Vous vous souvenez du One Shot que m'avait écrit mon amie Equinox? Celui entre Ayame et Yuki? Et bien voici
celui que je lui ai écrit en réponse.
Sinon, comme personne ne s'est fait chier à aller voter, je considère que ce blog n'est plus
interessant et que, si plus personne ne le visite, il n'est plus utile que je m'ennuie à le continuer en sachant que personne ne le lit... Etrange, mon niveau de blog rank indique un pic de
fréquentation, montrant qu'il y a au moins une personne à venir voir, mais pourtant, cette personne n'a jamais laissé de commentaire, et ne se sent pas concernée en sachant que je risque
d'arrêter d'écrire, je me sens aimée, merci... De toute façon, personne ne lira ça, alors bon...
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«Une
soirée bien arrosée!»
Ça avait commencé comme ça.
Ayame avait débarqué un soir chez Hatori alors que ce dernier était bien tranquille chez lui, en train de se
reposer après une dure journée. En effet, devoir maintenir la santé d'Akito, le chef de famille, dans un état stable, et surtout à peu près satisfaisant n'est pas de tout repos. Hatori était
rentré chez lui complètement épuisé, et voilà qu'Ayame arrive, complètement surexcité, comme d'habitude, et incapable de ne pas fatiguer les gens avec qui il se trouve, comme d'habitude
aussi.
Ayame avait débarqué dans l'intention de préparer à Hatori un bon dîner, pourquoi? Parce que celui ci devait
être fatigué par sa journée.
Ben voyons.
Voilà pourquoi Ayame s'était invité, et, pour une fois, refusait d'obéir aux injonction de Hatori, qui lui
demandait de s'en aller; pourtant, en temps normal, Hatori est le seul à qui Ayame obéisse...
Et évidemment, attiré par tout ce foutoir et aussi par la voix d'Ayame, qui était venu squatter? C'était
Shigure! L'un des seuls jours de l'année ou il passait à la résidence familiale, et il fallait qu'il s'invite chez Hatori, et oui!
Le dit bon repas de Ayame s'était comme par magie transformé en repas commandé chez le traiteur, par contre,
Ayame était lui même allé acheter, en compagnie de Shigure, plusieurs bouteilles de saké parfumé.
Hatori aurait bien aimé fermer la porte immédiatement après leur départ, mais malheureusement pour lui, les
deux cousins/frères presque siamois avaient pris un double des clés en partant. Peut être que si il laissait la sienne dans la serrure... Mais non, il ne l'avait pas fait, car le droit, le juste,
l'honnête Hatori s'était dit que ce serait faire preuve de méchanceté envers ses deux cousins, et maintenant, le Hatori en question, qui avait déjà un peu bu, se raccrochait désespérément à sa
conscience de médecin pour ne pas avaler tout un tube d'aspirine...
Ce ne fut que lorsque Hatori vit Shigure et Ayame se rouler une pelle monumentale, qu'il se rendit compte
qu'il avait du décrocher, et, déjà trop ivre pour réellement s'en étonner, il se demanda juste comment ils avaient pu en arriver la...
Lorsque les deux cousins se rendirent compte que le troisième les regardaient fixement, ils se séparèrent et
demandèrent d'une même voix «T'es jaloux Hatori?».
Hatori répondit juste d'un «Hein?» très spirituel, car, au final, il se
foutait royalement de ce qui se passait, au moins, quand ils s'embrassaient, ils ne parlaient pas, et, de cette façon, son mal de tête allait peut être pouvoir disparaître... Non, raté...
Ce n'est que quand Hatori vit les deux autres se rapprocher dangereusement de lui, qu'il se dit qu'il devait
y avoir un sérieux truc qui cloche... Sans compter que la lueur perverse qui se lisait dans leurs yeux ne présageait rien de bon.
«Bois donc un peu, Hatori» dirent-ils ensemble d'une voix
cajoleuse.
Hatori trouvait qu'il avait déjà assez bu, mais il accepta tout de même la coupelle de saké que Ayame lui
tendait. Et il en but une autre, puis encore une autre, Shigure remplissait les coupelles que Ayame lui tendait. Lorsqu'ils furent tout deux à peu près sur que Hatori n'était pas en état de
marcher, encore moins de s'enfuir, ils semblèrent considérer qu'ils pouvaient s'attaquer à sa chemise.
Hatori, en effet, se laissa faire. Il n'avait pas vraiment le choix, à moitié avachi par terre, appuyé sur
ses avant-bras, il semblait se concentrer pour ne pas vomir...
