrent cette fois sur «Sucer Organe».

 

-Enfin quelque chose d'intéressant <3 dit Lavi.

 

Kanda se déshabilla entièrement, donnant ainsi à voir à Lavi son sexe déjà fièrement érigé, bien malgré lui.

 

-Mais c'est que tu es déjà bien excité mon petit Yû<3 dit Lavi.

-Ferme la ou je te frappe encore, répondit Kanda.

-Non, s'il te plait, implora Lavi. ;(

 

C'est que Kanda frappait fort... Lavi s'agenouilla devant Kanda et embrassa son sexe fièrement dressé. Puis, il mordilla son gland et lécha la verge sur toute sa longueur. Kanda gémit lorsque Lavi prit son sexe en bouche. Lavi commença un lent va et viens, faisant hurler Kanda de frustration lorsqu'il ralentissait encore, et crier de plaisir lorsqu'il accélérait. Lavi avait désormais adopté un rythme rapide, Kanda ne pouvait retenir ses cris, ses gémissements lascifs. Au son de sa voix, Lavi comprit que s'il accélérait encore, kanda risquait de jouir. Il accéléra. Kanda jouit dans la bouche de Lavi qui sentit son sperme lui inonder la gorge. Lavi avala et alla embrasser Kanda.

 

-Yû? Appela-t-il.

-Mmmh? Répondit Kanda, encore sonné par l'orgasme.

-J'en ai marre de ses dés je crois. Dit-il en les jetant au fond du camion.

-Moi aussi, répondit Kanda.

 

Il alla embrasser Lavi et lui enleva son pantalon. Sa bouche descendit, mordillant la peau de son cou, léchant les tétons, pour arriver au sexe de Lavi qu'il prit immédiatement en bouche. Ce fut au tour de Lavi de gémir, car oui, Kanda s'y prenait bien. Lavi lécha deux de ses doigts. Kanda se crispa lorsqu'il sentit qu'il en introduisait un en lui, mais la douleur passa vite. Lavi ajouta un second doigt. La encore, Kanda se crispa, la douleur se ressentait dans ses mouvements, qui se faisaient plus saccadés par moment. Pour le plus grand plaisir de Lavi qui appréciait tout particulièrement les mouvements chaotiques. Les doigts de Lavi bougeaient en Kanda, dont le corps était parcouru de plaisir par vagues. Kanda sentit le sexe de Lavi gonfler dans sa bouche...

 

-Stop ! S'exclama Lavi. Kanda, arrête, je ne veux pas jouir maintenant.

 

Kanda s'arrêta, Lavi l'embrassa et le força à s'allonger.

 

-Tu es prêt? Demanda-t-il.

 

Kanda fit signe que oui. Lavi le pénétra doucement, si doucement qu'il se crispa à peine. Il commença de lents mouvements de va et viens et se mit rapidement à accélérer. Tous deux gémissaient, leurs respirations étaient saccadées, presque erratiques. Lavi s'enfonçait de plus en plus profondément en Kanda, qui le sentait bien. Chacun des à-coups de Lavi lui faisaient voir des étoiles. Leur plaisir était si intense, que l'orgasme les prit avant même qu'ils s'en rendent compte. Lavi lécha le sperme de Kanda et l'embrassa une dernière fois, puis, il s'écarta et s'allongea à côté de lui. Après un petit temps de récupération, ils se rhabillèrent et se préparèrent à se coucher.

 

-Yû? Appela de nouveau Lavi.

-Oui?

-On devrait partir en mission ensemble plus souvent.

 

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 08:54

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Je ne vous dis pas d'ou est tirée cette histoire, je pense que tout le monde sait^^ (bon, ok, c'est Final Fantasy pour les incultes)

 

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Cela faisait maintenant plusieurs années que Cloud n'avait pas couché avec qui que ce soit. La dernière fois, c'était avec Sephiroth, dans le camion qui les emmenait à Nibelheim, alors qu'il n'était encore qu'un tout jeune soldat. Cloud était vierge avant ce jour la, et il n'avait couché avec personne depuis.

 

-Putain, mais Sephiroth, t'es malade! Qu'est ce qu'il ta pris de violer ce gosse? Avait dit Zack à son réveil.

 

Mais Zack se trompait, Cloud n'avait pas été violé, il avait même grandement apprécié. Sephiroth avait offert un café à Zack. Cloud s'était bien dit qu'il devait être drogué lorsqu'il avait vu Zack s'effondrer comme une masse. C'est vrai, il avait eu un peu peur lorsqu'il avait vu Sephiroth s'approcher de lui avec un regard étrange, mais lorsqu'il lui avait tiré la tête en arrière et l'avait embrassé... Cloud s'était sentit décoller. Lorsque Sephiroth, lorsque le grand Sephiroth, ce soldat qu'il idolâtrait et à cause de qui il était entré dans l'armée lui avait fait comprendre qu'il l'intéressait, lorsque ce Sephiroth qu'il aimait depuis leur première rencontre l'avait embrassé, Cloud s'était senti partir pour le septième ciel... Il s'était laissé déshabiller et avait regardé Sephiroth se déshabiller à son tour. Cloud avait ainsi pu admirer le sexe de Sephiroth déjà érigé, c'était la première fois qu'il voyait un homme bander. Sephiroth s'était ensuite approché de lui et l'avait «forcé» à le sucer. Cloud s'était exécuté sans broncher. Il essayait de trouver ce qui pouvait lui faire plaisir. Sa langue s'enroulait autour du sexe de Sephiroth, sa bouche s'enfonçait et se retirait. Par moments, il était sur le point de s'étouffer, mais il n'en avait pas grand chose à faire. Il était trop excité.

