Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:18

 

Lorsque les vacances sont arrivées, je suis, comme convenu, parti chez Mathieu. Nous nous sommes dévrouillés pour travailler, assez bien je pense... Pourtant, je n'étais guère productif pendant la journée, car je passais la plupart de mes nuits allongé dans mon lit, les yeux grands ouverts... Je ne dormais pas, je ne pouvais pas dormir.
Je me rendais compte de l'importance dangereuse que prenaient mes sentiments, je désirais Mathieu un peu plus chaque jour.

Un peu trop.

Je pensais à lui sans cesse, comment pouvais-je travailler à ses côtés?
Le simple fait de sentir nos genoux se toucher par inadvertance sous la table lorsque nous étions assis côte à côte, me faisais frissoner et me rendais presque fou de désir...

Au bout d'un moment, je décidais généralement de ne plus penser à tout cela et me tournait sur le côté, dans l'espoir de trouver le sommeil...

Il ne se montrait que plusieurs heures plus tard...


Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:20

Je me souviens qu'un jour, alors qu'il commençait à poindre, j'ai cessé d'essayer de dormir et je me suis assis dans mon lit.

Je regardais Mathieu.

Plus Je le regardait, plus je le désirais.
Plus je le regardais, plus mes sentiments pour lui grandissaient, mais, en même temps, je ne pouvais me résoudre à détourner les yeux de son visage et de son corps que je devinais à travers le drap...

Il avait du avoir chaud, il avait repoussé la couverture.
Il s'était positionné sur le côté, face à moi.
Il avait dormit en boxer, comme moi.
Il faisait reposer sa tête sur son bras droit.

Sa jambe droite était pliée en angle presque droit, le genou pointé vers moi, tandis que sa jambe gauche était détendue.

Il bougea légerement son bras gauche, ce qui eu pour effet de tirer légerement le drap, dévoilant ainsi son torse.

Il replaça ensuite son bras dans la même position qu'avant son mouvement.
Perdu dans la contemplation de son corps, je fut tiré de ma torpeur lorsque je l'entendit me parler :

-Arrête de me mater.

Gêné, j'ai remercié l'obscurité de dissimuler mon rougissement, et j'ai détourné le regard...

-Désolé, je te croyais encore endormi...
-Je suis réveillé depuis une demie heure.

Je me suis simplement excusé, et me suis levé pour dissimuler mon trouble. Mathieu allait finir par me tuer...

 

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:23

Je me souviens également d'un jour ou j'ai piegé Mathieu, et l'ai presque forcé à accepter un baiser. Je me suis approché de lui et me suis positionné à califourchon sur ses cuisses. L'attirant à moi, je l'ai embrassé, du bout des lèvres d'abord, puis de plus en plus goulûment, jusqu'à pouvoir forcer le barrage que constituaient ses lèvres... Ma langue à cherché la sienne, pour l'entraîner dans une danse endiablée... J'ai glissé une main sous son T-shirt, afin de pouvoir carresser ses pectoraux, et je l'ai senti frissoner...

Nous n'avons pas entendu la porte d'entrée...

Paul, son père, est apparu dans l'encadrement de la porte et s'est figé. J'ai relevé la tête. La situation devait être asser drôle, voir même comique à regarder:

Moi, assis à cheval sur Mathieu, une main sous son T-shirt, regardant son père d'un air pervers, comme si je le mettais au défi de nous empêcher de continuer; Mathieu, qui évitait le regard de son paternel d'un air gêné; et le paternel en question, retenant un fou rire, qui passait simplement en disant:

-Oh, pardon, je vous ai dérangés, continuez.

Il passa, je regardais Mathieu. Il était évident que j'avais très envie de continuer; surtout si on s'appuie sur le fait que mon jean, comme celui de Mathieu, commençaient à devenir "un peu" trop étroit; mais, à ma grande déception, il dit :

-On devrait peut être s'arrêter non?

Il avait raison, on ne pouvait pas risquer de voir un tel incident se reproduire, j'aquiescais :

-OK, mais c'est bien parceque c'est toi.

Il a poussé un soupir, l'air de se dire "il faut à tout prix que je réussisse à éviter ses prochaines attaques," Il m'a repoussé sur ma chaise, et est parti s'enfermer dans sa chambre...

 

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:35

Un autre épisode m'a marqué.