Ayame laissa Shigure terminer de déboutonner la chemise de Hatori et profita de sa faiblesse pour aller lui
mordiller la peau du cou et lui faire une marque que Akito ne manquerait pas de remarquer le lendemain. Note mentale : acheter du fond de teint.
Toujours plus ou moins plongé dans ses pensées, Hatori ne se réveilla que lorsqu'il sentit une bouche sur la
sienne. Aussi horrifié que le lui permettait l'alcool dans son sang, il se rendit compte que c'était celle de Ayame. Hatori essaya sans grande conviction de se débattre lorsqu'il sentit la langue
de son cousin s'introduire de force dans sa bouche, il cessa immédiatement lorsqu'elle entraina la sienne dans une dans plus qu'agréable.
Vaincu, Hatori s'allongea par terre.
Il sentit la bouche de Ayame quitter la sienne pour aller descendre dans son cou et lui faire un suçon, lui
laissant ainsi une seconde marque à cacher pour demain. Il sentit aussi les mains chaudes de Shigure se balader sur son torse, pincer, caresser ses tétons qu'il sentait durcir, puis les mains
redescendirent, redescendirent, l'une des deux s'arrêta à la ceinture, l'autre passa en dessous, pour aller caresser la bosse qui s'était formée dans son boxer d'une façon délicieuse et qui lui
procurait de merveilleux frissons. La main resta sur la bosse, mais s'arrêta de bouger un instant.
En relevant les yeux, Hatori s'aperçut que Ayame et Shigure s'embrassaient à nouveau passionnément. Avec une
pointe de consternation, il se rendit compte que oui, il était jaloux.
Ils se séparèrent, et ce fut cette fois Shigure qui s'empara de ses lèvres, pour un baiser alcoolisé.
Hatori se surprit à répondre avidement au baiser, et il ne pu retenir un profond gémissement lorsqu'il sentit
Ayame mordre sans douceur son sexe dur et gonflé à travers le tissu de son pantalon.
Shigure rompit le baiser et fit mine de vouloir aller aider Ayame, mais Hatori le retint et le força (pas
bien fort non plus) à un nouveau baiser qu'il dominait avec désir.
Une main vint remplacer la bouche sur son sexe. Ayame enleva son pantalon à Hatori et le caressa un instant à
travers le fin tissu de son boxer. Mais suite aux gémissements insistants, bien qu'à moitié étouffés de l'homme qui portait le sous vêtement, il décida de l'enlever, dévoilant ainsi le sexe de
Hatori fièrement érigé.
Pris d'une irrésistible envie d'y goûter, Ayame se pencha sur le pénis de Hatori et le lécha sur toute sa
longueur, se demandant quel effet cela ferait à l'homme à qui il appartenait.
Ayant entendu un gémissement sourd des plus satisfaisant, Ayame se dit que ça ne devait pas être mal, il prit
le sexe de Hatori en bouche et commença des mouvements de va et viens, ajoutant à ses mouvements celui de sa langue, qui s'enroulait et se déroulait autour du sexe du médecin... Les gémissements
de plaisir de ce dernier n'étaient presque pas contenus, car Shigure, ayant réussi à se débarrasser de son étreinte, lui faisait juste lécher deux de ses doigts. Hatori les humidifiait sans
problème, heureux d'avoir quelque chose dans la bouche.
Son visage rendu rougissant par le plaisir, faisait facilement comprendre aux deux cousins, que leur médecin
préféré avait perdu tout amour propre, toute retenue et toute pudeur. En fait, en le regardant, Shigure se dit qu'il devait faire ça tous les jours...
Shigure finit par retirer ses doigts, largement assez lubrifiés pour ce qu'il comptait faire.
Il les passa entre les jambes de Hatori et en fit doucement pénétrer un à l'intérieur de lui. Il se cambra un
peu et un gémissement de douleur se mêla aux gémissements de plaisir procurés par la fellation d'Ayame. Shigure fit bouger son doigt, et lorsque Hatori sembla s'être habitué à sa présence, il
ajouta l'autre. La aussi, Hatori se tendit, mais comme la première fois, la douleur passa vite. Le sexe de Hatori se gonfla dans la bouche de Ayame, qui se mit à sucer plus vite. Les doigts de
Shigure bougeaient en Hatori, sensation qui ne semblait absolument pas déplaisante, compte tenu de ses cris. Ayame sentit le sperme de Hatori lui inonder la bouche.
Il se retira et alla embrasser Shigure, il alla ensuite embrasser Hatori, lui faisant ainsi goûter son propre
sperme.