Il avait quand même été surpris lorsque Sephiroth avait jouit dans sa bouche, et il avait un un mouvement de répugnance avant d'avaler, mais il l'avait fait. Il s'était ensuite retiré et Sephiroth avait prit sa main pour la poser sur son sexe. Il avait fait aller et venir sa main, lui intimant silencieusement l'ordre de le masturber. Puis, il avait lâché sa main, Cloud avait continué. Sa main allait et venait sur le sexe de Sephiroth qu'il sentait durcir sous ses doigts. Son pouce passait parfois sur le gland, son ongle s'enfonçait dans la petite fente si sensible qui s'y trouvait. La respiration de Sephiroth devenait de plus en plus saccadée, il gémissait parfois, lorsque Cloud faisait un mouvement qui lui convenait particulièrement. Soudain, Sephiroth avait posé une main sur la sienne pour l'arrêter. Il avait présenté à Cloud deux de ses doigts qu'il lui avait fait lécher, puis, Sephiroth l'avait fait s'allonger au fond du camion, sur son manteau, et il s'était penché sur lui pour l'embrasser. Cloud s'était crispé lorsque Sephiroth avait introduit un doigt en lui. Ça faisait mal. Une larme s'était mise à perler à ses yeux. Puis, Sephiroth avait bougé son doigt en lui, et Cloud avait pu aller mieux. Sephiroth avait donc mis son second doigt. Cette fois ci, la larme avait coulé sur la joue de Cloud. Sephiroth s'était penché sur lui pour l'embrasser et avait essuyé la larme avec tendresse. Il avait de nouveau fait bouger ses doigts et Cloud s'était de nouveau calmé, car il avait commencé à apprécier. A un moment, Sephiroth avait retiré ses doigts, et il avait doucement commencé a faire entrer son sexe en Cloud. Cloud avait crié, Sephiroth avait ralenti. Une fois complètement entré en lui, Sephiroth avait commencé à bouger, Cloud s'était mis à pleurer, mais Sephiroth allait doucement et bientôt, la douleur eut disparu. Sephiroth avait commencé à accélérer, cette fois ci, Cloud n'avait pas crié, ni pleuré, au contraire, maintenant il appréciait vraiment. Cloud sentait le plaisir monter en flèche, il gémissait, sa respiration s'accélérait sous les à-coups de Sephiroth qui allait de plus en plus vite. Cloud sentit le sexe de Sephiroth gonfler à l'interieur de lui, quelle sensation merveilleuse! Il hurla de plaisir lorsqu'il sentit le sperme de Sephiroth s'écouler à l'intérieur de lui, il cria et jouit sur son propre torse. Sephiroth s'était retiré, il avait léché le sperme de Cloud et était venu l'embrasser, ensuite, il l'avait aidé à se rhabiller et l'avait laisser dormir au fond du camion, dans son manteau pour qu'il ait chaud. Zack avait hurlé sur Sephiroth le lendemain, en apprenant ce qu'il avait fait, pendant que Cloud repensait à ce qui s'était passé sans aucun regret. Malheureusement, peu de temps après, Sephiroth était devenu comme fou. Il avait cherché à détruire le monde et Cloud l'avait tué une première fois, puis, il était revenu en possédant le corps de Kadaj. Le désir et l'amour avaient consumé le corps de Cloud pendant toute la durée du combat et pourtant, Cloud avait tué Sephiroth des ses propres mains. Par deux fois. Il se haïssait.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 26 mars 6 26 /03 /Mars 08:59

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Yuki s'ennuyait profondément. Tohru dormait avec Saki chez Arisa, Shigure était en voyage d'affaires depuis trois jours et Kyo était chez son maitre. Pour lui, tant mieux. Pour Shigure aussi. Tohru avait été la les trois premiers jours, mais maintenant qu'elle était partie, Yuki ne savait plus quoi faire. Il n'avait pas mangé et n'avait aucune envie de le faire, puisqu'il ne voyait pas en quoi cela pouvait être distrayant, aussi accueilla-t-il Hatsuharu avec surprise, mais avec soulagement lorsqu'il sonna à la porte. De cette façon, Yuki avait au moins quelqu'un à qui parler, et en plus, il amenait à manger. Yuki se sentait déjà moins seul. Ils se mirent à table et commencèrent à manger, mais ils finirent par se disputer lorsque Yuki demanda à Hatsuharu ce qui l'amenait ici et que Hatsuharu répondit :

 

-J'ai appris que Tohru était partie elle aussi, je n'allais pas laisser mon premier amour s'ennuyer comme un rat crevé.

-Ne dit pas de choses aussi stupides, répondit Yuki. Nous étions enfants à l'époque et ce n'était pas vraiment de l'amour.

-Je t'interdis de penser ça.

-Haru, aux dernières nouvelles, tu sors toujours avec Rin, non?

-Faut te tenir informé Yuki, elle m'a plaqué il y a deux semaines.

-Et tu te rabats sur moi?

 

Furieux, Hatsuharu se leva et gifla Yuki avec force. Yuki s'en alla sans dire un mot et laissa Hatsuharu seul, au milieu du repas. Yuki s'enferma dans la salle de bain, il ruminait ses idées noires sous la douche. Même si Hatsuharu était débile de penser encore à cette histoire, c'était touchant dans un sens, et Yuki n'aimait pas se disputer avec lui.

Plongé dans ses pensées, il n'entendit pas la porte de la salle de bain s'ouvrir, et ce n'est que quand la porte de la douche, rendue opaque par la buée, s'ouvrit sur un Hatsuharu complètement nu, que Yuki s'aperçut de sa présence.

 

-Bordel, Hatsuharu, qu'est ce que tu fous la !? S'exclama Yuki en rougissant et en se retournant brusquement. I

 

il sentit avec horreur la main de Hatsuharu se poser sur sa hanche, puis, il entendit la porte de la douche se refermer.

 

-Je suis venu te prouver que mes sentiments ne sont pas faux, répondit Hatsuharu en se serrant contre Yuki.

 

Yuki, atrocement gêné, regardait ses pieds sans rien dire. Il sentit avec encore plus d'horreur Hatsuharu lui mordiller l'oreille et passer ses mains sur son torse. Il sentit la bouche de Hatsuharu descendre dans sa nuque et lui mordiller la peau. Yuki tressaillit lorsqu'il sentit les mains de Hatsuharu lui pincer les tétons. Il sentit ensuite la langue de Hatsuharu descendre le long de sa colonne vertébrale et s'arrêter à ses fesses. Hatsuharu s'agenouilla pendant que ses mains passaient dans son dos. Les mains de Hatsuharu écartèrent ses fesses, pendant que sa langue continuait son exploration. Yuki se concentra fortement pour ne pas gémir. Pourtant, il ne put retenir un cri de surprise, lorsqu'il sentit la langue de Hatsuharu chercher à s'enfoncer en lui. Et il ne put s'empêcher de gémir lorsqu'il sentit un doigt de Hatsuharu prendre la place de sa langue. Le doigt bougeait en lui et la non plus, il ne put pas s'empêcher de se mettre à gémir et à soupirer. Yuki se cambra un peu lorsque Haru ajouta un autre doigt, mais il se mis à bouger également et la volupté recommença.

