One Shot

Samedi 5 juin 6 05 /06 /Juin 11:17

Otomen: homme qui aime les choses mignones, les peluches, les doudous, le rose, les robes, etc... au Japon, considéré comme honteux et évidemment synonyme d'homosexualité.

 

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 moi-dix-mois2.jpg

Au fond, Sugiya, Hayato. Devant, Seth, Mana et K. J'ai cherché à vous mettre une musique (pas de clip, vous les regardez pas et en plus ils en font pas) que vous pourriez écouter pendant la lecture, mais deezer ne connait pas-_-"

 

 

 

 

-Putain Mana, j'en ai marre!! Dis moi ce qui ne vas pas, qu'est ce que tu me cache? Pourquoi est ce que tu ne veux pas que j'entre chez toi!?

-Parceque Seth, je t'en prie, pardonne moi, mais ne me force pas...

 

Un an et demi. Voila un an et demi que Seth, vocaliste de Moi-dix-mois sort avec Mana, le leader, guitariste et fondateur du groupe. Voila un an et demi que Mana refuse à Seth l'accès à sa chambre, si il leur prend l'envie de faire l'amour, c'est toujours dans la chambre du chanteur. Personne n'est jamais entré dans la chambre de Mana, à part Mana lui même. Tous les autres membres du groupe, que ce soit K, le guitariste qui officie également en "death voice", seul membre qui reste de la précédente formation, Sugiya le bassite ou Hayato le batteur, tous ont de cette chambre l'image d'une porte hermetiquement close, qui ne s'ouvre que pour laisser le passage à son occupant. Cette porte se referme aussitôt, à clé. Les autres membres du groupe sont au courant de la relation entretenue par Seth et Mana et cela ne les gêne absolument pas, leur passe temps favoris est même de les filmer en cachette lorsqu'ils sont en train de faire l'amour. Au début, la relation des deux hommes était parfaite, ils s'aimaient et rien ne pouvait leur faire plus plaisir, mais petit à petit, cette chambre est devenue un sujet de dispute pour le couple. Aujourd'hui, Seth, éxcedé par les enfantillages de Mana remettais cette histoire sur le tapis. Il attendit que Mana soit sortit pour le prendre à part.

 

-Ecoute Mana, j'en ai marre de cette situation, j'ai l'impression que tu ne me fais pas confiance et ça me fait mal. Moi, depuis le début je ne te cache rien, mais toi, tu t'obstine à me cacher des choses et ça me blesse, donc puisque apparement tu me fait aussi peu confiance, ne pense tu pas qu'il vaudrait mieux rompre? Tu te trouveras rapidement quelqun d'autre, peut être que tu as d'ailleurs, déja trouvé.... 

 

Mana, piqué au vif par les paroles de Seth, le gifla violement. Les larmes montèrent immédiatement à ses yeux, tant à cause de son geste, qu'à cause des insinuations de son amant, comment Seht pouvait il douter de lui? Il l'empoigna par le bras et le mena à sa chambre, il enleva la clé qu'il portait autour du cou et dévérouilla la porte. Mana fit signe à Seth d'entrer. Celui ci, encore secoué par le geste de Mana qui n'avait jusqu'ici, jamais fait preuve de violence, demanda d'une petite voix.

 

-Je peux?

 

Mana répondit brièvement par l'affirmative. Seth posa une main tremblante sur la poignée et ouvrit la porte, il resta abasourdi par ce qu'il vit.

Une moquette rose, un papier peint rose, un dessus de lit blanc brodé, des peluches dans tous les coins, des fleurs sur le bureau (un bouquet de roses rouges et de lys blancs), et même des peluches en laines qui semblaient avoir été tricotées par Mana lui même. Sur un mannequin de couturier se trouvait une robe de mariée en cours d'achèvement. Derrière, sur divers autres mannequins et portes manteaux se trouvaient diverses robes de princesses, des robes à bvolant, à rubans, certaines avec de la dentelle. Sur une coiffeuse blanche au cadre doré se trouvaient différents accessoires de coiffure et de maquillage. Dans une armoire un peu en retrait, on pouvait trouver les robes sombres et élégantes avec lesquelles Mana s'habille habituellement pour le groupe, des robes qu'il a lui même dessinées et crées, ce sont des robes qu'il commercialise sous la marque qu'il a crée, lamarque "Moi-même-moitié", mais ces robes cotoient des robes roses, blanches, rouges, toutes plus colorées les une que les autres, certaines ayant un petit coté séduction qui n'aurait pas déplu à Seth. Mana s'assit tristement sur son lit et se mit à parler d'une voix lourde de ses sanglots refoulés.

 

-Tu voulais savoir ce que je te cachais, maintenant, tu le sais, je suis un "otomen". Quoique tu puisse t'imaginer, je t'interdis de penser que je me suis troivé quelqu'un d'autre Seth, je n'aime que toi et je n'aimerais jamais quelqun d'autre que toi, mais je ne t'empêcherais pas de me quitter si tu le souhaite.

 

Seth s'assit aux côtés de Mana, le second évitant le regard du premier, Seth força Mana à le regarder.

 

-Pourquoi est ce que je voudrais te quitter?

 

Mana le regarda de ses beaux yeux remplis de larmes.

 

-Tu veux dire que ça ne te gène pas? Que tu m'aime comme je suis?

 

Seth regarda Mana d'un air attendri.

 

-Mais bien sur que je t'aime comme tu es andouille, je t'aimerais toujours.

 

Une larme roula sur la joue de Mana.

 

-C'est vrai?

-Oui, je te le promet. répondit Seth en serrant Mana dans ses bras.

-J'ai caché ça pendant si longtemps...

-Eh bien arrête Mana, arrête de me cacher ça à moi.

 

Mana affirma à Seth qu'il ne lui cacherait plus rien avant de se liberer de son étreinte et d'aller fermer la porte, pour ensuite revenir embrasser tendrement son amant.

 

-Dis, tu veux bien rester chez moi pour cette fois? 

 

Mana rougit un peu en demandant cela, mais sous son maquillage, Seth ne le remarqua pas. Ca faisait des lustres qu'il voulait que Seth lui fasse l'amour dans sa propre chambre. Seth se leva et vint l'embrasser, doucement, il délaça sa robe et il lui enleva délicatement ses bas de résille. Mana dégraffa timidement la robe de Seth et il la fit glisser au sol. Le chateur fit s'allonger le guitariste sur le lit blanc à la couette moelleuse et vint à nouveau l'embrasser, Seth enleva à Mana le corset qu'il portait, et il put enfin caresser son torse pâle et bien dessiné. A cause du maquillage, Seth ne voit pas Mana rougir, mais il sait qu'il le fait. Mana rougit toujours lorsqu'il laisse ainsi échapper de petits soupirs et gémissements. Les mouvement de Seth son doux. Il comprends mieux maintenant, Mana a toujours aimé la douceur. Seth retourna embrasser Mana, puis sa bouche descendit plus bas, toujours plus bas, elle s'arrêta au bas ventre de Mana. Seth fit glisser son boxer et celui de son amant, puis, il fit doucement sucer deux de ses doigts à Mana. Il les introduisit en son amant, en l'embrassant pour faire passer la douleur, lorsqu'il fut prêt, il le pénétra doucement. Tout n'était que douceur et volupté autour d'eux, rien n'aurait pu briser leur étreinte en cet instant, et ils n'auraient permis à personne de les interrompre. Leurs soupirs, leurs gémissements, leurs sueur et leurs souffles se mêlaient dans une entente parfaite. Il atteignirent le summum du plaisir au même instant, et il s'étendirent l'un à côté de l'autre pour se laisser aller à la somnolence. Lorsqu'ils se furent un peu remis, alors que Mana s'était lové avec bonheur dans les bras de Seth, la voix de ce dernier retentit.

 

-Mana?

-Mmmmh?

-Tu sais bien que lorsque les autres partent à la salle de jeux, ils ne reviennent pas avant tard, j'aimerais bien que tu mette une robe rose... Ou rouge...

 

Le visage de Mana s'illumina...

 

                      

                                                                        FIN

 

Alors, comment vous avez trouvé ce One Shot sur Moi dix mois? un peu pourri sans doute, mais moi je l'aime bien... Au fait, comme j'ai un fond sombre, je me demande si c'est assez lisible le noir... Si ce n'est pas le cas, alors dites le moi et je change. on m'a dit que ça se voyait pas le noir, alors j'ai mis du blanc, je sais, ça arrache les yeux, mais je vois pas comment faire autrement...

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Vendredi 29 octobre 5 29 /10 /Oct 10:49

tokio-hotel-next.jpg

 

 

 

 

Un petit One Shot parceque j'ai rien d'autre à vous mettre, le PDV XXX est évidemment, le point de vue de l'inconnu...(même si je me doute bien que vous avez deviné qui c'est^^) Les modification par rapport au scénario original de l'émission on normalement disparues à la réédriture, mais si vous relevez des trucs qui clochent, dites le moi^^

  

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J'attends dans le bus avec 4 autres garçons. Je suis venu pour mon travail aux Etats-Unis, et je participe à cette émission suite à un pari. Les autres garçons et moi, nous participons à l'émission NEXT, donc nous sommes 5 à avoir été choisis selon certains critères qui correspondent à la personne que nous devons rencontrer. Le temps que nous passerons avec cette personne nous sera comptabilisé en dollars à raison de une minute = un dollar. Si nous plaisons à cette personne, elle nous laissera le choix entra ne rien gagner et accepter un deuxième rendez-vous, ou partir en prenant l'argent. Après les présentations, j'observe un peu mieux les gens : il y a Anthony, un noir avec des tresses, habillé streatwear avec une boucle d'oreille en faux diamant. Mark, un brun aux cheveux un peu long et aux yeux presque dorés tant ils sont ambrés, sous son T-shirt noir moulant, il semble assez maigre. Johnson, blond platine aux yeux bleus avec une mèche ramenée sur le devant pour cacher son oeil droit et qu'il n'arrête pas de remettre en place. Il est mignon avec son jean slim trop grand et son T-shirt blanc, mais il est un peu trop éffeminé à mon goût. Il reste Andrew, il a la peau très pale et des yeux gris, avec des cheveux blonds coupés très court, il porte un marcel blanc avec -pour lui aussi- un jean. Tous sont en jean en fait, sauf moi, je porte un pantalon de cuir noir opaque, moulant, mais pas trop, avec un T-shirt noir sans manches, lui aussi un peu moulant. Mes cheveux noirs coupé court sont hérissés en pics et mes yeux sont marrons avec de petites paillettes dorées. On crève tous de faim, mais on est potentiellement censés prendre un repas avec la personne que nous devons rencontrer, donc ils nous ont dit de venir à jeun, et ça fout bien la rage à ceux qui se font dégager... On attend depuis un petit moment quand un gars du staf entre pour nous brieffer :

 

-Ok les gars, il y à un truc qu'il faut qu'on vous dise. Ce Next sera un peu particulier, car le gars que vous devez rencontrer est un peu célèbre, donc l'émission est légerement modifiée : au lieu d'avoir une activité et un repas, vous aurez deux activités et un repas, c'est juste ça, maintenant, préparez vous à y aller.

 

C'est Andrew qui y  va en premier en se foutant de nous, on verra bien si il tient.

 

PDV XXX : C'est quoi ça?

 

-Oh mon Dieu! Les vampires en marcel blanc, très peu pour moi. NEXT !

 

Il s'en va en me faisant un doigt d'honneur et remonte dans le bus, pfiou, heureusement j'y ai échappé.

 

PDV Adam (ben oui, qui d'autre^^) : Andrew revient, il s'est fait un dollar, c'est vachement utile, même pas de quoi s'acheter un sandwich...

 

-Les mecs, il m'a viré tellement vite que j'ai même pas eu le temps de le voir, mais il a l'air moche, dit il, Anthony c'est à toi.

 

Anthony descend, de nous tous, c'est, de mon point de vue, le plus moche ici, alors on verra bien ce que ce gars en pensera.

 

PDV XXX : Je le laisse faire quelques pas, histoire d'être sur, mais c'est bien ce que je pensais, il est moche, autant le lui dire tout de suite.

 

-Bon, sur mon frère, les tresses et les fringues de rappeur, c'est sexy, mais sur toi c'est affreux, NEXT !

-Putain, mais j'ai même pas eu le temps d'arriver !

 

Il s'en va et retourne dans le bus.

 

PDV Adam : Anthony revient en disant :

 

-Les gars, ce minet a l'air super moche, et si il est célèbre, ben moi je le connais pas. Johnson, fous le camp, c'est à toi.

 

Johnson sort en disant :

 

-Je reviendrais sans doute pas les gars.

 

Mouais, c'est ce qu'on verra.

