Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 10:02

Une nouvelle fic, inspirée d'un téléfilm que j'ai vu et appelé "la malédiction du pharaon", le modèle pour mes personnages (les deux) est l'acteur qui à joué Toutankhamon, c'est à dire Francisco Bosch (l'acteur et danseur, pas le joueur de rugby), ne cherchez pas une ressemblance historique, ou même avec le film, j'ai tout remanié à ma sauce, les noms que j'utilise sont bien des noms de pharaons ayant réellement existé, mais certainement pas à la même époque et certainement pas dans le même contexte, voila, bisous.

 

Au fait, pour ceux qui n'auraient pas deviné pour les photos, il s'agit du masque mortuaire de Toutankhamon, de sa momie et de sa reconstitution.                                                                                                                               

Par kagura - Publié dans : Pharaons
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Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 13:47



                                                                       

PLusieurs sciècles avant la naissance de Jesus-Christ; l'Egypte est divisée en deux parties.
   -Le Sud; gouverné par Toutankhamon, l'Enfant Roi, agé d'à peine 16 ans; Il est le fils du Dieu soleil Râ et sa peau est dorée comme le soleil. Roi bon et juste, son peuple vit dans la paix et la prospérité. Diurne, lui et son peuple vivent le jour et dorment la nuit.
   -Le Nord, gouverné par Amenhotep, à peine plus agé que son homologue; fils de la déesse de la
lune Rê, il a la peau argentée comme la lune. Aussi bon et juste que toutankhamon, son peuple vit dans d'aussi bonnes conditions. Nocturne, lui et son peuple vivent la nuit, cultivant les céréales, les laissant dorer pendant la journée; Ils ne supportent pas la lumière du jour, puisqu'ils n'ont jamais été en contact avec elle.
Tous deux n'hésitent pas à s'investir dans la vie du peuple, à les aider pendant les moissons ou à semer les céréales et à construire les greniers à grains. Tous deux ont une immense responsabilité, plus grande encore que celle de rendre le peuple prospère; celle de le proteger.
Respectivement gardiens des tablettes d'émeraude et de saphir; ouvrant toutes deux une porte vers les enfers; mais totalement independantes l'une de l'autre.
Ces deux garçons ne se sont jamais vus; ils sont chacuns au courant de l'existance de l'autre; mais ils n'ont jamais cherché à se rencontrer.
Il n'y a pas de guerre, puisque les deux pays vivent dans la paix et qu'aucun des deux n'a de choses à envier à l'autre; ceux du sud vivants le jour et ceux du nord la nuit, il n'ya que peu de rencontres entre les habitants et il y a même des échanges commerciaux entre les deux pays, voir même des donnations.
Lorsqu'un des deux pays à trop de céréales; suffisament pour se nourrir et replanter, il l'offre à son voisin, de même pour le bétail.
Si l'un des deux pays subit une secheresse et manque d'eau; il va en demander à son voisin en échange de la promesse d'un peu d'aide lorsque ce sera necessaire...
Mais ces rencontres se font par le biais d'émissaires.
Si l'Egypte est attaquée; alors les deux pays s'allient pour un temps, le temps de repousser l'ennemi; et, une fois la guerre finie, ils se prodigueront à nouveau secours et assistance, mais la encore, des émissaires seront utilisés.
Ces deux garçons, ces deux enfants-rois, ces deux fils de Dieux, de fonction, de physique et de caractère pratiquement identiques ne se sont jamais vus, et pourtant, leurs destins sont étroitement liés.

