Samedi 13 novembre 6 13 /11 /Nov 10:12

Kagen-no-Tsuki-Last-Quarter-1.jpg

 

 

Nouvelle fic très courte (6 chapitres) donc je publierai un chapitre à la fois. Je précise que, pour une fois, la Adam de l'histoire n'est pas le mien. L'histoire est inspirée d'un film dans lequel le rôle de Adam est tenu par Hyde, (le beau gosse que vous voyez au dessus en deux exemplaires), ex-chanteur le l'arc~en~ciel et actuel chanteur de VAMPS. Je vous met un lien vers le film en téléchargement (illégal évidemment), comme ça, même les lectrices paumées de l'ile de la Réunion devraient pouvoir l'avoir (même si la seule réunionnaise que j'avais m'a laissée tomber, Audrey et Zaida, vous êtes mon seul espoir... La semaine prochaine, je mettrai un lien vers le clip en relation avec le film, et les réunionnaises se démerderont...

 

Donc, lien vers le film => ICI

 

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Mon amant et moi, nous sortons du cinéma. Nous sommes allés voir un film un peu dark, et en même temps, un peu romantique, il s'agit du dernier "Dracula". A chaque fois que nous voyons ce film, quelle que soit la version, nous nous demandons pourquoi Dracula se tape Mina Harker et pas Johnatan, pourtant, Keanu Reeves est plutôt pas mal... Encore dans le film, nous ne faisons pas très attention à ce qui se passe autour de nous, les gens nous croient sans doute ivres, tant nous parlons et rions fort. Je suis un peu distrait, je m'arrête au bord d'un trottoir pour refaire mon lacet, mon amant traverse. J'entends un crissement de pneus et je relève la tête, j'ai tout juste le temps de crier :

 

-ADAM !!!

 

La voiture le heurte et il est projeté dans le sairs, la chauffard prend la fuite, pendant que Adam atterit quelques mètres plus loin. Je me précipite vers lui et je le prends dans mes bras, du sang coule de sa bouche et de sa tête, son regard se voile... Je pleure, je pleure sans pouvoir m'arrêter, en tremblant, j'appelle les secours, je serre Adam contre moi et je ne peux pas m'empêcher de pleurer. Sa respiration est difficile et il se met à tousser, je le redresse un peu et il relève les yeux vers moi, difficilement, il dit :

 

-Je t'aime mon ange... Pardonne moi... S'il te plait... Attends moi...

 

Mes sanglots redoublent et je le supplie de ne pas parler, j'entends au loin les sirènes de l'ambulance, je me dit qu'il pourra être sauvé, mais lorsqu'ils arrivent, il est déja trop tard, et je serre toujours son corps dans mes bras.

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 20 novembre 6 20 /11 /Nov 11:25

Kagen-no-Tsuki-Last-Quarter-2.jpg

 Superbe fanart.Clip en bas de la page.

 

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Je me réveille en sursaut, couvert d'une sueur froide dont une goutte coule le long de mon échine, le coeur affolé et le souffle court, comme tous les matins depuis 8 ans.

Cela fait déja 8 ans que Adam est mort et 8 ans que je revis cette scène chaque nuit. J'étais éffondré après sa mort, et je le suis toujours plus ou moins, seulement, j'ai trouvé une idée à laquelle me raccrocher. J'ai longtemps réfléchi au sens des ses derniers mots, "attends moi", et après une longue réflexion,j'au réussi à trouver. Adam et moi, nous étions tous les deux croyants, pas pratiquants, mais croyant, et dans notre religion -le bouddhisme- nous croyons à la réincarnation, mais ceux qui se suicident ne peuvent pas revenir. C'est la seule chose qui m'a retenu. Depuis 8 ans, je vis avec l'espoir de pouvoir un jour revoir Adam, c'est un espoir mince, certes, mais c'est un espoir quand même. Je ne suis pas totalement dupe non plus, je sais très bien que je me raccroche à cette idée parceque'elle est la seule chose qui me retient en vie, disons juste que je ne suis pas asser lâche pour me suicider, mais qu'il me faut quand même un pseudo prétexte pour ne pas le faire. Adam était toute ma vie et je ne peux supporter l'idée de ne plus jamais le revoir, alors je me raccroche à cette autre idée selon laquelle je le reverrai un jour.

A chaque fois que j'y repense, je me dit que Adam m'a sans doute sauvé la vie. J'étais un gamin des rues, un clochard, j'avais dix ans lorsqu'il m'a trouvé. Passé spécialiste en vol à la tire, je n'ai pourtant pas réussi à avoir son portefeuille. Il avait de meilleurs réflèxes que moi, et il m'a attrapé par le bras. Il m'a regardé et il m'é dit "T'es trop jeune pour voler", par la suite, il m'a ramené chez lui de force, en me tirant par le bras, j'ai éssayé de me dégager pendant tout le chemin mais je n'ai pas réussi. Il m'é hébergé chez lui, je me suis enfui plusieurs fois, mais à chaque fois, il m'a retrouvé.

Au final, j'étais coincé. Je ne comprenais pas pourquoi il ne m'emmenait pas chez les flics (qui me connaissaient pourtant).

Moi qui n'avait jamais connu la chaleur d'une maison, ni la chaleur humaine, encor moins l'amour, Adam a réussi à m'apprivoiser, et j'ai fini par rester chez lui, sans chercher à m'enfuir. Pour la première fois de ma vie, je me suis senti accepté, et j'ai réalisé qu'il faisait intégralement partie de ma vie.

De loup sauvage, je suis passé à chien apprivoisé, et je me suis rendu compte qu'il éprouvait sans doute pour moi les même sentiments que j'éprouvais pour lui. Du statut de chien, je suis passé à celui d'amant, voir même d'épouse, et je me suis rendu indispensable. Je voulais qu'il ne puisse pas se passer de moi, je voulais être le centre de sa vie.

J'ai séduit Adam, le chanteur de "Evil Eye" comme il m'avait séduit, et j'ai passé à ses côtés les deux plus belles anées de ma vie.

Tout à basculé ce jour de l'année de mes douze ans, ou un chauffard ivre l'a renversé. Depuis ce jour la, je ne réussi pas à l'oublier. Adam est la seule personne que j'ai aimée, la seule personne qui m'ait aimé, son souvenir est tout ce qu'il me reste et je m'accroche à ce souvenir. Parceque je sais qu'il ne souhaite pas ma mort et parcequ'il souhaite que nous nous retrouvions. Parceque si je me suicide, nous ne pourrons pas nous retrouver. Il souhaite que je l'attende alors je l'attends, et je l'attendrais le temps qu'il faudra parcequ'il est ma sele raison de vivre. Il m'a tout legué à sa mort, appartement, affaires et même argent, donc même si je devais le revoir le dernier jour de ma vie à moi, ou bien le dernier jour de sa nouvelle vie, je voudrais au moins lui dire "merci". J'aimerais le remercier pour m'avoir permis de continuer à vivre dans la dignité, parceque grâce à lui, je n'ai pas eu à retourner dans la rue. Et parceque grâce à lui,  j'ai pu connaitre le bonheur, même pendant deux ans. Si je devais le revoir le dernier jour de ma vie, alors ce serais à mon tour de lui demander de m'attendre, et je sais qu'il le ferais.

A sa mort, je me suis fait une promesse, c'est stupide, mais ça me donnen quelque chose de concret à quoi me rapprocher. Adam à toujours aimé que je porte les cheveux longs, jusqu'aux fesses, voir plus. Lorsqu'il est mort, je me suis juré de ne plus me couper les cheveux avant de l'avoir revu, du coup, ça fait 8 ans que je ne les ai pas coupés. Je les enroule autour de mon torse et de mes épaules, et je fais un noeud pour les tenir, et pour que ce soit plus facile, je les tresse. Lorsque je la déroule, ma natte tombe jusqu'au sol et me chatouille les pieds... Je la couperai lorsque j'aurais revu Adam, à sa longueur préferée, ou à celle qu'il voudra.

J'attendrai Adam le temps qu'il faudra, cette tresse est la preuve que je ne renonce pas. 

 

 

 

 

                                    
Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 11:25

Kagen no Tsuki Last Quarter 3

 

 

 

 

Bon, ça fait une demie heure que je pense au passé, il va peut être falloir que je me lève... Je mets un jean et une chemise noire, j'ai faim. Mais j'ai un problème : mon frigo est vide. Mais alors complètement, même pas une gelée de fruits ou un vieux bol de natto. Il faut que je sorte faire des courses.

Je prends mon manteau, mon portefeuille, et j'y vais. Il commence à faire frois, heureusement que je ne vais pas loin, juste au convini, au bout de la rue.

A l'instar de Naruto, je me nourris presque exclusivement de nouilles instantanées. Pourquoi? Juste parceque j'ai la flemme de cuisiner.Pour Adam, je cuisinais, mais pour moi, je ne vois pas l'interet.

J'entre dans le magasin et je me dirige tout de suite vers le rayon des plats préparés. Je remplis mon panier de nouilles, bentos, gâteaux de riz et biscuits apéro, et basta... Ils ont sorti un nouveau goût pour les ramens, ça m'à l'air bizarre, mais je peux toujours essayer. Quelqu'un me bouscule et je laisse tomber ma boite de nouilles, je me baisse pour la ramasser, mais l'homme le fait avant moi.

 

-Gomen.