 

PDV XXX : Merde, c'est pas vrai, ils m'ont envoyé une fille ces cons !

 

-Bon, t'es mignon, mais t'es encore plus féminin que moi, donc ça va pas le faire, NEXT !

 

PDV Johnson : Ce mec est vraiment un con, plus féminin que lui,  c'est pas possible, je me tire sans dire un mot, je ne m'étais même pas arrêté de marcher.

 

PDV Adam : Johnson revient en disant que ce mec ressemble à une fille, c'est à Mark d'y aller.

 

PDV XXX : Ah, enfin quelqu'un de pas trop moche, c'est pas trop tôt. Il s'avance et me serre la main.

 

-Salut, je m'appelle Mark.

-Bill, enchanté, ça te dit d'aller faire un tour?

-Ok.

 

Je le prends par la taille, ce qui ne semble pas lui déplaire, et je l'emmène un peu plus loin, je m'arrête devant une boutique de tatoueur.

 

PDV Mark : Il est plutôt mignon je trouve, mais c'est vrai que je le connais pas... Il me propose d'aller faire un tour et il me prend par la taille pour pouvoir m'emmener la ou il veut. Putain, c'est quoi cette boutique de tatoueur?

 

-Bon, aujourd'hui, je veux que tu te fasse tatouer, ça te va?

 

Quoi? Nan mais il a fumé la !

 

-Tu rigole, je vais pas me faire tatouer pour tes beaux yeux !

-Eh bah si mes beaux yeux ne te suffisent pas, tu dégage; NEXT !

-Ca m'arrange, de toutes façons, t'est tellement célèbre, que j'ai jamais entendu parler de toi, merci pour la thune !

 

Je dégage et je remonte dans le bus.

 

PDV Adam : Il revient déja?

 

-Les mecs, je me suis fait 8 dollars pour rencontrer une fille ! Adam, vas y, c'est à toi.

 

J'ai demandé à ceux qui l'ont vu, même de loin de me le décrire, apparement, il est brun avec les cheveux ébouriffés, avec du vernis noir et du maquillage noir, et il est soi-disant inconnu au bataillon des célebrité, je verrais bien, je suis un peu inquiet quand je descend du bus... Il est devant une boutique de tatoueur, je rêve, Bill Kaulitz ! D'accord, les Tokio Hotel ne sont pas très connus aux Etats-Unis, mais quand même..! Je serre sa main qu'il me tend.

 

-Salut, je m'appelle Bill.

 

Ca, j'avais deviné.

 

-Adam.

-Bon, comme t'es mignon, tu vas peut être pouvoir rester un peu, enfin, si t'es gentil.

 

je souris, j'ai l'impression d'être un clébard, la...

 

PDV Bill : Pas mal, j'adore son fut' en cuir, il réussi l'exploit d'être sexy tout en étant habillé sobrement, j'adore.

 

-Bon, ça te dit de te faire un tatouage?

 

PDV Adam : Je réfléchis une seconde, je vais me faire engueuler, mais je pense que ça en vaut la peine...

 

-Ok, d'accord.

-Super.

 

nous rentrons à l'interieur de la boutique, il me demande :

 

-Tu veux quoi comme tatouage?

-Aucune idée, tu choisis le dessin et l'endroit?

-Ok.

 

PDV Bill : Décidement, ce gosse me plait. Je prend plusieurs dessins déja prêts, j'en choisis un et je lui tends.

 

-Cette étoile, sur l'aine, à droite.

 

PDV Adam : Son tatouage à lui, hein? J'aurais du m'en douter.

 

-Ok, je vais me faire engueuler, mais ok.

-Pourquoi tu te ferais engueuler?

-Je suis mannequin.

 

PDV Bill : Un mannequin, hein? On va bien voir.

 

-C'est vrai? Dans quelle branche?

-Dans l'érotisme et le porno gay, dans la pub aussi, à l'occasion.

 

Je lui fait un sourire pervers.

 

-Sans dec'?

 

Il s'apprêtait à répondre, lorsque le tatoueur entra et nous interrompit.

 

-Alors, vous avez choisi?

 

Je répond pour Adam et je lui parle de l'étoile, le tatoueur répond.

 

-Dans ce cas, vous allez être obligé d'enlever votre pantalon et vos sous-vêtements, et le T-shirt risque de me gêner. Je vais sortir le temps que vous vous prépariez, je vous laisse une serviette ici.

 

Il sort.

 

-Je vais sortir aussi.

-Pourquoi? T'as trop peur d'apprécier ce que tu va voir?

 

Gagné.

 

PDV Adam : Andouille, tu crois que j'ai pas compris ton petit jeu pour me foutre à poil? Je me place face à lui et je commence par enlever mon T-shirt, lui dévoilant ainsi mon torse fin de mannequin. J'enlève ensuite mon pantalon, queje pose lentement sur une chaise derrière moi, lui laissant ainsi le loisir de détailler mon postérieur à son aise. Pour finir, j'enlève mon caleçon en me plaçant face à lui, sans aucune pudeur. Je m'appuie contre la table du tatoueur, pour le laisser me mater tant qu'il le veut. A en juger par son petit sourire, ce qu'il voit ne lui déplait pas.

 

PDV Bill : Ok, il est mannequin... Le tatoueur entre, Adam prend la serviette pour se cacher et s'allonge sur la table. Le tatouage dur plus d'une heure, il à déja gagné plus de 60 dollars s'il le veut.

 

PDV Adam : Le tatouage est enfin fini, j'aurais jamais pensé que ça durerait si longtemps, c'est mon premier tatouage... Et je l'aime bien. Je me redresse et je m'adresse à lui en allemand :

 

-Tu voulais me marquer à vie, Bill?

 

Il semble interloqué :

 

-Tu... Me connais?

-Bien sur, je suis même allé te voir en concert, à Lyon, en 2010, vous nous avez fait poireauter jusqu'à 21h avant de commencer.

-Ah, ouais, je me souviens... Je me demandais d'ou te venais ton accent lorsque tu parlais anglais, maintenant je sais, tu es français... Ca tombe bien que tu me connaisse en fait, ce sera plus facile comme ça, pour la deuxième activité... Reste à savoir si tu nous connais vraiment, je verrais bien, si tu es plutôt du genre fan ou groupie, je veux dire.

-Ne m'insulte pas s'il te plait, si j'étais une groupie, je me serais mis à pleurer ou à hurler pour te demander un autographe, je ne suis pas comme ça moi, je respecte les gens...

-C'est vrai, excuse moi, mais j'avoue que ça m'étonne de trouver un fan, garçon et de ton âge...

-Bon, ok, je suis gay, mais ça veut rien dire ça, j'aime votre musique et c'est tout.

-Parfait, de toutes façons, je vais pouvoir vérifier... Tu viens?

-Ok.

 

Je lui emboite le pas et il m'emmène dans un studio d'enregistrement, la, je reste en bug devant les Tokio Hotel au grand complet.

 

- Bon, apparement, tu nous connais, mais au cas ou, voici mon jumeau, Tom, ainsi que Gustav et Georg, les gars, je vous présente Adam.

 

Ils me saluent tous les trois et je les salue à mon tour, j'ai un peu de mal, j'avoue, à me retrouver en leur présence, mais après tout, ce en sont que des hommes... Bill dit :

 

-Ok, on va commencer, en fait, c'est très simple, ils vont jouer des chansons de notre groupe et tu devras dire leur nom, ça marche?

 

Je les connais toutes par coeur, alors ça devrait aller.

 

-Ok.

 

Ils commencent à jouer, je suppose qu'ils le font au synthé pour ne pas trop me donner d'indices, mais c'est raté, je reconnais "Schrei" aux premières notes. Vient ensuite "Durch den monsun", classique, ils essayent ensuite de me paumer avec "Jung und nicht mehr jungendfrei" et "Heilig", raté. Ils jouent ensuite "Komm", "Übers ende der Welt", "Schwarz", "Stich ins Glück", "Freunde bleiben", "Lass uns ihr raus", "Totgeliebt" et "Vergessen kinder", Bill finit par dire :

 

-Ok, tu nous connais bien, ils n'ont même pas fait trois notes que tu nous donne le nom de la chanson alors je pense qu'on peux dire que ça va, on va passer à la suite.

-D'accord.

 

Je dis au revoir au TH et je le suis, il m'emmène sur une pelouse ou son disposés un table basse avec des tatamis, de la nourriture japonaise et des kimonos, il m'habille d'un Yukata (nous sommes en été et il fait chaud), nous nous agenouillons devant le table basse et nous commençons à manger sushis, makis et brochettes. Comme dans chaque émission, le repas est un moment propice à un interrogatoire :

 

-Bon, t'es mannequin, je te crois, mais t'as quel âge?

-19 ans.

-Ok, d'accord, et si je te demander de me dire quelque chose de honteux sur toi, tu me dirais quoi?

-Ce n'est pas vraiment quelque chose que je considère comme honteux, mais beaucoup de gens en rient... J'ai pour principe de ne pas embrasser quelqu'un et de ne pas sortir avec quelqu'un tant que je ne suis pas amoureux, et coucher, encore moins. Et comme je ne suis jamais tombé amoureux de qui que ce soit, eh bien, je n'ai jamais embrassé et je n'ai aucune experience dans le domaine du sexe, ou même des relations amoureuses...

-C'est vrai qu'à 19 ans, c'est un peu étonnant, mais je ne trouve pas ça particulièrement honteux, je suis un peu pareil, même si c'est vrai que j'ai un peu  plus d'experience... C'est justement à cause d'une mauvaise experience, que j'ai decidé de devenir comme ça en fait?

-Mauvaise nuit?

-Moui, le classique quoi, je sus tombé raide devant un gars, qui ne s'interessait à moi que pour mon cul et mon argent, heureusement que je m'en suis rendu compte rapidement, sinon j'aurais été plus blessé que ça... Passons, si je te demandais de m'embrasser la, tu le ferais?

-Oui, mais tu devrais jouer les profs.

-Et pourquoi tu le ferais?

 

Je me sens rougir la, c'est bien la première fois.

 

-Parceque je suis en train de tomber amoureux.

 

Il semble surpris.

 

-C'est vrai?

 

Son regard s'adoucit.

 

-C'est trop mignon, vient par la.

 

PDV Bill : Il est craquant ce gosse, je l'adore ! Je ne l'imaginais pas aussi naif sur le plan sexe, il dégage une sorte de charme un peu sauvage... Qu'il soit vierge, à la limite, à 19 ans, je peux comprendre, mais je ne pensais pas qu'il n'aurait jamais embrassé... Je pose une mains sur sa  joue et je rapproche mon visage du sien, je pose doucement mes lèvres sur les siennes... 19 ans, c'est peut être un peu jeune, mais j'avoue que la, maintenant, tout de suite, j'en ai un peu rien à foutre... Ses lèvres sont douces, ça faisait bien 15 minutes que j'avais envie de faire ça, je suis vraiment en train de craquer sur ce gamin... Je glisse ma langue sur ses lèvre et il entrouvre la bouche, ma langue se glisse à l'interieur et guide la sienne. Il est un peu timide, mais pour quelqun qui n'à jamais embrassé, il le fait plutôt bien... Nous nous séparons, il a les lèvres un peu rougies par notre échange et son souffle est un peu court. Il me regarde avec des yeux brillants, d'un air un peu embarassé, je craque, j'en peux plus, c'est vraiment lui que je veux... Je respire un bon coup et je dit :

 

-Bon, j'ai beaucoup apprecié le temps qu'on a passé ensemble, et en plus, t'embrasse plutôt bien pour un débutant, tu a passé 92 minutes avec moi, donc tu as le choix : partir avec tes 92 dollars ou ne rien gagner et rester avec moi.

 

PDV Adam : La, je sais que les caméras doivent être en train de faire un gros zoom sur ma gueule avec arrêt sur image pour symboliser ma "déliberation interieure", mais ce n'est pas la peine, c'est déja tout choisi.

 

-Je crois que je vais accepter le deuxième rendez vous.

 

 

 

tokio hotel next2

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 09:55

LM.C-French-Kiss.jpg

 

 

 

-Putain Maya ! Arrête toi !

 

Une demie-heure. Ca va bientôt faire une demie heure, que le guitariste de LM.C coure après le chanteur, une demie heure de galopades à sauter par dessus la table basse et le canapé. C'est qu'ils sont souples ces petits d'hommes....

 

-Putain Maya j'en peux plus !