Considérant que Hatori en avait eu assez, et le laissant se remettre, Ayame retourna embrasser Shigure.
Mutuellement, ils se débarrassèrent de leurs vêtements. Ce fut au tour de Ayame de s'allonger sur le sol, ce fut au tour de la bouche de Shigure de venir s'occuper du sexe de Ayame, et ce fut au
tour de Ayame de gémir et de haleter sous l'effet du plaisir...
Et Hatori dans tout ça..?
Hatori les regardait, et ce fut non sans étonnement, qu'il se rendit compte qu'il se sentait délaissé, et
qu'il voulait avoir quelque chose dans sa bouche, qu'il voulait sentir du sperme couler dans le fond de sa gorge et un sexe à l'intérieur de lui. Lentement, il se leva et se débarrassa totalement
de sa chemise, qui lui était restée sur les épaules. Écoutant les gémissements d'Ayame, il alla se placer derrière Shigure et s'allongea sur le sol. Il écarta les jambes de son cousin et se
positionna en dessous de lui.
Shigure laissa échapper un petit cri, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori se refermer sur son sexe. Il gémit
lorsqu'il sentit sa langue s'enrouler autour. Il gémit encore, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori englober entièrement son sexe, aller et venir, suçoter le bout de son gland... L'excitation
faisait que Shigure accélérait ses mouvements sur Ayame, qui criait de plus en plus fort. Plus Shigure accélérait ses mouvements, plus Hatori accélérait les siens. Hatori entendit Ayame se
liberer dans la bouche de Shigure dans un râle de jouissance, et c'est avec plaisir qu'il avala le sperme de Shigure lorsqu'il jouit dans sa bouche quelques instants plus tard.
Ayame et Shigure prirent un peu de temps pour se remettre, devant Hatori, qui lui, n'avait pas jouit, et dont
l'érection commençait à être réellement douloureuse. En désespoir de cause, il résolut de se masturber lui même.
Il posa la main sur son sexe douloureux et commença à la faire aller et venir, accélérant ou ralentissant son
mouvement selon ses réactions. Prit dans son plaisir, il ferma les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte que Shigure et Ayame l'observaient, une coupelle de saké à la main, leurs sexes
de nouveau dressés.
«Je n'aurais jamais cru voir un jour le froid Hatori faire cela», dit
Shigure.
«C'est fou ce qu'on peu faire avec un peu d'alcool», répondit
Ayame.
La main de Hatori cessa de s'activer, avec envie, il regarda ses cousins. Puis, lentement, il s'avança et
alla embrasser Shigure, le poussant légèrement, il lui intima l'ordre de s'allonger sur le sol, puis, après avoir rapidement lubrifié le sexe de son cousin de sa langue, il se souleva et
s'abaissa violemment dessus.
C'est un pur gémissement de plaisir qui sortit de sa bouche. Hatori posa les mains de Shigure sur ses
cuisses, lui demandant silencieusement de le faire bouger. Shigure s'exécuta, et, entendant les cris de plaisir de Hatori, alla de plus en plus vite, pour le plus grand plaisir de son
cousin.
Entre deux gémissements de plaisir, Hatori appela Ayame, qui , jusqu'ici, n'avait fait que les
regarder.
Ayame se leva, enjamba Shigure, et se positionna devant Hatori. Ce dernier prit le sexe de son cousin en
bouche, accordant ses mouvements sur ceux que lui imposaient son autre cousin dans un premier temps, jusqu'à ce que Ayame décide lui aussi de lui imposer son rythme. Le sexe de Ayame s'enfonçait
profondément dans sa gorge, sans qu'il s'en soucie pourtant. Ayame et Shigure lui imposaient tous deux un rythme rapide, saccadé, violent, et Hatori, s'il l'avait pu, en aurait demandé plus. Il
était d'ailleurs sur le point de jouir.
Le sexe de Shigure pénétrant toujours plus loin à l'intérieur de lui, le sexe de Ayame s'enfonçant toujours
plus profondément dans sa gorge, lui procuraient des sensations absolument délicieuses, qu'il n'aurait pu ressentir s'il était resté avec Kana. Jamais il n'aurait pu expérimenter tant de
choses.
Son souffle était court et sa respiration saccadée, et les gémissements de ses deux cousins résonnaient à ses
oreilles. Il fut sur le point de jouir lorsque Ayame se libéra sans prévenir à l'intérieur de sa bouche, il le fit lorsqu'il sentit le sperme de Shigure le parcourir de l'intérieur.