Yuki sentit les doigts se retirer et il entendit Hatsuharu se relever.

 

-Haru? L'appela-t-il d'un ton incertain.

 

Mais sa bouche fut fermée par un baiser. La langue de Hatsuharu était douce, chaude, comme ses lèvres, et Yuki eut du mal à s'en détacher.

 

-Ne t'inquiète pas, je serais doux, dit Hatsuharu.

 

Rassuré, Yuki se retourna. Il se crispa lorsque Hatsuharu le pénétra, mais la douleur disparut bien vite lorsque Haru eut posé une main sur son sexe érigé. Haru commença à aller et venir en Yuki, ses mouvements, rapides, saccadés et violents contrastaient agréablement pour Yuki avec les mouvements doux et calmes de sa main. Yuki ne pouvait s'empêcher de gémir de plaisir sous les mouvements et les caresses de Hatsuharu, son souffle était court et son visage rougit portait les marques du mur de la douche contre lequel il était appuyé. L'eau ruisselant sur leurs deux corps augmentait leur plaisir et Yuki hurla lorsqu'il sentit Hatsuharu jouir à l'interieur de lui. Quelques instants après, il jouissait à son tour.

Haru se retira et Yuki tomba à genoux sur le sol de la douche, épuisé.

Hatsuharu le prit dans ses bras, le sortit de la douche et le sécha.

Puis, il le porta jusque dans son lit et se coucha à côté de lui. Yuki s'endormit dans ses bras et se réveilla la tête nichée au creux de son cou.

 

La journée se passa dans une ambiance chaleureuse et amicale, entrecoupée d'interludes amoureux. Hatsuharu était parti depuis environ une demie heure, lorsque Shigure rentra. Lorsqu'il demanda à Yuki si celui ci ne s'était pas trop ennuyé, Yuki ne put s'empêcher de sourire et répondit :

 

-Non, pas du tout.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 26 mars 6 26 /03 /Mars 09:03

 

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Bonjour à tous,

Vous n'êtes pas sans savoir que je suis assez souvent sujette au syndrôme de la page blanche, car comme je suis quelqu'un d'assez impulsif, je manque souvent d'inspiration pour trouver un nouveau sujet d'histoire...

Je lance donc un appel aux défis : si vous avez deux persos que vous aimez bien, dans un film ou un manga ou un animé (que je connais si possible) ou un groupe de musique, ou quelque chose comme ça, et que vous souhaitez les voirs ensemble, donnez moi le contexte de l'histoire que vous souhaitez avoir, ou laissez moi me démerder avec les persos et je le fait, je vous demanderai juste si vous souaitez une histoire dans le contexte original ou non...

Cela me permet d'écrire, et de m'amuser, et en plus, de vous faire plaisir, c'est tout bénef', non?

J'attends vos idées, à plus tard...

Par kagura - Publié dans : petits blablas de la créa
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Samedi 9 avril 6 09 /04 /Avr 09:49

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Il était déjà tard, lorsque Iruka emmitouflé sonna chez Kakashi. Il faisait froid. On était en hiver maintenant, et il neigeait.

 

-Tu as réussi à te débarrasser de Naruto pour ce soir? Demanda Kakashi.

-Oui, répondit Iruka. Il est collant mais il m'a lâché après que je lui ait payé un bol de nouilles.

 

Kakashi sourit.

 

-Bonsoir, dit il avant d'embrasser tendrement Iruka.

 

Il s'écarta et le laissa entrer. Iruka se déshabilla et ils se mirent à table. Kakashi, qui, malgré les apparences, savait cuisiner, avait préparé un délicieux oden, parfait pour ce soir glacial d'hiver. Réchauffés, après le repas, ils décidèrent de ressortir. Iruka remit son manteau, son écharpe et ses gants et Kakashi, habillé aussi chaudement que le lui, le porta et le posa les deux pieds dans la neige. Iruka, qui adorait être porté comme ça, se mit à rire.

 

-J'ai l'impression d'être un gamin, dit-il.

-tu rigole? Répondit Kakashi. Tu es plus mature que moi.

-Ah bon, tu trouve? Demanda Iruka.

-Oui, tu veux une preuve? Répondit Kakakshi.

-Si tu en trouve une, fit Iruka.

-Tourne toi, dit Kakashi.

 

Iruka se tourna. Ses dents grincèrent lorsqu'il sentit une boule de neige glacée s'écraser dans sa nuque, il était rouge de colère.

 

-Kakashiiiii? Commença-t-il.

-Oui? Répondit bêtement le concerné, tout en sachant très bien ce qui allait se passer.

-Je vais te faire bouffer de la neige, abruti ! Hurla Iruka en courant à la poursuite de Kakashi qui s'enfuyait à toutes jambes.

Iruka ramassait de la neige au passage et la lançait sur Kakashi, tout en évitant les boules de neiges qu'il lui lançait... Dix minutes plus tard, Iruka reprenait son souffle, adossé contre un arbre, c'est que Kakashi coure vite... Ce dernier s'approcha prudemment de Iruka, le manteau maculé de traces de neige. Il prit Iruka dans ses bras et l'embrassa.

 

-Tu vois, t'es plus mature que moi. Dit-il en souriant.

-Pauvre crétin, répondit Iruka qui peinait à reprendre son souffle.

-Tu me pardonne? Demanda Kakashi.

-Seulement si... Commença Iruka, il s'approcha et murmura quelque chose à l'oreille de Kakashi.

-Ici? Demanda-t-il d'un air un peu surpris. Je ne savais pas que tu aimais en plein air...

-J'ai envie, répondit Iruka en rougissant un peu.

-Ok, répondit Kakashi en souriant.

 

Il embrassa Iruka et le repoussa doucement contre l'arbre.

Il glissa ses mains sous son pull, mais Iruka frissonna, alors il les retira. Ses lèvres froides descendirent dans le cou d'Iruka, et se mains glissèrent à l'intérieur de son pantalon.