 

Ce fut uniquement lorsque Aiji se vautra lamentablement par dessus le canapé, que Maya daigna s'arrêter. Il s'approcha prudemment de son amant pour vérifer qu'il ne s'était pas fait trop mal, et il s'écarta brusquement lorsque Aiji chercha à l'attraper par le pied. Maya fila s'enfermer dans la douche avant qu'il se soit relevé. La raison de ce foutoir? C'est très simple, Maya et Aiji sortent ensemble depuis presque la création du groupe. Jusque la, pas de problème, mais Aiji vient du groupe PIERROT, dans lequel il était réputé pour ses fans services, et notamment pour ses "french kiss", et il cherche désespérément à convertir Maya à ces baisers. Baisers que, en bon japonais (et non français), il refuse et s'obstine à refuser.

Maya et Aiji étant tous les deux de vrais gamins ( 31 et 36 ans), cette histoire n'est pa sdevenue un sujet de dispute, mais d'amusement : Aiji coure après Maya dans tout leur appartement et cherche à le coincer pour lui rouler une pelle, il arrive à le coincer de temps en temps, mais generalement, Maya refuse de laisser Aiji acceder à sa bouche. Les rares fois ou le guitariste a réussi à introduire sa langue dans la bouche du chanteur, il s'est fait mordre...

Aiji se mit à attendre devant la porte de la salle de bain que Maya sorte, en se massant le pied, il s'est fait un peu mal quand même... Mais c'est plus fort que lui, Aiji serait prêt à donner dix ans e sa vie pour pouvoir donner un vrai baiser à ce petit blond pour qui son coeur se gonfle de bonheur et d'amour à chaque caresse qu'il lui donne...

La porte de la salle de bain s'entrouvrit prudemment et une petite tête blonde passa dans l'encadrement de la porte, pour regarder le guitariste d'un air moqueur, Maya avait prévu le coup.

Aiji poussa un soupir et se retira dans la chambre qu'il partageait avec Maya, le temps que celui ci s'habille.

Maya regarda Aiji partir et referma la porte de la salle de bain, tout en s'habillant, il se mit à réfléchir.

Ca fait déja un bon moment que ce genre d'embrouille se produit, ils s'amusent bien, mais peut être qu'il devrait laisser Aiji faire, ce n'est peut être pas si mal après tout... Mais c'est tellement... Ecoeurant. L'idée même d'avoir la alngue de quelqun d'autre dans la bouche le dégoûte. Maya haussa les épaules et sortit de la salle de bain, non, sauf cas de force majeure, ce n'est pas aujourd'hui qu'il acceptera un "french kiss". N'ayant rien à faire d'autre, il alla rejoindre Aiji dans la chambre. Aiji était allongé sur le lit et regardait le plafond, sans relever les yeux, il dit :

 

-Si tu veux vraiment que j'arrête, alors j'arrêterai, mais j'aurais aimé que tu essaye au moins un fois...

 

Maya fit la moue, non, ça ne le tentais pas plus que ça. Aiji se redressa légèrement.

 

-Tu ne veux vraiment pas essayer, hein?

-Bah, si je pouvais éviter...

-S'il te plait Maya, juste une fois... Juste une fois et, si ça ne te plait pas, alors j'arrête.

 

Maya soupira. Il n'aime pas vois Aiji comme ça, et la, c'est soit il accepte, soit Aiji déprime, donc, c'est un cas de force majeure, et puis, dans ces conditions, il peut bien accepter, non? Aiji avait gagné, Maya s'avouait vaincu. Maya s'assit sur le lit aux côtés de Aiji et Aiji se redressa entièrement. Il posa sa main chaude sur le joue de Maya et le regarda tendrement. Il posa doucement ses lèvres sur les siennes. Lorsque Maya sentit la langue de Aiji caresser ses lèvres, c'est avec un peu de réticence qu'il ouvrit la bouche. Mais lorsqu'il sentit la langue de Aiji venir guider la sienne et jouer avec elle, Maya sut que plus jamais il ne pourra se passer de ses baisers. Plus jamais il ne pourra se passer du goût de Aiji, encore moins de cette sensation si délicieuse qui lui était procurée en cet instant...

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 29 janvier 6 29 /01 /Jan 15:07

Vous vous souvenez du One Shot que m'avait écrit mon amie Equinox? Celui entre Ayame et Yuki? Et bien voici celui que je lui ai écrit en réponse.

 

Sinon, comme personne ne s'est fait chier  à aller voter, je considère que ce blog n'est plus interessant et que, si plus personne ne le visite, il n'est plus utile que je m'ennuie à le continuer en sachant que personne ne le lit... Etrange, mon niveau de blog rank indique un pic de fréquentation, montrant qu'il y a au moins une personne à venir voir, mais pourtant, cette personne n'a jamais laissé de commentaire, et ne se sent pas concernée en sachant que je risque d'arrêter d'écrire, je me sens aimée, merci... De toute façon, personne ne lira ça, alors bon...

 

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                                           «Une soirée bien arrosée!»

 

 

Ça avait commencé comme ça.

Ayame avait débarqué un soir chez Hatori alors que ce dernier était bien tranquille chez lui, en train de se reposer après une dure journée. En effet, devoir maintenir la santé d'Akito, le chef de famille, dans un état stable, et surtout à peu près satisfaisant n'est pas de tout repos. Hatori était rentré chez lui complètement épuisé, et voilà qu'Ayame arrive, complètement surexcité, comme d'habitude, et incapable de ne pas fatiguer les gens avec qui il se trouve, comme d'habitude aussi.

Ayame avait débarqué dans l'intention de préparer à Hatori un bon dîner, pourquoi? Parce que celui ci devait être fatigué par sa journée.

Ben voyons.

Voilà pourquoi Ayame s'était invité, et, pour une fois, refusait d'obéir aux injonction de Hatori, qui lui demandait de s'en aller; pourtant, en temps normal, Hatori est le seul à qui Ayame obéisse...

Et évidemment, attiré par tout ce foutoir et aussi par la voix d'Ayame, qui était venu squatter? C'était Shigure! L'un des seuls jours de l'année ou il passait à la résidence familiale, et il fallait qu'il s'invite chez Hatori, et oui!

Le dit bon repas de Ayame s'était comme par magie transformé en repas commandé chez le traiteur, par contre, Ayame était lui même allé acheter, en compagnie de Shigure, plusieurs bouteilles de saké parfumé.

Hatori aurait bien aimé fermer la porte immédiatement après leur départ, mais malheureusement pour lui, les deux cousins/frères presque siamois avaient pris un double des clés en partant. Peut être que si il laissait la sienne dans la serrure... Mais non, il ne l'avait pas fait, car le droit, le juste, l'honnête Hatori s'était dit que ce serait faire preuve de méchanceté envers ses deux cousins, et maintenant, le Hatori en question, qui avait déjà un peu bu, se raccrochait désespérément à sa conscience de médecin pour ne pas avaler tout un tube d'aspirine...

Ce ne fut que lorsque Hatori vit Shigure et Ayame se rouler une pelle monumentale, qu'il se rendit compte qu'il avait du décrocher, et, déjà trop ivre pour réellement s'en étonner, il se demanda juste comment ils avaient pu en arriver la...

Lorsque les deux cousins se rendirent compte que le troisième les regardaient fixement, ils se séparèrent et demandèrent d'une même voix «T'es jaloux Hatori?».

Hatori répondit juste d'un «Hein?» très spirituel, car, au final, il se foutait royalement de ce qui se passait, au moins, quand ils s'embrassaient, ils ne parlaient pas, et, de cette façon, son mal de tête allait peut être pouvoir disparaître... Non, raté...

Ce n'est que quand Hatori vit les deux autres se rapprocher dangereusement de lui, qu'il se dit qu'il devait y avoir un sérieux truc qui cloche... Sans compter que la lueur perverse qui se lisait dans leurs yeux ne présageait rien de bon.

«Bois donc un peu, Hatori» dirent-ils ensemble d'une voix cajoleuse.

Hatori trouvait qu'il avait déjà assez bu, mais il accepta tout de même la coupelle de saké que Ayame lui tendait. Et il en but une autre, puis encore une autre, Shigure remplissait les coupelles que Ayame lui tendait. Lorsqu'ils furent tout deux à peu près sur que Hatori n'était pas en état de marcher, encore moins de s'enfuir, ils semblèrent considérer qu'ils pouvaient s'attaquer à sa chemise.

Hatori, en effet, se laissa faire. Il n'avait pas vraiment le choix, à moitié avachi par terre, appuyé sur ses avant-bras, il semblait se concentrer pour ne pas vomir...

Ayame laissa Shigure terminer de déboutonner la chemise de Hatori et profita de sa faiblesse pour aller lui mordiller la peau du cou et lui faire une marque que Akito ne manquerait pas de remarquer le lendemain. Note mentale : acheter du fond de teint.

Toujours plus ou moins plongé dans ses pensées, Hatori ne se réveilla que lorsqu'il sentit une bouche sur la sienne. Aussi horrifié que le lui permettait l'alcool dans son sang, il se rendit compte que c'était celle de Ayame. Hatori essaya sans grande conviction de se débattre lorsqu'il sentit la langue de son cousin s'introduire de force dans sa bouche, il cessa immédiatement lorsqu'elle entraina la sienne dans une dans plus qu'agréable.

Vaincu, Hatori s'allongea par terre.

Il sentit la bouche de Ayame quitter la sienne pour aller descendre dans son cou et lui faire un suçon, lui laissant ainsi une seconde marque à cacher pour demain. Il sentit aussi les mains chaudes de Shigure se balader sur son torse, pincer, caresser ses tétons qu'il sentait durcir, puis les mains redescendirent, redescendirent, l'une des deux s'arrêta à la ceinture, l'autre passa en dessous, pour aller caresser la bosse qui s'était formée dans son boxer d'une façon délicieuse et qui lui procurait de merveilleux frissons. La main resta sur la bosse, mais s'arrêta de bouger un instant.

En relevant les yeux, Hatori s'aperçut que Ayame et Shigure s'embrassaient à nouveau passionnément. Avec une pointe de consternation, il se rendit compte que oui, il était jaloux.

Ils se séparèrent, et ce fut cette fois Shigure qui s'empara de ses lèvres, pour un baiser alcoolisé.

Hatori se surprit à répondre avidement au baiser, et il ne pu retenir un profond gémissement lorsqu'il sentit Ayame mordre sans douceur son sexe dur et gonflé à travers le tissu de son pantalon.

Shigure rompit le baiser et fit mine de vouloir aller aider Ayame, mais Hatori le retint et le força (pas bien fort non plus) à un nouveau baiser qu'il dominait avec désir.

Une main vint remplacer la bouche sur son sexe. Ayame enleva son pantalon à Hatori et le caressa un instant à travers le fin tissu de son boxer. Mais suite aux gémissements insistants, bien qu'à moitié étouffés de l'homme qui portait le sous vêtement, il décida de l'enlever, dévoilant ainsi le sexe de Hatori fièrement érigé.

Pris d'une irrésistible envie d'y goûter, Ayame se pencha sur le pénis de Hatori et le lécha sur toute sa longueur, se demandant quel effet cela ferait à l'homme à qui il appartenait.

Ayant entendu un gémissement sourd des plus satisfaisant, Ayame se dit que ça ne devait pas être mal, il prit le sexe de Hatori en bouche et commença des mouvements de va et viens, ajoutant à ses mouvements celui de sa langue, qui s'enroulait et se déroulait autour du sexe du médecin... Les gémissements de plaisir de ce dernier n'étaient presque pas contenus, car Shigure, ayant réussi à se débarrasser de son étreinte, lui faisait juste lécher deux de ses doigts. Hatori les humidifiait sans problème, heureux d'avoir quelque chose dans la bouche.

Son visage rendu rougissant par le plaisir, faisait facilement comprendre aux deux cousins, que leur médecin préféré avait perdu tout amour propre, toute retenue et toute pudeur. En fait, en le regardant, Shigure se dit qu'il devait faire ça tous les jours...

Shigure finit par retirer ses doigts, largement assez lubrifiés pour ce qu'il comptait faire.

Il les passa entre les jambes de Hatori et en fit doucement pénétrer un à l'intérieur de lui. Il se cambra un peu et un gémissement de douleur se mêla aux gémissements de plaisir procurés par la fellation d'Ayame. Shigure fit bouger son doigt, et lorsque Hatori sembla s'être habitué à sa présence, il ajouta l'autre. La aussi, Hatori se tendit, mais comme la première fois, la douleur passa vite. Le sexe de Hatori se gonfla dans la bouche de Ayame, qui se mit à sucer plus vite. Les doigts de Shigure bougeaient en Hatori, sensation qui ne semblait absolument pas déplaisante, compte tenu de ses cris. Ayame sentit le sperme de Hatori lui inonder la bouche.

Il se retira et alla embrasser Shigure, il alla ensuite embrasser Hatori, lui faisant ainsi goûter son propre sperme.

