Samedi 11 septembre 6 11 /09 /Sep 09:56

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PDV Adam : Il a fumé, j'adore ce petit goût de cigarette qu'il à dans la bouche. Putain, ce baiser... Il m'embrasse encore une fois comme ça et il me fait décoller... On arrive à l'hôtel, à nos gestes et à notre comportement, je crois que tout le monde a compris ce qu'on cherche ici.

 

PDV Réceptioniste : Ceux la, il vaut mieux leur refiler une chambre bien insonorisée, hey, c'est le jeune kaulitz, non? Je ne pensais pas qu'il était le genre de mec à en ramener un autre, comme ça, d'un seul coup... J'ai l'impression de l'avoir déja vu quelque part celui la, mais je sais pas ou... Enfin bon, Bill, je le connais bien, alors je lui refile sa chambre habituelle, mais je ne pensais vraiment pas qu'il était du genre à aller chercher une pute pour combler ses nuit d'ennui, je savais qu'il était gay, mais bon...

 

PDV Adam : Nous sortons de l'ascenseur, les portes se sont à peine refermées que Bill m'entraine à sa suite et me plaque contre la porte de la chambre. Il me mord la lèvre et insère de force sa langue dans ma bouche, je ne l'imaginais pas aussi sauvage, mais j'adore. J'insère difficilement la clé dans la serrure, faut dire que je vois pas ce que je fais... Lorsque je réussis à déverouiller la porte, Bill me pousse à l'interieur de la chambre et en referme la porte. Ce moment d'inattention est suffisant pour que je reprenne le dessus, je l'embrasse sauvagement en lui mordant la langue, tout en fermant la porte à clé. Je bande et Bill s'en est largement rendu compte, et je sens sa propre érection contre ma cuisse, mais bordel, qu'est ce qui m'a pris de mettre un slim, moi? Je suis taré... Bon, ok, je pouvais pas prévoir que j'allais le rencontrer.

 

PDV Bill : Putain, pourquoi est ce que j'ai mis ce pantalon en cuir super serré, moi? J'ai mal, mais putain, c'est trop bon, et il ne doit pas être dans un meilleur état que mioi avec son slim, la... Lentement, je m'affaisse le long de la porte, il entreprend alors de me débarrasser de mon pantalon et de mon boxer dans des gestes saccadés et frénétiques, j'avoue que ça soulage... D'ailleur, il ouvre son propre pantalon et il descend son propre boxer avant de pousser un loooong soupir de soulagement, je le comprends parfaitement. Nous nous débarrassons de nos vêtements et nous sommes maintenant compètement nus, la respiratoin saccadée, juste derrière la porte de la chambre... Il faudrait peut être qu'on s'en éloigne un peu, quand même. Il se relève et il me tire par le bras en m'entrainant vers la salle de bain. Il ouvre la porte et je le plaque contre le mur de la douche avant de l'embrasser comme si c'était la dernière fois.

Il ouvre l'eau, putain, c'est froid! Heureusement que l'eau chauffe vite. Nous nous lavons mutuellement, tout en sachant très bien que cette douche n'est qu'un prétexte pour découvrir le corps de l'autre, pour le caresser, le tester, pour connaitre le moindre de ses recoins. Toutes les zones érogènes, les zones chatouilleuses, celles qui font rire, celles qui font gémir et soupirer, celles qui font hurler de douleur ou de plaisir, celles qui font mal et celles qui sont oubliées...

Il gémit de façon appuyée lorsque ma langue s'enroule autour de son sexe pendant que je lui fait une fellation, ses gémissements se font de plus en plus fort, de plus en plus incontrolés, il adore ce que je lui fait, il va jouir et je le sais.

Et il sait que je le sais, c'est pour ça qu'il ne se retient pas. Je laisse son sperme envahir ma bouche, j'ai déja eu un ou deux petits copains avant lui, mais bordel de dieu, c'est la première fois que je prends autant de plaisir à avaler ça... Je remonte vers sa bouche et je l'embrasse à pleine langue, il sait très bien que j'ai encore du foutre plein la bouche, c'est juste qu'il s'en fout.

Je saisis une bouteille de gel douche et j'en fait couler sur mes doigts, je reccomence à l'embrasser en insérant doucement un doigt en lui. Ca n'a pas l'air de le gêner plus que ça, en fait il semblait attendre ça depuis un bon moment. J'insère un second doigt en lui, il gémit et se cambre, je fait bouger mes doigts en lui un moment, en le faisant gémir de plaisir à chaque instant. Sans cesser de l'embrasser, j'enduis mon sexe de gel douche et je soulève une de ses jambes, il s'accroche à mon cou et entoure ma taille de ses jambes. Doucement, il s'abaisse sur mon sexe érigé et serre ma taille de plus en plus fort... Il sépare brusquement nos lèvres et un pur gémissement de plaisir sort de sa bouche. Je me combre un peu en arrière pour pouvoir mieux le porter, c'est la première fois que je fais l'amour dans cette position... Mes mouvements de va et viens sont rapides, saccadés et violents, mis il ne cesse de me demander d'accelerer, jusqu'à ce que nous atteignions l'orgasme en même temps et dans un même gémissement.

 

Par kagura - Publié dans : Un ange tombé du ciel - Communauté : Communauté gay
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Samedi 11 septembre 6 11 /09 /Sep 10:53

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PDV Adam : Putain, c'était trop bon, j'en reviens pas d'avoir ressenti un tel plaisir. Bill est toujours debout, adossé contre le mur de la douche, je l'enserre toujours de mes jambes, je reprend mon souffle, la tête posée sur son torse. Nos respirations sont encore saccadées et Bill est toujours à l'intérieur de moi. Il a les yeux dans le vague et il tente de reprendre son souffle. Je lache sa taille et je me remet debout (non sans avoir failli m'affaler contre le mur de la douche), je l'embrasse et il me mordille la langue. Je le regarde. Ce n'est pas asser. Je sors de la douche en le tirant derrière moi, je m'allonge sur le lit et je l'attire brusquement au dessus de moi. Il me regarde dans les yeux en passant sa langue et son piercing sur ses lèvres. Putain. Je passe mes mains dans sa nuque et il vient m'embrasser pendant que je relève mes jambes de chaque côté de sa taille. Il descend sa bouche le long de mon torse et son putain de piercing s'attarde sur mes tétons. Il s'arrête et me regarde à nouveau. En un éclair, je me retrouve attaché au lit grâce aux draps, il soulève mes jambes et il les poses sur mes épaules, je le regarde, j'attends la suite.

 

PDV Bill : Ce regard, putain, c'est ce regard que je veux voir, celui qu'il avait sur cette page de "Têtu", ce regard brûlant, je veux qu'il n'existe que pour moi, que je sois la seule personne à qui il s'adresse... C'est définitif, moi et moi seul ai le droit de lui faire ce genre de choses... Je le pénètre brusquement, il gémit d'une façon si lascive... Ce gosse me rend dingue... Mais il doit avoir mal, une larme coule le long de sa joue... Exactement comme dans ce foutu magazine. Je reccomence, il gémit à nouveau, je l'avait dit, je suis le seul autorisé à le baiser jusqu'à l'en faire pleurer.

 

PDV Adam : Putain,q u'est ce que c'est bon! Ca fait trop mal, mais qu'est ce que c'est bon, je n'avais jamais ressenti un tel plaisir. Bill me pilonne violemment, puissamment, tout ce que je sais faire en ce moment, c'est lui crier d'aller plus vite et plus fort, j'en suis presque à souhaiter qu'il me frappe et qu'il m'insulte, c'est tellement bon!

 

PDV Bill : Je rêve d'un martinet, je sais qu'il adorerait ça. Je vais bientôt jouir, mes mouvements se font plus saccadés et plus violents, ses cris se font plus forts. Bordel de dieu, qu'est ce que c'est bon. Il est si étroit, je sais que pour lui c'est la première fois, enfin, la deuxième maintenant. Après quelques va et viens de plus, il accompagne mes mouvements pour que je m'enfonce encore plus profondément, je ne tiens plus, je ne peux plus me retenir, je m'enfonce aussi profondément que je le peux et je jouis en lui dans un hurlement de plaisir. Ce dernier mouvement a été suffisant pour lui aussi, il jouit puissament sur son propre torse, en hurlant mon nom. Je vais vraiment devenir dingue. Je lèche avec plaisir sa semence et je vais l'embrasser, avant de me retirer et de me coucher à côté de lui. Je le détache et il va chercher son portable, il a du mal à tenir debout le pauvre, ses jambes ne le portent plus.

 

-Je mets mon réveil à 8h, je bosse moi demain.

-Bah tu vas avoir du mal à te lever je crois.

-C'est clair.

 

Il pose son portable sur la table de chevet et il se recouche à côté de moi, je le serre dans mes bras alors que nous sommes complètement nus. Je le regarde un peu et j'écarte une mèche de cheveux de son visage en souriant, il s'est blotti dans mes bras, et il dors déja.

 

PDV Adam : Putain, il est déja huit heures? J'ai l'impression d'en avoir dormi seulement trois, et d'ailleurs, c'est peut être le cas, saleté de réveil. Je l'éteint avant qu'il ne réveille Bill, j'ai dormi dans ses bras, j'avais bien chaud. Je m'écarte de lui sans le réveiller et je me prépare silencieusement pour partir. Je lui laisse un mot et je m'en vais, je paye la chambre, et je précise au réceptioniste que mon "ami" dort encore, c'est le même gars qu'hier et il nous as  très bien captés. J'ai pas le temps de prendre un petit dej', il faut que j'aille bosser. La bas, on commence directement avec différentes poses, différents modèles de sous vêtements, etc... 

Je retoruve Bill le soir, à la fin de ma journée. Les deux autres jours se déroulent comme ça, je bosse la journée, je couche avec Bill le soir. Il a dit à Tom et aux G's qu'il sortait avec moi, ils sont d'accords et ça tombe bien parceque mon choix est fait, je ne rentre pas en France, ou plus exactement, j'y retourne pour aller y chercher mes affaires et ensuite, je rentre en Allemagne pour m'installer avec lui dans un petit (grand) appartement/maison qu'on achetera ensemble.

Aujourd'hui, je retourne en France, Tomp, Gustav et Georg sont venus avec Bill à la gare, il me dit "au revoir" en me roulant une pelle devant tout le monde, y compris devant la trentaine de groupies qui essayaient vainement d'être discrètes et devant la douzaine de paparazzis qui "passaient par la"... 

Par kagura - Publié dans : Un ange tombé du ciel - Communauté : Communauté gay
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Samedi 25 septembre 6 25 /09 /Sep 12:55

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Je sais, je vous ai plantées juste avant la fin, mais la semaine dernière, j'ai pas pu écrire><

 

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La aussi, j'arrive à l'internat à 11h, je pose mon sac et dodo...

 

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Réveil tout en douceur par mon putain d'ex-chaperon qui a allumé la lumière en grand juste pour me faire chier, l'enfoiré, il savait très bien que j'étais la. Il faut vraiment que je parte de cette école, le temps de tout régler et je pars demain. Avant même de prendre mon petit déjeuner, je sors de la chambre sous l'oeil étonné de mon ex-chaperon qui se demande pourquoi je ne réagis pas à ses crasses, de toutes façons, on ne s'adresse plus la parole. Je me dirige vers la salle des professeurs ou  je sais qu'ils sont tous à cette heure la, j'entre et je leur explique que je veux quitter l'école et pourquoi. Bill n'est pas la seule raison, ici, plus personne ne peut me supporter, et ils l'ont bien remarqué, il est inutile pour moi de rester dans ce genre d'environnement malsain, donc ils sont d'accord et ils m'encouragent, tant mieux, ça fait plaisir.