 

Je n'arrive pas à en croire mes yeux, que je sens se remplir de larmes, pendant que l'une d'entre elles coule sur ma joue.

 

-Adam?

 

Il me regarde d'un air un peu gêné, il doit se demander pourquoi je pleure, il répond :

 

-Pardon?

 

Avec un pincement au coeur, j me rends compte qu'il ne me reconnait pas, je le tire de son embarras :

 

-Gomennasai, c'est juste que... Vous ressemblez à quelqu'un que j'ai connu.

 

Bouleversé, et incapable d'en supporter plus, je me dirige vers la caisse, coupant ainsi court à toute question gênante. Je n'arrive pas à retenir mes larmes, la caissière ne pose pas de questions, elle n'est pas la pour ça. Je vois tellement flou que je dois m'y reprendre à trois fois pour réussir mon code, la caissière me remercie et me dit au revoir en souriant. Le sourire, une règle d'or au Japon, et ne parlons pas du code de l'honneur...

Je suis fous de douleur. 8ans, je l'ai attendu pendant 8 ans, et il ne m'a pas reconnu. C'est lui, j'en suis sur, il a le même visage, le même nez, le même bouche, le même... Tout. Les mêmes yeux, d'une couleur indescriptible entre le bleu, le vert, le gris, le marron et le doré, la même courbure de nez, la même bouche rosée, la même couleur et la même ondulation de cheveux, la même coupe entre dreadlocks et cheveux courts, ils sont identiques jusque dans le style vestimentaire...

Je vois flou, mais pourtant, je marche droit devant moi, je passe mon temps à m'excuser tellement je me cogne dans les gens... Alors que j'arrivais devant chez moi, je sens une main se poser sur mon épaule, je me retourne, il m'a suivi.

 

-Excusez moi, mais... Vous semblez bouleversé... A cause de moi, et... Je ne comprends pas pourquoi...

 

C'en est trop, je lache mes sacs de courses et je tombe à genous, en éclatant en sanglots. Il a la même odeur, et comme si ça ne suffisait pas, il me serre contre lui. Il reste auprès de moi et il me serre dans ses bras jusqu'à ce que je m'arrête de pleurer, jusqu'à ce que je n'ai même plus assez de force pour ça. Il me relève, la pluie s'est mise à tomber, je ne sais pas depuis quand, mais nous sommes tous les deux trempés.

Il me ramène jusqu'à l'appartement, il semble penser que je vais trop mal pour rester seul, c'est vrai, mais il est finalement la dernière personne que je voudrai voir... Il me porte à moitié, je n'ai pas la force de marcher. Je lui donne mes clés pour qu'il ouvre la porte, il tombe en arrêt lorsqu'elle s'ouvre.

Je lui demande s'ily a un problème, il me dit que non, mais ses yeux disent le contraire. Ca doit lui rappeler des choses, je n'ai pratiquement rien changé depuis sa mort, mais apparement, il ne se souvient toujours pas, en tout cas, pas de moi. J'ai accroché sa guitare sur le mur, mais mon piano est toujours à la même place, la disposition de l'appartement est pratiquement identique à celle d'il y a 8 ans... Et d'ailleurs, cela fait aujourd'hui précisement 8 ans que Adam, le chanteur de "Evil Eye" est mort...

Sans un mot, je vais m'assoir au piano, je me mets à jouer cette mélodie qu'il m'a apprise, il voulait qu'on entende cette chanson au piano sur son album, mais à la place, c'est devenu son requiem... Ses yeux se perdent dans le vague et ils le restent un long moment après que j'ai finit de jouer, mais lorqu'il revient à lui, il ne se souvient toujours pas, et je suis toujours un inconnu pour lui.

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 11 décembre 6 11 /12 /Déc 09:28

Kagen-no-Tsuki-Last-Quarter-4.jpg

 

 

 

 

C'est étrange, je ne sais pas du tout ce qu'il m'arrive...

D'ou viennent ces souvenirs qui ne sont pas les miens? Enfin, ces souvenirs... Ce ne sont pas des souvenirs, ni des flashs backs, c'est pire que des images subliminales, ces images passent si vite que je n'ai pas le temps de les analyser et de m'en souvenir... Tout me semble comme impregnéd'une sensation de déja vu, c'est juste ça.

J'ai l'impression que j'ai déja vu ce gosse, j'ai l'impression que je devrais le connaitre, mais je n'arrive pas à m'en souvenir... Je ne sais pas pourquoi, mais son odeur m'est familière, et maintenant que je suis rentré dans cet appartement, j'ai l'impression que je devrais tout connaitre. Et cette mélodie qu'il a jouée, à cause de laquelle mon coeur s'est mis à battre à cent à l'heure, pourquoi? Je n'y comprends plus rien.

Il est toujours assis devant son piano, mais maintenant il s'est arrêté de jouer et il me regarde sans me voir.

Je vais à lui et je lui caresse la joue pour le faire revenir, il sursaute, avant de prendre ma main et de l'embrasser.

Je connais ce gosse, je suis sur que je le connais, mais dans ce cas, pourquoi est ce que je n'arrive pas à me rappeler de lui? Je lui dit qu'il devrait prendre une douche s'il ne veut pas attraper froid, il répond que je suis aussi trempé que lui. Il à raison, nous sommes tous les deux trempés jusqu'au os, il faudrait essorer nos vêtements avant de les faire secher...

Il se lève, mais il est trop fatigué et ses jambes ne peuvent plus le porter, je le rattrape dans sa chute. Je le prends dans mes bras et je le porte jusqu'à la salle de bain. Je ne connais pas cet appartement, mais je sais ou elle est, ça aussi c'est étrange...

Lentement, avec des gestes les plus doux possibles, je le deshabille et j'attends que l'eau chauffe. Lorsque tout est bon, je le reprends dans mes bras et je le pose assis dans la douche.

Il se laisse faire sans réagir, avec son regard vide, comme mort, il ressemble à un fantôme... Son coeur est glacé, et quelque part, je sais que c'est à cause de moi, mais je ne sais pas pourquoi. Alors je vais tout faire pour que son coeur se réchauffe.

Woaw, je n'avais pas vu que ses cheveux étaient si longs, il les a enroulés et noués autour de son torse et de ses épaules, et je sais que c'est la marque d'une promesse, sans doute faite à lui même...

Rapidement, je quitte mes vêtements glacés et je vais le rejoindre dans la douche.

Son regard est toujours vide, sans expression.

Je le relève et je le fais s'appuyer contre le mur de la douche pour qu'il reste debout. Je dénoue ses cheveux et sa natte tombe jusqu'au sol. Je lui enlève son élastique, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie de sentir ses cheveux couler entre mes doigts...

Je le lave doucement, en le frictionnant pour le réchauffer, bizarrement, je me demandais s'il n'allait pas se mettre à bander, mais non, il reste placide, imperturbable.

Depuis tout à l'heure, il n'a pas dit un mot. Tpujours aussi lentement, patiemment, je lave ses cheveux, centimètre par centimètre. Il doit bien faire un mètre soixante-dix, un mètre soixante-quinze, donc ça me fait la même taille de cheveux à laver. Je prends mon temps, je ne suis pas pressé.

Ce gosse est triste, j'ai l'impression qu'il a besoin de moi, mais qu'en même temps, il me repousse, et je resterais ici jusqu'à ce que je sache pourquoi, ou bien jusqu'à ce qu'il n'ait plus besoin de moi, du moins, dans l'immédiat.

Lorsque j'ai fini de laver ses cheveux, je les rince, et jele repose contre le mur. Il se laisse glisser et s'assoit. Je me lave rapidement.

Lorsque je sors de la douche, j'attrape une serviette avec laquelle je me sèche, et je l'enroule autour de ma taille. J'attrepae une autre serviette etje le sors de la douche, je le sèche rapidement, vigoureusement pour qu'il n'ait pas froid, il tient debout maintenant. Lorsque je pose la serviette, il s'éclipse et il disparait dans une autre pièce. Lorsqu'il revient, il est habillé, il a passé un bras sous ses cheveux et les relève, pour qu'ils ne trainent pas par terre. Il me tend des vêtements en disant :

 

-Ils appartenaient à mon ex-petit ami.

 

Lorsque je lui demande pourquoi il les garde, il répond :

 

-On a pas rompu, il est mort.

 

Je m'excuse pour ma question indiscrète, il répond quie ce n'est rien, je me dit qu'il serait peut être tant que je me présente, je commence à parler.

 

-Je m'appelle...

-Adam, je sais.

 

Je reste silenciex. Je ne sais pas comment il a su mon nom, mais j'ai de plus en plus l'impression que je ne suis vraiment pas étranger à sa tristesse...

Il me remercie pour être resté et pour l'avoir soutenu alors que je n'y étais pas obligé.

Il est tard, il me propose de rester pour le dîner, j'accepte.

Je ne sais pas pourquoi,mais j'ai envie de rester avec ce gosse.

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 18 décembre 6 18 /12 /Déc 16:04

hude-kagen-no-tsuki-last-quarter-4.jpg

 

 

 

Avant ça, je peigne ses longs cheveux avec soin, avec un de ces peignes très fins qu'utilisent les geishas, je ne sais pas ou il à eu ça. C'est un travail assez long et qui prend plusieurs hueres, vu la masse de cheveux et leur longueur, heureusement que je n'ai pas plus faim que ça... Lorsque je termine, il me dit qu'il faut qu'il ressorte acheter des légumes. Effectivement, j'ai vu ce qu'il a acheté : que des gâteaux et des plats préparés, c'est sur que c'est pas très diététique, je me demande comment il fait pour rester aussi fin d'ailleurs...