Considérant que Hatori en avait eu assez, et le laissant se remettre, Ayame retourna embrasser Shigure. Mutuellement, ils se débarrassèrent de leurs vêtements. Ce fut au tour de Ayame de s'allonger sur le sol, ce fut au tour de la bouche de Shigure de venir s'occuper du sexe de Ayame, et ce fut au tour de Ayame de gémir et de haleter sous l'effet du plaisir...

Et Hatori dans tout ça..?

Hatori les regardait, et ce fut non sans étonnement, qu'il se rendit compte qu'il se sentait délaissé, et qu'il voulait avoir quelque chose dans sa bouche, qu'il voulait sentir du sperme couler dans le fond de sa gorge et un sexe à l'intérieur de lui. Lentement, il se leva et se débarrassa totalement de sa chemise, qui lui était restée sur les épaules. Écoutant les gémissements d'Ayame, il alla se placer derrière Shigure et s'allongea sur le sol. Il écarta les jambes de son cousin et se positionna en dessous de lui.

Shigure laissa échapper un petit cri, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori se refermer sur son sexe. Il gémit lorsqu'il sentit sa langue s'enrouler autour. Il gémit encore, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori englober entièrement son sexe, aller et venir, suçoter le bout de son gland... L'excitation faisait que Shigure accélérait ses mouvements sur Ayame, qui criait de plus en plus fort. Plus Shigure accélérait ses mouvements, plus Hatori accélérait les siens. Hatori entendit Ayame se liberer dans la bouche de Shigure dans un râle de jouissance, et c'est avec plaisir qu'il avala le sperme de Shigure lorsqu'il jouit dans sa bouche quelques instants plus tard.

Ayame et Shigure prirent un peu de temps pour se remettre, devant Hatori, qui lui, n'avait pas jouit, et dont l'érection commençait à être réellement douloureuse. En désespoir de cause, il résolut de se masturber lui même.

Il posa la main sur son sexe douloureux et commença à la faire aller et venir, accélérant ou ralentissant son mouvement selon ses réactions. Prit dans son plaisir, il ferma les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte que Shigure et Ayame l'observaient, une coupelle de saké à la main, leurs sexes de nouveau dressés.

«Je n'aurais jamais cru voir un jour le froid Hatori faire cela», dit Shigure.

«C'est fou ce qu'on peu faire avec un peu d'alcool», répondit Ayame.

La main de Hatori cessa de s'activer, avec envie, il regarda ses cousins. Puis, lentement, il s'avança et alla embrasser Shigure, le poussant légèrement, il lui intima l'ordre de s'allonger sur le sol, puis, après avoir rapidement lubrifié le sexe de son cousin de sa langue, il se souleva et s'abaissa violemment dessus.

C'est un pur gémissement de plaisir qui sortit de sa bouche. Hatori posa les mains de Shigure sur ses cuisses, lui demandant silencieusement de le faire bouger. Shigure s'exécuta, et, entendant les cris de plaisir de Hatori, alla de plus en plus vite, pour le plus grand plaisir de son cousin.

Entre deux gémissements de plaisir, Hatori appela Ayame, qui , jusqu'ici, n'avait fait que les regarder.

Ayame se leva, enjamba Shigure, et se positionna devant Hatori. Ce dernier prit le sexe de son cousin en bouche, accordant ses mouvements sur ceux que lui imposaient son autre cousin dans un premier temps, jusqu'à ce que Ayame décide lui aussi de lui imposer son rythme. Le sexe de Ayame s'enfonçait profondément dans sa gorge, sans qu'il s'en soucie pourtant. Ayame et Shigure lui imposaient tous deux un rythme rapide, saccadé, violent, et Hatori, s'il l'avait pu, en aurait demandé plus. Il était d'ailleurs sur le point de jouir.

Le sexe de Shigure pénétrant toujours plus loin à l'intérieur de lui, le sexe de Ayame s'enfonçant toujours plus profondément dans sa gorge, lui procuraient des sensations absolument délicieuses, qu'il n'aurait pu ressentir s'il était resté avec Kana. Jamais il n'aurait pu expérimenter tant de choses.

Son souffle était court et sa respiration saccadée, et les gémissements de ses deux cousins résonnaient à ses oreilles. Il fut sur le point de jouir lorsque Ayame se libéra sans prévenir à l'intérieur de sa bouche, il le fit lorsqu'il sentit le sperme de Shigure le parcourir de l'intérieur.

C'en fut trop pour Hatori, il jouit puissamment sur le torse de Shigure. Hatori avala le sperme de Ayame qui s'était affalé sur le sol, puis, il alla lécher son propre sperme sur le torse de Shigure, avant de l'embrasser. Le médecin s'écarta de l'écrivain et sentit le sperme de son cousin couler délicieusement entre ses jambes lorsqu'il se leva, pour aller s'assoir à califourchon sur son autre cousin.

Hatori se pencha sur Ayame pour aller l'embrasser, afin de le réconforter, puis, sa bouche alla malmener tour à tour les oreilles de son cousin, son cou, ses tétons. Shigure alla s'assoir sur les jambes de Ayame pour pouvoir caresser le torse du médecin à son aise, chose qui ne semblait absolument pas gêner le médecin en question...

Ayame, qui avait été parfaitement revigoré par quelques minutes de ce traitement demanda à Shigure de s'écarter. Shigure s'écarta. Non sans un gémissement de mécontentement de la part du médecin, qui avait senti le sexe de son cousin durci contre ses fesses, tout comme le sexe de son autre cousin, qu'il avait senti durcir en dessous de lui.

Ayame sourit en entendant le gémissement de Hatori, puis, il se retourna violemment, et se retrouva donc en position de dominant. Hatori se retrouva par conséquent les jambes écartées en dessous de son cousin, attendant impatiemment la suite, gémissant à l'idée de ce qui allait se passer, rougissant à l'avance comme une vulgaire catin...

Loin de faire attendre son cousin,Ayame le pénétra violemment, le faisant crier sous la surprise. Il commença des mouvements de va et viens puissants, sans douceur, faisant chaque fois hurler le médecin un peu plus fort, car rien ne retenait ses gémissements.

Shigure, lassé d'être délaissé, alla prendre devant Ayame la position que Hatori lui avait demandé de prendre devant lui. Il se positionna au dessus de Hatori, et intima à Ayame l'ordre de le sucer, chose qu'il fit immédiatement. Hatori ferma les yeux pour ne pas avoir à profiter de la vue qui s'offrait à lui. S'il regardait ce spectacle, le sexe de Shigure s'enfonçant encore et encore dans la bouche de Ayame, il ne tarderait pas à jouir.

Ayame s'enfonçait toujours plus profondément en lui, et il entendait ses gémissements étouffés par le sexe de Shigure. Ce n'est que lorsqu'il sentit Ayame s'arrêter et qu'il entendit son gémissement surpris, lorsqu'il vit le visage de Ayame rougissant et un filet blanc couler de sa bouche, que le médecin comprit que l'écrivain avait déjà du jouir.

Shigure retira son sexe de la bouche d'Ayame et le laissa respirer. Ayame toussa, puis, il avala. Shigure reprenait ses esprits, allongé sur le sol. Ayame sembla enfin se rappeler que Hatori était la, et il recommença à se mouvoir en lui.Quelques mouvements suffirent au médecin pour qu'il jouisse à son tour, et Ayame le rejoint après quelques mouvements de plus.

Hatori, dont les rythmes respiratoire et cardiaque recommençaient à devenir normaux à devenir normaux, se rendit compte que Ayame s'était endormit. Tournant la tête, il s'aperçut que Shigure aussi.

Poussant un soupir, il se dégagea doucement de l'étreinte du couturier, et il alla coucher ses deux cousins dans son lit. Ensuite, il entreprit de tout ranger, car la pièce donnait l'impression qu'une tornade y était passée. Après avoir terminé, il alla prendre une douche en titubant de fatigue, avant de se coucher sur le canapé...

 

«C'est bien comme ça que ça s'est passé», pensa Hatori, qui revenait sur les événements plus d'une semaine après.

Le lendemain, ils s'étaient tous les trois réveillés avec une gueule de bois monstrueuse, et Shigure et Ayame feignaient tous les deux de ne pas se rappeler de ce qui s'était passé.

«Peu importe», pensa Hatori, il avait eu une dure journée, et ce soir, il était fatigué. Il songeait sérieusement à aller prendre un bain, lorsque la sonnerie de sa porte d'entrée retentit, Shigure et Ayame étaient à la porte.

«Salut Hatori», dit joyeusement Ayame. «Je venais ici dans l'intention de te préparer à manger pour que tu puisse te reposer, et en chemin, j'ai croisé Shigure! On peut commander quelque chose chez le traiteur si tu veux, on à acheté du sake!»

Pourquoi est ce que cette scène avait-elle un air de déjà vu?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Samedi 5 février 6 05 /02 /Fév 14:24

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Bon, Elodie, t'as interet à passer et à laisser un com de temps en temps, parceque c'est juste pour toi que je fais ça><

Cette histoire et les neuf autres qui vont suivre font partie d'un recueil que j'ai écrit pour mon amie Equinox en cadeau de Noël, elle m'a autorisée à les publier et ça m'arrange, parceque je ne sais absolument pas quoi écrire en ce moment....

 

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«Salut Hatori» dit joyeusement Ayame. «Je venais ici dans l'intention de te préparer à manger pour que tu puisse te reposer, et en chemin, j'ai croisé Shigure ! On peut commander quelque chose chez le traiteur si tu veux, on a acheté du saké!».

 

Pourquoi cette scène avait-elle un air de déjà vu? Hatori se posait sérieusement la question, tout en connaissant pertinemment la réponse. Qu'est ce que ses deux cousins venaient foutre ici? Hatori poussa un soupir et les laissa entrer. Ayame se conduisit comme d'habitude, c'est à dire comme s'il était chez lui. Shigure se conduisit sensiblement pareil que son cousin, mais il eu tout de même la correction de demander à Hatori si il n'était pas trop fatigué par sa journée.

 

«Ça dépend de ce que vous comptez faire ce soir» Répondit-il d'un ton las. Malheureusement pour lui, il ne se rendit compte qu'après, de son double sens, mais s'étant détourné, il ne se rendit pas compte du petit sourire goguenard qui avait étiré, l'espace d'un instant, les lèvres de ses deux cousins.

Ayame décrocha le téléphone et demanda au médecin ce qu'il voulait manger.

 

«Aucune idée, choisit pour moi.» répondit le concerné. Ayame passa commande pour les trois hommes, et Hatori l'écoutait d'un air inquiet : Pourquoi tous les plats que Ayame commandait pour lui contenaient-ils du gingembre?

Les plats commandés arrivèrent et ils commencèrent à manger en arrosant leur repas de saké. Mais cette fois ci, Hatori ne but pas au delà du raisonnable, au grand désarroi de ses deux cousins, qui étaient déjà bien éméchés et qui voyaient, vraisemblablement, leur plan partir en fumée.

A la fin du repas, Hatori n'avait bu que trois coupelles de saké. Ayame et Shigure ne cessent de le pousser à boire, mais Hatori s'obstine à laisser sa coupelle désespérément pleine. Malgré leur calme apparent, Hatori sentit que ses deux cousins commençaient à paniquer. Il voyait bien que ses cousins n'avaient qu'une chose en tête : renouveler l'accident de la dernière fois ou il était ivre, c'est à dire le baiser. Hatori esquissa un petit sourire, car malgré son expression froide et blasée, en cet instant, il s'amusait énormément. Lentement, il alla s'agenouiller devant Ayame. Il rapprocha dangereusement sont visage de celui de son cousin en demandant.

 

«Pourquoi voulez vous absolument me faire boire tous les deux? Auriez vous une idée derrière la tête?»

«Mais pas du tout» s'exclama Ayame, qui éloignait de plus en plus son visage rougissant au fur et à mesure que Hatori approchait le sien.

 

«Vraiment?» demanda le médecin en s'approchant un peu plus de Ayame, qui était cette fois, coincé contre Shigure.

 

«Je n'en suis pas si sur» dit Hatori en attrapant la lèvre de Ayame entre ses dents pour la mordiller. Ayame rougit un peu plus, Shigure qui s'était écarté observait la scène d'un air interessé.

Soudain, Hatori se jeta sur Ayame pour l'embrasser. Surpris, Ayame fut obligé de s'allonger sur le sol. Passé l'étonnement, il répondit avidement au baiser du médecin, et il commença à lui défaire sa chemise pour pouvoir passer les mains sur son torse. Hatori se débarrassa de son vêtement, puis, il entreprit de délester Ayame de sa tunique, qui était aujourd'hui bleu clair. Il lui enleva ensuite la tunique qu'il portait en dessous, en l'embrassant toujours. Lorsqu'ils se séparèrent, Ayame était à moitié nu, rougissant, encore sonné par l'initiative de Hatori et très excité.