J'envoie des lettres à mes parents et à mon frère pour leur expliquer ce qui se passe et aussi leur demander de m'excuser de les quitter aussi subitement, déja qu'on ne se voyait pas bien souvent, la, on ne se verra pratiquement plus... Le temps de tout regler et de rassembler toutes mes affaires, de faire mes sacs et de tout ranger et la nuit est déja tombée, le temps est passé vite, tant mieux parceque Bill me manque. Je sais bien que je l'ai quitté hier matin, mais j'ai envie d'être dans ses bras...

Evidemment, la nouvelle que je quitte l'école s'est déja répandue comme une trainée de poudre, les autres ne me manquerons pas...

Je pars avec les encouragements de de mes professeurs, ceux de photo et de dessin savent que je epux facilement faire carrière dans ce domaine si j'en ai envie et ceux de mannequinat savent que ma carrière dans ce domaine la est déja commencée, et ils en sont fiers. Je vais prendre une douche et je me couche, je me lève encore tôt demain, et j'ai encore un long trajet à faire.

 

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Le lendemain matin, je vais saluer et remercier mes professeurs et je m'en vais définitivement. Le lendemain soir, je retrouve Bill, Tom, Gustav et Georg à la gare, et cette fois ci, c'est pour me dire bonjour que Bill me roule un pelle devant tout le monde... Je dors chez eux ce soir la, et le lendemain, nous prenons le temps de faire connaissance. En moins d'une semaine, Bill me présente à son manager et à ses parents et nous commençons à chercher un petit appartement, pour avoir un petit logement à nous, sans les autres. Il ne m'est pas difficile de trouver du travail, car je suis asser souvent demandé maintenant, mais il m'arrive de refuser des contrats, de façon à ce que Bill et moi, nous puissions assouvir nos fantasmes et désirs plus ou moins sado-masochistes au lit. Le groupe continue d'exister, et il arrive que Bill pose avec moi de temps en temps, ça arrange bien mes employeurs, parceque subitement, les groupies s'arrachent leurs magazines... Pour ma part, j'en suis venu à faire quelques défilés de temps en temps, pour Dior, Chanel ou Jean-Paul Gaultier, c'est d'ailleurs comme ça que j'ai rencontré Karl Lagerfeld et JPG, mais le porno reste mon domaine de prédilection...

A Noël, je suis rentré en France et j'ai présenté Bill à toute ma famille, ils l'ont accepté, et ils n'avaient pas le choix de toutes façons, je ne le leur laissait pas. D'habitude, je en dessine que pour moi, mais il m'arrive de dessiner, quelques mangas (yaoi évidemment), sans me presser, pour arrondir mes fins de mois, qui sont déja bien rondes à la bas, quand j'y réfléchis... Je fais aussi un peu de photo de temps en temps, mais moins souvent. Parfois, je joue même dans quelques clips de Tokio Hotel, qui sait? Peut être qu'un jour je finirais au cinéma... Non, ça m'étonnerai, ça m'amuse, mais c'est pas mon truc, j'aime pas trop être filmé, donc ce n'est pas trop important pour moi...

J'éspère qu'on trouvera rapidement un appartement Bill et moi, parceque Tom et les G's se plaignent souvent de ne pas pouvoir dormir, si ils ne se faisaient pas chier à nous filmer en faisant semblant d'être cachés derrière la porte aussi... De toutes façons, ce n'est pas la seule raison, je veux aussi me trouver un chat, et les autres ne veulen pas, c'est dommage, parceque c'est tout ce qu'il faut pour mon bonheur : Mon boulot qui rapporte bien, mon Bill, et mon chat... Je dis ça, mais Bill passera toujours avant moi, parceque je l'aime et que je ferais n'importe quoi pour son bonheur à lui, je vendrais mon âùe au diable pour que mon ange soit heureux.

Cet ange tombé du ciel sur cette scène ou je l'ai écouté chanter, cet ange à la voix magnifique que je ne pourrais jamais oublier...

Bill, toi qui est mon ange, toi qui sera à jamais mon ange, je t'aime, tu es mon ange tombé du ciel.

 

 

 

                                                           FIN

 

A partir de la semain prochaine, c'est une mini-fic sur LM.C (la plus hard que j'ai jamais écrite) et quelques one-shot, pour la fic suivante, c'est dur parceque ça fait bien 4 mois que j'ai rien écrit.

Par kagura - Publié dans : Un ange tombé du ciel - Communauté : Communauté gay
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Samedi 2 octobre 6 02 /10 /Oct 15:58

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Vu que je n'ai pas eu de réactions, je suppose que la fin de ma fic sur TH est aussi pourrie que toutes les autres, m'enfin, tant pis, voici une mini-fic sur LM.C, que je suis aussi allé voir en concert, à gauche, c'est Maya(le chanteur) et à droite, c'est Aiji (le guitariste), il n'y a qu'eux dans ce groupe, les autres membres sont des membres de session (ça me facilite la tâche, parceque au dela de trois, il faut faire des schémas, sinon on s'embrouille XD ) Cette fic est la plus chade que j'ai jamais écrite, j'éspère qu'elle vous plaira (au moins le lemon), elle ne fait que 4 chapitres, mais ils sont longs (pour moi, à taper), donc je n'en posterai qu'un par semaine, donc cette fic durera un mois (sauf imprévus) et du coup, vous vous retrouverez avec le lime à le troisième semaine, et vous devrez patienter une semaine pour le lemon^^ (pas taper, aieuh, j'ai dis pas taper ><)

 

 

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J'attends désepsérément que les portes du "Transbordeur" s'ouvrent, je suis dans la file, à plus de 20 mètres de l'entrée et je suis survolté. Comme toutes les personnes qui sont ici, j'attends d'entrer dans la salle pour assister au concert de LM.C, j'attends depuis un bon moment maintenant, mais depuis moins longtemps que certains.

Beaucoup de choses ont été organisées par les fans, c'est dommage que, ne m'étant pas informé, je ne puisse pas participer; par exemple, il y a dans le groupe un danseur et D.J du nom de DENKI-MAN, dans tout le clip de la chanson "Edo-funk", il fait une chorégraphie, et nombreux sont les fans qui l'ont apprise pour danser avec lui, les gens ont également amené des tonnes de chuppa-chups, car Maya, le chanteur, est connu pour avoir tout le temps une sucette en bouche, surtout pendant les clips, sans parler de la sucette géante du clip de "Punky-hearth"... DENKI-MAN est assez connu, car on ne voit pas le moindre parcelle de sa peau, il porte toujours une éspèce de masque de tête de mort punk et dégénérée, et des gants, sans compter qu'on a jamais entendu le son de sa voix, pas une seule fois...

Je m'ennuie et en plus, il fait froid, je mange mon sandwich en attendant, je n'ai pas vraiment faim car il est tôt, mais au moins, comme ça, c'est fait. Au bout d'une longue attente, la file commence enfin à avancer, j'ai hâte de voir Maya et Aiji, LM.C est un groupe constitué uniquement de deux membres, Maya, le chanteur et guitariste (seulement pendant les enregistrements maintenant) et Aiji, le guitariste, tous les autres membres sont des membres de session, même DENKI... J'achète un de leurs T-shirts et leur dernier CD, je mets le T-shirt et je vais me chercher une place à peu près bonne dans la fosse. Je ne suis pas vraiement dans la fosse en fait, mais derrière les barrières, du côté du bar. Moi, je préfère être sur le côté, mais proche de la scène, ça ne sert à rien d'être en face si on est à 10 mètres, on ne voit rien dans ces cas la... Une tenture du lapin, symbole de LM.C est tendue derrière la scène, il faudrait la remettre, parcequ'elle se casse un peu la gueule, mais bon, tant pis. Les gens hurlent lorsque le guitariste (ou bassiste) de session apparait pour accorder les guitares, il fait son show et il s'en va, c'était son heure de gloire...

10 minutes plus tard, un responsable de la salle monte sur scène pour nous annoncer quelque chose d'extraordinaire à mes yeux : Maya et Aiji ont organisé une rencontre avec le public après le concert, à la sortie de la salle. Mes cris de joie se joignent à ceux des autres, même pour si peu, je saute sur place..! Encore une demie heure d'attente et les lumières s'éteignent, je suis sur le côté donc je regarde en diagonale, Aiji apparait pile dans mon champs de vision, c'est parfait comme ça, Maya se place, évidemment, au centre de la scène, ça colle aussi pour moi. Après une courte intro, ils entament la chanson "Ghost Hearth", l'une des mes préférées(même si j'en ai beaucoup), pour chauffer le public, à la fin, Maya se fiche de ceux qui se sont placés à l'étage pour mieux voir et il leur fait signe de sauter, au milieu de la cohue générale. Ils sont bien placés, mais ils ont une vue en plongée, jmoi, e préfère voir le visage de Maya et Aiji, donc je suis bien ou je suis. Ils chantent plusieurs chansons, parfois, je ne les reconnais pas, car ce sont des chansons issues de leur dernier album, que je n'ai pas encore écouté puisque je viens juste de l'acheter. Maya nous fait crier d'une façon bien précise et correspondant à une certaine mélodie, car il enchaîne sur la chanson "Metally", après quelques chansons de plus, il reccomence l'expérience et le concert continue sur "Days". Au moment de chanter "Oh my Juliet", Maya demande "Where is my Juliet?" et à la réponse du public, on entend bien qu'il est majoritairement féminin, mais ce qui m'amuse, c'est que les hommes de plus ou moins 20 ans qui sont à côté de moi et qui me semblaient assez coincés (ils n'avaient pas désserré les dents depuis le début du concert et restaient plantés sur leurs pieds malgré les mouvements de foule) se manifestent, leurs voix graves, rauques et puissantes, contrastent avec la question de Maya qui demande ou se trouve sa "Juliette"...

Au moment de chanter "Edo funk", Maya demandent si nous voulons danser avec DENKI, évidemment, tout le monde répond "oui". Maya se recule et DENKI prend sa place au centre de la scène, il fait son show pendant que les fans dansent avec lui. A la fin de la chanson, Maya va chercher quelque chose à l'arrière de la scène, il revient avec un canette de bière que DENKI boit cul sec. En sachant que, à cause de son masque, le canette n'a pas pu réellement toucher sa bouche, il y a deux solutions : soit il s'en est foutu partout et il n'a pas bu grand chose (et il devra attendre la fin du concert pour vider son masque), soit la canette n'était pas ouverte... Mystère...

Le concert continue et se termine, ils sortent de scène et nous les rappelons, ils interrogent quelques fans et jouent les chansons demandées, ensuite, ils repartent et sortent de scène à nouveau. Le responsable de salle revient, confirme ce qu'il nous avait annoncé et nous demande d'être "sages", en gros, de ne pas nous jeter sur Maya ou Aiji pour leur rouler une pelle, quoi... Nous nous dirigeons vers l'escalier ou nous nous mettons en file, en troupeau, plus exactement, mais on ne peux pas vraiment faire autrement. Après environ un quart d'heure / vingt minutes d'attente, la file commence doucement à avancer, à quelques mètres de Maya, Aiji et DENKI, je m'échappe de la file pour acheter un poster, la file est encadrée par des videurs et très contrôlée.