Par kagura - Publié dans : Pharaons
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Samedi 27 décembre 6 27 /12 /Déc 22:46

 J'ai passé une super journée avec Matthieu hier, mais je me disais bien que ça allait déraper un jour ou l'autre; surtout avec la mentalité des membres de notre classe... Ils ont, soit la mentalité d'un gamin de douze ans(en encore, j'exagère), soit la mentalité d'un vieux de quatre vingts dix ans, mouais, c'est un mélange des deux je crois... parce que, soit les filles passent leurs temps a glousser en matant les rares garçons mignons de la classe(en gros, en matant les machos du groupe, a savoir tous, sauf mathieu et moi, on se demande pourquoi...) et la garçons à se vAnter de leurs dernières aventures sexuelles(souvent inexistantes et imaginaires) et a débattre de leurs «plans drague» en zieutant la fille concernée; soit ils sont totalement fermés à toute forme de différence, surtout sexuelle, l'avantage, c'est que les autres différences telles que la couleur de peau ou la religion passent au second plan, au moins, ça les rapproches, mais moi, ou Mathieu et moi, nous nous retrouvons avec toute la classe contre nous...

Le problème maintenant, c'est que c'est justement à cause de ça que cela ne pouvait pas ne pas déraper...

L'après midi, pendant un intercours, enfin, un cours, ou le prof se faisait attendre, j'était assis devant mon bureau, Matthieu se tenait debout devant moi et nous étions tous deux d'humeur joyeuse, mais mon sourire s'affaissa lorsque je vis des membres de la classe s'approcher derrière Matthieu.

Il sembla comprendre ce qui se passait, mais ne se retourna pas, il attendit.

L'un des garçons du groupe se décida à prendre la parole, il semblait être le «caïd», ou alors «je cause parce que personne a quelque chose d'intéressant à dire; et que tout le monde le pense»:


-Hey, Matt, tu peux nous dire ce que tu fous avec cette tafiole?

-Ça se voit pas? Je parle.

-Et pourquoi tu parle à un type pareil? Enfin, un type...

-Parce que ce n'est pas parce qu'il est gay qu'il doit forcément être seul et sans amis

 -Ben, justement si.

-Ben ça prouve que vous êtes tous des bouffons a l'esprit totalement fermé, et avec un cadenas en plus.

-Malgré moi, je ne pu retenir un léger rire, qui ne passa pas vraiment inaperçu.

-Quoi, ça la fait marrer la tantouse?

-Franchement? Oui.

-Ben ça devrais pas, dit il en empoignant le col de mon T-shirt.

-Oh, putain, seb, lache le.  (intervention de Matthieu)

-Pourquoi? De toutes façon, personne pleureras un type pareil...

 

Je ne pus m'empêcher d'ajouter de l'huile sur le feu :

 

-Ne prend pas ton cas pour une généralité, chéri, c'est pas parcequt personne te pleureras si tu crève que c'est pareil pour tout le monde...

 

 

Il me regarda d'un air hargneux, mais Mathieu le força à me lacher et à se reculer. Il s'approcha de moi et recommença à me parler, se rapprochant volontairement et se foutant éperdument de tous les bouffons qu'il y avait derrière lui, plus particulièrement de Sébastien, à qui nous avions tous deux tenu tête quelques instants plus tôt.

Sebastien amorça un mouvement pour se jeter sur nous, mais le CPE entra à ce moment la pour nous annoncer que le professeur attendu était absent, ce cours étant le dernier de la journée, ni Matthieu, ni moi ne nous sommes attardés.

Par kagura - Publié dans : amour et amitié
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Dimanche 28 décembre 7 28 /12 /Déc 22:05

 C'est rapidement, que Toutankhamon du faire face à ce qu'il redoutait le plus, et c'est plus rapidement encore qu'il du recourir à la Tablette d'émeraude...

Quelques années seulement après le début de son règne, une brèche s'ouvrit dans le monde parallèle qui séparait le monde terrestre du monde des enfers, les démons sortirent et semèrent le chaos dans la pays, des démons à la peau rougeâtre, munis d'ailes et pourvu d'une bouche dotée de crocs acérés se mirent a voler partout, terrorisant le peuple, saccageant les récoltes, détruisant le maisons et tuant les paysans. Chose étrange, les démons ne cherchaient pas à passer au Nord du pays, mais on implora les Dieux et on supplia le pharaon, de faire quelque chose... Toutankhamon prit sa décision, il allait utiliser la Tablette d'émeraude...