Kakashi embrassa de nouveau Iruka et ses mains caressèrent son sexe à travers son boxer. Il les glissa à l'intérieur lorsqu'il sentit la verge durcir. Sa main empoigna le sexe de Iruka et commença de lents mouvements de va et viens. Kakashi bandait lui aussi. Voir Iruka dans cet était lui suffisait. Ses gémissements étaient étouffés par leur baiser. L'une des mains de Kakashi passa derrière et il introduisit doucement un doigt en Iruka. Celui ci, gêné dans un premier temps, s'habitua rapidement. Kakashi introduisit donc un second doigt à l'intérieur de son amant. La préparation prit peu de temps. Iruka avait l'habitude. Lorsqu'il fut prêt, Kakashi retira ses doigts et baissa doucement le pantalon d'Iruka. Il dégrafa le sien et le baissa également.

Il passa ses mains sous les cuisses de Iruka, qui releva ses jambes et enserra la taille de Kakashi avec force. Kakashi pénétra doucement Iruka, qui gémit et se cambra contre l'arbre. Il commença à aller et venir en lui, leur position ne rendait pas la chose facile, mais cela suffisait. Iruka était un peu lourd à porter, mais pour rien au monde, Kakashi en l'aurait lâché.

Leur position leur permettait parfois, si Iruka le voulait, de s'embrasser. Le contraste entre la température glaciale du dehors et la langue brûlante de Kakashi faisait gémir Iruka de plaisir. Il gémissait, soupirait, criait parfois, lorsque Kakashi avait un mouvement particulièrement fort. Lorsqu'il accéléra, un filet de salive coulait de la bouche de Iruka et sa respiration était si saccadée, qu'il peinait à respirer. Iruka hurla de plaisir au moment de l'orgasme, quelques mouvements de plus et Kakashi le suivit. Kakashi se retira, Iruka déserra son étreinte et posa ses pieds par terre, en s'adossant à l'arbre.

Du sperme coulait entre ses jambes, Kakashi reprenait son souffle, appuyé contre lui. Lentement, ils se rhabillèrent et commencèrent à rentrer.

 

-C'est pas mal, de faire ça dehors, dit Kakashi en regardant Iruka.

 

Iruka, un petit sourire aux lèvres, ne répondit rien. C'est bien parce que Kakashi regardait Iruka qu'il ne vit pas le croche-patte qu'il lui fit. Kakashi s'étala par terre, la face dans la neige.

 

-Je t'avais dit que je te ferais bouffer de la neige, dit Iruka qui s'enfuit vers la maison en riant.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 23 avril 6 23 /04 /Avr 09:12

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Light regarda Ryuuzaki prendre une énième part de gâteau bourrée de crème, de fraises et de sucre. Voilà une demie heure qu'il prenait son goûter avec le détective, et à lui, peu fan de tout ce qui est sucré, une part lui suffisait amplement. Il s'ennuyait à mourir en regardant L manger.

Mais il n'avait pas le choix, puisqu'il était enchaîné à L vingt-quatre heures sur vingt-quatre, surveillé en permanence par un réseau de caméra de surveillance, dont L seul avait le droit de visionner les vidéos.

Depuis l'irruption de L dans l'affaire Kira, lui, Light, jusque la insoupçonnable, se révélait être le principal suspect, et même le seul suspect, et comme Light était effectivement Kira, il n'avait pas le choix. Il fallait qu'il joue le jeu. Mais il s'ennuyait quand même profondément pendant que le détective mangeait toutes sortes de choses hypersucrées, qui lui, le rendait diabétique rien qu'en les regardant.

Pris d'une envie irrépressible de se conduire comme un gosse, Light donna un coup dans le coude de L, qui était en train de porter un morceau de gâteau à sa bouche. La fourchette de L dévia et il se retrouva avec une grosse tache de crème sur la joue.

 

-Ah c'est malin, dit L. Qu'est ce que t'as aujourd'hui? On dirait un gosse.

-Désolé, mais je m'ennuie, dit Light, qui se retenait d'éclater de rire devant L, très appliqué à enlever la crème de sa joue avec son doigt qu'il léchait ensuite et qui affichait réellement un air concentré.

 

-Attends, je lèche, dit Light.

 

Il posa un genou sur la table basse, se pencha vers L et lécha la crème qu'il avait sur la joue.

Le détective parut assez mécontent de cela. Il le fut encore plus lorsque, sous une impulsion soudaine, la langue de Light dériva vers sa bouche sur laquelle Light vint presse la sienne. L voulut résister, mais Light le força à accepter le baiser, qui n'était, finalement, pas si désagréable.

Heureusement que lui seul avait le droit de visionner les vidéos de caméras de surveillance...

 

L se surprit à passer ses bras dans la nuque de Light pour approfondir le baiser. Et il fut tout aussi surpris lorsqu'il senti Light l'enlacer en retour.

Sous la pression du corps de Light sur le sien, L s'allongea sur le canapé. Leurs bouches se séparèrent et ils se regardèrent. Aucun des deux ne savait ce qui les avait prenais, mais au final, ça leur était égal.

Il s'embrassèrent de nouveau et L frissonna lorsqu'il sentit la main de Light passer sous son T-shirt. La main caressa son torse, s'attarda sur ses tétons, puis, se retira.

Light rompit le baiser et enleva son T-shirt à L, puis il se redressa et enleva le sien. Les deux vêtements restèrent à pendouiller sur la chaine qui liait les deux hommes par le poignets.

Ils s'embrassèrent encore et se séparèrent encore, pour enlever leurs pantalons.

L attira Light à lui et ils s'embrassèrent de nouveau. Sans rompre le baiser, ils se regardèrent, chacun étant surpris par l'érection de l'autre. Ils décidèrent de s'en foutre, et leurs yeux se fermèrent.

Light rompit à nouveau le baiser, puis, il embrassa le détective derrière l'oreille et lui mordilla le lobe. Puis il l'embrassa dans le cou et lui fit un suçon sur la gorge. Sa bouche descendit ensuite et Light embrassa, mordilla, suçota chaque parcelle de peau qui lui était offerte, jusqu'à ce qu'il arrive à l'élastique du boxer de Ryuuzaki.