Je reviens dans la file et je tape un check à DENKI-MAN, je serre la main de Aiji et, en anglais, je les remercie. Je serra la main de Maya et je m'apprète à partir, mais au moment de m'en aller, je remarque quelque chose : Les colliers de Maya se sont détacheés et il risque de les perdre, en anglais, je lui fait comprendre que ses colliers vont tomber, mais il fait un mouvement brusque et ses colliers tombent à mes pieds, de mon côté de la barrière. Je les ramasse pour les lui rendre, mais aussitôt, il y a un gigantesque mouvement de foule et je suis brutalement poussé en avant, ma tête heurte violemment le sol et la douleur me fait voir des étoiles, je vois complètement flou. Tout ça pour deux colliers, putain ! Ces colliers, je les ai toujours en main, et on cherche à me les prendre, mais ils ne m'appartiennent pas, pas plus qu'ils leurs appartiennent à eux, je les rends à Maya en les faisant passer dessous la barrière, Maya les ramasses et les remets. Les agents de sécurité ne réussissent pas à contrôler l'émeute, et moi, je suis toujours dessous, écrasé par des dizaines de personnes, je n'arrive plus à respirer...

 

 

Alors, qu'est ce que vous en pensez de ce début? prometteur ou pas?

Par kagura - Publié dans : Un plan à 3? Et pourquoi pas? - Communauté : Communauté gay
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Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 11:51

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Je sens deux mains douces et chaudes, aux ongles que je devine manucurés, mais puissantes, qui me saisissent par les poignets et qui me font passer sous les barrières, je laisse donc l'émeute derrière. Je suis complètement sonné, je vois flou et j'entends très mal. Ma vision se stabilise et j'entends à nouveau normalement après quelques instants et quelques inspirations profondes. Je me rends compte que je suis toujours allongé sur le sol, mais je ne me sens pas capable de me relever, j'ai tellement mal à la tête, que je ne me concentre que sur la douleur, je ne vois pas ce qu'il y a en face de moi. Derrière moi, l'émeute semble maîtrisée, les mains me saisissent pas le devant de ma veste et me redressent en m'adossant aux barrières, l'espace d'un instant, ma vue se trouble à nouveau.

            Maya me demande en anglais si je vais bien, Aiji est à côté de lui. Je cligne plusieurs fois des yeux pour reprendre mes esprits et je leurs répond que ça va, mais ils semblent inquiets. Je leur dis que je vais m'en aller et je les remercies. Je me relève difficilement, en m'accrochant aux barrières, la tête me tourne, ils s'en sont rendus compte, Maya pose une mains sur mon épaule et me redemande si tout va bien. A nouveau, je le rassure, et doucement, je m'en vais, à petits pas, toujours accroché aux barrières, j'ai toujours très mal à la tête et la douleur me lance. Ma vue est à nouveau trouble et j'ai l'impression que mes jambes sont en coton. Elles ne me portent plus et je titube, sans compter le fait que je ressens une très forte nausée. Je m'accroche aux montants de la porte pour la passer, j'ai à peine fait un pas dehors que je me mets à vomir, je rejette tout ce que j'avais pu avaler.

           Je me sens tomber, mais des mains me rattrapent, le contact est différent cette fois, comme si les mains étaient gantées. Je me retrouve porté dans les bras de quelqu'un version mariée, un homme, et un homme avec des gant, ça veut dire DENKI... Au bruit et au souffle d'air manquant, je comprends qu'il me ramène à l'intérieur de la salle, DENKI me pose contre un mur et les videurs font sortir tout le monde, c'est leur punition pour ne pas avoir été sages... Maya et Aiji se sont agenouillés devant moi, ils s'inquiètent et ils me disent qu'ils ont appelé une ambulance. Je leur souris faiblement, à moitié dans les vapes, Maya enlève ses colliers et il les passe à mon cou, Aiji passe une de ses bagues à mon doigt. Je les regarde d'un air surpris, je ne comprends pas trop ce qu'il se passe, en quelques secondes, je me retrouve avec la moitié du présentoir à sucettes de Maya, les 3 T-shirts de leur concert en deux exemplaires dédicacés, comme ça je peux me la jouer dans la rue avec 3 T-shirts et garder les autres pour des occasions exceptionnelles, ils signent aussi mon CD et en dessous de leurs autographes, j'ai leur adresse msn, je ne l'utiliserai pas, car je n'ai pas à les ennuyer avec ma vie. Aiji veut m'embrasser sur la bouche (je reconnais bien la le Aiji de PIERROT), je l'arrête, je viens juste de vomir quand même, il comprend et il m'embrasse sur la joue droite, Maya sur la joue gauche. J'ai froid et je frissone, Maya pose sa veste sur mes épaules et Aiji se place derrière moi pour me serrer dans ses bras et me tenir chaud.

           Je rêve. C'est la paradis. C'est tout de que je réussis à penser dans le brouillard qui semble paraliser mon cerveau et l'empêcher de fonctionner. Je relève la tête et je souris à Aiji d'un air reconnaissant, j'ai bien chaud maintenant. J'entends vaguement les sirènes d'une ambulance, suivies d'un crissement de pneus et de pas précipités, des pompiers entrent dans la salle et se dirigent vers moi, je peux m'évanouir alors? Ma tête bascule sur l'épaule de Aiji et c'est le noir total.

 

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Je sens que je suis balloté de tous les côtés, j'enteds des gens quicourent autour de moi et des pas qui claquent sur le carrelage, je suis dans un hopital. Je le sais, mais je n'arive pa sà me réveiller, je suis trop fatigué.

D'un seul coup, le bruit et les ballotements s'arrêtent, je me retrouve dans un endroit plus calme, il y a une odeur qui m'entoure, une odeur très douce et apaisante. J'entends deux voix qui parlent en japonais. Je les connais bien ces voix la, Maya et Aiji sont la, c'est leurs odeurs que je sens. Je reconnais celle de Maya, parceque sa veste en était imprégnée, et je sais que l'autre odeur appartient à Aiji parceque je l'ai sentie lorsqu'il m'a prit dans ses bras. C'est étrange, mes oreilles bourdonnent, et pourtant, j'entends leurs voix très distinctement, mais je n'entends que ça. Quand à leurs odeurs, ce ne sont certainement pas les seules à sentir dans un hopital, pourtant c'est pareil, je ne sens que ça...

Je sens qu'on me porte en prenant soin de soutenir ma tête, je sens aussi qu'on me pose sur quelque chose de moelleux ou ma tête repose à son aise et me fait moins mal, un lit. Je sens les deux odeurs se rapprocher de moi et m'envelopper, comme dans un cocon de douceur, et moi qui avait froid, une agréable chaleur m'envahit, ensuite, je replonge dans le noir.

 

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Je suis réveillé par une violente lumière qui me fait mal aux yeux, même derrière mes paupières closes. Il me faut un peu de temps pour m'habituer. J'ouvre les yeux lorsque la douleur disparait, j'ai toujours l'impression d'avoir la tête dans du coton, mais au moins, j'arrive à réfléchir. Je sais très bien ce que j'ai, une  commotion cérébrale, vomissements et vertiges en sont les signes avant coureurs, mais putain, qu'est ce que ça fait mal!

Les odeurs de Maya et Aiji sont oujours très présentes autour de moi et la chaleur aussi, mais bizarrement, je ne peux pas bouger dans mon lit, quelque chose m'en empêche. Je tourne un peu la tête, aïe, putain, je vais pas guérir tout de suite moi. Je sursaute (au grand désespoir de mon pauvre cerveau), quelques millimètres de plus et je smackais Maya... Je sens son souffle chaud sur mon visage, il a la bouche légèrement entrouverte. Je tourne la tête de l'autre côté et elle se niche dans le cou de Aiji.

Ok, ça explique tout, ils ont dormi avec moi sur mon lit. Qu'est ce qu'ils font la? ils ne sont pas censés donner un concert à Toulouse ce soir? Ils ont du le retarder, en parlant de concert, j'éspère qu'ils n'ontpas eu froid, parcequ'ils ont dormis avec leurs vêtements de scène...

Je retourne la tête vers Maya, ses cheveux blonds spont épars sur son tiers d'oreiller, son maquillage à un peu coulé de ses yeux et plus aucun glosse ne fait briller ses lèvres rosées, mais même comme ça, il reste beau, regarder son visage calme et endormi me procure une douce sensation d'apaisement.

Je me retourne vers Aiji, son maquillage a coulé aussi, mais je ne crois pas qu'il ait mis quelque chose sur ses lèvres, ses cheveux rebelles et châtains sont également éparpillés, j'attends de les voirs tous les deux émerger, ils doivent être très mignons au réveil. Je les imagine très bien, le regard un peu flou, en train de se frotter les yeux en se demandant ou ils sont pour chasser les dernières vapeurs de sommeil...

Il fait encore sombre dehors, je ne sais pas quelle heure il est, mais le soleil ne doit pas être totalement levé, alors en attendant qu'ils se réveillent, je réfléchis.

Leurs baisers hier, m'ont éléctrisés, même dans l'état ou j'étais, leurs voix étaient les seuls son à parvenir à mes oreilles bourdonnantes et leurs odeurs étaient les seules à parvenir à mes narines, que ce soit dans la salle après ma blessure, ou dans cet hopital. Comme si Maya et Aiji étaient les seuls êtres à avoir de l'importance. DENKI aussi m'a serré dans ses bras, mais pourtant, son odeur n'est pas restée. Encore maintenant, les odeurs de Maya et de Aiji sont les seules que je peux sentir, alors que je devrais aussi sentir l'odeur de la lessive des draps, du désinfectant et des médicaments.

Je soupire douloureusement lorsque je comprends que finalement je les aimes, tous les deux. J'aime Maya et j'aime Aiji de toute mon âme et je souhaite ne jamais les quitter.

J'ai toujours su que j'étais homo, mais je me demande comment je vais leur dire ça. Maya et Aiji forment déja un si beau couple... Ils ne le montrent pas en public, et ça ne transparait pas pendant les lives ou dans les clips, mais hier, quand ils s'occupaient de moi, ils ont eu des regards, des gestes et une attitude qui ont fait que j'ai deviné. Ils sont ensemble, ça crève les yeux. Je pense qu'il vaut mieux que je leur dise, car ils vont sans doute vouloir que nous restions un minimum en contact, et si je leur cache et qu'ils viennent à l'apprendre, ils m'en voudront, et ça je ne le veux pas. Je leur dirais lorsqu'ils se réveilleront.

Pendant que je réfléchissait, la lumière s'est faite plus grande, mais je ne sais toujours pas quelle heure il est car j'ai perdu la notion du temps depuis longtemps. Après ce qui m'a semblé être une demie heure à peu près, ils se mettent un peu à bouger : Maya remonte un peu sa tête et incosciemment, il passe un bras sur mon torse, Aiji bouge un peu et marmonne dans son sommeil, il se sert un peu plus contre moi et cela me fait sourire. Je tourne la tête et je profite de cette occasion pour embrasser doucemment Maya sur ses lèvres si douce, à l'effet que ça me fait, c'est clair que je suis amoureux de lui, Aiji est trop haut, dommage.

Après ce que j'évalue comme dix minutes, ils s'éveillent, absolument pas gênés par leur position plus que rapprochée. Avec leurs cheveux en bataille et leurs regards perdus, ils sont exactement comme je me les imaginais : craquants.

D'une voix encore ensommeillées, Maya me demande si j'ai bien dormi, il se redresse et se frotte les yeux en étalant un peu plus son maquillage qu'il ne l'est déja, et Aiji fait à peu près pareil. Je réponds que j'ai bein dormi et je les laisse émerger tranquillement avant d'aborder un sujet qui me tient à coeur (même dans mauvais anglais) :

 

-Merci d'être restés.

-Urf, c'est bon, t'en fait pas, répond Maya, t'as failli te faire limite tuer hier.

-Faut pas exagerer quand même.

-Attends, tu t'es pris une commotion cérébrale pour avoir rammassé un collier, et encore, j'ai réussi à te sortir de la dessous assez rapidement, mais t'imagine ce que ces filles auraient pu te faire?

-Ouais, j'avoue, ça fait peur...