Un soir, alors que nous nous préparions pour aller nous coucher, je suis resté paralysé, bloqué sur l'image de Mathieu en train de se changer... Je me suis enfui dans le couloir et me suis affalé contre le mur, entourant mes genoux de mes mains et la tête posée dessus, les larmes aux yeux. Mon désir était si fort, presque irrépressible... Il fallait absolument que cette semaine se termine vite, que je retourne chez mes homophobes de parents qui se feraient une joie de me rabaisser plus bas que terre... Je préferais être détruit, plutôt que de risquer de le détruire lui. Si je restais ici, je risquais de faire la pire erreur de ma vie...

Mathieu n'a pas compris. Pas compris que j'étais définitivement hanté par le souvenir de cet unique baiser que nous avions échangé. Pas compris la nature de la tempête dans laquelle j'étais plongé. Je ne sais même pas ce que j'ai répondu à ses parents lorsqu'ils se sont inquietés, je ne sais pas non plus ce que j'ai répondu à Mathieu lorsqu'il s'est lui aussi inquieté. Je ne sais même pas combien de temps j'ai passé, ainsi prostré au milieu du couloir, le coeur douloureux à cause de mes sentiments trop intenses... J'etouffais sous leur puissance, ils me faisaient peur. J'étais terrorisé à l'idée de ne pas pouvoir les dominer, terrorisé à l'idée de faire quelque chose d'irréparable, qui briserais à jamais notre amitié, pire encore, quelque chose qui me vaudrait sa haine...

A deux doigts de faire une crise d'angoisse, j'ai du me retenir pour ne pas hurler. Le poing enfoncé dans la bouche pour étouffer mes gémissements de peur, je me suis mis à suffoquer. Il fallait que je quitte cet endroit, vite, maintenant. Il fallait que je quitte cette maison ou vivait celui qui ne m'aimerait jamais...

Incapable de tenir plus longtemps, je me suis précipité dehors, j'ai descendu les escaliers en courant, et suis parti à toute vitesse, sans faire attention à l'endroit ou j'allais. Il tait déja tard et il n'y avait plus grand monde dans les rues. C'est seulement lorsque j'ai pris conscience que ma vue était trouble, que je me suis rendu compte que je pleurais. Je courais toujours, j'ai couru jusqu'à en être épuisé. A bout de force, je suis entré dans un parc public, et me suis affalé sur l'herbe. Dissimulé sous le couvert des arbres, j'ai hurlé, j'ai crié, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. J'ai laissé sortir ma souffrance... 

Lorsque j'ai eu fini, lorsque j'ai été si fatigué que je n'avais même plus la force de pleurer, elle était plus supportable... C'est seulement à cet instant, que je me suis rendu compte qu'il pleuvait. Beaucoup. Des cordes. J'étais trempé jusqu'aux os.

Grelottant de froid, je me suis également rendu compte qu'il faisait jour depuis longtemps. Mathieu et sa famille devaient être mort d'inqiétude... Quel égoïste j'étais! Ils m'accueillaient gentilment chez eux, et moi, je ne trouvais rien de mieux à faire que les terroriser... Je me suis relevé, titubant de fatigue, et suis retourné chez eux le plus rapidement possible...

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:35

Lorsque j'ai timidement frappé  la porte, elle s'est ouverte à la volée, si vite que j'en ai sursauté. Avant même que je comprenne ce qui m'arrivait, j'ai été happé par deux bras chauds qui m'ont atiré à l'interieur et m'ont serré avec force contre le buste de la personne à qui ils appartenaient... Le contact était doux, chaud, accueillant, et surtout terriblement sécurisant... J'ai doucement rendu son étreinte à cette personne qui me serrait toujours contre elle. Après quelques instants passé à profiter de ce doux contact, j'ai commencé à reprendre conscience de ce qui m'entourait... Je me suis alors aperçu que j'étais serré contre un torse de femme, une femme qui portait un pull over de laine... J'ai compris que c'était la mère de Mathieu, qui m'offrait cette étreinte si maternelle et réconfortante..Il devait être prêt de dix heures, elle aurait du partir au travail depuis longtemps, tout comme son mari, qui se trouvait derrière elle...

Honteux, incapable d'affronter leur regard maintenant, je l'ai un peu plus serrée contre moi et ai posé ma tête sur son épaule.

-Pardon, ai-je pitoyablement murmuré...

J'ai entendu Paul dire:

-Je vais appeler la police, pour leur dire qu'on l'a retrouvé... 

Et je l'ai entendu s'éloigner. J'ai relaché mon étreinte, et Marie m'a laché. Mathieu, qui était la lui aussi, explosa:

-Putain Léopold, c'est quoi ton problème!? T'es parti en plein milieu de la nuit, on t'a cherché partout! Mes parent auraient du partir bosser depuis longtemps..!