Je me propose pour l'accompagner, je pourrais porter quelques sac, et comme il pleut toujours, je pourrais tenir le parapluie et je serai sur qu'il ne rentrera pas trempé.

Je tresse ses cheveux et il met une écharpe pour ne pas les sentir dans son cou. Il met un manteau et m'en tend un autre, à son ex aussi sans doute. Comme tous les autres vêtements qu'il m'a passé, le manteau est parfaitement à ma taille.

Nous retournons au convini du bout de la rue et il achète des légumes et de la viande. Je lui demande ce qu'il compte préparer, et il me répond qu'il veut faire du riz au curry. Il connaissait mon nom, alors est ce qu'il savait aussi que c'est mon plat préféré?

Arrivés chez lui, il refuse que je l'aide à cuisiner, alors je m'assois à une chaise de la table de la cuisine et je le regarde.

Il a mit un tablier et enlevé son écharpe, sa tresse passe dans son cou et j'ai beaucoup de mal à ne pas le regarder, j'ai envie d'écarter ses cheveux et de l'embrasser.

Je ne connais toujours pas son nom, mais ses talents en cuisine laissent à penser qu'il est plus doué que le montre le contenu de ses sacs de courses. D'une main de maitre, il épluche et coupe les légumes avant de les mettre à cuire. Il les rajoute au poulet et ajoute les cube de curry avant de laisser le plat mijoter. 4 cubes de curry doux : un moyen de relever, sans que ce soit trop fort, exactement comme j'aime, comment peut-il connaître mes goûts aussi bien?

Il abandonne le plat un instant pour venir mettre la table, le plus vite possible, pour pouvoir retourner à son curry. Je m'écarte lorsqu'il se penche vers moi pour poser mon bol, mon assiette et mes baguettes. Avant de partir, il a mis un parfum qui parvient maintenant à mes narines : de l'essence de vanille. L'une de mes deux odeurs préférées.

Il retourne vite à son plat et enlève l'écume qui se forme, s'il ne le fait pas, le goût s'en ressentira.

Il apporte le plat sur la table et il me sert en riz et en poulet, il ouvre une bouteille de saké et, en hôte parfait, il remplit ma coupelle. Je me rends compte qu'il a disposé sur mon assiette un petit bâton de canelle. Rien à voir avec le plat, mais j'ai compris l'allusion : la canelle est la deuxième odeur que je préfère.

Le curry est délicieux, je me demande pourquoi quelqu'un qui cuisine aussi bien que lui ne cuisine pas pour soi, c'est dommage, c'est comme s'il refusait de se faire plaisir... Mon interrogation à du se lire dans mes yeux, car il dit :

 

-Autrefois, je cuisinais pour mon amant, mais maintenant qu'il n'est plus la, je ne vois pas l'interet de le faire juste pour moi, mais si vous rester un peu avec moi, je le ferai pour vous.

 

Je souris, je vais rester un peu alors. Surtout que je n'ai jamais rien mangé d'aussi délicieux. Je mange du curry très souvent, et pourtant, c'est la première fois qu'il est aussi bon.

Il joue son rôle d'hôte jusqu'au bout, en remplissant mon verre d'eau et ma coupelle de saké à chaque fois que je les vide. Nous discutons, mais je ne pose jamais de questions sur son passé, que j'ai d'ailleurs l'impression de connaitre tout au fond de moi. Et il ne me pose pas de questions sur moi, puisqu'il semble me connaitre déja.

Mon verre d'eau et ma coupelle de saké sont pleins, signe que je ne veux plus boire. Il débarasse la table et me propose quelques gelées de fruits qu'il à achetées tout à l'heure, ou bien quelques gâteaux, qu'il n'a malheureusement pas pu faire lui même. Je choisis une gelée au litchi et un gâteau de riz gluant fourré à de la pate de haricot rouge. Le curry était si bon que j'éspère vraiment pouvoir goûter un jour les gelées de fruits et les gâteaux qu'il aura confectionnés.

Lorsque le repas est totalement finit, la tablé débarassée et la vaisselle faite, je lui dis que je vais m'en aller, mais lorsque je regarde par la fenêtre, il pleut toujours dehors, et au final, je n'ai pas envie de partir.

Cela à du se lire sur mon visage, car il me dit que je peux rester pour la nuit si je veux. Je veux bien et je le remercie pour son invitation, il répond que c'est bien  peu de choses, comparé à ce que j'ai fait pour lui tout à l'heure. Je ne comprends pas vraiment, mais il dit que ce n'est pas grave. Il me retourne face à lui, et doucement, ses lèvres se posent sur les miennes.

Je m'adosse contre le mur et je me laisse aller à ce baiser qui à lui aussi un goût de déja vu. 

Ses lèvres sont douces et sa langue est agile, mais c'est un baiser calme, doux, sans empressement, et maintenant, je me rends compte que j'en avais envie depuis longtemps... Il me demande si je veux dormir avec lui, dormir, pas coucher, pourquoi pas? J'accepte, j'ai envie de ça.

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 09:43

Kagen-no-Tsuki-Last-Quarter-5.jpg

 

 

 

 

Je me déshabille et il me fait signe de m'installer dans le lit. Je le regarde se dévêtir, c'est étrange la façon dont ce gosse m'attire... Aujourd'hui, c'était la première fois que je le voyais, pourtant, quand je regarde son corps, j'ai l'impression de le connaître par cœur, jusque dans ses moindres recoins. Je suis sur que, si nous faisions l'amour, je serais capable de l'exciter juste en touchant ses tétons, en faisant glisser ma main dans le creux de ses reins et en l'embrassant dans le cou... Peut être qu'un jour, j'aurais l'occasion de vérifier, qui sait? J'ai même l'impression que quelque part, c'est ce qu'il souhaite, j'ai l'impression qu'il me désire, sans vouloir de moi pour autant...

Il vient me rejoindre dans le lit et se couche à côté de moi, il se blottit dans mes bras et me serre contre lui, il niche a tête au creux de mon cou. Il dort en caleçon, comme moi. Je m'endors environné d'une odeur de vanille, réchauffé par sa douce chaleur humaine, le nez dans le soyeux de ses cheveux.

 

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Lorsque je me réveille, l'odeur de vanille est toujours la, mais la chaleur ne l'est plus. Je me redresse, il n'est que 8h30 du matin. Je me lève et je m'habille, lorsque je me rends à la cuisine, c'est un petit déjeuner complet qui m'attend sur la table : un bol de riz, un bol de soupe miso, un bol de natto, et même un petit poisson grillé, sans oublier une tasse de thé vert...

Ou est ce qu'il a trouvé le temps d'acheter et de cuisiner tout ça? Il doit être levé depuis longtemps.

Il me regarde et me sourit :

 

-Ohayo! Je vous avais bien dit que je cuisinerai pour vous.

 

Je lui souris à mon tour, je ne peux m'empêcher de le saluer d'un baiser, aussi doux et calme que celui d'hier. Je le serre contre moi et je retrouve cette odeur de vanille que j'aimais tant, et il y a même aujourd'hui, de la cannelle. Lorsqu'il s'écarte de moi, je comprend d'où viennent ces deux odeurs : il a des fleurs de vanille et des bâtons de cannelle dans les cheveux. Il s'est travesti aujourd'hui, il porte une petite robe blanche qui lui arrive au dessus des genoux et ses cheveux sont lâchés, juste légèrement relevés pour ne pas trainer. Parsemés de fleurs de vanille et de bâtons de cannelle, une partie de ses cheveux est nouée en une lourde torsade qui tombe jusqu'au sol. Il est vraiment très beau comme ça.

Je m'assois pour manger et il se joint à moi. Il n'est pas très causant ce matin, et je n'ai moi même pas grand chose à dire, donc nous sommes chacun concentrés sur nos assiettes, bonjour l'ambiance...

De temps en temps, je relève la tête et je le regarde, lui par contre, il reste le nez planté dans son bol de riz... Il a l'air triste et j'ai l'impression que ma présence le fait souffrir...

Après le repas, il débarrasse la table et refuse à nouveau que je l'aide à faire la vaisselle, alors comme hier, je m'assois et je le regarde. J'ai beau réfléchir, je ne vois pas ce que j'ai pu faire pour le mettre dans cet état. Il insiste pour que je reste, mais paradoxalement, ma présence semble lui être presque insupportable...

Lorsqu'il se retourne et qu'il s'aperçoit que je le regarde, je détourne brusquement les yeux. Je ne sais pas d'où me vient cette timidité soudaine, mais, étrangement, je ne veux pas qu'il puisse penser qu'il me perturbe et que je le désire. Parce que oui, il me perturbe et je le désire. Il ne dit rien et il retourne à sa vaisselle.

Lorsqu'il a fini, il s'essuie les mains et vient me voir. Sans que je puisse réagir, il s'assoit à califourchon sur mes genoux et il m'embrasse. Doucement, avec un frisson, je me laisse enlacer et je répond vivement à son baiser. Ma main semble comme guidée vers la fermeture éclair de sa robe, et c'est presque machinalement que je l'ouvre. Ma main glisse dans son dos tandis qu'il se débarrasse de son vêtement. Je le sens frissonner contre moi. Il a un piercing au téton gauche, que je vais mordiller, il sursaute lorsqu'il sent mes dents tirer sur ce petit anneau de métal.