 

Je m'étonne de voir Maya me comprendre malgré mon anglais médiocre, mais il me comprends alors ça va. Aiji nous écoute silencieusement, j'ai pas envie de leur dire, mais il le faut bien, après une grande inspiration, je me lance :

 

-Il y a quelque chose qu'il faut que je vous dise...

 

Ils tournent la tête vers moi et me regardent.

 

-Déja, vous allez bien ensemble.

 

Ils se regardent et rougissent un peu.

 

-Tu as deviné? me demanda Aiji.

-Oui, c'était pas bien difficile, mais rassurez vous, ça ne se voit pas pas pendant les lives ou les clips, c'est juste que moi je suis un privilégié qui a pu vous voir ensemble, sans caméra ni public...

 

Ils me sourient et me remercient, je continue :

 

-Ensuite, il y a quelque chose que je veux que vous sachiez.... C'est un peu difficile à dire, et vous allez sans doute me prendre pour une stupide groupie pour laquelle il était inutile de s'inquieter, mais tant pis... Je vous aime... Tous les deux.

 

Ils me regardent avec des yeux ronds.

 

-Ne me regardez pas comme ça, je suis tombé amoureux de vous, c'est tout... Ces trucs qu'on raconte sur l'amour exclusif, c'est des conneries, on dit ça parcequ'on à jamais eu de preuves du contraire, ou alors je suis l'exception qui confirme la règle, j'en sais rien moi, j'ai jamis compris cette expression... Mais s'il y à une chose dont je suis sur, c'est que je vous aime, tous les deux et autant l'un que l'autre, je veux que vous le sachiez, c'est tout.

 

Après cette révélation, ils ne surent quoi répondre, et ils se montrèrent plus distants. Lorsqu'une infirmière vint m'apporter mon petit déjeuner, j'ai demandé à passer un coup de téléphone. J'appèle ma mère, elle doit flipper parceque je ne suis pas encore rentré, je lui explique ce qui s'est passé et ou je suis, elle arrive une demie heure après, complètement catastrophée.

Maya et Aiji sont partis peu de temps avant son arrivée, ils ont tous ls deux déposé un leger baiser sur mes lèvres, celui de Aiji était juste un peu plus long, c'est tout. Dès leur départ, la tristess m'a envahie, à un tel point que cela s'est vu sur mon visage et que ma mère s'en est inquietée. Je ne les reverrais sans doute jamais, je ne vais pas pouvoir garder pour moi tout ces sentiments, toute cette tristesse, toute cette solitude et tout ce mal être, ils sont à peine partis et ils me manquent déja, il ne me reste plus que leur souvenir et tous ces cadeaux qu'ils m'ont laissés.

Il faut à tout prix queje trouve un moyen d'exterioriser ces sentiments, ou ils finiront par me tuer... Après avoir longuement réfléchi, je dis :

 

-Maman, je voudrais faire de la danse.

Par kagura - Publié dans : Un plan à 3? Et pourquoi pas? - Communauté : Communauté gay
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Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 10:41

LM.C3-copie-2.jpg

 

 

 

Ca fait un bon moment que j'ai commencé la danse, enfin, ça fait trois ans, et maintenant, j'ai dix-huit ans. Je mets dans la danse toutes les émotions qui me font souffrir et que je veux évacuer : l'amour, le désir, la tristesse, l'impuissance à rendre heureux ceux que j'aime, l'éloignement et pleins d'autres sentiments. Tous ces sentiments que je cherche à rejeter font que je m'investis beaucoup dans la danse, donc en trois ans, j'ai fini par atteindre un excellent niveau. Parallèlement, mon niveau en cours a également augmenté, mais mois que ce qui était possible, car rejeter cette souffrance que j'ai en moi est pour moi quelque chose de plus important que mes cours. Mes parents s'en foutent, ils sont ravis de mes notes, car ils ne savent pas qu'elles pourraient être encore meilleures...

Souvent, je me demande pourquoi j'ai choisi la danse, la danse classique, de surcroit, pour exprimer mes sentiments, je peux réfléchir, réfléchir et réfléchir encore, je ne vois pas d'explication, c'est juste que c'est la danse qui me semblait être la discipline la plus apte à exprimer mes sentiments, c'est tout. D'ailleurs, ça marche, grâce à la danse, je souffre moins que ce que je devrais, enfin, je suppose... Chaque personne qui me regarde danser me dit que chacun des pas que je fais sur la scène est empreint d'une incroyable tristesse...

Nous répétons aujourd'hui pour un spectacle, nous bénéficions de la salle "le Transbordeur", ça me rappelle des souvenirs... A cause de mon "talent", je suis rapidement passé au niveau supérieur et j'ai laissé les débutants que je cotoyais lors demes premiers cours de danse depuis longtemps. Maintenant, je dans avec des gens d'un niveau plus élevé et c'est tout de même bien plus interessant.

Le moment de mon entrée sur scène arrive et j'enchaîne les pas de danse sous l'oeil attentif de mon professeur. La porte de la salle s'ouvre, mais je n'y prête pas attention, je ne dois pas me laisser déconcentrer par si peu de choses, et surtout, je dois être prêt pour le spectacle.

 

*************************************************************

 

PDV Maya :

 

On entre dans la salle de façon à peu près discrète, on nous a dit qu'un groupe de danseurs classique répète pour un spectacle, alors on essaye de pas trop déranger. On la connait cette salle, on a déja joué dedans, mais notre manager veut qu'on y retourne avant d'y jouer de nouveau. Je regarde le ballet un instant, j'aimerais bien savoir pourquoi Aiji regarde aussi fixement le danseur principal. Il doit avoir lu dans mes pensées; parcequ'il dit :

 

-Il a l'air si triste.

 

Il? Qui ça, il? Je le connais pas ce danseur moi >< Je regarde un pe mieux, si, je le connais. Adam. C'est vrai qu'il a l'air triste. Une tristesse qui semble être exprimée par chacun de ses pas de danse. Interieurement, je sais que nous sommes la cause de cette tristesse. La voix de Aiji me parvient au milieu de ma réflexion, chargée de sanglots.

 

-Dis Maya...

-Mmmh?

-Je t'aime, et tu vas peut être me haïr pour ça, mais...

-Oui?

-Eh bien... Même si il souffre maintenant, un jour, il finira bien par nous oublier et nous deviendrons des souvenirs, non?

-Oui...

-Ben... Toi, je ne sais pas, mais je ne veux pas devenir un souvenir...

 

Je réfléchis un instant à ce qu'il veut dire, je hoche doucement la tête en comprenant ce qu'il insinue. Je ne t'en veux pas Aiji, au final, je ressend la même chose... Il reprend.

 

-Ce qu'il disait sur l'amour qui n'est pas si exclusif, c'est peit être pas que des conneries...

 

Cette fois, il plaque lentement une main devant sa bouche et des larmes coulent sur son visage, je pose ma main sur sa joue et je le force à me regarder.

 

-On va le voir?

 

Il me regarde d'un air surpri avant de me faire signe que oui, lorsqu'il comprend que je ressens, finalement, la même chose que lui.

Nous attendons que la répétition soit finie avant de demander à quelqu'un si nous pouvons voir Adam, il gueule vers les coulisses.

 

-Adam, il y a deux types bizarres qui veulent te voir !

 

Hey, ta gueule bouffon, on comprend le français, j'te signale! Il a eu le temps de nous apprendre en 3 ans, même par correspondance, bon, on ne réussit toujours pas à prononcer cette foutue lettre entre le Q et le S, mais sinon, ça va, et puis nous, on lui a appris le japonais...

Adam apparait, encore en tenue de danseur, il nous regarde d'un air surpris avant de dire :

 

-Maya-sama, Aiji-sama, qu'est ce que vous faites la?

 

On se parle sur internet ou au téléphone depuis 3 ans et il nous appelle encore "sama", il est trop mignon. Aiji lui dit :

 

-Après tout ce temps, tu pourrais peut être nous appeler "san", non?

 

J'ajoute :

 

-Ou "chan".

 

Il me regarde d'un air amusé avant de dire :

 

-Mais au dernières nouvelles, nous ne sortons toujours pas ensemble.

 

Nous rougissons un peu Aiji et moi, mais nous éspérons que dans la pénombre, il ne l'a pas remarqué, enfin, pas maintenant. Il nous aime toujours, ça, nous en sommes surs, sinon il ne danserai pas avec une telle émotion.

 

-Justement, à propos de ça... Commence Aiji, je continue :

-On peut te parler une minute?

 

On l'entraine un peu plus loin dans la salle, la ou il fait plus sombre, Adam s'adosse contre un mur et demande :

 

-Qu'est ce qu'il y a?

 

Aiji se retourne vers moi et me regarde d'un air incertain, je lui souris pour lui faire comprendre qu'il peut y aller. Doucement, il rapproche sa tête de celle de Adam et il dépose ses lèvres sur les siennes. Peu à peu, il approfondit le baiser et sa langue va caresser celle de Adam. Il s'est fait prendre par surprise, il aimerait refuser, mais il a trop attendu ça pour résister. Je ne suis même pas jaloux, ni de lun, ni de l'autre, je sais que moi aussi, j'aurais droit aux baisers passionés de ce deux hommes. Adam me regarde d'un air désolé et une larme coule sur sa joue. Il me demande pardon pour ce qu'il fait, pour ne pas être capable de résister, et il répond avec empressement au baiser de Aiji, pendant que ce dernier l'enlace et glisse ses mains dans son dos et son cou.

Je n'ai jamais apprécié les "french fiss" comme on dit, en fait, je n'ai jamais éssayé, et j'ai toujours refusé que Aiji me "roule une pelle", lui qui faisait toujours ce genre de fanservice dans "PIERROT", il s'est retrouvé complètement désespéré lorsqu'il est arrivé dans LM.C et que je lui ai refusé ce genre de baisers. Mais peut être que maintenant je peux. Adam me regarde à nouveau, il se demande pourquoi je souris alors que les mains de Aiji se glissent sous son T-shirt. Il ne peut résister à la vague de plaisir qui le parcourt et ses yeux se ferment encore une fois.

Doucement, je viens l'embrasser dans le cou, léchant, mordillan sa peau. Il incline sa tête sur le côté et je descends dans son cou pour lui faire un suçon. Ses soupirs se font de plus en plus prononcés et le baiser avec Aiji se termine, il tourne sa tête vers moi et me regarde sans comprendre, c'est à mon tour de l'embrasser. Ses lèvres sont douces, chaudes, encore humides du baiser de Aiji. Avec lui, ce genre de baisers superficiels me convenait, mais avec Adam, j'aimerai goûter plus, connaitre plus. Il gémit lorsque Aiji passe à  nouveau les mains sous son T-shirt, ma langue demande timidement à accéder à sa bouche, j'ai jamais fait ça moi...

Il laisse ma langue rejoindre la sienne, et lorsqu'elles se touchent, je me demande comment est ce que j'ai pu vivre si longtemps avec aussi peu de sensations, ce baiser est si bon... il me procure tellement de sensations plus fortes et nouvelles, que je ne suis pas sur de pouvoir m'en passer.

Il gémit de nouveau lorsque la bouche et la langue de Aiji viennent remplacer ses mains, lorsque sa langue remonte le long de sa ligne abdominale et qu'il vient mordiller un de ses tétons durcis par le plaisir... Un gémissement des plus expréssifs s'échappe de sa bouche toujours collée à la mienne, je romps le baiser, Aiji cesse de suçoter ses tétons et le regarde en souriant.