Ayame se redressa, et dans son dos, Shigure commença à se déshabiller. Après l'avoir noté, Hatori recommença à embrasser Ayame. Shigure enleva son kimono, ainsi que son kimono de dessous. Maintenant, le seul encore à peu près habillé était Hatori, à qui il restait toujours son pantalon. Ayame gémit lorsqu'il sentit la bouche de Shigure s'attaquer à son cou et mordiller sa peau. Apparemment, il allait être uke ce soir, et cette perspective lui plaisait beaucoup...

Hatori passa une main dans les cheveux longs et soyeux de Ayame et tira sa tête en arrière. Shigure profita de l'occasion pour le mordre un peu plus fort. Il fit gémir Ayame et lui laissa une belle trace ensanglantée.

Les mains de Hatori descendirent alors dans le dos de Ayame, caressant le creux de ses reins pour ensuite finir par se poser sur ses fesses, et les mains de Shigure vinrent caresser le torse de Ayame, pincer ses tétons, taquiner son nombril, pour ensuite venir se poser sur son sexe, qui déjà demandait la grâce d'être libéré d'un caleçon bien trop serré. Cette prière sembla entendue, du moins, en partie, par Hatori. Sa main passa en dessous du boxer de Ayame et alla caresser la raie de ses fesses, s'enfonçant légèrement à l'intérieur. Puis, la main passa devant et empoigna le sexe de Ayame pour entamer un lent va et viens. C'était beaucoup mieux comme ça, mais ce n'était pas encore ça. La main se retira, et Hatori se leva, à la grande déception de Ayame qui ne put retenir un gémissement de frustration. Heureusement pour lui, la main de Shigure vint prendre la relève de celle de Hatori.

Le médecin, qui s'était écarté, enleva d'un même mouvement son pantalon et son caleçon, il était, cette fois ci, le seul à être complètement nu.

Si il y a une chose que ses cousins purent comprendre en le voyant comme ça, c'est qu'il n'était certainement pas le moins excité. Hatori fit signe à Shigure de s'écarter, il obéit, mais seulement après avoir débarrassé Ayame de son boxer, au grand soulagement du couturier.

Hatori s'agenouilla devant Ayame et le poussa légèrement en arrière, le forçant ainsi à s'allonger. Le médecin alla ensuite embrasser son cousin, puis, sa bouche descendit plus bas, plus bas, toujours plus bas, elle s'arrêta un instant, pour sucer, lécher, mordiller le sexe fièrement érigé de Ayame, puis, elle descendit encore...

Hatori releva les jambes de Ayame et les écarta, sa langue alla doucement lubrifier l'anus de Ayame qui n'avait encore jamais été pris. Surpris par ce que faisait Hatori, il ne put s'empêcher de crier, mais les gémissements qui suivirent furent étouffés par la bouche de Shigure qui s'était posée sur la sienne. Hatori introduisit l'un de ses doigts en Ayame, son cousin se cambra, se crispa, mais se détendit lorsque la doigt eu bougé un peu en lui, alors Hatori en ajouta un autre. Après que Ayame se fut totalement habitué à cette présence étrangère, Hatori se dit qu'il pouvait y aller.

Il souleva les jambes de Ayame et les posa sur ses épaules, puis, doucement, il commença à le pénétrer. Hatori attendit que Ayame se détende avant de commencer à bouger, et lorsqu'il s'y mit, Ayame ne fut plus que soupirs, chaleur et gémissements, ne cessant de demander à Hatori d'aller plus vite, plus fort, plus profondément en lui...

Pendant ce temps, Shigure s'était levé, et, ayant enlevé son caleçon, il alla se placer derrière Hatori. Le médecin se crispa lorsqu'il sentit deux doigts à peine lubrifiés s'introduire en lui, mais cela ne dura qu'un instant, car les doigts s'étaient mis à bouger...

Lorsque Hatori se mit à remuer d'une façon aussi lascive qu'Ayame, Shigure le pénétra avec violence, sans pour autant réussir à lui arracher un gémissement de douleur... Il commença à se mouvoir en lui.

 

«Hah... Hatori... T'es pas si prude, en fait...» chuchota l'écrivain à l'oreille du médecin.

«Hein..? Mais... C'est vous qui... M'avez dévergondé... Hah... La semaine... Dernière...»

 

Répondit Hatori entre deux gémissements et deux respirations saccadées. Un sourire étira les lèvres de Shigure.

 

«Cool...» s'entendit dire le médecin.

 

Pour Ayame, l'orgasme était proche, car sous la violence des à-coups de Shigure, Hatori s'enfonçait chaque fois plus profondément en lui.

 

Ayame ne put que jouir lorsque Hatori, poussé en avant par Shigure, s'enfonça en lui plus loin qu'il ne l'avait jamais fait...

Hatori jouit lorsqu'il sentit l'anneau de chair de Ayame se resserrer autour de son sexe au moment de l'orgasme, un dernier à-coup et Shigure le suivit.

Le médecin posa sa tête sur le torse du couturier pour reprendre son souffle, pendant que Shigure reprenait ses esprits, avachi sur lui.

Finalement, Shigure se retira, et Hatori put s'écarter de Ayame.

 

«Il ne reste plus que toi Shigure», dit Hatori à son cousin en le regardant d'un aire moqueur.

 

«Je n'ai rien contre» répondit Shigure «Mais je préférerais être dans un lit je crois.»

 

«Mais c'est possible, ça, ramène toi par la.».

 

Hatori mena ses deux cousins à sa chambre, ou trônait un lit deux places, largement suffisant pour ce qu'ils comptaient faire... Hatori poussa Shigure, qui fut projeté sur le lit.

 

«Lèche» Ordonna le médecin, d'un ton qui ne permettait aucune contestation, en présentant deux de ses doigts à Shigure. L'écrivain s'exécuta, Hatori pouvait se montrer très convaincant lorsqu'il le voulait. Lorsque ses doigts furent assez lubrifiés, Hatori les retira. Shigure préféra se tourner.

 

«En levrette? Comme tu voudras» dis le médecin. Ayame observait la scène d'un air amusé et pervers.

Comme pour Ayame, Hatori introduisit doucement ses doigts à l'intérieur de Shigure, et il attendit qu'il se détende avant de les faire bouger. En même temps, il se mit à mordiller un peu l'oreille de Shigure, puis, il s'attaqua à son cou, puis, à son omoplate, et il lui fit payer la marque de la dernière fois... Lorsque Shigure fut près, Hatori le pénétra, sans violence, mais pas avec beaucoup de douceur non plus, c'est que Hatori avec très envie de lui faire également payer la façon dont il l'avait pris... Même si cela s'était révélé très agréable. Hatori commença de lents va et viens, lents, mais saccadés, et donc presque violents. Shigure gémissait à chacun de ses à-coups, mais peu à peu, il s'habitua, et demanda à ce que Hatori aille plus vite. Il s'exécuta.

Ayame, qui commençait à se sentir délaissé, alla se placer à la suite de Hatori. Il l'immobilisa, l'espace d'un instant, pour le pénétrer doucement. Et ce fut désormais Ayame qui imposa son rythme à Hatori, et ce fut donc le couturier, qui imposa son rythme à Shigure. Le médecin et l'écrivain étaient tous les deux dominés, et avec plaisir par Ayame.

Peu à peu, leur rythme s'accéléra, leurs gémissements se perdaient dans la pièce, qui semblait remplie du son de leur plaisir. Mais Ayame eut bientôt un gémissement qui domina tous les autres et c'est ensuite dans un cri de plaisir que le couturier jouit à l'interieur de Hatori. Il fallut peu de choses au médecin pour jouir à son tour, puis, ce fut Shigure.

Ils se séparèrent et s'allongèrent sur le lit pour reprendre leurs esprits, cette fois encore, Shigure et Ayame s'endormirent bien vite...

Hatori se dit que le rangement inévitable de la maison pouvait attendre demain, car il étai exténué. Il se dit aussi que, pour cette fois, il pouvait bien dormir à leurs côtés Il glissa doucement ses deux cousins dans le lit au draps souillés, puis, il s'allongea à côté d'eux, entre eux deux...

Lorsqu'il se réveilla le lendemain, Shigure et Ayame avaient tous les deux la tête posée sur son torse...

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 12 février 6 12 /02 /Fév 10:31

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«Combien de temps cela fait-il maintenant, que les deux andouilles ne sont pas venues sonner à ma porte? Un mois, c'est ça? Oui, ce doit être ça...». Hatori s'interroge vaguement, une coupelle de saké à la main. Il ne lui arrive que rarement de boire seul, mais lorsqu'il le fait, c'est qu'il est sur le point de mourir d'ennui... C'est à un tel point en ce moment, qu'il en viendrait presque à souhaiter une visite de ses deux cousins... Shigure et Ayame... La première fois qu'ils ont débarqué chez Hatori sans prévenir, ils ont réussi à le faire boire, et même, par la suite, à le baiser (il n'y a pas d'autre mot). Le problème, c'est qu'il avait apprécié. Résultat, la deuxième fois que Ayame et Shigure sont venus s'incruster chez lui, ils ont réussi à le baiser, sauf que Hatori n'était pas ivre. Et qu'il avait apprécié. Le pire? Hatori est devenu accro au sexe, c'est bien à cause de ça qu'un jour, alors qu'il se promenait en ville, il n'a pu se retenir d'entrer dans un sex-shop. Bien qu'une partie de lui se soit demandée ce qu'il foutait la, une autre partie se trouvait très à son aise, à peine s'était-il posé quelques questions en achetant godemichés, menottes, lanières de cuir et martinet... Depuis, pratiquement tous les soirs, Hatori se masturbe dans sa douche, généralement en utilisant un godemiché, l'un de ceux qu'il à choisit parce que la forme lui rappelait celle du pénis de Ayame ou de Shigure... Il a bien essayé d'utiliser le martinet, mais il n'a pas réussi à se faire vraiment mal, et au final, il n'a rien ressenti, ni douleur, ni quoi que ce soit d'autre. Et aujourd'hui, Hatori, qui à déjà pris sa douche, s'ennuie à mourir et se demande ce qu'il va bien pouvoir faire de plus. Hatori sortit de ses pensées lorsque le téléphone sonna, c'était Ayame :

 

-Hatori? Je me demandais si je pouvais venir dîner chez toi avec Shigure?

-Depuis quand est ce que tu demande avant de t'inviter? Répondit Hatori.

-Répond juste, s'il te plait.

 

Hatori réfléchit un instant.

 

-Vous avez une idée derrière la tête?

-Euh...

-Répond juste, s'il te plait.

-Oui...

 

Hatori réfléchit encore.

 

-Bon, d'accord.

 

Il raccrocha vite avant que Ayame se mette à hurler dans le combiné. Heureusement qu'ils n'étaient pas déjà la, ainsi, ils ne l'ont pas vu rougir. Ayame et Shigure arrivèrent peu de temps après, en apportant des plats du traiteur et des bouteilles d'alcool. Au moins, comme ça, Hatori se sentirait moins seul et il y aurait un peu (trop) d'agitation autour de lui... Ayame salua Hatori en lui sautant dans les bras et en l'embrassant avec fougue, puis, il s'écarta gaiement en disant :

 

-Puisque tu sais qu'on à une idée derrière la tête, c'est pas la peine de la cacher.

 

Hatori, les joues rouges de surprise, salua Shigure qui se contenta, pour sa part, d'un petit baiser sur les lèvres.

Ils se mirent à table et arrosèrent leur repas de saké bien sucré. Hatori se retrouva rapidement complètement ivre. Normal, puisqu'il avait commencé à boire seul et à jeun...

Fidèle à son habitude, ce fut Ayame qui commença. Dès la fin du repas, il se déplaça doucement vers Hatori pour aller l'embrasser tendrement... Puis, il tira sa tête en arrière et le mordit profondément à la gorge. Il fut très surpris par le gémissement de plaisir mêlé de douleur, que Hatori n'avait pu retenir. Il s'écarta de lui et s'exclama :

 

-Hatori ! Je ne savais pas que tu étais comme ça !

-Moi non plus, intervint Shigure, mais il faut croire qu'il l'est vraiment, regarde ce que je viens de trouver, il dépassait de sous un coussin du canapé.

 

Cette chose que brandissait victorieusement Shigure était un superbe martinet de cuir à neuf lanières que Hatori avait du laisser trainer un soir, en sortant de la salle de bain. Ayame empoigna Hatori par le menton et le força à le regarder.

 

-Tiens donc... Dis moi Hatori, tu as d'autre trucs comme ça?

 

Hatori rougissait un peu plus à chaque seconde et s'obstinait à regarder ailleurs.

 

-Hatori? Demanda Ayame en raffermissant sa prise sur le menton du médecin.

 

Ce fut un «Oui» très faible, que Hatori souffla en rougissant un peu plus.