Lentement, ma bouche remonte dans son cou, parsemant sa peau de baisers qui le font frissonner. Ma bouche s'arrête à la base de sa gorge pour lui faire un suçon qui lui arrache d'adorable gémissements.

Je termine par un morsure qui lui laisse une marque profonde, parcourue de sang.

Il sursaute et crie mon nom, je sens son érection dure contre moi et son cri réveille d'étranges souvenirs en moi... Je revois des images d'une vie qui n'est pas la mienne, mais qui fait partie de moi, un nom s'impose à mes lèvres...

 

-Akira?

 

Il me regarde d'un air ébahi, c'est son nom, j'en suis sur. Il ne me l'a jamais dit mais je le sais, parce que je me souviens de lui, parce que j'ai vécu avec lui dans une autre vie...

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 09:38

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Il se souvient? Il se souvient vraiment de moi? Est ce que c'est possible?

Je sens une larme qui coule sur ma joue, d'un revers de main, il l'essuie. Est ce que c'est bien vrai? Est ce que je peux y croire? Il me regarde avec des yeux remplis de douceur et il me serre contre lui en disant à nouveau :

 

-Akira.

 

C'est idiot, je sais, on dirait un mauvais film à l'eau de rose, mais je ne peux^m'empêcher de me blottir dans ses bras en disant juste :

 

-Adam.

 

Je le sens bouger un moment, il me fait relever la tête et m'embrasse. Mes yeux se ferment, je les rouvre lorsque j'entends le bruit caractéristique d'une paire de ciseaux en action. Je m'écarte de lui et je me retourne. La plus grande partie de mes cheveux git par terre, il les à coupés juste au dessus des fesses, à la longueur qu'il préfere, et une lourde masse de cheveux vient de tomber au sol, me libérant ainsi d'un certain poids.  Lorsque je me retourne vers lui et que je le vois sourire, de ce sourire la, le sourire de Adam, je me remet à pleurer. Et lorsqu'il me serre à nouveau contre lui, mes larmes couloent de plus belle.

Je le veux, maintenant. Je veux avoir la preuve qu'il est bien mon Adam.

"Je t'aime" chuchote-t-il à mon oreille, je pensais ne plus jamais entendre ça...

Je m'écarte de lui et me lève, ma robe tombe au sol et il sourit. Ben oui, j'ai gardé un caleçon en dessous, la robe est assez longue et elle n'est pas fendue, alors j'allais pas mettre un string... Sans compter que c'est très désagréable à porter...

Je me rassois sur lui et je l'embrasse, tout en le débarassant de sa chemise. Mes doigts fins glissent sur son torse et le font frissonner. Il a très bien compris ce que je veux (c'était pas bien difficile à deviner non plus...) et il entreprend de dégrafer son pantalon. Nos bouches se séparent et il se soulève un peu pour pouvoir enlever son pantalonb et son caleçon, c'est pas facile dans un fauteuil... J'envoie sa chemise, qui était restée sur ses épaules, valser au sol.

Nos bouches se rejoignent à nouveau et nous nous embrassons sauvagement, il me mord la langue pendant que je lui griffe le dos. Deplus en plus de gémissements s'échappent de nos bouches toujours liées.

Je me soulève un peu pour qu'il puisse m'enlever mon caleçon, ou du moins, me le baisser, parceque je ne me lèverai pas une seule seconde.

Je gémis lorsque je me rassois et que je sens le sexe dur de Adam sous mes fesses. Il me fait rapidement sucer deux de ses doigts et je me tends lorsque je les sens s'introduire en moi.

8 ans, ça fait 8 ans que je n'ai pas couché avec qui que ce soit.

Ses doigts bougent, vont et viennent en moi, ils se plient, tournent, en m'arrachant à chaque fois un gémissement plus fort, provoquant à chaque fois une vague de plaisir plus intense.

Adam réussit avec peine à me débarasser de mon caleçon, il commençait à devenir gênant, c'est vrai.

Adam me soulève doucement et s'iontroduit en moi, je me cambre, et un cri de plasior sort de ma bouche. Comment avais-je pu oublier toutes ces sensations!? Adam me mordlle le lobe de l'oreille et sa bouche descend dans mon cou, mordillant légerement ma chair. Je me cambre, et sous l'effet du plaisir, je me penche en arrière pour lui offrir une surface de peau plus grande.

Je sens le sexe de Adam aller et venir en moi. Il me tient fermement par les cuisses, je sais que j'aurais des bleus demain...

Le souffle de Adam est court lorsqu'il revient m'embrasser. Il me mord la langue et réprime un cri de jouissance lorsque je sens son sperme s'écouler en moi. Moi, mon cri, je ne le retient pas, c'est jsute qu'il est étouffé par la bouche de Adam toujours collée à la mienne. Je jouis sur son torse et je viens lécher ma propre semence pour lui faire avaler.  J'ai sentit son sperme couler entre mes jambes lorsque nous nous sommes levés pour retourner nous coucher.

Adam et moi, nous sommes restés au lit toute la journée et toute la nuit d'après, nous avons refait l'amour plusieurs fois, et lorsque je me suis réveillé la matin suivant, j'ai su que j'avais retrouvé l'homme que j'avais perdu il y a 8 ans. Et son âme ne m'avait jamais quittée, car sinon, son corps n'aurait pas pu me retrouver...

 

 

 

                                                                    FIN

Par kagura - Publié dans : Kagen no Tsuki : Last Quarter - Communauté : Communauté gay
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Samedi 29 janvier 6 29 /01 /Jan 15:07

Vous vous souvenez du One Shot que m'avait écrit mon amie Equinox? Celui entre Ayame et Yuki? Et bien voici celui que je lui ai écrit en réponse.

 

Sinon, comme personne ne s'est fait chier  à aller voter, je considère que ce blog n'est plus interessant et que, si plus personne ne le visite, il n'est plus utile que je m'ennuie à le continuer en sachant que personne ne le lit... Etrange, mon niveau de blog rank indique un pic de fréquentation, montrant qu'il y a au moins une personne à venir voir, mais pourtant, cette personne n'a jamais laissé de commentaire, et ne se sent pas concernée en sachant que je risque d'arrêter d'écrire, je me sens aimée, merci... De toute façon, personne ne lira ça, alors bon...

 

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                                           «Une soirée bien arrosée!»

 

 

Ça avait commencé comme ça.

Ayame avait débarqué un soir chez Hatori alors que ce dernier était bien tranquille chez lui, en train de se reposer après une dure journée. En effet, devoir maintenir la santé d'Akito, le chef de famille, dans un état stable, et surtout à peu près satisfaisant n'est pas de tout repos. Hatori était rentré chez lui complètement épuisé, et voilà qu'Ayame arrive, complètement surexcité, comme d'habitude, et incapable de ne pas fatiguer les gens avec qui il se trouve, comme d'habitude aussi.

Ayame avait débarqué dans l'intention de préparer à Hatori un bon dîner, pourquoi? Parce que celui ci devait être fatigué par sa journée.

Ben voyons.

Voilà pourquoi Ayame s'était invité, et, pour une fois, refusait d'obéir aux injonction de Hatori, qui lui demandait de s'en aller; pourtant, en temps normal, Hatori est le seul à qui Ayame obéisse...

Et évidemment, attiré par tout ce foutoir et aussi par la voix d'Ayame, qui était venu squatter? C'était Shigure! L'un des seuls jours de l'année ou il passait à la résidence familiale, et il fallait qu'il s'invite chez Hatori, et oui!

Le dit bon repas de Ayame s'était comme par magie transformé en repas commandé chez le traiteur, par contre, Ayame était lui même allé acheter, en compagnie de Shigure, plusieurs bouteilles de saké parfumé.

Hatori aurait bien aimé fermer la porte immédiatement après leur départ, mais malheureusement pour lui, les deux cousins/frères presque siamois avaient pris un double des clés en partant. Peut être que si il laissait la sienne dans la serrure... Mais non, il ne l'avait pas fait, car le droit, le juste, l'honnête Hatori s'était dit que ce serait faire preuve de méchanceté envers ses deux cousins, et maintenant, le Hatori en question, qui avait déjà un peu bu, se raccrochait désespérément à sa conscience de médecin pour ne pas avaler tout un tube d'aspirine...

Ce ne fut que lorsque Hatori vit Shigure et Ayame se rouler une pelle monumentale, qu'il se rendit compte qu'il avait du décrocher, et, déjà trop ivre pour réellement s'en étonner, il se demanda juste comment ils avaient pu en arriver la...

Lorsque les deux cousins se rendirent compte que le troisième les regardaient fixement, ils se séparèrent et demandèrent d'une même voix «T'es jaloux Hatori?».

Hatori répondit juste d'un «Hein?» très spirituel, car, au final, il se foutait royalement de ce qui se passait, au moins, quand ils s'embrassaient, ils ne parlaient pas, et, de cette façon, son mal de tête allait peut être pouvoir disparaître... Non, raté...

Ce n'est que quand Hatori vit les deux autres se rapprocher dangereusement de lui, qu'il se dit qu'il devait y avoir un sérieux truc qui cloche... Sans compter que la lueur perverse qui se lisait dans leurs yeux ne présageait rien de bon.

«Bois donc un peu, Hatori» dirent-ils ensemble d'une voix cajoleuse.