Doucement, nous posons tous les deux une mains sur son sexe, il bande, et pas qu'un petit peu, il est même carrément dur... Toujours en souriant, Aiji et moi nous déposons un petit baiser sur ses lèvres, à trois, juste un baiser symbolique. Nous sommes très excités nous aussi, mais nous respirons mieux que lui. Il nous regarde et nous le regardons nous même, intensément, nous ésperons qu'ila comprit notre message. Il hoche la tête et il prends son portable dans son chausson de danse. Il écrit un SMS que nous lisons par dessus son épaule : "Maman, je rentrerai pas ce soir, bisous". Il l'envoie et il éteint son portable, il ne veux pas de réponse, et surtout pas de questions. Il se retourne vers nosus et il dit :

 

-Je vais me changer,... Ca va peut être prendre un peu de temps...

 

Nous sourions en lui faisant signe d'y aller. Se changer, d'accord, mais il a surtout besoin de se branler. Il disparait en coulisse pendant que Aiji et mloi, nous nous masturbons silencieusement dans la pénombre de la salle.

 

 

Bon, voila un petit lime, maintenant, le lemon, ben c'est dans une semaine...

Par kagura - Publié dans : Un plan à 3? Et pourquoi pas? - Communauté : Communauté gay
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Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 14:46

fruit basket yuki 

 

  fruitsbasket

Hey, j'ai demandé à une de mes amies de m'écrire une histoire sur deux persos de mangas que j'aime bien, Yuki et Ayame Soma du manga Fruit Basket, elle à écrit son histoire, donc je la met ici, pix : à gauche, Yuki, à droite, son frère Ayame, désolée, j'ai pas réussi à aligner les images, c'est pas ma faute si erog foire... commentez, je transmettrai.

 

*****************************************************************

 

 

Yuki monta dans sa chambre. Il n'avait guère envie de passer la soirée avec son frère. Ce dernier éclatait de rire pour un rien et, dès que Yuki avait le malheur de lui parler gentiment, Ayame en avertissait Hatori. « Quel imbécile ! », pensa le jeune homme. Leurs parents étaient partis pour le week end et, ne voulant pas le laisser seul (plus par crainte d'un bêtise que pour son propre bien-être), ils avaient demandé à Ayame de le garder. Enfin, ce choix leur avait plutôt été imposé. En effet, son grand frère, ayant appris la nouvelle, avait directement sauté sur l'occasion. Il voyait une chance inespérée de renouer un peu plus les liens brisés avec son petit frère chéri.

 

-Quel imbécile ! Répéta Yuki.

 

Il sortit ses devoirs de son sac et entreprit de se concentrer dessus. Mais le coeur n'y était pas. Et puis, il avait le temps. Cette réaction le surprit lui même. Il était d'habitude le premier à réaliser les travaux demandés et n'avait jamais repoussé un seul devoir au lendemain. Il mit cela sur le compte de l'énergumène déjanté qui s'agitait en bas.

Le dit énergumène débarrassait les vestiges de leur repas. Ce repas, il fallait en parler. Ayame s'était mis en tête de lui préparer un bon dîner. Enfin bon, il fallait le dire vite. Autant Ayame était doué pour la couture, autant la cuisine n'était pas son fort. Au moins, maintenant Yuki savait que c'était de famille. Il avait été néanmoins touché par cette attention mais ne l'avait pas dit pour ne pas risquer un nouvel appel à Hatori.

Yuki s'installa donc dans son lit. En entendant les pas de son frère, il éteignit vite fait la lumière, faignant de dormir profondément.

Mais le plus vieux n'était pas dupe. Il avait maintes et maintes fois grugé ses parents par la même méthode. Il s'avança alors tout doucement et s'assit sur le rebord du lit.

Yuki n'osait plus bouger. Il espérait que son aîné ne tarde pas à s'en aller.

Il entendit alors une voix murmurer à son oreille :

 

-Détends toi, petit frère …

 

Il sentit une main glisser sous la couverture. Il se redressa d'un bond et alluma vivement la lumière pour faire face à Ayame.

Une lueur étrange brillait dans les yeux ambrés de l'homme. Yuki savait son frère complètement atteint, mais là, il semblait animé d'une bizarrerie nouvelle.

Yuki sursauta en sentant la main de son frère glisser vers son pantalon, s'y introduire et commencer tout doucement à caresser sa virilité. Il sauta hors du lit, essayant de cacher la bosse qui grandissait douloureusement entre ses jambes.

 

-T'es … T'es malade !! Qu'est ce que tu fous ?!

 

Ayame le regarda, mi surpris, mi amusé.

 

-Mon cher petit frère, je sais qu'aucune fille ne t'a jamais touché. C'est à se demander si tu le fait toi même. Il faut bien que quelqu'un te fasse découvrir la pratique de la chose …

 

Yuki le regarda, étonné. Mais d'où tenait il tout ça ?

 

-T'es vraiment cinglé ! Dit il, exprimant à haute voix ses pensées.

 

Il entreprit de remettre en place ses vêtements, sous le regard du plus vieux. Un regard plein d'envie …

 

-Tu me laisses maintenant. J'ai mes devoirs à fai ...

 

D'un bond, Ayame plaqua Yuki sur le sol, au pied du lit. A califourchon sur lui, il chercha dans ses poches un ruban avec lequel il attacha solidement les poignets de son petit frère. Ce dernier se débattit mais le poids de son grand frère le clouait au sol.

 

-Arrête, imbécile ! Ar …

 

Il s'interrompit en sentant quelque chose effleurer ses lèvres. Ayame attendit qu'il se détende un peu pour bouger ses lèvres et transformer ce simple baiser en quelque chose de plus profond, de plus excitant, de plus intense. Ayame, sans casser le lien fragile crée par leurs lèvres jointes, entreprit de défaire les boutons de la chemise de Yuki. Le jeune homme se laissait faire. Il ne cherchait plus à lutter. Son aîné avait maintenant complètement dénudé son torse imberbe. Il lâcha ses lèvres pour venir s'attaquer à la peau lisse de la base du cou et mordilla doucement la jugulaire. Yuki ne pu retenir un cri de plaisir. La douceur dont faisait preuve son frère l'impressionnait. Il découvrait une facette de sa personnalité qu'il ignorait jusqu'alors. Un homme doux et plein de tendresse. Il savait que ce qu'il était en train de faire n'était pas ''normal'' mais il aimait ça. Ayame sourit. Ce gémissement l'encourageai à aller plus loin. Il quitta donc le cou parfumé pour venir titiller les tétons de son cadet. Il mordillait, léchait, suçotait ces petits bouts de chair qui durcissaient sous ses assauts. Il profita d'un moment où Yuki se cambra pour venir placer une de ses mains sous son dos. Il interrompit alors ses caresses linguales. Son regard ambré se posa dans celui d'un beau gris clair de son petit frère. Il cherchait dans cette immensité baignée de larmes l'autorisation de continuer.

Ne voyant aucune réaction, il fit glisser sa main le long des hanches fines, sur la peau diaphane, pour découvrir les jambes maigres de son petit frère. Celui ci ne bougeait toujours pas. Il ne se tortillait plus. Ses poignets étaient toujours attachés à un des pieds du lit.

 

-Yuki ? L'appella-t-il doucement.

 

L'argenté bougea enfin.

 

-Je suis toujours là. Dit il, inutilement.

 -Je sais bien. Je continue ou …

 

Yuki planta ses yeux couleur ciel d'orage sur son frère.

 

-Au point où nous en sommes, je ne penses pas que nous puisions faire machine arrière et puis … J'ai presque honte de l'avouer mais, j'ai envie que tu me fasses découvrir tous ces plaisirs. Parce que tu as raison. Personne ne m'a jamais touché. Alors le fait que ce soit toi qui le fasse le premier me répugnait au début mais … maintenant … maintenant j'en ai très envie.

 

Cette tirade laissa Ayame sans voix (ça change ^^). Il esquissa un doux sourire.

 

-Alors continuons ! Dit il de son air enjoué.

 

Yuki laissa sa tête retomber sur le sol, tandis que les mains d'Ayame s'affairait près de son intimité. Il aimait ce contact. Ces caresses qui irradiaient le bas de son ventre, brûlant sa peau et mettant chacun de ses sens en éveil.

Ayame entreprit de le préparer doucement en glissant un de ses longs doigts (les couturiers ont des doigts longs et fins) dans l'anneau de chair de son petit frère. Celui ci se cambra. Cette intrusion, bien que douce, l'incommodait. Gêne accentuée quand un deuxième doigt vint rejoindre le premier et que tout deux bougèrent à l'intérieur de lui. Il faillit crier à son frère d'arrêter, mais c'est un cri d'une toute autre sorte qui jaillit de sa bouche. Ayame venait de glisser le sexe de son cadet entre ses lèvres gourmandes et avides de procurer de nouvelles sensations. Les vas et viens combinés eurent bientôt raison de Yuki qui se libéra puissamment. Ce premier orgasme le laissait tout perdu. C'est en sentant la langue de son frère essuyer la semence sur son ventre qu'il redescendit peu à peu sur Terre.

 

-C'est … tout ce que tu as à m'apporter ? Demanda-t-il.

 -Eh bien, non. Mais cela risque de te blesser profondément et …

-Continue Ayame. S'il te plaît … Gémit Yuki.

 

Il hésita quelques instants, puis commença à retirer la lourde tunique qui l'habillait.

 

-Laisse moi faire … Enfin, si tu me détaches, bien sûr. Lui intima son cadet.

 

Le plus vieux détacha les liens qui maintenaient le jeune homme. Il n'en n'avait plus besoin. Yuki frotta ses poignets endoloris, puis reporta son attention sur son aîné.

Il procéda avec lui de la même façon qu'il avait agi. Il l'embrassa dans le cou. Son odeur lui rappela tant de souvenirs. Les larmes lui brouillèrent la vue. Ayame, sentant son trouble, le rallongea et termina de se dévêtir.

 

-Tu en ai absolument certain, Yuki ? Tu veux vraiment que ce soit moi qui …

-Me dépucèle ? Oui, c'est bien ce que je veux. Ma première fois n'est pas comme je l'imaginais mais elle me plaît comme ça.

 

Le plus jeune entoura les épaules de son frère et fourra son nez dans les longs cheveux blancs au parfum de thé vert.

Ayame le serra plus fort contre lui. Il écarta les jambes de Yuki et reprit ses mouvements digitals pour le préparer à accueillir quelque chose de bien plus gros que ses doigts fins de couturiers.

Il présenta justement son membre à l'entrée de l'antre vierge de toute pénétration et commença doucement à rentrer. Yuki bougea en gémissant. Cela lui faisait vraiment trop mal. Mais il se rendit compte qu'en entourant le bassin de son frère avec ses jambes, cela rendait la pénétration beaucoup moins douloureuse. Aya, attentif aux réactions du plus jeune, continua avec autant de tendresse son insertion. Quand il y fut tout à fait, il posa ses deux mains de chaque côté des hanches de Yuki et bougea lentement. Des larmes coulèrent sur les joues de son cadet. Il les essuya du bout de ses lèvres. Les vas et viens se firent plus prononcés. Les frottements de la peau du plus jeune sur la moquette lui laissèrent de vives marques rouges. Mais, il ne s'en rendit pas compte. Les brûlures de son corps étaient bien plus vivaces. Les cris de jouissance de l'un et de l'autre se mêlaient, entrecoupés du nom de chacun. Yuki s'accrochait à son frère pour ne pas perdre pied dans la réalité. Ses doigts s'emmêlaient dans les cheveux blancs. Les soupirs que poussaient Ayame à son oreille lui firent lâcher prise et il jouit sur le ventre de son frère. Celui ci ne tarda pas à le rejoindre, se déversant en lui.

Ayame bascula sur le côté, haletant. Yuki, quand à lui, reprenait tant bien que mal ses esprits. Cette seconde montée au sommet de la vague du plaisir l'avait encore plus renversé que la première. Il ignorait qu'un tel plaisir pouvait exister. Il était heureux de ne pas avoir du attendre pour y goûter. C'était si délicieux, ce mélange des corps, cette danse charnelle qui faisait voir milles et une étoiles et tutoyer les dieux de l'univers.