C'en fut trop pour Hatori, il jouit puissamment sur le torse de Shigure. Hatori avala le sperme de Ayame qui
s'était affalé sur le sol, puis, il alla lécher son propre sperme sur le torse de Shigure, avant de l'embrasser. Le médecin s'écarta de l'écrivain et sentit le sperme de son cousin couler
délicieusement entre ses jambes lorsqu'il se leva, pour aller s'assoir à califourchon sur son autre cousin.
Hatori se pencha sur Ayame pour aller l'embrasser, afin de le réconforter, puis, sa bouche alla malmener tour
à tour les oreilles de son cousin, son cou, ses tétons. Shigure alla s'assoir sur les jambes de Ayame pour pouvoir caresser le torse du médecin à son aise, chose qui ne semblait absolument pas
gêner le médecin en question...
Ayame, qui avait été parfaitement revigoré par quelques minutes de ce traitement demanda à Shigure de
s'écarter. Shigure s'écarta. Non sans un gémissement de mécontentement de la part du médecin, qui avait senti le sexe de son cousin durci contre ses fesses, tout comme le sexe de son autre
cousin, qu'il avait senti durcir en dessous de lui.
Ayame sourit en entendant le gémissement de Hatori, puis, il se retourna violemment, et se retrouva donc en
position de dominant. Hatori se retrouva par conséquent les jambes écartées en dessous de son cousin, attendant impatiemment la suite, gémissant à l'idée de ce qui allait se passer, rougissant à
l'avance comme une vulgaire catin...
Loin de faire attendre son cousin,Ayame le pénétra violemment, le faisant crier sous la surprise. Il commença
des mouvements de va et viens puissants, sans douceur, faisant chaque fois hurler le médecin un peu plus fort, car rien ne retenait ses gémissements.
Shigure, lassé d'être délaissé, alla prendre devant Ayame la position que Hatori lui avait demandé de prendre
devant lui. Il se positionna au dessus de Hatori, et intima à Ayame l'ordre de le sucer, chose qu'il fit immédiatement. Hatori ferma les yeux pour ne pas avoir à profiter de la vue qui s'offrait
à lui. S'il regardait ce spectacle, le sexe de Shigure s'enfonçant encore et encore dans la bouche de Ayame, il ne tarderait pas à jouir.
Ayame s'enfonçait toujours plus profondément en lui, et il entendait ses gémissements étouffés par le sexe de
Shigure. Ce n'est que lorsqu'il sentit Ayame s'arrêter et qu'il entendit son gémissement surpris, lorsqu'il vit le visage de Ayame rougissant et un filet blanc couler de sa bouche, que le médecin
comprit que l'écrivain avait déjà du jouir.
Shigure retira son sexe de la bouche d'Ayame et le laissa respirer. Ayame toussa, puis, il avala. Shigure
reprenait ses esprits, allongé sur le sol. Ayame sembla enfin se rappeler que Hatori était la, et il recommença à se mouvoir en lui.Quelques mouvements suffirent au médecin pour qu'il jouisse à
son tour, et Ayame le rejoint après quelques mouvements de plus.
Hatori, dont les rythmes respiratoire et cardiaque recommençaient à devenir normaux à devenir normaux, se
rendit compte que Ayame s'était endormit. Tournant la tête, il s'aperçut que Shigure aussi.
Poussant un soupir, il se dégagea doucement de l'étreinte du couturier, et il alla coucher ses deux cousins
dans son lit. Ensuite, il entreprit de tout ranger, car la pièce donnait l'impression qu'une tornade y était passée. Après avoir terminé, il alla prendre une douche en titubant de fatigue, avant
de se coucher sur le canapé...
«C'est bien comme ça que ça s'est passé», pensa Hatori, qui revenait sur
les événements plus d'une semaine après.
Le lendemain, ils s'étaient tous les trois réveillés avec une gueule de bois monstrueuse, et Shigure et Ayame
feignaient tous les deux de ne pas se rappeler de ce qui s'était passé.
«Peu importe», pensa Hatori, il avait eu une dure journée, et ce soir,
il était fatigué. Il songeait sérieusement à aller prendre un bain, lorsque la sonnerie de sa porte d'entrée retentit, Shigure et Ayame étaient à la porte.
«Salut Hatori», dit joyeusement Ayame. «Je venais ici dans l'intention de te préparer à manger pour que tu
puisse te reposer, et en chemin, j'ai croisé Shigure! On peut commander quelque chose chez le traiteur si tu veux, on à acheté du sake!»
Pourquoi est ce que cette scène avait-elle un air de déjà vu?