Le jeune pharaon se rendit dans la salle dédiée au culte, qu'il avait fait aménager dans son palais, bien qu'il ne l'utilisa que rarement, préférant aller au Temple... Mais c'était aussi parceque cette salle était prévue spécialement pour ce genre d'occasion.

Brandissant la Tablette d'émeraude au dessus de sa tête, de façon à ce que le soleil filtre à travers la fenêtre circulaire de la salle et à travers le trou rond présent au centre de la tablette (celle ci étant rectangulaire), il prononça l'incantation suivante:

«Râ, mon père, donnez moi la force de combattre»*

Son père répondant à l'appel de son fils, des ailes de métal poussèrent dans le dos de celui ci; saisissant son épée, il s'envola vers le Nord du pays, tuant et détruisant tous les démons qui passaient à sa portée, s'envolant de temps en tant pour évaluer les dégâts et repérer les démons restants. Alors il se posait au sol et les combattait, mais alors qu'il relevait les yeux, Toutankhamon reçu comme un coup au cœur.

La brèche était la, et Seth venait d'en sortir...

Seth, le dieu du Mal et des Enfers, au moins 10 fois plus grand que les autres démons, à la peau de noire et couverte d'écailles.

Toutankhamon n'était pas de taille à lutter, le comprenant, il dit:

«Père, je vous en prie, donnez moi encore un peu de votre force, et surtout, donnez moi la force de ne pas en douter»**

Ce faisant, le jeune pharaon sentit une force nouvelle s'insinuer en lui, saisissant son épée avec plus de force, il s'élança à la rencontre de Seth et le frappa de côté, Seth trébucha et riposta d'un violent coup de griffe et atteignit le jeune pharaon à l'estomac, le projetant à environ six mètres, comme s'il n'était qu'un vulgaire insecte qui l'importunait et qu'il souhaitait écraser au plus vite...

L'Enfant Roi se releva, un épais filet de sang coulait de sa bouche, et son ventre en était couvert, mais il regard Seth avec des yeux remplis de haine, de haine pour cet être immonde qui avait pour seul plaisir de détruire le peuple. Il s'élança à nouveau, prêt à embrocher Seth sur son épée, celui ci ne put l'esquiver, mais dès que le jeune pharaon se fut retiré, il lui balança à nouveau un coup de griffe, tailladant sa poitrine; le jeune Roi tituba, mais ne tomba pas, en revanche, un flot de sang jaillit de sa bouche. Toutankhamon ferma les yeux et pensa fortement au soleil, il lui sembla que celui ci lui transmettait sa puissance... Ce fut cette fois ci avec des yeux remplits de détermination, qu'il regarda le démon. Prenant son envol, Seth le suivant, il s'éleva haut dans le ciel, avant d'amorcer une descente en piqué et de fondre sur son ennemi, Seth n'eu pas le temps de réagir, il se retrouva cloué au sol par l'épée de Toutankhamon, un sang noir jaillit de sa bouche, la bête se mourrait, cherchant désespérément à échapper à son sort, le démon se contorsionnait dans tous les sens, mais la poigne du jeune pharaon ne faiblissait pas, au contraire, il retourna son épée dans la plaie du monstre; celui ci poussa un cri déchirant avant de retomber au sol.

Le jeune pharaon le frappa encore une fois de son épée et projeta Seth dans la brèche, le renvoyant ainsi dans le monde des Enfers, qui se referma derrière lui.

Exténué, le jeune pharaon se posa au sol, saisit la tablette d'émeraude qu'il avait apportée avec lui, et la brisa d'un coup de genou en quatre morceaux et les jetas dans les airs.