Il le lui enleva sans plus de cérémonie et il lécha avidement et d'un air gourmand, le sexe offert du détective. Ce dernier, dont la respiration était déjà saccadée, ne put retenir un cri. Cri qui se transforma en gémissement lascif, lorsque Light prit son sexe en bouche. L s'agitait, gémissait, Light s'y prenait définitivement bien, et la langue chaude que Ryuuzaki sentait sur son sexe lui procurait un plaisir intense. Un gémissement de frustration sortit de sa bouche lorsque Light s'arrêta, peu de temps avant l'orgasme.

 

-Pardon, mais je ne veux pas que tu jouisse maintenant, se justifia Light, en présentant deux de ses doigts à Ryuuzaki.

 

Le détective, qui comprit immédiatement ses raisons, lécha les doigts avec soin. Il se tendit lorsqu'il sentit le doigt de Light entrer en lui, mais Light fit bouger son doigt et L alla bien vite mieux. Il ajouta alors un second doigt, L se crispa à nouveau, mais comme la première fois, la douleur finit par disparaître. Light retira ses doigts et enleva son boxer.

Il embrassa tendrement Ryuuzaki pour faire passer son angoisse, le détective se détendit.

Light pénétra L avec douceur, avec toute la tendresse dont il pouvait faire preuve. L souffrit un instant, mais lorsque Light se fut mis à bouger, il n'y eut plus de problèmes.

Et lorsque Light s'aperçut de cela, il accéléra. L gémit, se cambra, retomba sur le lit, soupira.

La volupté semblait l'atteindre par vagues, à chaque fois que Light s'enfonçait de nouveau en lui.

Light allait de plus en plus vite, L gémissait de plus en plus fort, il cria lorsqu'il se sentit jouir, et il cria encore lorsqu'il sentit Light jouir à l'intérieur de lui.

Light lécha le sperme répandu sur le torse de Ryuuzaki et alla embrasser le détective, à bout de souffle.

Tous deux ses levèrent difficilement pour aller s'effondrer dans un lit. Le même, pour l'occasion.

A partir de ce jour la, prendre un goûter en compagnie du détective devint une chose très agréable pour Light.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 7 mai 6 07 /05 /Mai 17:02

Bon, j'avais dans l'idée de rien faire ce week end parceque je reviens de croisière, que je csuis crevée, que ça me déprime de reprendre les cours vendredi, mais bon, je suis passée voir alors je met quelque chose, c'est l'avant dernière histoire que j'ai fait pour mon amie, après on passe dans du shonen ai, et après j'ai pas d'idées, alors profitez....

 

 Ukitake Jyuushiro 

 

 

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Byakuya avait décidé de sortir ce soir la, c'était un jour de pluie bien triste, comme il les aimait. Il errait sans but à l'intérieur de Soul Society, bien protégé par son parapluie, mais profitant de la fraîcheur de l'air extérieur. C'était le hasard qui l'avait amené à passer devant la maison du capitaine de la 13ème division. Ukitake, qui prenait l'air sur le seuil de sa porte, l'avait aperçu et lui avait proposé de passer un peu de temps chez lui, jusqu'à ce que la pluie s'arrête, parce que ce n'était pas un temps à mettre un chat dehors. Byakuya s'était retenu de faire remarquer à Ukitake qu'il était lui aussi dehors et il avait accepté.

Comment ils en étaient venus à boire, ils ne le savaient plus. Ils étaient tous les deux en train d'essayer de déterminer quelle pièce prendre pour faire avancer leur jeu de mah-jong (celle la ou ses deux jumelles d'à côté?), lorsque Byakuya, prit d'une envie soudaine, demanda :

 

-Ukitake, t'as de la chantilly?

 

Le capitaine, un peu surpris par la demande et rendu peu assuré par la boisson, répondit d'une voix hésitante :

 

-Hein? Euh, oui... Je crois... Dans le frigo (te pose pas la question, on va dire qu'il y en a à Soul Society, c'est comme la cuisinière, les casseroles et les cuillers^^)

 

Ukitake se rendit donc en titubant vers son réfrigérateur, et Byakuya, qui ne marchait pas plus droit, le suivit. Ukitake dénicha au fond de son frigo une bonbonne de chantilly pour le capitaine de la 6ème division. Celui ci s'en saisit et se mis à manger la chantilly la tête renversée en arrière, à même la bouteille. Dans son ivresse, Ukitake reconnut sans peine être attiré par Byakuya, alors que le capitaine buvait littéralement la chantilly, les joues rougies par le sang qui lui montait à la tête... Mais bizarrement, l'attirance que ressentait Ukitake pour Byakuya était moins grande que celle qu'il ressentait pour la bouteille de chantilly. Il se jeta sur Byakuya en s'accrochant à son dos et en cherchant à lui arracher la bouteille des mains. Byakuya, pour sa part, cherchait à se débarrasser d'Ukitake tout en gardant la chantilly pour lui. (c'est con un shinigami bourréXD)

Il perdit la bataille, mais pas la guerre, car si Ukitake réussit à lui prendre la bonbonne, il put admirer son superbe torse, qui avait été dévêtu dans la bataille. Ukitake s'en foutait royalement et laissa le haut de son kimono pendre au bout de ses bras. Comme Byakuya, il buvait la chantilly de la même façon que lui. Lassé, il finit par lâcher un instant la bouteille de chantilly, la tenant érigée dans sa bouche à l'aide de ses dents, pour enlever le haut de son kimono qui le gênait.

Byakuya rougit légèrement devant cette image sexuelle, bien qu'elle soit totalement inconsciente. Complètement bourré -et troublé-, il n'eut même pas la présence d'esprit de lui chiper la bouteille.

Lorsque Ukitake se rendit enfin compte du regard brûlant posé sur lui, il regarda Byakuya, et se rendit compte qu'il avait une grosse trace de crème sur la joue. Amusé qu'il ne s'en soit pas rendu compte, Ukitake posa la bonbonne de chantilly et alla lécher la crème sur la joue de Byakuya, qui se mit à rougir. Ravi de cette réaction, Ukitake décida d'en profiter.