Ayame porta Yuki jusqu'à son lit. Il le glissa sous les couvertures et le rejoignit. Aussitôt, le cadet enserra le torse de son aîné et lova son nez dans le cou de son grand frère.

 

-Merci, Ayame. Murmura-t-il simplement.

-Autre chose ? Demanda ce dernier en souriant.

-Oui. Je t'interdis FORMELLEMENT d'en parler à Hatori ! Menaça Yuki.

 

Son frère émit un petit rire et l'attira contre lui.

 

-Ceci restera entre nous. Tu peux me faire confiance.

 

Le plus jeune, heureux et un peu groggy, se blottit entre les bras de ce grand frère qui l'avait tant marqué. Dans le bon sens cette fois ...

Ayame serra contre lui le corps nu de son petit frère et le regarda, attendri. Il passa sa main dans les courts cheveux gris et déposa un baiser sur son front. Puis il sombra peu à peu dans les bras de Morphée (ou plutôt de Yuki ^^), aidé par la chaleur des draps et de leurs corps enlacés.

 

 

Histoire écrite par Equinox.

Par kagura - Publié dans : histoires de mes amies - Communauté : Communauté gay
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Dimanche 24 octobre 7 24 /10 /Oct 14:04

LM.C4.jpg

 

 

 

Point de Vue Aiji :

 

Adam revient une demie heure plus tard et nous l'amenons à notre hotel, il ne dit pas un mot pendant tout le trajet, il doit flipper, le pauvre.

Arrivés dans la chambre, je me place derrière lui et je lui enlève doucement sa veste avant de l'enlacer et de respirer profondément son odeur. Je le caresse tendrement et mes mains passent sous son T-shirt, pour caresser sa peau douce et chaude, et malmener un peu ces deux grains de chair rosée, déja durcis par l'excitation et le plaisir à venir. Ses gémissements sont étouffés par la bouche de Maya qui s'est collée à la sienne, je devine que déja, leurs langues ont commencées à danser ensemble... Je suis un peu jaloux, Maya a toujours refusé que je l'embrasse comme ça, moi... Boarf, pas grave, j'y aurai droit plus tard. Je remonte lentement mes mains le long de son torse et je lui enlève son T-shirt, je me décolle légèrement de lui pour enlever le mien, puis, je me recolle à lui et je continue mes caresses. Je l'embrasse dans le cou et les mains de Maya viennent rejoindre les miennes sur le torse de Adam. L'espace d'un instant, il se fait plus entreprenant et il enlève son T-shirt à Maya, avant de se laisser faire à nouveau.

Ma main descend et passe la barrière de son pantalon peu serré pour aller caresser son membre dur à travers son boxer. La bouche de Maya descend également, elle mordille, suçotte et lèche chaque parcelle de peau qui lui est offerte et s'arrête à la ceinture. Ma main arrête ses caresses et j'enlève son pantalon à Adam. Je sens sa peau douce et chaude, tendue sur les muscles de son dos contre mon torse. Il sent que j'halète, il sait que je suis excité. Maya cesse ses caresses et il m'ouvre mon pantalon que j'enlève, je lui enlève le sien pendant que Adam est toujours entre nous. Maya remonte vers sa bouche et l'embrasse, nous nous serrons tous les deux contre lui, lui faisant ainsi sentir notre propre excitation. Il sent mon sexe érigé contre ses fesses et il sent le sexe de Maya contre son propre sexe. Maya m'embrasse, c'est l'occasion pour nous de serrer Adam un peu plus fort entre nous. Nos gémissements se perdent dans la pièce, mais ils sont à peine atténués par notre baiser, et ceux de Adam ne sont absolument pas contenus. Ma bouche se sépare de celle de Maya et ma main vient se glisser sous le boxer de Adam que j'enlève, pendant que Maya m'enlève le mien et que je lui enlève le sien de mon autre main.

Nous nous serrons à nouveau contre Adam, et cette fois, rien ne retient nos gémissements. Celui ou celle qui s'est aventuré à passer derrière notre porte à ce moment la à du entendre 3 voix crier à l'unisson leur plaisir.

Je surprends Adam à bouger contre moi pour que j'aille plus vite, lorsque je le sens glisser contre moi, je comprends que du liquide pré-séminal s'écoule déja de mon sexe, je ne jouirai pas qu'une fois ce soir...

Je m'aperçois que Maya est déja agenouillé devant Adam et qu'il lèche le bout de son sexe, tout en essayant désesperément de se masturber lentement. Il ne cesse de ralentir ses mouvements, parcequ'il sait que inconsciemment, il les accélère, je vois que je ne suis pas le seul dans cet état...

Je m'agenouille derrière Adam et j'écarte ses fesses, ma langue vient lubrifier cette étroite entrée vierge de toute pénétration, pendant que Maya lui fait une franche fellation.

Le changement de contact et de sensation a été brusque, devant comme derrière, Adam se cambre en gémissant avant de se pencher en avant et de s'appuyer sur les épaule de Maya. Ma langue continue son action, en s'introduisant à l'intérieur, toujours plus profond. Ses jambes tremblent, je passe un bras autour de sa taille pour le forcer à tenir debout. Une des mains de Maya passe entre les jambes de Adam et il introduit un de ses longs doigts de guitariste en lui, j'ajoute moi même un de mes doigts. Adam hurle lorsqu'il sent cette présence étrangère en lui, et il se cambre de nouveau, mais j'ai beau chercher, je n'arrive pas à déceler la moindre trace de douleur dans son hurlement. Il bouge, il se cambre, comme pour chasser nos doigts, mais il ne fait que les enfoncer un peu plus. Maya continue sa fellation et avale de plus en plus souvent. Je baisse mon regard, je vois du sperme couler entre ses doigts. Je ramène mon regard vers moi et je constate que mon propre sperme coule le long de mon sexe avant de couler au sol et de former une petite flaque blanche sur le tapise de l'hotel. C'est ce moment précis, pas vraiment l'orgasme, mais tou proche, ou le liquide pré-séminal se mêle au sperme sans que le sperme sorte vraiment. Que ce sois pour Adam, Maya, ou moi, l'orgasme est proche, très proche. Maya et moi, nous rajoutons chacun un doigt à l'intérieur de Adam, il se cambre à nouveau violement et Maya cesse de le sucer, le sperme de Adam coule sur le tapis.

Maya m'embrasse en plaçant sa main collante sur ma joue. Sa bouce a le goût sucré de la semence avalée. Lorsqu'il cesse de m'embrasser, il passe sa main sur mes lèvres et je lèche ses doigts recouvers de son sperme. Nous faisons bouger nos doigts à l'interieur de Adam et il se cambre encore, incapable de se retenir de hurler son plaisir. Maya et moi, nous plions nos doigts à l'intérieur de lui. Il sursaute, puis, il hurle, et il se cambre si violement que ses cheveux viennent presque effleurer ma joue. Il hurle, et nous demande de reccomencer, alors nous reccomençons. Un premier jet de sperme atterit sur la joue de Maya, il se jette sur le sexe de Adam et le prend violement en bouche, pour pouvoir avaler le reste. Il déglutit plusieurs fois avant de se retirer, et de venir m'embrasser, du sperme plein la bouche. J'avale tout ce qu'il me donne et je l'embrasse autant que je le peux, je lèche le sperme qu'il a sur la joue avant d'empoigner son sexe, pour le masturber avec violence, pendant que sa main s'active sur mon propre sexe.

Nous jouissons tous les deux d'une façon incroyablement puissante, c'est rare que nous jouissions à ce point. Pauvre tapis... Adam, que je ne maintient plus, tombe à genoux, nous bougeons nos doigts à l'intérieur de lui et il ne cesse de gémir, de s'agiter, de soupirer, nous n'avons pas à attendre longtemps avant de le voir à nouveau bander. C'est également le cas pour Maya et moi. Nous nous relevons et nous le forçons à se relever. Je regarde Maya, il sait ce que je vais faire. J'empoigne Adam par les hanches, et je le pénètre violement, il hurle, et il retombe à genoux. Je l'accompoagne dans sa chute et je me mets à bouger en lui. Il bouge en rythme, pour que je m'enfonce plus profondément en lui, chacun de ses mouvements me fait gémir, et à chaque à coup, je le fait hurler. Les yeux de Adam se ferment et il se mord la lèvre jusqu'au sang, pour s'empêcher de crier trop fort. Lorsqu'il rouvre les yeux, il voit Maya qui nous regarde avec envie. Sans plus attendre, il saisit Maya par les cuisses et il l'attire à lui pour le sucer incroyablement bien. Maya crie, sa respiration se fait erratique et il s'appuis sur les épaules de Adam pour ne pas tomber. La vitesse des mouvements de Adam s'accorde avec celle de mes propres mouvements, il a bien compris ce que Maya aime. Adam s'accroche aux cuisses de Maya pour ne pas s'affaler sur le som, mais Maya a bien du mal à tenir debout lui même...

Mes mouvements s'accélèrent et ceux de Adam aussi. De nous tous, Maya est celui qui crie le plus fort, mais il faut dire qu'on entend pas Adam, il a la bouche pleine... Je ne suis pas en reste non plus, je suis persuadé qu'on m'entend depuis le couloir... J'ai un mouvement plus fort que les autres et que je ne peux pas contrôler, et c'est dans un sursaut de plaisir que je jouis à l'intérieur de Adam pendant que Maya jouit dans sa bouche. Ses jambes le lâchent, Adam le rattrape dans sa chute et l'embrasse, pendant que je reprend mon souffle, à moitié avachi sur lui. Je me retire et je m'affale à côté de Maya, qui s'est allongé sur le sol, Adam est de l'autre côté de lui. Le regard un peu perdu, il dit :

 

-Il faudra que j'essaye avec toi Maya.

 

Maya met un peu de temps à reprendre son souffle avant de répondre :

 

-Bah, branle moi et ça marche.

-Ok. répond Adam.

 

Il empoigne le sexe de Maya et il commence un lent mouvement de va et viens, il sait qu'après autant d'activité, le sexe de Maya doit être douloureux, alors ses mouvements sont calmes, ce qu'il fait est plus un massage pour faire passer la douleur et le remettre d'attaque, qu'autre chose... Après quelques minutes de ce traitement, Maya se remet à haleter, et son sexe à durcir, Adam achève de le faire bander avec une nouvelle fellation.

Rien que de les regarder, ça m'a excité, et Adam bande à nouveau lui aussi. Maya n'a pas l'air en état de se relever, alors Adam lui dit de rester couché. Il se soulève et s'assoit doucement sur les hanches de Maya, se laissant ainsi lentement pénetrer par son sexe érigé. Il pousse un leger gémissement et Maya se combre un peu. Lorsqu'il couchait avec moi, il était rare que Maya soit seme, même de cette manière.

 

-Fait moi bouger. demanda Adam à Maya.

 

Il n'eut pas besoin de le répeter, Maya saisit Adam par les cuisses et lui imposa un rythme aussi brutl et violent que le lui permettait son état de fatigue avancé. Adam aussi est beaucoup moins énergique qu'avant.

Moi, je les regarde, toujours allongé à côté d'eux et mon érection commence à devenir franchement douloureuse... Je me lève et jeme place devant Adam, mes pieds de chaque côté de la tête de Maya. Ils ne retiennent ni l'un, ni l'autre, leurs gémissements de plaisir. Adam comprend ce que je veux et il attrape mon sexe entre ses lèvre, il me fait avancer pour avoir une meilleure prise, il faut dire qu'il se fait toujours baiser par Maya, la...