Hatori trouvait qu'il avait déjà assez bu, mais il accepta tout de même la coupelle de saké que Ayame lui tendait. Et il en but une autre, puis encore une autre, Shigure remplissait les coupelles que Ayame lui tendait. Lorsqu'ils furent tout deux à peu près sur que Hatori n'était pas en état de marcher, encore moins de s'enfuir, ils semblèrent considérer qu'ils pouvaient s'attaquer à sa chemise.

Hatori, en effet, se laissa faire. Il n'avait pas vraiment le choix, à moitié avachi par terre, appuyé sur ses avant-bras, il semblait se concentrer pour ne pas vomir...

Ayame laissa Shigure terminer de déboutonner la chemise de Hatori et profita de sa faiblesse pour aller lui mordiller la peau du cou et lui faire une marque que Akito ne manquerait pas de remarquer le lendemain. Note mentale : acheter du fond de teint.

Toujours plus ou moins plongé dans ses pensées, Hatori ne se réveilla que lorsqu'il sentit une bouche sur la sienne. Aussi horrifié que le lui permettait l'alcool dans son sang, il se rendit compte que c'était celle de Ayame. Hatori essaya sans grande conviction de se débattre lorsqu'il sentit la langue de son cousin s'introduire de force dans sa bouche, il cessa immédiatement lorsqu'elle entraina la sienne dans une dans plus qu'agréable.

Vaincu, Hatori s'allongea par terre.

Il sentit la bouche de Ayame quitter la sienne pour aller descendre dans son cou et lui faire un suçon, lui laissant ainsi une seconde marque à cacher pour demain. Il sentit aussi les mains chaudes de Shigure se balader sur son torse, pincer, caresser ses tétons qu'il sentait durcir, puis les mains redescendirent, redescendirent, l'une des deux s'arrêta à la ceinture, l'autre passa en dessous, pour aller caresser la bosse qui s'était formée dans son boxer d'une façon délicieuse et qui lui procurait de merveilleux frissons. La main resta sur la bosse, mais s'arrêta de bouger un instant.

En relevant les yeux, Hatori s'aperçut que Ayame et Shigure s'embrassaient à nouveau passionnément. Avec une pointe de consternation, il se rendit compte que oui, il était jaloux.

Ils se séparèrent, et ce fut cette fois Shigure qui s'empara de ses lèvres, pour un baiser alcoolisé.

Hatori se surprit à répondre avidement au baiser, et il ne pu retenir un profond gémissement lorsqu'il sentit Ayame mordre sans douceur son sexe dur et gonflé à travers le tissu de son pantalon.

Shigure rompit le baiser et fit mine de vouloir aller aider Ayame, mais Hatori le retint et le força (pas bien fort non plus) à un nouveau baiser qu'il dominait avec désir.

Une main vint remplacer la bouche sur son sexe. Ayame enleva son pantalon à Hatori et le caressa un instant à travers le fin tissu de son boxer. Mais suite aux gémissements insistants, bien qu'à moitié étouffés de l'homme qui portait le sous vêtement, il décida de l'enlever, dévoilant ainsi le sexe de Hatori fièrement érigé.

Pris d'une irrésistible envie d'y goûter, Ayame se pencha sur le pénis de Hatori et le lécha sur toute sa longueur, se demandant quel effet cela ferait à l'homme à qui il appartenait.

Ayant entendu un gémissement sourd des plus satisfaisant, Ayame se dit que ça ne devait pas être mal, il prit le sexe de Hatori en bouche et commença des mouvements de va et viens, ajoutant à ses mouvements celui de sa langue, qui s'enroulait et se déroulait autour du sexe du médecin... Les gémissements de plaisir de ce dernier n'étaient presque pas contenus, car Shigure, ayant réussi à se débarrasser de son étreinte, lui faisait juste lécher deux de ses doigts. Hatori les humidifiait sans problème, heureux d'avoir quelque chose dans la bouche.

Son visage rendu rougissant par le plaisir, faisait facilement comprendre aux deux cousins, que leur médecin préféré avait perdu tout amour propre, toute retenue et toute pudeur. En fait, en le regardant, Shigure se dit qu'il devait faire ça tous les jours...

Shigure finit par retirer ses doigts, largement assez lubrifiés pour ce qu'il comptait faire.

Il les passa entre les jambes de Hatori et en fit doucement pénétrer un à l'intérieur de lui. Il se cambra un peu et un gémissement de douleur se mêla aux gémissements de plaisir procurés par la fellation d'Ayame. Shigure fit bouger son doigt, et lorsque Hatori sembla s'être habitué à sa présence, il ajouta l'autre. La aussi, Hatori se tendit, mais comme la première fois, la douleur passa vite. Le sexe de Hatori se gonfla dans la bouche de Ayame, qui se mit à sucer plus vite. Les doigts de Shigure bougeaient en Hatori, sensation qui ne semblait absolument pas déplaisante, compte tenu de ses cris. Ayame sentit le sperme de Hatori lui inonder la bouche.

Il se retira et alla embrasser Shigure, il alla ensuite embrasser Hatori, lui faisant ainsi goûter son propre sperme.

Considérant que Hatori en avait eu assez, et le laissant se remettre, Ayame retourna embrasser Shigure. Mutuellement, ils se débarrassèrent de leurs vêtements. Ce fut au tour de Ayame de s'allonger sur le sol, ce fut au tour de la bouche de Shigure de venir s'occuper du sexe de Ayame, et ce fut au tour de Ayame de gémir et de haleter sous l'effet du plaisir...

Et Hatori dans tout ça..?

Hatori les regardait, et ce fut non sans étonnement, qu'il se rendit compte qu'il se sentait délaissé, et qu'il voulait avoir quelque chose dans sa bouche, qu'il voulait sentir du sperme couler dans le fond de sa gorge et un sexe à l'intérieur de lui. Lentement, il se leva et se débarrassa totalement de sa chemise, qui lui était restée sur les épaules. Écoutant les gémissements d'Ayame, il alla se placer derrière Shigure et s'allongea sur le sol. Il écarta les jambes de son cousin et se positionna en dessous de lui.

Shigure laissa échapper un petit cri, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori se refermer sur son sexe. Il gémit lorsqu'il sentit sa langue s'enrouler autour. Il gémit encore, lorsqu'il sentit la bouche de Hatori englober entièrement son sexe, aller et venir, suçoter le bout de son gland... L'excitation faisait que Shigure accélérait ses mouvements sur Ayame, qui criait de plus en plus fort. Plus Shigure accélérait ses mouvements, plus Hatori accélérait les siens. Hatori entendit Ayame se liberer dans la bouche de Shigure dans un râle de jouissance, et c'est avec plaisir qu'il avala le sperme de Shigure lorsqu'il jouit dans sa bouche quelques instants plus tard.

Ayame et Shigure prirent un peu de temps pour se remettre, devant Hatori, qui lui, n'avait pas jouit, et dont l'érection commençait à être réellement douloureuse. En désespoir de cause, il résolut de se masturber lui même.

Il posa la main sur son sexe douloureux et commença à la faire aller et venir, accélérant ou ralentissant son mouvement selon ses réactions. Prit dans son plaisir, il ferma les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte que Shigure et Ayame l'observaient, une coupelle de saké à la main, leurs sexes de nouveau dressés.

«Je n'aurais jamais cru voir un jour le froid Hatori faire cela», dit Shigure.

«C'est fou ce qu'on peu faire avec un peu d'alcool», répondit Ayame.

La main de Hatori cessa de s'activer, avec envie, il regarda ses cousins. Puis, lentement, il s'avança et alla embrasser Shigure, le poussant légèrement, il lui intima l'ordre de s'allonger sur le sol, puis, après avoir rapidement lubrifié le sexe de son cousin de sa langue, il se souleva et s'abaissa violemment dessus.

C'est un pur gémissement de plaisir qui sortit de sa bouche. Hatori posa les mains de Shigure sur ses cuisses, lui demandant silencieusement de le faire bouger. Shigure s'exécuta, et, entendant les cris de plaisir de Hatori, alla de plus en plus vite, pour le plus grand plaisir de son cousin.

Entre deux gémissements de plaisir, Hatori appela Ayame, qui , jusqu'ici, n'avait fait que les regarder.

Ayame se leva, enjamba Shigure, et se positionna devant Hatori. Ce dernier prit le sexe de son cousin en bouche, accordant ses mouvements sur ceux que lui imposaient son autre cousin dans un premier temps, jusqu'à ce que Ayame décide lui aussi de lui imposer son rythme. Le sexe de Ayame s'enfonçait profondément dans sa gorge, sans qu'il s'en soucie pourtant. Ayame et Shigure lui imposaient tous deux un rythme rapide, saccadé, violent, et Hatori, s'il l'avait pu, en aurait demandé plus. Il était d'ailleurs sur le point de jouir.

Le sexe de Shigure pénétrant toujours plus loin à l'intérieur de lui, le sexe de Ayame s'enfonçant toujours plus profondément dans sa gorge, lui procuraient des sensations absolument délicieuses, qu'il n'aurait pu ressentir s'il était resté avec Kana. Jamais il n'aurait pu expérimenter tant de choses.

Son souffle était court et sa respiration saccadée, et les gémissements de ses deux cousins résonnaient à ses oreilles. Il fut sur le point de jouir lorsque Ayame se libéra sans prévenir à l'intérieur de sa bouche, il le fit lorsqu'il sentit le sperme de Shigure le parcourir de l'intérieur.