Sa langue glissa et s'introduit à l'intérieur de la bouche de Byakuya. Ce dernier, surpris, ne réussit pas à résister. De toutes façons, il était trop ivre pour ça, surtout que ce baiser était bien agréable... Byakuya laissa Ukitake l'embrasser et le baiser se prolongea. Lorsque leurs langues rentrèrent dans leurs bouches respectives et qu'ils se séparèrent, Ukitake regarda Byakuya, qui était encore plus rouge que tout à l'heure.

 

-Byakuya? Appela Ukitake.

-Mmmh? Répondit le concerné.

-J'ai envie de chocolat fondu.

 

On aurait été dans un manga, on aurait vu les jambes de Byakuya dépasser du cadre, juste les jambes, montrant qu'il était tombé à la renverse de surprise. Ou alors, ça aurait été la grosse goutte sur le front. Au choix. En cet instant, Byakuya songeait tellement fort que Ukitake était un abruti qu'il se demandait comment il pouvait ne pas l'entendre. Quel crétin. Ukitake avait donné à Byakuya un baiser qui l'avait émoustillé et tout ce dont il avait envie, c'était de chocolat fondu. Le capitaine de la 6ème division devait-il se pendre? Il y songeait sérieusement.

Voilà qu'il attendait, maintenant, derrière le capitaine de la 13ème division, qui était en train de faire fondre du chocolat dans une casserole. Il se demandait comment ramener l'action à quelque chose de plus agréable.

Il eut la réponse à sa question lorsqu'il vit Ukitake, la casserole à la main, en train de porter une cuiller de chocolat fondu à sa bouche d'un air gourmand. Si son plan marchait, il se vengerait juste pour la chantilly après tout.

Il donna un léger coup dans le coude d'Ukitake. La petite cuiller dévia, laissa une trainée de chocolat sur la joue du capitaine et déversa son contenu par dessus son épaule. Ukitake rougit lorsqu'il sentit avec délice un goutte de chocolat couler le long de son échine, continuer sa course dans le creux de ses reins et terminer son chemin dans la raie de ses fesses.

Victoire. Byakuya : 1, Ukitake : 0.

Byakuya fit en sorte que Ukitake se place dos à lui. Il se rapprocha de lui, fit glisser ses mains sur son torse et lui laissa une profonde morsure dans la nuque. Ukitake, sachant plus ou moins ce qui allait se passer; s'appuya machinalement sur la cuisinière. Les mains de Byakuya caressèrent le torse d'Ukitake, elles descendirent et s'arrêtèrent à sa ceinture. Byakuya tira sur le nœud et le large pantalon d'Ukitake tomba sur le sol.

Byakuya s'agenouilla derrière lui et écarta ses deux fesses. Le bout de sa langue espiègle vint lécher le chocolat, puis, elle remonta le long de la trainée sombre, glissa dans le creux des reins du capitaine de la 13ème division, remonta le long de son échine...

Ukitake, dont le souffle était déjà court, peinait à retenir ses gémissements. Lorsqu'il sentit la langue de Byakuya remonter le long de son épaule, passer dans sa nuque et glisser sur sa joue, il ne put résister à l'envie de tourner la tête. Sa bouche fut happée dans un baiser brûlant. Il se retourna entièrement et fut plaqué contre la cuisinière, tout son corps nu tendu vers celui, brûlant de désir, du capitaine Kuchiki encore vêtu. Rapidement, avec des gestes fébriles, Ukitake entreprit de débarrasser Byakuya de son kimono. Lorsque ce fut fait, la corps du capitaine de la 6ème division se colla à celui d'Ukitake et leurs membres, tendus l'un contre l'autre, devinrent si douloureux qu'ils durent passer à autre chose.

Leurs bouches se séparèrent, elle étaient scellées depuis si longtemps qu'ils manquaient d'air. Byakuya mis deux de ses doigts dans la bouche d'Ukitake, qui fut heureux d'avoir quelque chose à sucer pour combler son inaction. Rapidement, Byakuya retira ses doigts et Ukitake hurla lorsqu'il les sentit s'introduire en lui, mais le plaisir était déjà trop puissant pour qu'il prête une quelconque attention à la douleur. Il se mit bientôt à bouger pour que les doigts de Byakuya aillent plus loin, mourant d'envie de sentir quelque chose de plus gros en lui.

Il gémit lorsque Byakuya retira ses doigts.

Le capitaine de la 6ème division le regardait, abasourdit de le voir si soumis. Alors il prit les devants. Sa bouche, décidément, se languissait de ne rien avoir pour s'occuper.

Il s'agenouilla devant Byakuya, qui hurla de plaisir lorsqu'il sentit la bouche du capitaine de la 13ème division englober son sexe sans aucun préavis. La bouche de Ukitake allait et venait sur son sexe, sa langue s'enroulait et se déroulait autour, passant parfois sur cette fente si sensible, située au bout du gland, pendant que ses dents mordillaient par instant la chair palpitante...

Byakuya dut s'appuyer sur les épaules d'Ukitake pour empêcher ses jambes de céder, l'une de ses mains se perdit dans les longs cheveux blancs du capitaine de la 13ème division pour lui imposer son rythme. Ukitake manquait à chaque fois de s'étouffer, car Byakuya accompagnait ses mouvements de pressions de sa main sur sa tête et de coups de bassin. Le sexe de Byakuya s'enfonçait à chaque fois profondément dans sa gorge, mais il s'en foutait éperdument. Il n'attendait qu'une chose : Sentir le sperme de Byakuya couler dans sa gorge.

Byakuya hurla lorsque le sperme jaillit, et il crut qu'il allait devenir fou lorsqu'il sentit Ukitake exercer comme une succion sur son membre, comme s'il voulait en avoir plus. Ukitake remonta et l'embrassa, ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle.

Les mains d'Ukitake caressèrent, pincèrent ses tétons, pendant que sa langue laissait une trace brillante dans son cou. Bien vite, Ukitake sentit Byakuya s'exciter à nouveau contre lui.

Il cessa ses caresses et l'embrassa, se serrant étroitement contre son torse, lui faisant sentir son membre dur dont il ne s'était pas encore occupé.