Putain, j'arrive pas à croire qu'il ait si peu d'entrainement, sa bouche englobe mon sexe tout entier et il utilise sa langue incroyablement bien... Il me fait facilement gémir et soupirer pendant qu'il accorde obligatoirement son rythme sur celui de Maya. Je sursaute lorsqu'il mordille mon gland. Putain. Il lui faut un piercing à la langue à ce gosse. Encore quelques coups comme ça et je ne tiens plus, je jouis dans sa bouche dans un hurlement de plaisir. Il avale le tout et j'entends Maya pousser lui aussi un cri de plaisir avant de jouis à l'interieur de Adam, qui jouit, lui aussi, sur le torse de Maya... Je me penche sur Maya et je lèche le sperme qui a giclé sur lui, Adam se retire, et comme la première fois, nous reprenons notre souffle, allongés sur le sol et côte à côte, nous avons tout juste la force de nous glisser tous les trois dans le lit, haletants, en sueur et collants de sperme...

 

************************************************************************************************************************************

 

Point de Vue Adam :

 

Aïe, dur le réveil, en plus j'ai mal au c**... J'ai à nouveau dormi entre Maya et Aiji, sauf que cette fois, je ne suis pas à l'hopital, que nous sommes tous les trois complètement nus et qu'ils ont tous les deux possessivement passé un bras autour de mon torse, pour me tenir étroitement serré contre eux...

Je regarde l'heure sur ma montre, il est 11h30, j'ai raté une matinée de cours moi. Ah, non, c'est vrai, on est samedi, dommage... J'attends qu'ils se réveillent et j'ai le plaisir (et la surprise) de les entendre me dire presque à l'unisson :

 

-Salut Adam, bien dormi mon ange (de Aiji)/ mon coeur (de Maya).

 

Avec un sourire, je réponds que oui, Aiji se serre un peu plus contre moi en disant :

 

-Je t'aime Adam, toi aussi Maya, t'inquiète pas.

 

Maya répond :

 

-Moi aussi je t'aime Aiji, et toi aussi Adam.

 

Je réponds en riant que moi aussi, je les aimes tous les deux, ensuite, je me lève, bien que je n'en ai pas envie, et j'attrape mon portable. Eteint, il n'a pas pris les appels en abscence, tant mieux, ça évite à ma mère de me faire chier dès le matin. J'entends Maya et Aiji qui discutent derrière moi, lorsque je me retourne, ils relèvent la tête et disent ensemble :

 

-Adam, on t'engage pour danser dans nos clips avec DENKI-MAN, comme ça tu rentre avec nous...

 

Je réflechis, bon, je vais peut être arrêter mes études moi...

 

 

Par kagura - Publié dans : Un plan à 3? Et pourquoi pas? - Communauté : Communauté gay
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Vendredi 29 octobre 5 29 /10 /Oct 10:49

tokio-hotel-next.jpg

 

 

 

 

Un petit One Shot parceque j'ai rien d'autre à vous mettre, le PDV XXX est évidemment, le point de vue de l'inconnu...(même si je me doute bien que vous avez deviné qui c'est^^) Les modification par rapport au scénario original de l'émission on normalement disparues à la réédriture, mais si vous relevez des trucs qui clochent, dites le moi^^

  

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J'attends dans le bus avec 4 autres garçons. Je suis venu pour mon travail aux Etats-Unis, et je participe à cette émission suite à un pari. Les autres garçons et moi, nous participons à l'émission NEXT, donc nous sommes 5 à avoir été choisis selon certains critères qui correspondent à la personne que nous devons rencontrer. Le temps que nous passerons avec cette personne nous sera comptabilisé en dollars à raison de une minute = un dollar. Si nous plaisons à cette personne, elle nous laissera le choix entra ne rien gagner et accepter un deuxième rendez-vous, ou partir en prenant l'argent. Après les présentations, j'observe un peu mieux les gens : il y a Anthony, un noir avec des tresses, habillé streatwear avec une boucle d'oreille en faux diamant. Mark, un brun aux cheveux un peu long et aux yeux presque dorés tant ils sont ambrés, sous son T-shirt noir moulant, il semble assez maigre. Johnson, blond platine aux yeux bleus avec une mèche ramenée sur le devant pour cacher son oeil droit et qu'il n'arrête pas de remettre en place. Il est mignon avec son jean slim trop grand et son T-shirt blanc, mais il est un peu trop éffeminé à mon goût. Il reste Andrew, il a la peau très pale et des yeux gris, avec des cheveux blonds coupés très court, il porte un marcel blanc avec -pour lui aussi- un jean. Tous sont en jean en fait, sauf moi, je porte un pantalon de cuir noir opaque, moulant, mais pas trop, avec un T-shirt noir sans manches, lui aussi un peu moulant. Mes cheveux noirs coupé court sont hérissés en pics et mes yeux sont marrons avec de petites paillettes dorées. On crève tous de faim, mais on est potentiellement censés prendre un repas avec la personne que nous devons rencontrer, donc ils nous ont dit de venir à jeun, et ça fout bien la rage à ceux qui se font dégager... On attend depuis un petit moment quand un gars du staf entre pour nous brieffer :

 

-Ok les gars, il y à un truc qu'il faut qu'on vous dise. Ce Next sera un peu particulier, car le gars que vous devez rencontrer est un peu célèbre, donc l'émission est légerement modifiée : au lieu d'avoir une activité et un repas, vous aurez deux activités et un repas, c'est juste ça, maintenant, préparez vous à y aller.

 

C'est Andrew qui y  va en premier en se foutant de nous, on verra bien si il tient.

 

PDV XXX : C'est quoi ça?

 

-Oh mon Dieu! Les vampires en marcel blanc, très peu pour moi. NEXT !

 

Il s'en va en me faisant un doigt d'honneur et remonte dans le bus, pfiou, heureusement j'y ai échappé.

 

PDV Adam (ben oui, qui d'autre^^) : Andrew revient, il s'est fait un dollar, c'est vachement utile, même pas de quoi s'acheter un sandwich...

 

-Les mecs, il m'a viré tellement vite que j'ai même pas eu le temps de le voir, mais il a l'air moche, dit il, Anthony c'est à toi.

 

Anthony descend, de nous tous, c'est, de mon point de vue, le plus moche ici, alors on verra bien ce que ce gars en pensera.

 

PDV XXX : Je le laisse faire quelques pas, histoire d'être sur, mais c'est bien ce que je pensais, il est moche, autant le lui dire tout de suite.

 

-Bon, sur mon frère, les tresses et les fringues de rappeur, c'est sexy, mais sur toi c'est affreux, NEXT !

-Putain, mais j'ai même pas eu le temps d'arriver !

 

Il s'en va et retourne dans le bus.

 

PDV Adam : Anthony revient en disant :

 

-Les gars, ce minet a l'air super moche, et si il est célèbre, ben moi je le connais pas. Johnson, fous le camp, c'est à toi.

 

Johnson sort en disant :

 

-Je reviendrais sans doute pas les gars.

 

Mouais, c'est ce qu'on verra.

 

PDV XXX : Merde, c'est pas vrai, ils m'ont envoyé une fille ces cons !

 

-Bon, t'es mignon, mais t'es encore plus féminin que moi, donc ça va pas le faire, NEXT !

 

PDV Johnson : Ce mec est vraiment un con, plus féminin que lui,  c'est pas possible, je me tire sans dire un mot, je ne m'étais même pas arrêté de marcher.

 

PDV Adam : Johnson revient en disant que ce mec ressemble à une fille, c'est à Mark d'y aller.

 

PDV XXX : Ah, enfin quelqu'un de pas trop moche, c'est pas trop tôt. Il s'avance et me serre la main.

 

-Salut, je m'appelle Mark.

-Bill, enchanté, ça te dit d'aller faire un tour?

-Ok.

 

Je le prends par la taille, ce qui ne semble pas lui déplaire, et je l'emmène un peu plus loin, je m'arrête devant une boutique de tatoueur.

 

PDV Mark : Il est plutôt mignon je trouve, mais c'est vrai que je le connais pas... Il me propose d'aller faire un tour et il me prend par la taille pour pouvoir m'emmener la ou il veut. Putain, c'est quoi cette boutique de tatoueur?

 

-Bon, aujourd'hui, je veux que tu te fasse tatouer, ça te va?

 

Quoi? Nan mais il a fumé la !

 

-Tu rigole, je vais pas me faire tatouer pour tes beaux yeux !

-Eh bah si mes beaux yeux ne te suffisent pas, tu dégage; NEXT !

-Ca m'arrange, de toutes façons, t'est tellement célèbre, que j'ai jamais entendu parler de toi, merci pour la thune !

 

Je dégage et je remonte dans le bus.

 

PDV Adam : Il revient déja?

 

-Les mecs, je me suis fait 8 dollars pour rencontrer une fille ! Adam, vas y, c'est à toi.

 

J'ai demandé à ceux qui l'ont vu, même de loin de me le décrire, apparement, il est brun avec les cheveux ébouriffés, avec du vernis noir et du maquillage noir, et il est soi-disant inconnu au bataillon des célebrité, je verrais bien, je suis un peu inquiet quand je descend du bus... Il est devant une boutique de tatoueur, je rêve, Bill Kaulitz ! D'accord, les Tokio Hotel ne sont pas très connus aux Etats-Unis, mais quand même..! Je serre sa main qu'il me tend.

 

-Salut, je m'appelle Bill.

 

Ca, j'avais deviné.

 

-Adam.

-Bon, comme t'es mignon, tu vas peut être pouvoir rester un peu, enfin, si t'es gentil.

 

je souris, j'ai l'impression d'être un clébard, la...

 

PDV Bill : Pas mal, j'adore son fut' en cuir, il réussi l'exploit d'être sexy tout en étant habillé sobrement, j'adore.

 

-Bon, ça te dit de te faire un tatouage?

 

PDV Adam : Je réfléchis une seconde, je vais me faire engueuler, mais je pense que ça en vaut la peine...

 

-Ok, d'accord.

-Super.

 

nous rentrons à l'interieur de la boutique, il me demande :

 

-Tu veux quoi comme tatouage?

-Aucune idée, tu choisis le dessin et l'endroit?

-Ok.

 

PDV Bill : Décidement, ce gosse me plait. Je prend plusieurs dessins déja prêts, j'en choisis un et je lui tends.

 

-Cette étoile, sur l'aine, à droite.

 

PDV Adam : Son tatouage à lui, hein? J'aurais du m'en douter.

 

-Ok, je vais me faire engueuler, mais ok.

-Pourquoi tu te ferais engueuler?

-Je suis mannequin.

 

PDV Bill : Un mannequin, hein? On va bien voir.

 

-C'est vrai? Dans quelle branche?

-Dans l'érotisme et le porno gay, dans la pub aussi, à l'occasion.

 

Je lui fait un sourire pervers.

 

-Sans dec'?

 

Il s'apprêtait à répondre, lorsque le tatoueur entra et nous interrompit.

 

-Alors, vous avez choisi?

 

Je répond pour Adam et je lui parle de l'étoile, le tatoueur répond.

 

-Dans ce cas, vous allez être obligé d'enlever votre pantalon et vos sous-vêtements, et le T-shirt risque de me gêner. Je vais sortir le temps que vous vous prépariez, je vous laisse une serviette ici.

 

Il sort.

 

-Je vais sortir aussi.

-Pourquoi? T'as trop peur d'apprécier ce que tu va voir?

 

Gagné.

 

PDV Adam : Andouille, tu crois que j'ai pas compris ton petit jeu pour me foutre à poil? Je me place face à lui et je commence par enlever mon T-shirt, lui dévoilant ainsi mon torse fin de mannequin. J'enlève ensuite mon pantalon, queje pose lentement sur une chaise derrière moi, lui laissant ainsi le loisir de détailler mon postérieur à son aise. Pour finir, j'enlève mon caleçon en me plaçant face à lui, sans aucune pudeur. Je m'appuie contre la table du tatoueur, pour le laisser me mater tant qu'il le veut. A en juger par son petit sourire, ce qu'il voit ne lui déplait pas.