C'en fut trop pour Hatori, il jouit puissamment sur le torse de Shigure. Hatori avala le sperme de Ayame qui s'était affalé sur le sol, puis, il alla lécher son propre sperme sur le torse de Shigure, avant de l'embrasser. Le médecin s'écarta de l'écrivain et sentit le sperme de son cousin couler délicieusement entre ses jambes lorsqu'il se leva, pour aller s'assoir à califourchon sur son autre cousin.

Hatori se pencha sur Ayame pour aller l'embrasser, afin de le réconforter, puis, sa bouche alla malmener tour à tour les oreilles de son cousin, son cou, ses tétons. Shigure alla s'assoir sur les jambes de Ayame pour pouvoir caresser le torse du médecin à son aise, chose qui ne semblait absolument pas gêner le médecin en question...

Ayame, qui avait été parfaitement revigoré par quelques minutes de ce traitement demanda à Shigure de s'écarter. Shigure s'écarta. Non sans un gémissement de mécontentement de la part du médecin, qui avait senti le sexe de son cousin durci contre ses fesses, tout comme le sexe de son autre cousin, qu'il avait senti durcir en dessous de lui.

Ayame sourit en entendant le gémissement de Hatori, puis, il se retourna violemment, et se retrouva donc en position de dominant. Hatori se retrouva par conséquent les jambes écartées en dessous de son cousin, attendant impatiemment la suite, gémissant à l'idée de ce qui allait se passer, rougissant à l'avance comme une vulgaire catin...

Loin de faire attendre son cousin,Ayame le pénétra violemment, le faisant crier sous la surprise. Il commença des mouvements de va et viens puissants, sans douceur, faisant chaque fois hurler le médecin un peu plus fort, car rien ne retenait ses gémissements.

Shigure, lassé d'être délaissé, alla prendre devant Ayame la position que Hatori lui avait demandé de prendre devant lui. Il se positionna au dessus de Hatori, et intima à Ayame l'ordre de le sucer, chose qu'il fit immédiatement. Hatori ferma les yeux pour ne pas avoir à profiter de la vue qui s'offrait à lui. S'il regardait ce spectacle, le sexe de Shigure s'enfonçant encore et encore dans la bouche de Ayame, il ne tarderait pas à jouir.

Ayame s'enfonçait toujours plus profondément en lui, et il entendait ses gémissements étouffés par le sexe de Shigure. Ce n'est que lorsqu'il sentit Ayame s'arrêter et qu'il entendit son gémissement surpris, lorsqu'il vit le visage de Ayame rougissant et un filet blanc couler de sa bouche, que le médecin comprit que l'écrivain avait déjà du jouir.

Shigure retira son sexe de la bouche d'Ayame et le laissa respirer. Ayame toussa, puis, il avala. Shigure reprenait ses esprits, allongé sur le sol. Ayame sembla enfin se rappeler que Hatori était la, et il recommença à se mouvoir en lui.Quelques mouvements suffirent au médecin pour qu'il jouisse à son tour, et Ayame le rejoint après quelques mouvements de plus.

Hatori, dont les rythmes respiratoire et cardiaque recommençaient à devenir normaux à devenir normaux, se rendit compte que Ayame s'était endormit. Tournant la tête, il s'aperçut que Shigure aussi.

Poussant un soupir, il se dégagea doucement de l'étreinte du couturier, et il alla coucher ses deux cousins dans son lit. Ensuite, il entreprit de tout ranger, car la pièce donnait l'impression qu'une tornade y était passée. Après avoir terminé, il alla prendre une douche en titubant de fatigue, avant de se coucher sur le canapé...

 

«C'est bien comme ça que ça s'est passé», pensa Hatori, qui revenait sur les événements plus d'une semaine après.

Le lendemain, ils s'étaient tous les trois réveillés avec une gueule de bois monstrueuse, et Shigure et Ayame feignaient tous les deux de ne pas se rappeler de ce qui s'était passé.

«Peu importe», pensa Hatori, il avait eu une dure journée, et ce soir, il était fatigué. Il songeait sérieusement à aller prendre un bain, lorsque la sonnerie de sa porte d'entrée retentit, Shigure et Ayame étaient à la porte.

«Salut Hatori», dit joyeusement Ayame. «Je venais ici dans l'intention de te préparer à manger pour que tu puisse te reposer, et en chemin, j'ai croisé Shigure! On peut commander quelque chose chez le traiteur si tu veux, on à acheté du sake!»

Pourquoi est ce que cette scène avait-elle un air de déjà vu?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 5 février 6 05 /02 /Fév 14:24

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Bon, Elodie, t'as interet à passer et à laisser un com de temps en temps, parceque c'est juste pour toi que je fais ça><

Cette histoire et les neuf autres qui vont suivre font partie d'un recueil que j'ai écrit pour mon amie Equinox en cadeau de Noël, elle m'a autorisée à les publier et ça m'arrange, parceque je ne sais absolument pas quoi écrire en ce moment....

 

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«Salut Hatori» dit joyeusement Ayame. «Je venais ici dans l'intention de te préparer à manger pour que tu puisse te reposer, et en chemin, j'ai croisé Shigure ! On peut commander quelque chose chez le traiteur si tu veux, on a acheté du saké!».

 

Pourquoi cette scène avait-elle un air de déjà vu? Hatori se posait sérieusement la question, tout en connaissant pertinemment la réponse. Qu'est ce que ses deux cousins venaient foutre ici? Hatori poussa un soupir et les laissa entrer. Ayame se conduisit comme d'habitude, c'est à dire comme s'il était chez lui. Shigure se conduisit sensiblement pareil que son cousin, mais il eu tout de même la correction de demander à Hatori si il n'était pas trop fatigué par sa journée.

 

«Ça dépend de ce que vous comptez faire ce soir» Répondit-il d'un ton las. Malheureusement pour lui, il ne se rendit compte qu'après, de son double sens, mais s'étant détourné, il ne se rendit pas compte du petit sourire goguenard qui avait étiré, l'espace d'un instant, les lèvres de ses deux cousins.

Ayame décrocha le téléphone et demanda au médecin ce qu'il voulait manger.

 

«Aucune idée, choisit pour moi.» répondit le concerné. Ayame passa commande pour les trois hommes, et Hatori l'écoutait d'un air inquiet : Pourquoi tous les plats que Ayame commandait pour lui contenaient-ils du gingembre?

Les plats commandés arrivèrent et ils commencèrent à manger en arrosant leur repas de saké. Mais cette fois ci, Hatori ne but pas au delà du raisonnable, au grand désarroi de ses deux cousins, qui étaient déjà bien éméchés et qui voyaient, vraisemblablement, leur plan partir en fumée.

A la fin du repas, Hatori n'avait bu que trois coupelles de saké. Ayame et Shigure ne cessent de le pousser à boire, mais Hatori s'obstine à laisser sa coupelle désespérément pleine. Malgré leur calme apparent, Hatori sentit que ses deux cousins commençaient à paniquer. Il voyait bien que ses cousins n'avaient qu'une chose en tête : renouveler l'accident de la dernière fois ou il était ivre, c'est à dire le baiser. Hatori esquissa un petit sourire, car malgré son expression froide et blasée, en cet instant, il s'amusait énormément. Lentement, il alla s'agenouiller devant Ayame. Il rapprocha dangereusement sont visage de celui de son cousin en demandant.

 

«Pourquoi voulez vous absolument me faire boire tous les deux? Auriez vous une idée derrière la tête?»

«Mais pas du tout» s'exclama Ayame, qui éloignait de plus en plus son visage rougissant au fur et à mesure que Hatori approchait le sien.

 

«Vraiment?» demanda le médecin en s'approchant un peu plus de Ayame, qui était cette fois, coincé contre Shigure.

 

«Je n'en suis pas si sur» dit Hatori en attrapant la lèvre de Ayame entre ses dents pour la mordiller. Ayame rougit un peu plus, Shigure qui s'était écarté observait la scène d'un air interessé.

Soudain, Hatori se jeta sur Ayame pour l'embrasser. Surpris, Ayame fut obligé de s'allonger sur le sol. Passé l'étonnement, il répondit avidement au baiser du médecin, et il commença à lui défaire sa chemise pour pouvoir passer les mains sur son torse. Hatori se débarrassa de son vêtement, puis, il entreprit de délester Ayame de sa tunique, qui était aujourd'hui bleu clair. Il lui enleva ensuite la tunique qu'il portait en dessous, en l'embrassant toujours. Lorsqu'ils se séparèrent, Ayame était à moitié nu, rougissant, encore sonné par l'initiative de Hatori et très excité.

Ayame se redressa, et dans son dos, Shigure commença à se déshabiller. Après l'avoir noté, Hatori recommença à embrasser Ayame. Shigure enleva son kimono, ainsi que son kimono de dessous. Maintenant, le seul encore à peu près habillé était Hatori, à qui il restait toujours son pantalon. Ayame gémit lorsqu'il sentit la bouche de Shigure s'attaquer à son cou et mordiller sa peau. Apparemment, il allait être uke ce soir, et cette perspective lui plaisait beaucoup...

Hatori passa une main dans les cheveux longs et soyeux de Ayame et tira sa tête en arrière. Shigure profita de l'occasion pour le mordre un peu plus fort. Il fit gémir Ayame et lui laissa une belle trace ensanglantée.