«C'est à cause de cette tablette que tout cela est arrivé, père, je vous en prie, si vous tenez à ce peuple, alors faites que les fragments de cette tablette ne puissent jamais être rassemblés»***

Comme si le Dieu soleil entendait la prière de son fils, les quatre fragments de la tablette explosèrent dans les airs et se transformèrent en poudre, qui, comme agitée d'une volonté propre à elle même, alla se loger dans le dos du jeune roi, s'infiltrant par les pores de sa peau, formant ainsi le plus réaliste des tatouages, ainsi, personne ne pourrait trouver la tablette, personne ne pourrait s'en emparer.
Le jeune pharaon chuta lourdement sur le sol...

*, ** et *** = en égyptien dans le texte

Par kagura - Publié dans : Pharaons
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Lundi 29 décembre 1 29 /12 /Déc 22:33

Matthieu est rapidement sortit de la classe, je l'ai suivi avec empressement, je n'avais pas plus envie de me faire tabasser que lui.

Nous étions tous les deux morts de rire, mais c'était plus pour évacuer notre stress, ces gens étaient dangereux, et ils étaient tous contre nous...  Nous avons descendu les escaliers en courant, arrivant à peine à respirer tant le souvenir de la scène était présent...

Maintenant, il ne faudrait plus se quitter, parce que le premier à se retrouver seul risquait de déguster... Nous nous sommes arrêtés à la barrière pour essayer de reprendre notre souffle; cela étant fait, je fini par poser une question qui me tenait à cœur:

-Hey Matt?

-Mmmh?

-Pourquoi est ce que tu as pris autant de risques?

-Pour lui fermer sa gueule.

- J'ai vu ça, mais pourquoi?

-Parceque je n'ai pas supporter de voir mon petit ami devenir le souffre douleur de la classe, pardon, j'aurais du intervenir plus tôt.

-Depuis quand je suis redevenu ton petit ami?

 -Tu l'es pas encore redevenu... Autant faire ça dans les formes... Je m'excuse de tout ce que j'ai pu te dire et faire pour te blesser, j'éspère que tu me pardonne, et si tu le fait, est ce que tu serais prêt à m'accorder une deuxième chance et à ressortir avec moi?

 -Hein!? Oui, bien sur, je t'aime, mais... Tu me surprend...

-Je sais, mais je t'aime Léo, je t'aime vraiment, Pardon mis aussi longtemps pour te le dire... Pardon d'avoir perdu autant de temps...

 

Je crus que j'allais me mettre à pleurer, Mathieu se rapprocha de moi et me plaqua contre la barrière, doucement, il déposa ses lèvres sur les mienne, sa langue s'insinua dans ma bouche et vint jouer avec la mienne, une étrange chaleur se répandit dans tout mon corps, ce baiser était si doux, j'aurais aimé qu'il ne s'arrête jamais...

Mais ça c'était trop demander, malheureusement, et puis, ce qu'il y a eu par la suite valait largement la peine d'être vécu...

C'est seulement à ce moment la que nous nous sommes rendu compte que les élèves formaient un demi cercle autour de nous, certains, comme Sébastien et ceux de notre classe, nous regardaient avec répulsion, d'autres, nous regardaient avec tendresse et compassion, d'autre encore, dont quelques professeurs, avaient l'air gêné et n'osaient tout simplement pas nous regarder.

Matthieu m'enlaçait toujours, et il ne semblait pas vouloir me lâcher, c'est pas que j'avais envie de partir, mais bon...

-Matt? Faudrait peut être dégager le passage...

-Pas envie.><

-J'avais compris.

-Bon, je te lâche alors?

-S'il te plait, j'ai pas envie non plus, mais bon... 

-Ok, bon, j'y vais; bye.

-Bye.

 

Matthieu s'en alla.

Je suis rentré chez moi le cœur léger, mais presque en courant, arrivé à la maison, je claquais la porte derrière moi avant de m'y adosser, ce fut seulement à cet instant que je me suis rendu compte que ma respiration était saccadée d'avoir trop couru...