Leurs bouches se séparèrent et ce fut Byakuya qui caressa Ukitake cette fois, sa main caressa son torse, passa entre ses deux fesses pendant qu'il l'embrassait dans le cou, tant et si bien que les jambes du capitaine de la 13ème division flageolèrent. Le capitaine de la 6ème division saisit l'occasion, il passa ses mains sous les cuisses d'Ukitake et releva ses jambes, le forçant à s'accrocher à lui. Il le porta et l'allongea sur la table de la cuisine, ou Ukitake écarta outrageusement les jambes. Un long gémissement de plaisir franchit en même temps les lèvres des des deux capitaines, lorsque Byakuya pénétra son amant. La encore, Ukitake appréciait trop pour souffrir, et Byakuya se mit rapidement à bouger en lui. Tous deux hurlaient, gémissaient à chaque mouvement que faisait l'autre. Byakuya s'enfonçait chaque fois plus profondément en Ukitake, et Ukitake hurlait chaque fois de plus en plus fort. Byakuya se plia en deux pour aller l'embrasser, s'enfonçant encore plus profondément en lui, sans se retirer. Ukitake ne put s'empêcher de rompre le baiser et de hurler le plaisir, alors Byakuya se remit à bouger. Il hurla lorsqu'il se renfonça en Ukitake et que l'orgasme le prit sans prévenir. Ukitake hurla lui aussi, se cambra lorsqu'il sentit Byakuya jouir, et jouit à son tour.

Byakuya se retira et alla embrasser Ukitake.

Épuisés, tous deux s'endormirent sur la table de la cuisine. Et depuis ce jour, Ukitake veille à toujours avoir chantilly et chocolat à sa disposition. Car ce ne fut pas la seule visite du capitaine de la 6ème division. Bizarrement, il passe fréquemment à côté de chez lui, les jours de pluie...

 

 

Histoire issue du manga Bleach.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 14 mai 6 14 /05 /Mai 10:20

ikki-2518916151           akito

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Je me suis trompée, en fait, le recueil d'histoires que j'avais écrit pour mon amie est fini, mais vous avez de la chance, il me reste un petit défi qu'elle m'a lancé... Petite intro, l'un des perso s'appelle Ikki (Itsuki Minami), c'est un peu un "reloud" grande gueule, mais il a la classe, il est plus ou moins surnommé corbeau, il en à même un qui niche dans ses cheveux (cherchez pas, c'est juste une connerie du mangaka), Agito le surnomme très élégamment "corbac". Akito, en haut à droite, est un garçon timide et amoureux de ikki (ce n'est pas un manga yaoi^^), schizophrène, sa seconde personnalité s'appelle Agito (au dessus), on l'appelle le "Roi des Crocs de la Route du Sang", il est complètement barge, dit "fuck" tout le temps, et n'hésite pas à massacrer tout le monde... Comme vous pouvez le voir, Akito a un bandeau sur l'oeil droit, et Agito sur le gauche, lorsqu'il enlèvent le bandeau, leurs personnlaités se réunissent, mais celle d'Agito, est d'une manière générale, asser dominante, il est souvent représenté par un requin. Histoire issue du manga "Air Gear" (que je vous reccomande^^) Enjoy!

 

************************************

 

Une main se leva pendant le cours d'éducation civique de Melle Tomita :

 

-M'zelle Ton, j'peux sortir s'il vous plait? Demanda Ikki.

-Quoi? Mais, euh...

 

La jeune professeure, qui tentait toujours de faire de son mieux, était perdue lorsque quelqu'un l'interrompait dans son élan.

 

-Faut qu'j'aille aux toilettes, c'est urgent.

-Bon, d'accord...

 

La jeune femme était déçue, elle savait que ce n'était qu'un moyen de plus de secher son cours, mais elle préférait éviter avec les catastrophes, surtout avec les gens comme Minami, qui sont capable de tout. Elle attendait que Ikki sorte pour reprendre, lorsqu'elle entendit :

 

-M'zelle Ton, j'peux y aller aussi s'il vous plait?

-Toi aussi Akito? Tu ne peux pas attendre que Ikki revienne?

 

Pour lui, elle était d'accord, Akito avait toujours été un gamin adorable et sans histoires... Mais en y regardant de plus près, elle s'aperçut qu'il ne s'agissait pas de lui, ce qui risquait de lui poser problème, comme avec Ikki.

 

-Moi c'est Agito M'zelle, c'est urgent aussi.

-D'accord, accepta-t-elle. Elle prenait des risques, mais au moins elle serait débarassée de ceux qui montrent le plus leur ennui...

 

Agito sortit de la salle et marcha un peu derrière Ikki. Sentant comme un regard étrange fixé sur lui, ce dernier se retourna et demande en marchant :

 

-Hey, Agito, j'peux savoir pourquoi tu me suis?

-Tas pas entendu corbac? Faut que j'aille pisser, répondit le Roi des Crocs.

 

Ikki considéra Agito.

 

-Alors pourquoi t'as un air louche? Demanda-t-il.

 

Le Roi des Crocs prit un air angélique.

 

-J'ai un air louche, moi?

-Ouais, répondit Ikki en poussant la porte des toilettes, t'as un air franchement louche...

 

Ils se positionnèrent devant les urinoirs et se soulagèrent, mais l'ambiance était lourde, Ikki sentait que quelque chose clochait, et il désirait s'en aller au plus vite. Lorsqu'il eut fini, il se rhabilla et se commença à s'en aller, mais Agito appuya violement sa main sur la porte et la força à se refermer.

 

-Au fait corbac, t'as raison, j'ai un air louche...

-Hein? Répondit le corbeau, sans comprendre.

-Mais faut pas m'en vouloir, dit Agito en empoignant Ikki par son manteau et en le projettant dans une cabine de toilettes.

 

-C'est Akito qui m'as demandé, continua Agito en maintenant Ikki contre le mur et en refermant la porte.

-Quoi? Demande Ikki.

-Tu capte toujours pas? Répondit Agito avec un sourire sadique.

 

Agito glissa une main entre les jambes d'Ikki qui commença à se débattre, mais Agito le maintenait contre le mur d'une poigne de fer, un bras passé sur sa gorge. Si Ikki bougeait trop, il risquait de s'étouffer bêtement.

Agito le retourna et le plaqua à nouveau contre le mur, tout en glissant une main dans son pantalon. Ikki sentit avec stupeur Agito qui commençait à le caresser à travers son boxer. Horrifié, il sentit son sexe commencer à s'ériger, il ne pensait pas que Agito serait aussi doué...

 

-Eh, t'aime ça en plus? Demanda Agito d'un ton sarcastique.