-Mathieu! l'a repris sa mère. Tu ne vois pas qu'il souffre déja assez comme ça? C'est de réconfort qu'il a besoin, pas de haine! 

-Je suis désolé, ai-je à nouveau murmuré, penaud. J'avais besoin d'être un peu seul... Je suis vraiment désolé de vous avoir inquietés, ça ne se reproduira plus, je vous le promet...

Elle s'est radoucie

-Ce n'est rien Léopold, nous comprenons... Mais si tu as besoin d'en parler, nous serons la, d'accord? Ne te laisse pas étouffer ainsi par tes sentiments... Nous serons la pour toi, ce que, vu la façon dont tu m'a serrée dans tes bras tout à l'heure, ne font pas tes parents... Tu devrais aller prendre une douche et te coucher, tu es trempé jusqu'aux os et tu a l'air épuisé...

J'ai hoché la tête, mais n'ai pas pu retenir un petit rire sarcastique. Ne parlons pas de mes parents. Quant à sa proposition de jouer les psys, elle ne risquait pas d'être ravie en m'entendant dire que je crevais d'amour pour son fils et que j'avais été à deux doigts de le violer...

Je suis allé prendre une douche, mais refusant de perdre plus de cette journée, j'ai refusé d'aller me reposer et ai repris les notes de notre exposé. Mathieu a bien tenté de m'interroger sur le pourquoi de ma fuite et sur mes parents, mais voyant que  je me murais dans le silence, il n'a pas insisté... Il me regardait à la dérobée, il essayait de me comprendre... Et moi, je n'ai plus rien tenté. J'avais déja bien trop laissé transparaitre mes sentiments, et voila ou ça m'avait mené. Moi qui ne voulait rien d'autre que le bonheur de Mathieu et qui adorait sa famille, je les avais tous blessés. Je les avais trahis, et les faisait culpabiliser... Je me haïssais...

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:54

Une journée comme les autres; travail, pause déjeuner, RE4, travail, retour de Lucie, Dead Rising...
Le seule incident notoire fut quand, alors que nous travaiillons l'après midi; j'ai posé ma main sur le genou de Mathieu, la remontant  progressivement.
Il s'efforça de garder le fil de sa phrase, mais je pu sentir son trouble.
Lorsque ma main remonta jusqu'à sa hanche, je le sentis frissoner.
Il cessa totalement de faire semblant de s'interesser à l'énoncé, pour me demander:

-Arrête ça.
-J'ai pas envie,
répondis je en m'asseyant à cheval sur lui.
-Dégage!
-Non, vraiment, j'ai pas envie, dis je en lui mordillant le lobe de l'oreille.
Il me disait de m'en aller, mais il ne cherchait même  pas à me repousser...
Peu à peu, je l'embrassait sur le front, la tempe, la joue, le menton, le cou... Il cherchait à éviter mes baisers, mais il savait très bien qu'il ne pourrait pas y échapper. Petit à petit, il cessa d'essayer de se défendre. Sa respiration se fit lourde, lente et saccadée; mais, quand il s'en rendit compte, il me tira le cheveux, pour me forcer à me retirer, ce que je fis sans rechigner, avec un sourire satisfait et pervers; Mathieu l'avait fait, il s'était affaiblit, il m'avais laissé l'exciter, qu'il ne me dise pas ensuite, que je ne lui plaisait pas.

-Je n'abandonne pas pour autant.
-Connard.
-Venant de toi, c'est un compliment<3
-Bordel, mais qu'est ce que tu cherche?
dit il soudain, hurlant.
-Je te l'ai dit,
répondis je, en reprenant tout mon sérieux, je cherche à te faire ceder; je te veut Mathieu, je te veut toi, et je t'aurais, ça, tu peut en être sur; je veux pouvoir t'embrasser, en étant sur que tu répondes à mon baiser, je veux pouvoir te caresser, et te donner du plaisir, etje veux vivre avec toi... Et si ça n'est vraiment pas possible, je veux au moins que tu avoue être attiré par les hommes...
-C'est ça, ce sera pas demain la veille, crois moi.
-On verra...

. . . .

Le soir, je me changeait face à Mathieu, il se détourna.
N'ayant pas envie d'avoir mal au dos, je me résolus à dormir dans la chambre; de toutes façons, comme ça, j'allais pouvoir m'amuser... Mais d'un autre côté, je me demandais si c'étais une bonne chose, n'allais-je pas me faire détester par Mathieu en agissant de cette manière?