Les mains de Hatori descendirent alors dans le dos de Ayame, caressant le creux de ses reins pour ensuite finir par se poser sur ses fesses, et les mains de Shigure vinrent caresser le torse de Ayame, pincer ses tétons, taquiner son nombril, pour ensuite venir se poser sur son sexe, qui déjà demandait la grâce d'être libéré d'un caleçon bien trop serré. Cette prière sembla entendue, du moins, en partie, par Hatori. Sa main passa en dessous du boxer de Ayame et alla caresser la raie de ses fesses, s'enfonçant légèrement à l'intérieur. Puis, la main passa devant et empoigna le sexe de Ayame pour entamer un lent va et viens. C'était beaucoup mieux comme ça, mais ce n'était pas encore ça. La main se retira, et Hatori se leva, à la grande déception de Ayame qui ne put retenir un gémissement de frustration. Heureusement pour lui, la main de Shigure vint prendre la relève de celle de Hatori.

Le médecin, qui s'était écarté, enleva d'un même mouvement son pantalon et son caleçon, il était, cette fois ci, le seul à être complètement nu.

Si il y a une chose que ses cousins purent comprendre en le voyant comme ça, c'est qu'il n'était certainement pas le moins excité. Hatori fit signe à Shigure de s'écarter, il obéit, mais seulement après avoir débarrassé Ayame de son boxer, au grand soulagement du couturier.

Hatori s'agenouilla devant Ayame et le poussa légèrement en arrière, le forçant ainsi à s'allonger. Le médecin alla ensuite embrasser son cousin, puis, sa bouche descendit plus bas, plus bas, toujours plus bas, elle s'arrêta un instant, pour sucer, lécher, mordiller le sexe fièrement érigé de Ayame, puis, elle descendit encore...

Hatori releva les jambes de Ayame et les écarta, sa langue alla doucement lubrifier l'anus de Ayame qui n'avait encore jamais été pris. Surpris par ce que faisait Hatori, il ne put s'empêcher de crier, mais les gémissements qui suivirent furent étouffés par la bouche de Shigure qui s'était posée sur la sienne. Hatori introduisit l'un de ses doigts en Ayame, son cousin se cambra, se crispa, mais se détendit lorsque la doigt eu bougé un peu en lui, alors Hatori en ajouta un autre. Après que Ayame se fut totalement habitué à cette présence étrangère, Hatori se dit qu'il pouvait y aller.

Il souleva les jambes de Ayame et les posa sur ses épaules, puis, doucement, il commença à le pénétrer. Hatori attendit que Ayame se détende avant de commencer à bouger, et lorsqu'il s'y mit, Ayame ne fut plus que soupirs, chaleur et gémissements, ne cessant de demander à Hatori d'aller plus vite, plus fort, plus profondément en lui...

Pendant ce temps, Shigure s'était levé, et, ayant enlevé son caleçon, il alla se placer derrière Hatori. Le médecin se crispa lorsqu'il sentit deux doigts à peine lubrifiés s'introduire en lui, mais cela ne dura qu'un instant, car les doigts s'étaient mis à bouger...

Lorsque Hatori se mit à remuer d'une façon aussi lascive qu'Ayame, Shigure le pénétra avec violence, sans pour autant réussir à lui arracher un gémissement de douleur... Il commença à se mouvoir en lui.

 

«Hah... Hatori... T'es pas si prude, en fait...» chuchota l'écrivain à l'oreille du médecin.

«Hein..? Mais... C'est vous qui... M'avez dévergondé... Hah... La semaine... Dernière...»

 

Répondit Hatori entre deux gémissements et deux respirations saccadées. Un sourire étira les lèvres de Shigure.

 

«Cool...» s'entendit dire le médecin.

 

Pour Ayame, l'orgasme était proche, car sous la violence des à-coups de Shigure, Hatori s'enfonçait chaque fois plus profondément en lui.

 

Ayame ne put que jouir lorsque Hatori, poussé en avant par Shigure, s'enfonça en lui plus loin qu'il ne l'avait jamais fait...

Hatori jouit lorsqu'il sentit l'anneau de chair de Ayame se resserrer autour de son sexe au moment de l'orgasme, un dernier à-coup et Shigure le suivit.

Le médecin posa sa tête sur le torse du couturier pour reprendre son souffle, pendant que Shigure reprenait ses esprits, avachi sur lui.

Finalement, Shigure se retira, et Hatori put s'écarter de Ayame.

 

«Il ne reste plus que toi Shigure», dit Hatori à son cousin en le regardant d'un aire moqueur.

 

«Je n'ai rien contre» répondit Shigure «Mais je préférerais être dans un lit je crois.»

 

«Mais c'est possible, ça, ramène toi par la.».

 

Hatori mena ses deux cousins à sa chambre, ou trônait un lit deux places, largement suffisant pour ce qu'ils comptaient faire... Hatori poussa Shigure, qui fut projeté sur le lit.

 

«Lèche» Ordonna le médecin, d'un ton qui ne permettait aucune contestation, en présentant deux de ses doigts à Shigure. L'écrivain s'exécuta, Hatori pouvait se montrer très convaincant lorsqu'il le voulait. Lorsque ses doigts furent assez lubrifiés, Hatori les retira. Shigure préféra se tourner.

 

«En levrette? Comme tu voudras» dis le médecin. Ayame observait la scène d'un air amusé et pervers.

Comme pour Ayame, Hatori introduisit doucement ses doigts à l'intérieur de Shigure, et il attendit qu'il se détende avant de les faire bouger. En même temps, il se mit à mordiller un peu l'oreille de Shigure, puis, il s'attaqua à son cou, puis, à son omoplate, et il lui fit payer la marque de la dernière fois... Lorsque Shigure fut près, Hatori le pénétra, sans violence, mais pas avec beaucoup de douceur non plus, c'est que Hatori avec très envie de lui faire également payer la façon dont il l'avait pris... Même si cela s'était révélé très agréable. Hatori commença de lents va et viens, lents, mais saccadés, et donc presque violents. Shigure gémissait à chacun de ses à-coups, mais peu à peu, il s'habitua, et demanda à ce que Hatori aille plus vite. Il s'exécuta.

Ayame, qui commençait à se sentir délaissé, alla se placer à la suite de Hatori. Il l'immobilisa, l'espace d'un instant, pour le pénétrer doucement. Et ce fut désormais Ayame qui imposa son rythme à Hatori, et ce fut donc le couturier, qui imposa son rythme à Shigure. Le médecin et l'écrivain étaient tous les deux dominés, et avec plaisir par Ayame.

Peu à peu, leur rythme s'accéléra, leurs gémissements se perdaient dans la pièce, qui semblait remplie du son de leur plaisir. Mais Ayame eut bientôt un gémissement qui domina tous les autres et c'est ensuite dans un cri de plaisir que le couturier jouit à l'interieur de Hatori. Il fallut peu de choses au médecin pour jouir à son tour, puis, ce fut Shigure.

Ils se séparèrent et s'allongèrent sur le lit pour reprendre leurs esprits, cette fois encore, Shigure et Ayame s'endormirent bien vite...

Hatori se dit que le rangement inévitable de la maison pouvait attendre demain, car il étai exténué. Il se dit aussi que, pour cette fois, il pouvait bien dormir à leurs côtés Il glissa doucement ses deux cousins dans le lit au draps souillés, puis, il s'allongea à côté d'eux, entre eux deux...

Lorsqu'il se réveilla le lendemain, Shigure et Ayame avaient tous les deux la tête posée sur son torse...

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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Samedi 12 février 6 12 /02 /Fév 10:31

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«Combien de temps cela fait-il maintenant, que les deux andouilles ne sont pas venues sonner à ma porte? Un mois, c'est ça? Oui, ce doit être ça...». Hatori s'interroge vaguement, une coupelle de saké à la main. Il ne lui arrive que rarement de boire seul, mais lorsqu'il le fait, c'est qu'il est sur le point de mourir d'ennui... C'est à un tel point en ce moment, qu'il en viendrait presque à souhaiter une visite de ses deux cousins... Shigure et Ayame... La première fois qu'ils ont débarqué chez Hatori sans prévenir, ils ont réussi à le faire boire, et même, par la suite, à le baiser (il n'y a pas d'autre mot). Le problème, c'est qu'il avait apprécié. Résultat, la deuxième fois que Ayame et Shigure sont venus s'incruster chez lui, ils ont réussi à le baiser, sauf que Hatori n'était pas ivre. Et qu'il avait apprécié. Le pire? Hatori est devenu accro au sexe, c'est bien à cause de ça qu'un jour, alors qu'il se promenait en ville, il n'a pu se retenir d'entrer dans un sex-shop. Bien qu'une partie de lui se soit demandée ce qu'il foutait la, une autre partie se trouvait très à son aise, à peine s'était-il posé quelques questions en achetant godemichés, menottes, lanières de cuir et martinet... Depuis, pratiquement tous les soirs, Hatori se masturbe dans sa douche, généralement en utilisant un godemiché, l'un de ceux qu'il à choisit parce que la forme lui rappelait celle du pénis de Ayame ou de Shigure... Il a bien essayé d'utiliser le martinet, mais il n'a pas réussi à se faire vraiment mal, et au final, il n'a rien ressenti, ni douleur, ni quoi que ce soit d'autre. Et aujourd'hui, Hatori, qui à déjà pris sa douche, s'ennuie à mourir et se demande ce qu'il va bien pouvoir faire de plus. Hatori sortit de ses pensées lorsque le téléphone sonna, c'était Ayame :

 

-Hatori? Je me demandais si je pouvais venir dîner chez toi avec Shigure?