 

Il retira sa main et la glissa, cette fois ci, dans le boxer d'Ikki, et se colla à lui, en lui faisant sentir son début d'érection.

 

-Regarde, moi aussi... Si tu te pose la question, c'est Kaito qui m'a entrainé. (Le frère d'Akito, ndla)

-Lache moi... Demanda Ikki d'une voix faible.

-Ouah, la vache, c'est grave c'que t'as l'air motivé! Répondit Agito, et puis de toutes façons, tu rêve, je t'ai déja dit que c'est Akito qui me l'a demandé, dit-il en faisant bouger sa main.

 

-L'enflure... Dit Ikki d'une voix encore plus faible.

-Hey, dit Agito en resserant son emprise sur le sexe d'Ikki, qui ne put retenir un gémissement.

 

-interdiction de l'insulter, c'est pigé sale corbac?

-Salaud, dit Ikki.

 

Agito ressera sa main à nouveau.

 

-J'ai pas dit que moi tu pouvais...

 

Cette fois, Ikki se tut.

 

-Mais t'inquiète pas, continua Agito en enlevant sa ceinture à Ikki, dont le pantalon tomba au sol.

 

-Comme il veut pas que tu le déteste, il m'a demandé de faire en sorte que ça soit agréable.

 

Agito baissa le caleçon de Ikki et attrapa de nouveau son sexe, sur lequel il commença un mouvement de va et viens; Ikki lacha, cette fois ci, un gémissement bien audible.

 

-Par contre, il va falloir que tu sois plus discret, corbac, dit le Roi des Crocs en s'appuyant contre le corbeau, pour que celui ci n'oublie pas qu'il est aussi excité que lui.

 

Agito accéléra le mouvement  de sa main, et si le corbeau retenait ses gémissements, il entendait sa respiration s'accélérer. Il appuya deux de ses doigts sur la bouche d'Ikki. Ikki garda la bouche fermée pour la forme, mais lorsque Agito parvint à y introduire ses doigts, sa langue s'actionna machinalement dessus sans qu'il puisse l'arrêter.

Agito cessa de maintenir Ikki contre le mur pour enlever son pantalon. Ikki ne bougea pas. Il suffisait que Agito fasse bouger ses doigts dans sa bouche pour qu'il n'ai plus aucune envie de s'enfuir...

Agito retira ses doigts et Ikki retint un cri lorsqu'il sentit Agito en introduire un à l'interieur de lui. Des larmes perlèrent à ses yeux sous la douleur, mais il ne cria pas. Si on le surprenait dans cette situation, c'en était finit de sa réputaton, toutes catégories confondues... Agito bougea son doigt, Ikki ne put s'empêcher de gémir, il sentait le doigt tourner, s'enlever, se remettre... Lorsque Ikki se fut mit à haleter, Agito rajouta le second doigt, Ikki gémit de douleur, mais son gémissement se mua presque en une exclamation de plaisir lorsque Agito reprit ses mouvements.

Le requin jeta un oeil au visage du corbeau et ne retint pas un sourire lorsqu'il se rendit compte que ses joues étaient rouges, et qu'il arborait un air totalement soumis.

Agito retourna Ikki et s'agenouilla devant lui, ne prêtant aucune attention à son air hagard.

Ikki retint un cri lorsqu'il sentit le bout de la langue éspiègle d'Agito lécher le bout de son gland. En baissant les yeux, il se rendit compte qu'il avait enlevé son bandeau.

Les yeux de Ikki se fermèrent lorsque Akito/Agito suçota son gland, il cria presque de surprise lorsqu'il sentit la bouche du Roi des Crocs glisser sur son sexe tout entier. Le requin commença des mouvements de va et viens à un rythme frénétique, et Ikki dut plaquer une main sur sa bouche pour s'empêcher de hurler.

La bouche chaude et humide du jeune garçon allait et venait sur son sexe; s alangue s'enroulait autour avec une dexterité impressonnante, Kaito l'avait bien entraîné... Ikki ne put retenir un gémissement lorsqu'il se sentit si proche de l'orgasme, mais lorsque le Roi des Crocs sentit le sexe de Ikki gonfler dans sa bouche, il se retira, et le corbeau eut du mal à retenir un gémissement de frustraton.

 

-C'est dégueulasse... Hah... De t'arrêter la... Haleta Ikki.

- Je ne veux pas que tu jouisse maintenant, corbac, répondit Agito en retournant Ikki de nouveau.

 

Akito/Agito enleva son caleçon et pénétra Ikki sans douceur. Ikki gémit de douleur et se crispa, il se força à se détendre, et après quelques mouvements du requin, il se remit à haleter de plaisir.

Agito arrêta de bouger lorsqu'il entendit la porte des toilettes s'ouvrir. Il y eut un silence, puis, des pas qui se rapprochent. La porte des toilettes s'ouvrit sur Buccha. Il analysa rapidement la situation et dit :

 

-J'ai demandé à sortie parceque je me doutait de ce que vous êtes en train de faire, mais j'ai voulu être sur... C'est bien voulu de la part d'Ikki au moins.

-Ben regarde le, répondit Agito, est ce qu'il a l'air de se faire violer d'après toi?

 

Buccha considéra levisage rougissant d'Ikki, qui se mordait la main pour ne pas gémir.

 

-Ok, répondit Buccha en souriant, je vous laisse alors, mais bougez vous, Tomita vous attend.

-T'inquiète, on a bientôt fini, répondit Agito.

 

Buccha partit en refermant la porte, Agito se remit aussitôt à bouger, se montrant plus brutal et plus violent que la première fois. Ikki se mordit la main jusqu'au sang pour ne pas laisser entendre son plaisir, sa respiration s'accelera et il se cambra, lorsq'un coup de reins plus puissant de la par du Roi des Crocs le fit jouir. Agito s'enfonça encore deux ou trois fois en Ikki avant de jouir à son tour. Il retourna Ikki encore une fois et le corbeau se laissa glisser contre le mur avant de s'assoir par terre, hagard.

Le jeune garçon se pencha sur lui et Akito l'embrassa tendrement du bout des lèvres.

 

-Excuse moi, dit-il d'un air gêné, mais je t'aime trop, termina-t-il, avant de sortir de la pièce. 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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