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:55

Lorsque je me réveillais, il était 9h55; je n'avais pas mis de réveil ni quoi que ce soit, mais c'était pile la bonne heure.
Je suis sorti de mon lit, pour aller me glisser dans celui de Mathieu.
Je lui carressais la joue, un leger sourire se dessina sur son visage.
Doucement, je le baisais au front, il ouvrit lentement les yeux, il me regarda, et les referma, comme si il avait du mal à emerger; quand il rouvrit brusquement les yeux et me repoussa:

-Qu'est ce que tu fous la?
-Bonjour, bien dormi? oui, et toi?
-Qu'est ce que tu foutais la?
-Du calme, je viens juste de me réveiller, je suis la depuis 5 minutes..
-Ca, il y a interet!
-Non, je rigole, je suis la depuis hier soir.
-QUOI!?
-Mais c'est pas vrai, tu gobe vraiment tout toi...
-Cretin...
-Et c'est moi le cretin? Pourtant, ça n'a pas l'air de te gêner; fis je en désignant son entrejambe, ainsi que la bosse qui se formait dans son boxer.
-Oh, lache moi.
-Tu sais, ma proposition tient toujours, je peut m'en occuper si tu veut...
-Ma réponse aussi tient toujours, nan!
-Aller, juste une petite fellation...
-Nan, dit il en s'eloignant.
-Je t'aurais, et tu le sais.
-Mais oui, c'est ça.
-Oui c'est ça... Ah tiens, ça n'a aucun rapport avec tout ça, enfin si, peut être un peu, mais, je ne t'ai pas reveillé cette nuit?
-Non pourquoi?
-Ben, c'est pas pour dire, mais... disons simplement que quand on fait des rêves érotique, on est pas forcément discrets...

-Pitié casse toi! T'as gagné, je vais m'habiller dans la salle de bain; dit il en sortant de la chambre.

Je suis sorti peu après lui, avec un regard de prédateur... Je doutais tojours de la réussite de mon plan, mais si on ne tente rien, on obtient rien.

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:11

Habituellement, Mathieu s'enferme dans la salle de bain...
Bizarrement, il avait oublié, comme c'est étrange... Et en plus de ça, il ne s'était pas encore habillé, vraiment bizarre... Moi qui cherchait à être discret, je me suis retenu de me faire remarquer en demandant si il l'avais fait exprès...
Alors que Mathieu m'aprecevait dans la glace et se retournai, je le plaquais contre le mur...

-Qu'est ce que tu fabrique encore?
-Quelle question idiote, tu le sais il me semble...
Dis je en descendant doucement vers son bassin.
-Arrête. dit il, frissonant.
-J'ai pas envie, répondis je en léchant doucement son bas ventre, ainsi que le début de sa toison pubienne; il sursauta.
-Je vais m'occuper de ça, dis je en le débarrassant de son boxer, regardant l'objet de mes désirs d'un air appréciateur.
-Non..!
-Si tu ne veut pas, alors défend toi, dis je, faisant jouer ma langue sur le bout de son gland.
-Ca j'aimerai bien, crois moi, seulement mon corps ne m'obéit pas...
-Alors avoue le...Répondis je, léchant son sexe sur toute la longueur.
-Quoi? demanda t'il, retenant un gemissement; il ne voulait pas ceder, il ne voulait pas faire à nouveau preuve de faiblesse.
-Que tu aime ça, dis je, suçotant son gland.
-Jamais, répondit il, retenant un nouveau gemissement.

-Je te l'ai dit, d'ici la fin de la semaine, je t'aurais fait gemir, répondis je, tripotant ses bourses.
-Connard! cracha-t-il, une réponse qui voulait tout dire...

Ma langue s'enroulait autour de son sexe dressé; s'il se refusait à gémir, je pouvais sentir les soubresauts qui agitaient son corps; oui, il appréciait, et pas qu'un peu...
Je finis pas accelerer la cadence, allant toujour plus vite; jusqu'à ce que j'entende un long gémissement sortir de sa bouche, mais pourtant, je n'était pas encore satisfait.
Ma langue descentdit le long de son sexe, pour aller trouver ses bourses, que je léchait avidement; comme pour les prier de m'offrir leur contenu.