-Depuis quand est ce que tu demande avant de t'inviter? Répondit Hatori.

-Répond juste, s'il te plait.

 

Hatori réfléchit un instant.

 

-Vous avez une idée derrière la tête?

-Euh...

-Répond juste, s'il te plait.

-Oui...

 

Hatori réfléchit encore.

 

-Bon, d'accord.

 

Il raccrocha vite avant que Ayame se mette à hurler dans le combiné. Heureusement qu'ils n'étaient pas déjà la, ainsi, ils ne l'ont pas vu rougir. Ayame et Shigure arrivèrent peu de temps après, en apportant des plats du traiteur et des bouteilles d'alcool. Au moins, comme ça, Hatori se sentirait moins seul et il y aurait un peu (trop) d'agitation autour de lui... Ayame salua Hatori en lui sautant dans les bras et en l'embrassant avec fougue, puis, il s'écarta gaiement en disant :

 

-Puisque tu sais qu'on à une idée derrière la tête, c'est pas la peine de la cacher.

 

Hatori, les joues rouges de surprise, salua Shigure qui se contenta, pour sa part, d'un petit baiser sur les lèvres.

Ils se mirent à table et arrosèrent leur repas de saké bien sucré. Hatori se retrouva rapidement complètement ivre. Normal, puisqu'il avait commencé à boire seul et à jeun...

Fidèle à son habitude, ce fut Ayame qui commença. Dès la fin du repas, il se déplaça doucement vers Hatori pour aller l'embrasser tendrement... Puis, il tira sa tête en arrière et le mordit profondément à la gorge. Il fut très surpris par le gémissement de plaisir mêlé de douleur, que Hatori n'avait pu retenir. Il s'écarta de lui et s'exclama :

 

-Hatori ! Je ne savais pas que tu étais comme ça !

-Moi non plus, intervint Shigure, mais il faut croire qu'il l'est vraiment, regarde ce que je viens de trouver, il dépassait de sous un coussin du canapé.

 

Cette chose que brandissait victorieusement Shigure était un superbe martinet de cuir à neuf lanières que Hatori avait du laisser trainer un soir, en sortant de la salle de bain. Ayame empoigna Hatori par le menton et le força à le regarder.

 

-Tiens donc... Dis moi Hatori, tu as d'autre trucs comme ça?

 

Hatori rougissait un peu plus à chaque seconde et s'obstinait à regarder ailleurs.

 

-Hatori? Demanda Ayame en raffermissant sa prise sur le menton du médecin.

 

Ce fut un «Oui» très faible, que Hatori souffla en rougissant un peu plus.

 

-Ou? Demanda Ayame.

 

C'est toujours aussi faiblement et toujours sans regarder son cousin, que Hatori répondit :

 

-Dans le placard de ma chambre.

-Vraiment? Parfait, on va aller dans ta chambre alors !

 

Ayame souleva Hatori par le col de sa chemise et le força à marcher. Puisque Hatori aime la violence, il ne va pas se gêner. Arrivés dans la chambre, Ayame projeta Hatori sur le lit et regarda Shigure fouiller dans le placard. Effectivement, sur l'étagère, au dessus des vestes et des chemises, bien cachés dans des boites à chaussures apparemment vides, ils trouvèrent tout ce qui leur était nécessaire pour faire hurler Hatori de plaisir. Ayame et Shigure se déshabillèrent et gardèrent juste leurs caleçons. Le couturier s'assit à califourchon sur Hatori et lui enleva sa chemise sans plus de cérémonie. Il l'embrassa, puis, il descendit plus bas et il mordit ses tétons jusqu'au sang. La non plus, Hatori ne put retenir un gémissement. Ayame s'écarta et laissa à Shigure le soin d'enlever pantalon et boxer au médecin. Il saisit une lanière de cuir et en banda les yeux de Hatori.

 

-Comme ça, tu ne sauras pas ce qu'on te fera avant de le sentir, dit il.

 

Shigure vint rejoindre Ayame sur le lit et força Hatori à se retourner. Échangeant un regard avec son cousin, il se saisit d'une paire de menottes et attacha Hatori aux barreaux du lit. Ayame prit le martinet et en cingla le dos de Hatori avec force. Hatori hurla. Neuf marbrures rouges vinrent zébrer sa peau. Ayame recommença, et recommença encore. A chaque coup, la douleur semblait disparaître des cris de Hatori, pour laisser la place au plaisir. Shigure prit un godemiché et l'enfonça dans l'anus du médecin. Il fut surpris de voir que l'objet entrait sans peine.

 

-Tu dois faire ça tous les soirs, pas vrai?

 

Hatori ne répondit rien, Ayame le frappa à nouveau.

 

-Répond !

 

Hatori gémit, des larmes coulaient de sous son bandeau.

 

-Répond ! Hurla Ayame en le frappant encore. Le dos de Hatori était rouge de sang.

-Oui... Gémit-il.

-Tu fais ça tous les soirs? Demanda Ayame.

-Oui. Répondit Hatori, la voix brisée d'un sanglot. Ça faisait mal, mais c'était tellement bon...

 

Ayame le frappa encore, tandis que Shigure actionnait la vibration du godemiché et le faisait bouger en Hatori. Hatori gémit, hurla lorsque Ayame le frappa, soupira... Shigure posa une main sur son sexe, Ayame le frappa encore par deux fois. Il hurla de nouveau, il bandait, et pas qu'un peu, son érection lui faisait mal.

 

-J'y crois pas, Hatori ! T'es une vraie pute ! Dit Shigure.

-Oui... Répondit Hatori.

-Au moins il assume, fit Ayame.

 

Shigure avisa un élastique qui trainait sur la table de chevet. Il le prit et l'enroula autour du pénis de Hatori pour l'empêcher de jouir, puis, il retira le godemiché et le pénétra violemment. Il enchaina immédiatement avec des à-coups brutaux et violents, sans compter Ayame, qui arrêta Shigure un instant pour le pénétrer. Hatori était donc soumis à un rythme chaotique, qui le fit bientôt jouir, malgré l'élastique. Peu de temps après, il sentit Shigure jouir à l'intérieur de lui, et au cri qu'il entendit, il compris que Ayame avait du jouir lui aussi.

Il entendit un déclic et il sentit les menottes se desserrer autour de ses poignets. Tant mieux, car ses bras criaient grâce. Il quitta les menottes, vira ses cousins et s'allongea sur le dos. Mauvaise idée. Le sang de ses blessures avait commencé à coaguler. Ayame et Shigure étaient allongés à ses côtés.

 

-C'est pas mal comme ça, et en plus, t'as l'air d'aimer ça. Dit Ayame.

-Jusque dans une certaine mesure, oui, répondit Hatori, mais si maintenant vous pouviez être un peu plus doux, ça m'arrangerais...

-Ne t'en fait pas, on sera plus calmes, maintenant, conclu Ayame.

 

Il souleva les jambes de Hatori et le pénétra avec douceur. Surpris qu'il reprenne à nouveau si rapidement, Hatori comprit qu'il avait du se masturber à côté de lui, mais qu'il ne l'avait pas vu, puisque ses yeux étaient toujours bandés. Ayame n'était pas lent, mais il était doux, si doux que Hatori sentit le plaisir le gagner à nouveau. Il sentit son sexe durci sous les assauts d'Ayame, et le fait que Shigure lui fasse sucer le sien n'arrangeait rien. Shigure s'était placé à califourchon sur Hatori et avait pressé son sexe contre ses lèvres. Hatori avait tout de suite compris et l'avait pris en bouche, obéissant au rythme saccadé que lui imposait Shigure, et qui faisait contraste avec le rythme nuancé de Ayame. Dans un instant de bonté, le couturier retira l'élastique du sexe du médecin. Hatori jouit donc sans douleur, lorsqu'il sentit le sperme de Shigure couler dans sa gorge. Il entendit un cri et sentit le sperme de Ayame le parcourir de l'intérieur. Ses deux cousins le glissèrent tendrement dans le lit et se couchèrent de part et d'autre de lui. Ayame lui enleva son bandeau avec un petit baiser, et, pour une fois, Hatori, épuisé, s'endormit le premier.

 

Ce fut une torture pour lui de se décoller du drap en rouvrant ses blessures le lendemain. Heureusement, il put compter sur les bons soins de ses cousins qui, pour une fois, suivirent ses directives sans trop hurler et faire exprès de le fatiguer.

 

Hatori faillit faire une attaque lorsqu'un jour, Hatsuharu étant venu se faire examiner après avoir pris froid lui dit :

 

-Shigure, Ayame et toi, vous êtes encore plus amis qu'avant, non? Ils viennent chez toi presque tous les soirs...

 

Hatori s'était (heureusement) retenu de penser tout haut qu'ils avaient rangé les accessoires de SM au placard, car cela entrainait trop de désagréments par la suite (notamment une longue et secrète convalescence pour lui, et des draps rigides de sang, que ses deux crétins de cousins l'ont laissé laver à la main et seul).

 

 

 

 

 

P.S : cette fic et les deux d'avant étaient inspirées du manga "Fruit Basket"

 

Par kagura - Publié dans : One Shot - Communauté : Communauté gay
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