A cette heure la, il n'y a que mon frère à la maison, il arriva vers moi, l'air inquiet, mais il se mit à sourire quand il vit le mien...

 

-Qu'est ce qui s'est passé? Raconte moi je veux tout savoir!

Par kagura - Publié dans : amour et amitié
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Mardi 30 décembre 2 30 /12 /Déc 21:41


Francisco Bosch en gros plan^^

 

Paniqués, les paysans qui avaient assisté à la scène en restant cachés se précipitèrent à son chevet, mais le pharaon ne se réveillait pas, les paysans se mirent à implorer le Dieu soleil de sauver leur Roi.  Alors, tout doucement, le jeune pharaon commença à s'élever au dessus du sol; ses veines furent parcourue d'un flot de lumière visible au travers de sa peau, on aurait dit que la lumière du soleil se répandait dans ses veines, cette lumière semblait être l'essence même du pharaon, ses plaie cicatrisèrent, et, tout aussi doucement qu'il s'était élevé dans les airs, il retomba sur le sol...

Il bougea la tête, comme s'il cherchait à se réveiller sans y parvenir, les gens autour de lui s'écartèrent, lentement, le jeune pharaon ouvrit les yeux et se redressa sur un coude, semblant peu à peu reprendre ses esprits, comprendre ou il se trouvait et se rappeler ce qui s'était passé, il se releva entièrement, chancelant, mais il finit par prendre plus d'assurance...

Le jeune homme regarda autour de lui et dit:

«Vous êtes tous la? Ou sont vos blessés et vos morts?»

«La ou nous avons été contraints de les laisser monseigneur»  Répondit un vieillard.

«Montrez moi» répondit Toutankhamon.

On l'amena auprès de chaque blessé et de chaque mort, pendant plusieurs heures, le jeune pharaon vagabonda ainsi sur le champ de bataille, il n'y avait plus aucune trace des démons, à chaque fois que le pharaon s'arrêtait devant un blessé ou un mort, il appliquait sa main sur les plaies, et le flot d'énergie qui avait coulé dans ses veines peu de temps auparavant, semblait les quitter cette fois ci, pour aller se répandre dans les veines de la personne qu'il soignait; le jeune pharaon tirait sa force du soleil, et il transmettait cette force à ceux qui en avaient besoin, les blessures cicatrisèrent, les membres arrachés furent retrouvés et les morts revinrent à la vie.

«Aucun d'entre vous n'a à payer pour mes erreurs, dorénavant, je jure sur ma vie que je vous protégerais et que je ferais de vous un peuple prospère, encore plus que maintenant, je vais vous aider à remettre vos champs en état, mon père sera bon, il est clément avec moi, vous pourrez semez cinq poignée de céréales en plus par rangée, il les fera dorer»

Sur ce, le jeune pharaon se mit au travail, il fallut insister car personne n'osait lui demander, car il était tout de même leurs souverain et un fils de dieu, mais c'est grâce à cela et à ses pouvoirs que les dégâts ont pu être si vite réparés; à la fin de la journée, le jeune pharaon pu rentrer au palais....

Juste à temps apparemment, car un émissaire du Pays du Nord l'attendait déjà...

«Je désire m'entretenir avec le pharaon du Pays du Sud»

«c'est moi» répondit le concerné.

«Mon maître a des problèmes, il m'envoie vous demander de l'aide»

«Suivez moi, nous serons plus à l'aise pour parler»

Le jeune homme conduisit l'émissaire dans une petite pièce confortable, avec des coussins de velours pourpre sur le sol, une table basse, des fruits et de l'eau, l'émissaire comme le pharaon purent donc se rassasier à leurs guise.

«Que se passe t'il?»

«La sécheresse ravage nos récoltes et nos hommes, nous manquons d'eau et de main d'œuvre»

«Donc, ton maître voudrait que je lui apporte de l'eau et que je lui envoie des hommes...»