-nouveau gemissement-

-Leo, arrête ça... dis Mathieu, s'aggripant au haut de la porte de la douche...
-Pourquoi? tu serais déçu si j'arrêtais maintenant, non? répondis je, ma langue reprenant le chemin de sa verge dressée.
-Ah... Arrête... dit il, cherchant desesperement à me repousser.
-Hors de question! répondis je, continuant mon action.
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah! Non! Je... Je ne tiens plus!
-Demande le moi! Répondis je, sentant son sexe durcir un peu plus sous l'action de ma langue.
-Suce moi. Finit il par dire, son autre main s'aggripant à mes cheveux.
Je pris alors son sexe en bouche, enroulant ma langue autour de son membre dur et dressé; le léchant de haut en bas, toujours plus rapidement, avec toujours plus d'insistance...
Jusqu'à ce que je finisse par entendre:

-Aah... Léo..! Non! Arrête... je..... NON!!!


A ce moment la, je me retirais, le laissant gemir de plaisir et de désir, car c'était pour le faire durer, que je m'était retiré; c'est meilleur quand on tiens longtemps...
Ma langue était revenue carresser le bout de son gland et taquiner ses bourses; je l'entendit gemir et me dire:

-Mmmmh, non, arrête... la je.... je ne tiens... vraiment... plus.

Alors je repris son sexe en bouche; il se délivra dans un long cri de jouissance, suivi d'un soupir de soulagement.
Je sortis de la salle de bain, satisfait.
Je la laissai reprendre ses esprits, l'air hagard.

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:13

Putain, qu'est ce que c'était bon!
Mais je suis un idiot, je n'arrive pas à le lui dire...
Moi et mes stupides principes à la con..
Pourquoi? Pourquoi est ce que je n'arrive pas à accepter ça?
Il a raison, j'aime ça, j'adore ça, alors pourquoi est ce que je n'arrive pas à me l'avouer?

Parceque j'ai honte? Oui, j'ai honte.
Je ne devrais pas aimer un homme, ce n'est pas acceptable, la société condamne ce genre de choses...
Je ne ferais pas ça, je ne peut pas faire ça, mais... Il m'y obligera, et je ne pourrais pas le repousser...
J'essayais de ne plus penser à tout cela et me glissais sous le jet brûlant de la douche.

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:14

J'entendis le jet de la douche se déclencher, apparement, il avait réussi à oublier; de toutes façons, ça m'avait fait du bien aussi...
Je retournais tranquilement dans la chambre pour attendre Mathieu; j'avais pour habitude de me doucher le soir..
10minutes après, Mathieu revint, il s'habilla, pendant que je relisais les notes prises depuis le début de la semaine, on allait peut être arriver à quelque chose, finalement...
Nous sommes ensuite partis travailler; encore et toujours travailler, du moins, pour le restant de la matinée, car nous avions prévu d'aller au cinema l'après midi, afin d'aller voir le film "Sharkwater", à savoir, "Les seigneurs de la mer" en version originale... Vers midi, nous nous sommes arrêtés pour nous préparer à partir; et oui, les parents de Mathieu nous avaient encore laissés de l'argent pour le repas, cette fois ci, ce n'était pas direction "Matsuri", mais "Sushido"; bento "sukiyaki"(brochettes) pour moi, bento "sushis" pour lui; même si les japonais (et les chinois, mais on l'a appris après) sont des gros con****...
Le film ne commençait pas tout de suite; c'est pourquoi, après le repas, nous avons décidé de faire un tour dans le centre commercial de la Part Dieu, avant de monter au 4ème étage pour voir le film.
Après un peu de shopping et une glace, nous nous rendîmes compte qu'il était l'heure de monter à l'étage du dessus.
A peine installés, les pubs commencèrent; nous reperâmes plusieurs films interessants, avant de devoir supporter les pubs régionales, ensuite, le film commença, je ne tentais rien dans le noir, car je commençais vraiment à avoir des scrupules, et puis de toutes façons, le film ne se prêtait vraiment pas à ce genre de choses, il était réellement choquant, et nous sommes sortis une heure et demie plus tard, en échangeant des commentaires indignés sur ce documentaire alarmant.
Absorbés par ces sombres pensées, nous sommes rentrés, n'ayant aucune envie de rire après ce que nous avions vu... Ce film entraînaIt un tel dégoût de soi même et de la société d'aujourd'hui, que cela nous donnait des envies de suicide...
Arrivés à l'appartement de Mathieu; nous nous sommes rapidement mis au travail, bien que, encore plongés dans ces idées noires et écoeurantes, nous n'avions aucune envie de nous parler...
Cette fin d'après midi s'annonçait sombre et difficile...

Par kagura
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