 

-Ou? Demanda Ayame.

 

C'est toujours aussi faiblement et toujours sans regarder son cousin, que Hatori répondit :

 

-Dans le placard de ma chambre.

-Vraiment? Parfait, on va aller dans ta chambre alors !

 

Ayame souleva Hatori par le col de sa chemise et le força à marcher. Puisque Hatori aime la violence, il ne va pas se gêner. Arrivés dans la chambre, Ayame projeta Hatori sur le lit et regarda Shigure fouiller dans le placard. Effectivement, sur l'étagère, au dessus des vestes et des chemises, bien cachés dans des boites à chaussures apparemment vides, ils trouvèrent tout ce qui leur était nécessaire pour faire hurler Hatori de plaisir. Ayame et Shigure se déshabillèrent et gardèrent juste leurs caleçons. Le couturier s'assit à califourchon sur Hatori et lui enleva sa chemise sans plus de cérémonie. Il l'embrassa, puis, il descendit plus bas et il mordit ses tétons jusqu'au sang. La non plus, Hatori ne put retenir un gémissement. Ayame s'écarta et laissa à Shigure le soin d'enlever pantalon et boxer au médecin. Il saisit une lanière de cuir et en banda les yeux de Hatori.

 

-Comme ça, tu ne sauras pas ce qu'on te fera avant de le sentir, dit il.

 

Shigure vint rejoindre Ayame sur le lit et força Hatori à se retourner. Échangeant un regard avec son cousin, il se saisit d'une paire de menottes et attacha Hatori aux barreaux du lit. Ayame prit le martinet et en cingla le dos de Hatori avec force. Hatori hurla. Neuf marbrures rouges vinrent zébrer sa peau. Ayame recommença, et recommença encore. A chaque coup, la douleur semblait disparaître des cris de Hatori, pour laisser la place au plaisir. Shigure prit un godemiché et l'enfonça dans l'anus du médecin. Il fut surpris de voir que l'objet entrait sans peine.

 

-Tu dois faire ça tous les soirs, pas vrai?

 

Hatori ne répondit rien, Ayame le frappa à nouveau.

 

-Répond !

 

Hatori gémit, des larmes coulaient de sous son bandeau.

 

-Répond ! Hurla Ayame en le frappant encore. Le dos de Hatori était rouge de sang.

-Oui... Gémit-il.

-Tu fais ça tous les soirs? Demanda Ayame.

-Oui. Répondit Hatori, la voix brisée d'un sanglot. Ça faisait mal, mais c'était tellement bon...

 

Ayame le frappa encore, tandis que Shigure actionnait la vibration du godemiché et le faisait bouger en Hatori. Hatori gémit, hurla lorsque Ayame le frappa, soupira... Shigure posa une main sur son sexe, Ayame le frappa encore par deux fois. Il hurla de nouveau, il bandait, et pas qu'un peu, son érection lui faisait mal.

 

-J'y crois pas, Hatori ! T'es une vraie pute ! Dit Shigure.

-Oui... Répondit Hatori.

-Au moins il assume, fit Ayame.

 

Shigure avisa un élastique qui trainait sur la table de chevet. Il le prit et l'enroula autour du pénis de Hatori pour l'empêcher de jouir, puis, il retira le godemiché et le pénétra violemment. Il enchaina immédiatement avec des à-coups brutaux et violents, sans compter Ayame, qui arrêta Shigure un instant pour le pénétrer. Hatori était donc soumis à un rythme chaotique, qui le fit bientôt jouir, malgré l'élastique. Peu de temps après, il sentit Shigure jouir à l'intérieur de lui, et au cri qu'il entendit, il compris que Ayame avait du jouir lui aussi.

Il entendit un déclic et il sentit les menottes se desserrer autour de ses poignets. Tant mieux, car ses bras criaient grâce. Il quitta les menottes, vira ses cousins et s'allongea sur le dos. Mauvaise idée. Le sang de ses blessures avait commencé à coaguler. Ayame et Shigure étaient allongés à ses côtés.

 

-C'est pas mal comme ça, et en plus, t'as l'air d'aimer ça. Dit Ayame.

-Jusque dans une certaine mesure, oui, répondit Hatori, mais si maintenant vous pouviez être un peu plus doux, ça m'arrangerais...

-Ne t'en fait pas, on sera plus calmes, maintenant, conclu Ayame.

 

Il souleva les jambes de Hatori et le pénétra avec douceur. Surpris qu'il reprenne à nouveau si rapidement, Hatori comprit qu'il avait du se masturber à côté de lui, mais qu'il ne l'avait pas vu, puisque ses yeux étaient toujours bandés. Ayame n'était pas lent, mais il était doux, si doux que Hatori sentit le plaisir le gagner à nouveau. Il sentit son sexe durci sous les assauts d'Ayame, et le fait que Shigure lui fasse sucer le sien n'arrangeait rien. Shigure s'était placé à califourchon sur Hatori et avait pressé son sexe contre ses lèvres. Hatori avait tout de suite compris et l'avait pris en bouche, obéissant au rythme saccadé que lui imposait Shigure, et qui faisait contraste avec le rythme nuancé de Ayame. Dans un instant de bonté, le couturier retira l'élastique du sexe du médecin. Hatori jouit donc sans douleur, lorsqu'il sentit le sperme de Shigure couler dans sa gorge. Il entendit un cri et sentit le sperme de Ayame le parcourir de l'intérieur. Ses deux cousins le glissèrent tendrement dans le lit et se couchèrent de part et d'autre de lui. Ayame lui enleva son bandeau avec un petit baiser, et, pour une fois, Hatori, épuisé, s'endormit le premier.

 

Ce fut une torture pour lui de se décoller du drap en rouvrant ses blessures le lendemain. Heureusement, il put compter sur les bons soins de ses cousins qui, pour une fois, suivirent ses directives sans trop hurler et faire exprès de le fatiguer.

 

Hatori faillit faire une attaque lorsqu'un jour, Hatsuharu étant venu se faire examiner après avoir pris froid lui dit :

 

-Shigure, Ayame et toi, vous êtes encore plus amis qu'avant, non? Ils viennent chez toi presque tous les soirs...

 

Hatori s'était (heureusement) retenu de penser tout haut qu'ils avaient rangé les accessoires de SM au placard, car cela entrainait trop de désagréments par la suite (notamment une longue et secrète convalescence pour lui, et des draps rigides de sang, que ses deux crétins de cousins l'ont laissé laver à la main et seul).

 

 

 

 

 

P.S : cette fic et les deux d'avant étaient inspirées du manga "Fruit Basket"

 

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Samedi 19 février 6 19 /02 /Fév 11:11

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Ciel avait une fois de plus congédié violemment sa jeune fiancée, Mademoiselle Élisabeth Midford. Il faut dire que, une fois encore, elle s'était invitée sans prévenir et avait redécoré le manoir (et ses domestiques) en l'absence du jeune comte. Il avait eu un choc lorsqu'il avait vu Tanaka avec une perruque de Marie-Antoinette... Mais ce n'était pas la véritable raison de sa violence envers la jeune marquise, du moins, pas la première. Car le comte avait eu un choc encore plus grand lorsqu'il s'était rendu compte qu'il la désirait. Il avait été attiré par ses petits seins candides, qui transparaissaient à peine sous la lourde robe et le corset de la jeune fille. Il avait été attiré par ses lèvres tentantes, toujours riantes, bien qu'elles ne s'ouvrent que sur une voix grêle, plus qu'agaçante.

Ciel s'était rendu compte de son attirance avec horreur, car ce n'était certainement pas une attitude à avoir pour une personne de son rang, encore moins pour l'héritier de la famille Phantomhive... C'est pour cela que l'héritier en question, toujours attablé, avait plongé sa tête dans ses mains et n'avait pas touché à son repas du soir depuis dix minutes... Fort heureusement, Bardroy, May Linn et Finnian n'étaient pas la, mais rien n'échappe au clairvoyant Sebastian...

 

-Vos pensées de cet après midi vous tracassent, Monsieur?

 

Le comte Phantomhive releva brusquement la tête, les joues rouges, avec dans les yeux une envie de meurtre pour celui qui le mettait ainsi dans l'embarras.

 

-Tais toi.

 

Sebastian sourit.

 

-Rassurez vous, il est tout à fait normal à votre âge, d'avoir ce genre de pensées même si, il est vrai, que de toutes façons, vous ne vivrez jamais assez longtemps pour connaître le plaisir dans les bras d'une femme...

-Je t'ai dis de te taire. Dit froidement le jeune comte.

 

Sebastian sourit un peu plus et se plaça devant son maitre. Le regardant de haut, il demanda :

 

-Voulez vous coucher avec moi, Monsieur? Après tout, c'est votre seule occasion de partager un jour le lit de quelqu'un.

 

Ciel rougit violemment et s'exclama :

 

-Tu es fou ! Moi, coucher avec toi? Tu es un homme, voyons !

-Mais le fait que je sois un homme ne rendra la chose que plus agréable pour vous, Monsieur.

 

Crispé sur son siège, le jeune comte ne répondit rien. Oui, c'était sa seule occasion de coucher avec quelqu'un, il le savait, et oui, il avait très envie de coucher avec Sebastian, pour essayer au moins, mais c'était un homme, bordel ! Son majordome en plus... Et il angoissait un peu... La main de Sebastian se posa sur sa joue :

 

-Allons, Monsieur, n'ayez pas peur.

 

Sebastian releva la tête du jeune comte et approcha son visage du sien.

 

-Êtes vous d'accord?

 

Ciel baissa les yeux et s'avoua vaincu. Sebastian le suivit calmement jusqu'à sa chambre, la bas, Ciel s'assit sur le lit. Sebastian commença à le déshabiller, comme chaque soir avant que son maitre se couche. La différence, c'est qu'il se déshabilla également. Il ne leur restait maintenant, à tous les deux, qu'un simple sous vêtement. Timide, Ciel n'osait pas lever les yeux, après tout, il n'a que douze ans... Sebastian força doucement son maitre à s'allonger, il se positionna au dessus de lui et applique délicatement ses lèvres sur les siennes. La bouche de Ciel demeurait fermée, c'est à peine si il répondait au baiser.

 

-Voyons, Monsieur, si vous n'y mettez pas un peu du votre, ce ne sera agréable pour aucun de nous deux.

 

Ciel ne répondit rien, Sebastian recommença. Cette fois ci, il sentit les petites lèvres de son maitre venir timidement à la rencontre des siennes. Le Démon s'enhardit de ce succès et alla caresser de sa langue, la bouche si douce de son jeune maitre. Ce dernier entrouvrit légèrement les lèvres, et c'est avec plus de réticence encore, qu'il écarta ses dents. Il fut bien obligé de jouer le jeu, lorsque la langue de son majordome s'introduisit entièrement dans sa bouche. Et il se rendit compte, avec un peu de surprise, que c'était un jeu bien agréable. Il prit rapidement goût à ce genre de baisers chaleureux et finalement, ce fut presque à contre cœur qu'il accepta de se séparer du Démon. Sebastian regarda son maitre avec un petit sourire.

 

-Vous voyez Monsieur, c'est agréable.

 

Ciel, les joues rougies par le baiser, ne répondit rien. Sebastian l'embrassa légèrement sur les lèvres, puis, sur la joue, le cou, la gorge... Il descendit jusqu'au torse du jeune homme, mordillant, pinçant, léchant ses tétons. La respiration de Ciel était devenue saccadée, et il gémissait à chacun des baisers brûlants de son amant. Sebastian descendit un peu plus, laissant une trace brillante sur son passage, léchant le nombril de son maitre. Il posa doucement une de ses main sur le sexe érigé du jeune garçon, le frottant à travers le tissu de son sous-vêtement, Ciel gémit de plus en plus fort. Ébloui par le plaisir, il hurla à Sebastian de lui enlever ce morceau de tissu qui lui faisait si mal. «Yes, my Lord», répondit Sebastian, une main sur le cœur. Comme si, dans un moment pareil, son maitre allait se soucier de l'étiquette. Sebastian s'exécuta et débarrassa Ciel de ce vêtement qui le gênait tant. Il l'entendit même pousser un soupir de soulagement. Avec un sourire, le Démon se pencha sur le sexe si jeune, encore imberbe de son maitre et il l'embrassa doucement, le lécha sur toute sa longueur, suçota son gland. Un peu apeuré, Ciel commença à dire :

 

-Sebastian, tu ne vas pas...