 

PDV Bill : Ok, il est mannequin... Le tatoueur entre, Adam prend la serviette pour se cacher et s'allonge sur la table. Le tatouage dur plus d'une heure, il à déja gagné plus de 60 dollars s'il le veut.

 

PDV Adam : Le tatouage est enfin fini, j'aurais jamais pensé que ça durerait si longtemps, c'est mon premier tatouage... Et je l'aime bien. Je me redresse et je m'adresse à lui en allemand :

 

-Tu voulais me marquer à vie, Bill?

 

Il semble interloqué :

 

-Tu... Me connais?

-Bien sur, je suis même allé te voir en concert, à Lyon, en 2010, vous nous avez fait poireauter jusqu'à 21h avant de commencer.

-Ah, ouais, je me souviens... Je me demandais d'ou te venais ton accent lorsque tu parlais anglais, maintenant je sais, tu es français... Ca tombe bien que tu me connaisse en fait, ce sera plus facile comme ça, pour la deuxième activité... Reste à savoir si tu nous connais vraiment, je verrais bien, si tu es plutôt du genre fan ou groupie, je veux dire.

-Ne m'insulte pas s'il te plait, si j'étais une groupie, je me serais mis à pleurer ou à hurler pour te demander un autographe, je ne suis pas comme ça moi, je respecte les gens...

-C'est vrai, excuse moi, mais j'avoue que ça m'étonne de trouver un fan, garçon et de ton âge...

-Bon, ok, je suis gay, mais ça veut rien dire ça, j'aime votre musique et c'est tout.

-Parfait, de toutes façons, je vais pouvoir vérifier... Tu viens?

-Ok.

 

Je lui emboite le pas et il m'emmène dans un studio d'enregistrement, la, je reste en bug devant les Tokio Hotel au grand complet.

 

- Bon, apparement, tu nous connais, mais au cas ou, voici mon jumeau, Tom, ainsi que Gustav et Georg, les gars, je vous présente Adam.

 

Ils me saluent tous les trois et je les salue à mon tour, j'ai un peu de mal, j'avoue, à me retrouver en leur présence, mais après tout, ce en sont que des hommes... Bill dit :

 

-Ok, on va commencer, en fait, c'est très simple, ils vont jouer des chansons de notre groupe et tu devras dire leur nom, ça marche?

 

Je les connais toutes par coeur, alors ça devrait aller.

 

-Ok.

 

Ils commencent à jouer, je suppose qu'ils le font au synthé pour ne pas trop me donner d'indices, mais c'est raté, je reconnais "Schrei" aux premières notes. Vient ensuite "Durch den monsun", classique, ils essayent ensuite de me paumer avec "Jung und nicht mehr jungendfrei" et "Heilig", raté. Ils jouent ensuite "Komm", "Übers ende der Welt", "Schwarz", "Stich ins Glück", "Freunde bleiben", "Lass uns ihr raus", "Totgeliebt" et "Vergessen kinder", Bill finit par dire :

 

-Ok, tu nous connais bien, ils n'ont même pas fait trois notes que tu nous donne le nom de la chanson alors je pense qu'on peux dire que ça va, on va passer à la suite.

-D'accord.

 

Je dis au revoir au TH et je le suis, il m'emmène sur une pelouse ou son disposés un table basse avec des tatamis, de la nourriture japonaise et des kimonos, il m'habille d'un Yukata (nous sommes en été et il fait chaud), nous nous agenouillons devant le table basse et nous commençons à manger sushis, makis et brochettes. Comme dans chaque émission, le repas est un moment propice à un interrogatoire :

 

-Bon, t'es mannequin, je te crois, mais t'as quel âge?

-19 ans.

-Ok, d'accord, et si je te demander de me dire quelque chose de honteux sur toi, tu me dirais quoi?

-Ce n'est pas vraiment quelque chose que je considère comme honteux, mais beaucoup de gens en rient... J'ai pour principe de ne pas embrasser quelqu'un et de ne pas sortir avec quelqu'un tant que je ne suis pas amoureux, et coucher, encore moins. Et comme je ne suis jamais tombé amoureux de qui que ce soit, eh bien, je n'ai jamais embrassé et je n'ai aucune experience dans le domaine du sexe, ou même des relations amoureuses...

-C'est vrai qu'à 19 ans, c'est un peu étonnant, mais je ne trouve pas ça particulièrement honteux, je suis un peu pareil, même si c'est vrai que j'ai un peu  plus d'experience... C'est justement à cause d'une mauvaise experience, que j'ai decidé de devenir comme ça en fait?

-Mauvaise nuit?

-Moui, le classique quoi, je sus tombé raide devant un gars, qui ne s'interessait à moi que pour mon cul et mon argent, heureusement que je m'en suis rendu compte rapidement, sinon j'aurais été plus blessé que ça... Passons, si je te demandais de m'embrasser la, tu le ferais?

-Oui, mais tu devrais jouer les profs.

-Et pourquoi tu le ferais?

 

Je me sens rougir la, c'est bien la première fois.

 

-Parceque je suis en train de tomber amoureux.

 

Il semble surpris.

 

-C'est vrai?

 

Son regard s'adoucit.

 

-C'est trop mignon, vient par la.

 

PDV Bill : Il est craquant ce gosse, je l'adore ! Je ne l'imaginais pas aussi naif sur le plan sexe, il dégage une sorte de charme un peu sauvage... Qu'il soit vierge, à la limite, à 19 ans, je peux comprendre, mais je ne pensais pas qu'il n'aurait jamais embrassé... Je pose une mains sur sa  joue et je rapproche mon visage du sien, je pose doucement mes lèvres sur les siennes... 19 ans, c'est peut être un peu jeune, mais j'avoue que la, maintenant, tout de suite, j'en ai un peu rien à foutre... Ses lèvres sont douces, ça faisait bien 15 minutes que j'avais envie de faire ça, je suis vraiment en train de craquer sur ce gamin... Je glisse ma langue sur ses lèvre et il entrouvre la bouche, ma langue se glisse à l'interieur et guide la sienne. Il est un peu timide, mais pour quelqun qui n'à jamais embrassé, il le fait plutôt bien... Nous nous séparons, il a les lèvres un peu rougies par notre échange et son souffle est un peu court. Il me regarde avec des yeux brillants, d'un air un peu embarassé, je craque, j'en peux plus, c'est vraiment lui que je veux... Je respire un bon coup et je dit :

 

-Bon, j'ai beaucoup apprecié le temps qu'on a passé ensemble, et en plus, t'embrasse plutôt bien pour un débutant, tu a passé 92 minutes avec moi, donc tu as le choix : partir avec tes 92 dollars ou ne rien gagner et rester avec moi.

 

PDV Adam : La, je sais que les caméras doivent être en train de faire un gros zoom sur ma gueule avec arrêt sur image pour symboliser ma "déliberation interieure", mais ce n'est pas la peine, c'est déja tout choisi.

 

-Je crois que je vais accepter le deuxième rendez vous.

 

 

 

tokio hotel next2

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 09:55

LM.C-French-Kiss.jpg

 

 

 

-Putain Maya ! Arrête toi !

 

Une demie-heure. Ca va bientôt faire une demie heure, que le guitariste de LM.C coure après le chanteur, une demie heure de galopades à sauter par dessus la table basse et le canapé. C'est qu'ils sont souples ces petits d'hommes....

 

-Putain Maya j'en peux plus !

 

Ce fut uniquement lorsque Aiji se vautra lamentablement par dessus le canapé, que Maya daigna s'arrêter. Il s'approcha prudemment de son amant pour vérifer qu'il ne s'était pas fait trop mal, et il s'écarta brusquement lorsque Aiji chercha à l'attraper par le pied. Maya fila s'enfermer dans la douche avant qu'il se soit relevé. La raison de ce foutoir? C'est très simple, Maya et Aiji sortent ensemble depuis presque la création du groupe. Jusque la, pas de problème, mais Aiji vient du groupe PIERROT, dans lequel il était réputé pour ses fans services, et notamment pour ses "french kiss", et il cherche désespérément à convertir Maya à ces baisers. Baisers que, en bon japonais (et non français), il refuse et s'obstine à refuser.

Maya et Aiji étant tous les deux de vrais gamins ( 31 et 36 ans), cette histoire n'est pa sdevenue un sujet de dispute, mais d'amusement : Aiji coure après Maya dans tout leur appartement et cherche à le coincer pour lui rouler une pelle, il arrive à le coincer de temps en temps, mais generalement, Maya refuse de laisser Aiji acceder à sa bouche. Les rares fois ou le guitariste a réussi à introduire sa langue dans la bouche du chanteur, il s'est fait mordre...

Aiji se mit à attendre devant la porte de la salle de bain que Maya sorte, en se massant le pied, il s'est fait un peu mal quand même... Mais c'est plus fort que lui, Aiji serait prêt à donner dix ans e sa vie pour pouvoir donner un vrai baiser à ce petit blond pour qui son coeur se gonfle de bonheur et d'amour à chaque caresse qu'il lui donne...

La porte de la salle de bain s'entrouvrit prudemment et une petite tête blonde passa dans l'encadrement de la porte, pour regarder le guitariste d'un air moqueur, Maya avait prévu le coup.

Aiji poussa un soupir et se retira dans la chambre qu'il partageait avec Maya, le temps que celui ci s'habille.

Maya regarda Aiji partir et referma la porte de la salle de bain, tout en s'habillant, il se mit à réfléchir.

Ca fait déja un bon moment que ce genre d'embrouille se produit, ils s'amusent bien, mais peut être qu'il devrait laisser Aiji faire, ce n'est peut être pas si mal après tout... Mais c'est tellement... Ecoeurant. L'idée même d'avoir la alngue de quelqun d'autre dans la bouche le dégoûte. Maya haussa les épaules et sortit de la salle de bain, non, sauf cas de force majeure, ce n'est pas aujourd'hui qu'il acceptera un "french kiss". N'ayant rien à faire d'autre, il alla rejoindre Aiji dans la chambre. Aiji était allongé sur le lit et regardait le plafond, sans relever les yeux, il dit :

 

-Si tu veux vraiment que j'arrête, alors j'arrêterai, mais j'aurais aimé que tu essaye au moins un fois...

 

Maya fit la moue, non, ça ne le tentais pas plus que ça. Aiji se redressa légèrement.

 

-Tu ne veux vraiment pas essayer, hein?

-Bah, si je pouvais éviter...

-S'il te plait Maya, juste une fois... Juste une fois et, si ça ne te plait pas, alors j'arrête.

 

Maya soupira. Il n'aime pas vois Aiji comme ça, et la, c'est soit il accepte, soit Aiji déprime, donc, c'est un cas de force majeure, et puis, dans ces conditions, il peut bien accepter, non? Aiji avait gagné, Maya s'avouait vaincu. Maya s'assit sur le lit aux côtés de Aiji et Aiji se redressa entièrement. Il posa sa main chaude sur le joue de Maya et le regarda tendrement. Il posa doucement ses lèvres sur les siennes. Lorsque Maya sentit la langue de Aiji caresser ses lèvres, c'est avec un peu de réticence qu'il ouvrit la bouche. Mais lorsqu'il sentit la langue de Aiji venir guider la sienne et jouer avec elle, Maya sut que plus jamais il ne pourra se passer de ses baisers. Plus jamais il ne pourra se passer du goût de Aiji, encore moins de cette sensation si délicieuse qui lui était procurée en cet instant...

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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