 

Mais sa phrase fut étouffée par un cri de plaisir lorsque son majordome prit entièrement son sexe en bouche. Dès cet instant, le jeune comte disparu, pour laisser la place à un garçon de douze ans, hurlant et gémissant de plaisir sous les caresses d'un homme sachant particulièrement s'y prendre. Ciel gémissait sous les coups de langue du Démon et avait l'impression de se fondre dans sa bouche. Le respiration saccadée, il peinait à reprendre son souffle. Il ne put se retenir et jouit dans la bouche de Sebastian dans un hurlement de plaisir. Sebastian se redressa et avala, léchant son doigt après avoir essuyé une goutte blanche qui coulait de sa bouche.

 

-Délicieux, dit il. Maitre, voulez vous bien me faire ce plaisir?

 

Encore sous le choc de l'orgasme, le comte se déplaça comme un automate. Machinalement, il passa la main sur le sexe dressé de son majordome assit sur le lit. Avec des gestes un peu fébriles, il le dénuda entièrement, et avec un désir mêlé d'automatisme, il prit directement le sexe de Sebastian en bouche. Cherchant à donner à Sebastian le plaisir qu'il lui avait fait ressentir, guettant ses réactions, il s'appliquait à le faire gémir. Léchant son sexe, suçant ses bourses, mordillant son gland, Ciel apprit rapidement ce qui plaisait à Sebastian, et il était presque fier en entendant les gémissements de son majordome. Il le fut encore plus lorsqu'il sentit sa semence s'écouler dans sa gorge. Les joues rouges, Ciel s'écarta et, avala, sans trop de répugnance, le liquide sucré, et il accepta avec plaisir le baiser de Sebastian.

 

-Pardon de ne pas avoir eu le temps de vous prévenir, Monsieur.

 

Il sourit lorsqu'il se rendit compte que son maitre, les joues rougies par le plaisir, s'en foutait éperdument et espérais une suite. Se félicitant intérieurement d'avoir mis son maitre dans cet état, il lui présenta deux de ses doigts. Le jeune comte les lécha consciencieusement et fut presque déçu lorsque Sebastian les retira. Ciel s'allongea sur le lit et releva ses jambes. Même à douze ans, il se doutait bien de comment il fallait faire, quand même... Sebastian, guettant les réactions de son maitre, introduisit doucement l'un de ses longs doigts fins en lui. Son maitre se tendit, se crispa, gémit de douleur lorsqu'il sentit cette intrusion brutale, mais se détendit lorsque le doigt se fut mis à bouger et que la douleur fut passée. Voyant que son maitre allait mieux, Sebastian ajouta un second doigt. La douleur passa un peu moins vite cette fois, mais elle passa tout de même. Le Démon bougea ses doigts à l'intérieur de son maitre, et lorsqu'il fut redevenu rougissant, lorsque sa respiration fut redevenue saccadée, lorsqu'il s'agrippa aux draps en gémissant et qu'un filet de salive coula de ses lèvres, il les retira, sourd au gémissement de frustration de son maitre. Sebastian alla l'embrasser pour le consoler, puis, sa langue alla prendre la place de ses doigts. Ciel cria de surprise et recommença à gémir de plaisir. La langue brûlante de Sebastian s'enfonçait en lui, aussi profond qu'elle le pouvait, elle allait et venait et revenait à nouveau... Le respiration de Ciel devint erratique, et cette fois ci, ce n'est pas un gémissement de frustration, mais un cri d'indignation qui jaillit de ses lèvres lorsque Sebastian s'arrêta.

 

-Je suis ravi que ça vous plaise, Monsieur, mais pardonnez moi, il serait dommage que vous jouissiez maintenant, dit le Démon.

 

Sur ce, il pénétra son jeune maitre avec toute la lenteur et le douceur qu'il lui devait. Ciel hurla et se cambra sous la douleur. Le sexe de Sebastian était beaucoup plus gros que ses doigts. Mais après quelques va-et-viens, il se détendit. Ciel se remit à gémir et à soupirer, sa vision se brouilla et il ferma les yeux. Il sentait Sebastian aller et venir en lui, c'était une sensation tellement merveilleuse... Ciel avait du mal à respirer tant sa respiration était saccadée, des étoiles dansèrent devant ses yeux lorsqu'il les rouvrit et qu'il demanda à Sebastian d'aller plus vite... Ciel sentit le mouvement s'accélérer et il sentit Sebastian s'enfoncer profondément en lui. Il ne put s'empêcher de crier, encore et encore son plaisir, et c'est dans un hurlement de jouissance, qu'il éjacula sur son torse, lorsque, l'espace d'un instant, Sebastian devint plus violent. Il ne fallut à Ciel que quelques secondes de plus, pour sentir la semence de son majordome le parcourir. Sebastian se retira. Les yeux déjà embrumés par le sommeil, Ciel l'appela :

 

-Sebastian?

-Oui, maitre?

-Reste ici cette nuit, ah, et aussi...

-Oui?

-On pourra refaire ça de temps en temps?

 

Sebastian sourit, il s'inclina et posa une main sur son cœur.

 

-Yes, my Lord.

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 26 février 6 26 /02 /Fév 18:20

337119-ikkaku01_large.jpgKenpachi_Zaraki.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le calme règne à la Soul Society. Partout, même au QG de la 11ème division.

 

-Raaaaaaah, putain ! Fait chier ! Hurla Ikkaku, le vice capitaine de la 11ème division en shootant dans un caillou.

 

-Un problème Ikkaku?Lui demanda son effrayant capitaine, Kenpachi Zaraki.

 

-Ouais, il se passe jamais rien ici. C'est mort. Tout va toujours bien, y a personne à défier et aucune occasion de se battre.

-Ouais, moi aussi je m'ennuie.

-Tsssk, même pas quelqu'un à qui lancer un pari.

-Moi je veux bien parier, on se fait un pierre-papier-ciseaux si tu veux.

-Mais c'est pourri si il n'y a pas d'enjeu, ou alors, quelque chose qui fait regretter d'avoir perdu !

-Ok, on fait ça en une seule manche et le perdant se fait prendre.

-Quoi !? Demanda Ikkaku en rougissant violemment. Mais capitaine, vous êtes malade !

-Ben, tu voulais quelque chose qui fasse regretter d'avoir perdu...

-La c'est sur que... Commença le vice capitaine sans finir sa phrase.

-C'est bien la première fois que je te vois refuser un défi Ikkaku, répondit placidement Kenpachi.

-Je refuse pas ! S'exclama Ikkaku. Mais d'habitude, on me défie dans un combat ! Et puis depuis quand vous êtes gay, vous!?

-Aucune idée, j'ai encore jamais essayé avec un garçon... Mais j'en ai marre des filles, c'est tout gluant et ça jouit pas assez vite, c'est chiant... Et puis généralement, elles gueulent parce que je leur fait mal... Si elles ont pas encore pigé que je suis le capitaine de la 11ème division, faut pas coucher avec moi... Alors, ce défi?

 

«Faut pas que je perde, ou je vais vraiment le regretter» se dit Ikkaku.

 

-Ok, en une manche et le perdant se fait prendre ! Hurla-t-il en mettant une main derrière son dos. Allons-y ! Janken...

-Pon.

 

Ikkaku eut, l'espace d'un instant, envie de se faire muter dans une autre division. Il avait le ciseau, Kenpachi avait la pierre.

 

-T'as perdu Ikkaku, on se voit ce soir. Et t'avise pas de te défiler ou je dis au vieux Yama que t'as déserté.

 

Kenpachi se leva et rentra chez lui. Ikkaku n'avait pas le choix, le soir, il se présenta chez son capitaine.

 

-T'as du cran Ikkaku, je ne pensais pas que tu viendrais vraiment...

-La ferme ! J'ai pas le choix vu que bous avez menacé de me faire passer pour déserteur ! Allez, qu'on en finisse, et vite !

-Je ne pensais pas que tu serais si pressé... Dit Kenpachi en s'avançant vers Ikkaku avec son air de psychopathe habituel.

 

Bizarrement, Ikkaku se recula de trois pas. Kenpachi s'avança un peu plus, Ikkaku recula encore.

 

-Dit Ikkaku, t'es au courant qu'il y a un mur derrière toi?

 

Ikkaku se retourna et constata que le mur était effectivement très proche, deux pas de plus et il était coincé.

 

-Maintenant, tu ne peux plus t'échapper. Dit Kenpachi en embrassant rageusement Ikkaku et en introduisant de force sa langue dans sa bouche. Ikkaku chercha à résister, Kenpachi s'écarta et dit :

 

-Tu sais pas embrasser.

 

Ikkaku rougit.

 

-Tu ferais mieux de te résigner. T'as perdu, accepte au moins.

 

Ikkaku détourna les yeux, puis, se résigna. Il avait perdu et acceptait sa défaite. Surtout qu'il connaissait son capitaine, et qu'il savait qu'il lui ferait payer toute sa vie s'il se défilait. Kenpachi embrassa à nouveau Ikkaku, cette fois ci, il se laissa faire.

 

-Tu vois, c'est mieux comme ça. Dit Kenpachi avant de l'embrasser à nouveau, puis, il s'écarta et balança son vice-capitaine sur son épaule.

 

-Ou est ce que tu m'emmène !? Hurla Ikkaku.

-Dans ma chambre, tiens, tu veux vraiment te faire baiser contre un mur?

-Ah... Ok...

 

Kenpachi jeta Ikkaku sur son lit et sa plaça au dessus de lui.

 

-Alors, on y va? Demanda-t-il à Ikkaku qui avait envie de s'enfuir.

 

D'un geste, il enleva son kimono à Ikkaku, il l'embrassa de nouveau et se déshabilla. Horrifié, Ikkaku se rendit compte que Kenpachi bandait déjà.

 

-Finalement, ça a pas l'air mal avec un mec, dit Kenpachi.

 

Il embrassa Ikkaku et lui pinça violemment les tétons.

 

-T'inquiète pas, je vais faire en sorte que ce soit un minimum agréable.

 

Il alla de nouveau embrasser Ikkaku, et il se comporta plus ou moins comme avec toutes les filles avec qui il avait pu coucher, c'est à dire qu'il se fit violence contre lui même, pour faire preuve d'un peu de douceur, si contraire à sa nature. Il embrassa Ikkaku dans le cou, puis, il descendit et lui mordilla gentiment les tétons. Il descendit encore jusqu'à son sexe et entama une fellation. Sa langue s'enroulait autour du sexe dressé d'Ikkaku. Sa bouche allait et venait. Ikkaku n'en revenait pas, il ne pouvait pas croire que son capitaine soit en train de lui faire ça, ce n'était pas possible. Ikkaku n'arrivait pas à déterminer ce qui était le plus étrange : que son capitaine soit en train de le sucer ou qu'il y arrive plutôt bien? Sans qu'il s'en aperçoive, presque malgré lui, Ikkaku se mit à gémir et sa respiration s'accéléra jusqu'à en devenir presque saccadée. Kenpachi reproduisait les mouvements qui semblaient plaire à son vice capitaine, se félicitant presque d'arriver à le faire gémir d'une façon si lascive, mais il ne s'attendait pas à ce que Ikkaku jouisse dans sa bouche sans prévenir.

Il se redressa et regarda Ikkaku avec des envies de meurtre. Ikkaku eut soudainement envie de se cacher dans un trou (de souris voyons^^). Finalement, Kenpachi se pencha sur Ikkaku et le força à accepter un baiser, lui faisant ainsi avaler son propre sperme. Ikkaku faillit s'étrangler.

 

-Comme ça, je suis vengé. Dit Kenpachi.

 

Il présenta deux de ses doigts à Ikkaku.

 

-Lèche. Dit-il.

 

Ikkaku mit un peu de temps à s'exécuter, mais il le fit devant le regard de tueur de Kenpachi. Sachant ce qu'il voulait faire, il lécha consciencieusement les deux doigts qu'il lui présentait... Soudain, Kenpachi retira brusquement ses doigts et en introduisit un en Ikkaku sans prévenir. Ikkaku hurla, s'agita, se cambra sous l'effet de la douleur, pendant que Kenpachi faisait bouger son doigt en lui. Il n'attendit pas que le vice capitaine se soit habitué pour introduire un autre doigt. Des larmes coulèrent sur les joues d'Ikkaku, Kenpachi se mit à rire.

 

-C'est marrant que tu soit capable de supporter les pires blessures en rigolant et que tu chiale pour ça!

-Ta gueule, répondit Ikkaku.

 

Kenpachi retira brusquement ses doigts, Ikkaku hurla de nouveau.

 

-On ne parle pas comme ça à son capitaine, dit Kenpachi d'un air effrayant.

 

Puis, comme pour punir Ikkaku, il le pénétra violemment. Ikkaku hurla, ses larmes coulèrent de plus belle tandis que Kenpachi le pilonnait violemment, puissamment. Ikkaku saignait, il le sentait, Kenpachi le savait et il n'en avait rien à foutre. Ikkaku était incapable d'apprécier. Il l'aurait peut être pu si Kenpachi avait fait preuve d'un peu plus de douceur, juste un peu plus... Ikkaku ne put s'empêcher de supplier Kenpachi d'arrêter, les larmes ruisselaient sur son visage, mais le capitaine de la 11ème division resta sourd à ses prières, et Kenpachi prenait visiblement un plaisir intense à ce qu'il faisait. Ikkaku en eut la confirmation lorsqu'il sentit Kenpachi jouir à l'intérieur de lui. Il se retira, prit son kimono et parti se rhabiller dehors, Ikkaku dut se masturber seul. Il se résolut à ne plus jamais accepter de parier avec son capitaine, et à s'ennuyer en silence... Peut être que ça marcherait mieux avec Yumichika?

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 09:49

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En avance, parceque je serais pas la ce week end...

 

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Kanda et Lavi se faisaient la gueule dans le camion qui devait les mener jusqu'à leur destination finale. Ou plutôt, Kanda faisait la gueule à Lavi. Mais c'est normal, Kanda fait la gueule à tout le monde... Un fragment d'Innocence avait été repéré dans un petit village abandonné d'Italie, un trou perdu auquel on ne pouvait accéder qu'en camion, c'était un membre de l'expédition d'éclaireurs qui conduisait, ils devaient rouler toute la nuit et une partie de la journée suivante. Les hasards de l'affectation avaient conduit Kanda à travailler avec Lavi, ce stupide exorciste-Bookman qu'il ne peut pas supporter. Il ne peut pas supporter grand monde en fait. C'est pour ça qu'il préfère travailler seul. Lavi, qui se faisait royalement chier, tenta désespérément de détendre l'atmosphère :

 

-Hey, Kanda, regarde ce que j'ai amené <3

 

Kanda regarda et rougit brusquement, Lavi tenait une paire de dés coquins.

 

-Me crois tu suffisamment stupide pour jouer à ça avec toi? Répondit Kanda.

-Ouh, mais tu réagit bien violemment mon petit Yû... Serais tu encore puceau par hasard?<3

 

Kanda rougit un peu plus et arracha les dés des mains de Lavi.

 

-Ok, t'as gagné, on va jouer. Et je t'interdis de m'appeler comme ça, sale type !

-Tu es si facile à provoquer mon petit Yû... Vas y, commence...

 

Kanda se retint de frapper Lavi et jeta les dés. Ils roulèrent et s'arrêtèrent sur «Embrasser Lèvres».

 

-Ouh, ça commence bien <3 dit Lavi avec un sourire.

 

Cette fois ci, Lavi se prit une baffe... L'instant d'après, Kanda se jeta sur lui pour l'embrasser et en finir vite. Sa langue alla caresser les lèvres de Lavi qui ouvrit immédiatement la bouche et accepta le baiser de Kanda avec plaisir. La langue de Kanda s'enroulait autour de celle de Lavi d'une façon experte, et il ne manqua pas de le remarquer :

 

-Au moins, c'est pas ton premier baiser, dit il.

-Ferme la et joue.

-Ouh, mais c'est qu'il est pressé <3<3<3 répondit Lavi.

 

Il se prit une seconde baffe et lança les dés. Cette fois ci, les mots qui sortirent furent «Embrasser Seins». Kanda se débarrassa de son manteau et enleva son T-shirt. Lavi se pencha sur lui et le fit s'allonger. Il embrassa ses tétons, les lécha, les mordilla, d'une telle façon, que Kanda ne put s'empêcher de gémir faiblement. Lavi le remarqua mais ne dit rien. Il se redressa et Kanda lança les dés. L'un des deux décida de récidiver car les mots qui sortirent furent «Chatouiller Seins». Lavi se déshabilla à son tour et Kanda pinça, titilla, tortura les tétons de Lavi jusqu'à ce qu'ils se soient mis à durcir. Lavi lança les dés. Ils tombèrent cette fois sur «Sucer Organe».

 

-Enfin quelque chose d'intéressant <3 dit Lavi.

 

Kanda se déshabilla entièrement, donnant ainsi à voir à Lavi son sexe déjà fièrement érigé, bien malgré lui.

 

-Mais c'est que tu es déjà bien excité mon petit Yû<3 dit Lavi.

-Ferme la ou je te frappe encore, répondit Kanda.

-Non, s'il te plait, implora Lavi. ;(

 

C'est que Kanda frappait fort... Lavi s'agenouilla devant Kanda et embrassa son sexe fièrement dressé. Puis, il mordilla son gland et lécha la verge sur toute sa longueur. Kanda gémit lorsque Lavi prit son sexe en bouche. Lavi commença un lent va et viens, faisant hurler Kanda de frustration lorsqu'il ralentissait encore, et crier de plaisir lorsqu'il accélérait. Lavi avait désormais adopté un rythme rapide, Kanda ne pouvait retenir ses cris, ses gémissements lascifs. Au son de sa voix, Lavi comprit que s'il accélérait encore, kanda risquait de jouir. Il accéléra. Kanda jouit dans la bouche de Lavi qui sentit son sperme lui inonder la gorge. Lavi avala et alla embrasser Kanda.

 

-Yû? Appela-t-il.

-Mmmh? Répondit Kanda, encore sonné par l'orgasme.

-J'en ai marre de ses dés je crois. Dit-il en les jetant au fond du camion.

-Moi aussi, répondit Kanda.

 

Il alla embrasser Lavi et lui enleva son pantalon. Sa bouche descendit, mordillant la peau de son cou, léchant les tétons, pour arriver au sexe de Lavi qu'il prit immédiatement en bouche. Ce fut au tour de Lavi de gémir, car oui, Kanda s'y prenait bien. Lavi lécha deux de ses doigts. Kanda se crispa lorsqu'il sentit qu'il en introduisait un en lui, mais la douleur passa vite. Lavi ajouta un second doigt. La encore, Kanda se crispa, la douleur se ressentait dans ses mouvements, qui se faisaient plus saccadés par moment. Pour le plus grand plaisir de Lavi qui appréciait tout particulièrement les mouvements chaotiques. Les doigts de Lavi bougeaient en Kanda, dont le corps était parcouru de plaisir par vagues. Kanda sentit le sexe de Lavi gonfler dans sa bouche...

 

-Stop ! S'exclama Lavi. Kanda, arrête, je ne veux pas jouir maintenant.

 

Kanda s'arrêta, Lavi l'embrassa et le força à s'allonger.

 

-Tu es prêt? Demanda-t-il.

 

Kanda fit signe que oui. Lavi le pénétra doucement, si doucement qu'il se crispa à peine. Il commença de lents mouvements de va et viens et se mit rapidement à accélérer. Tous deux gémissaient, leurs respirations étaient saccadées, presque erratiques. Lavi s'enfonçait de plus en plus profondément en Kanda, qui le sentait bien. Chacun des à-coups de Lavi lui faisaient voir des étoiles. Leur plaisir était si intense, que l'orgasme les prit avant même qu'ils s'en rendent compte. Lavi lécha le sperme de Kanda et l'embrassa une dernière fois, puis, il s'écarta et s'allongea à côté de lui. Après un petit temps de récupération, ils se rhabillèrent et se préparèrent à se coucher.

 

-Yû? Appela de nouveau Lavi.

-Oui?

-On devrait partir en mission ensemble plus souvent.

 

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 08:54

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Je ne vous dis pas d'ou est tirée cette histoire, je pense que tout le monde sait^^ (bon, ok, c'est Final Fantasy pour les incultes)

 

***************************************************************************************************************************************

 

 

 

Cela faisait maintenant plusieurs années que Cloud n'avait pas couché avec qui que ce soit. La dernière fois, c'était avec Sephiroth, dans le camion qui les emmenait à Nibelheim, alors qu'il n'était encore qu'un tout jeune soldat. Cloud était vierge avant ce jour la, et il n'avait couché avec personne depuis.

 

-Putain, mais Sephiroth, t'es malade! Qu'est ce qu'il ta pris de violer ce gosse? Avait dit Zack à son réveil.

 

Mais Zack se trompait, Cloud n'avait pas été violé, il avait même grandement apprécié. Sephiroth avait offert un café à Zack. Cloud s'était bien dit qu'il devait être drogué lorsqu'il avait vu Zack s'effondrer comme une masse. C'est vrai, il avait eu un peu peur lorsqu'il avait vu Sephiroth s'approcher de lui avec un regard étrange, mais lorsqu'il lui avait tiré la tête en arrière et l'avait embrassé... Cloud s'était sentit décoller. Lorsque Sephiroth, lorsque le grand Sephiroth, ce soldat qu'il idolâtrait et à cause de qui il était entré dans l'armée lui avait fait comprendre qu'il l'intéressait, lorsque ce Sephiroth qu'il aimait depuis leur première rencontre l'avait embrassé, Cloud s'était senti partir pour le septième ciel... Il s'était laissé déshabiller et avait regardé Sephiroth se déshabiller à son tour. Cloud avait ainsi pu admirer le sexe de Sephiroth déjà érigé, c'était la première fois qu'il voyait un homme bander. Sephiroth s'était ensuite approché de lui et l'avait «forcé» à le sucer. Cloud s'était exécuté sans broncher. Il essayait de trouver ce qui pouvait lui faire plaisir. Sa langue s'enroulait autour du sexe de Sephiroth, sa bouche s'enfonçait et se retirait. Par moments, il était sur le point de s'étouffer, mais il n'en avait pas grand chose à faire. Il était trop excité.

Il avait quand même été surpris lorsque Sephiroth avait jouit dans sa bouche, et il avait un un mouvement de répugnance avant d'avaler, mais il l'avait fait. Il s'était ensuite retiré et Sephiroth avait prit sa main pour la poser sur son sexe. Il avait fait aller et venir sa main, lui intimant silencieusement l'ordre de le masturber. Puis, il avait lâché sa main, Cloud avait continué. Sa main allait et venait sur le sexe de Sephiroth qu'il sentait durcir sous ses doigts. Son pouce passait parfois sur le gland, son ongle s'enfonçait dans la petite fente si sensible qui s'y trouvait. La respiration de Sephiroth devenait de plus en plus saccadée, il gémissait parfois, lorsque Cloud faisait un mouvement qui lui convenait particulièrement. Soudain, Sephiroth avait posé une main sur la sienne pour l'arrêter. Il avait présenté à Cloud deux de ses doigts qu'il lui avait fait lécher, puis, Sephiroth l'avait fait s'allonger au fond du camion, sur son manteau, et il s'était penché sur lui pour l'embrasser. Cloud s'était crispé lorsque Sephiroth avait introduit un doigt en lui. Ça faisait mal. Une larme s'était mise à perler à ses yeux. Puis, Sephiroth avait bougé son doigt en lui, et Cloud avait pu aller mieux. Sephiroth avait donc mis son second doigt. Cette fois ci, la larme avait coulé sur la joue de Cloud. Sephiroth s'était penché sur lui pour l'embrasser et avait essuyé la larme avec tendresse. Il avait de nouveau fait bouger ses doigts et Cloud s'était de nouveau calmé, car il avait commencé à apprécier. A un moment, Sephiroth avait retiré ses doigts, et il avait doucement commencé a faire entrer son sexe en Cloud. Cloud avait crié, Sephiroth avait ralenti. Une fois complètement entré en lui, Sephiroth avait commencé à bouger, Cloud s'était mis à pleurer, mais Sephiroth allait doucement et bientôt, la douleur eut disparu. Sephiroth avait commencé à accélérer, cette fois ci, Cloud n'avait pas crié, ni pleuré, au contraire, maintenant il appréciait vraiment. Cloud sentait le plaisir monter en flèche, il gémissait, sa respiration s'accélérait sous les à-coups de Sephiroth qui allait de plus en plus vite. Cloud sentit le sexe de Sephiroth gonfler à l'interieur de lui, quelle sensation merveilleuse! Il hurla de plaisir lorsqu'il sentit le sperme de Sephiroth s'écouler à l'intérieur de lui, il cria et jouit sur son propre torse. Sephiroth s'était retiré, il avait léché le sperme de Cloud et était venu l'embrasser, ensuite, il l'avait aidé à se rhabiller et l'avait laisser dormir au fond du camion, dans son manteau pour qu'il ait chaud. Zack avait hurlé sur Sephiroth le lendemain, en apprenant ce qu'il avait fait, pendant que Cloud repensait à ce qui s'était passé sans aucun regret. Malheureusement, peu de temps après, Sephiroth était devenu comme fou. Il avait cherché à détruire le monde et Cloud l'avait tué une première fois, puis, il était revenu en possédant le corps de Kadaj. Le désir et l'amour avaient consumé le corps de Cloud pendant toute la durée du combat et pourtant, Cloud avait tué Sephiroth des ses propres mains. Par deux fois. Il se haïssait.

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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