«C'est cela, oui»

«Et qu'à t'il à envoyer en échange?»

«Mon maître a pour l'instant peu de choses à vous offrir, mais il serait prêt à vous envoyer de l'aide dès que vous en aurez besoin»

«Un grand nombre de nos entretiens se concluent sur ce genre de promesses, mais j'ai eu plusieurs fois besoin d'aide, et jusqu'ici, ton maître n'a jamais faillit, soit, je lui enverrait des hommes et de l'eau, dès que mon peuple se sera remis des derniers évènements et aura retrouvé un peu de confiance»

«Y a t'il un problème?»

«Rien qui ne soit maintenant réglé, rassure toi et rassure ton roi, je serais rapide...»

«Je transmettrai»

«Tu as pour habitude de vivre la nuit, tu doit être exténué, tu peut rester ici pour te reposer, je veut être la quand tu partira, je vais laisser quelque servantes à ton service, si je suis endormi, alors demande leur de me réveiller»

«Bien monseigneur»

Le jeune pharaon se retira, laissant le messager se reposer, il partit dans sa propre chambre et s'étendit sur son lit où il s'endormit presque aussitôt, épuisé par les événements de la journée.

Il fut réveillé peu de temps après, par une magnifique servante égyptienne, qui était également danseuse et qui le distrayait lorsqu'il s'ennuyait, elle faisait partie de son harem, mais le jeune homme le fréquentait rarement, c'est pourquoi certaines jeunes femmes qui trouvaient la compagnie du jeune Roi agréable, s'était proposées de devenir servantes à leurs heures, proposition que le jeune homme avait acceptée, bien que réticent à traiter des gens comme des esclaves, c'est pourquoi il se montrait incroyablement gentil et clément avec ses serviteurs, bien souvent fidèles, car le jeune Roi à tout pour plaire et est très apprécié du peuple. En étant des serviteurs, ils étaient pourtant traités comme des égaux, un grand nombre de femmes du harem du Roi ont acceptée de devenir servantes, car si le jeune Roi ne les fréquentait pas, c'est parce qu'il refusait de les traiter comme de simples objets, tout juste bon à satisfaire ses désirs sexuels. C'est à cause de cela que peu à peu, toutes les femmes ont quitté le harem pour devenir servantes, elles ne se sont jamais plaintes de ce travail, et les eunuques qui doivent les gardér sont eux aussi traités comme des hommes, le jeune pharaon a parfois des attentions si tendres à leur égard, qu'il se surprennent presque à désirer le jeune Roi...

La servante se retira, laissant le jeune homme se réveiller, celui ci finit par se lever et rejoignit le messager à la porte du château, il lui souhaita une bonne route et le regarda partir...

Puis, il partit se recoucher, demain, ou peut être après demain, il irait demander de l'aide aux paysans, ceux ci se rendraient au Nord, il espérait pouvoir s'arranger avec le pharaon de la bas, peut être que ses hommes pourraient garder un rythme de vie «normal» et qu'il pourraient travailler de jour pendant que les habitants de «la bas» seraient en train de dormir...

Une chose était sure, lui aussi il ferait partie du voyage, il était hors de question qu'il laisse ses hommes seuls la bas, ceux d'ici pourraient se débrouiller, il le savait, mais aucun d'entre eux n'était allé «la bas» et il ignorait quelle serait la réaction des habitants... Et puis, c'était la première fois que l'occasion de rencontrer son «collègue» se présentait réellement, il n'allait pas la laisser passer....

Le jeune homme ferma les yeux et s'endormit, abandonnant ainsi ses ruminations nocturnes...

Par kagura - Publié dans : Pharaons
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Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 19:39

 -Je me suis réconcilié avec mon petit copain.

-C'était pas déjà fait?

-Si, mais on va dire que maintenant, c'est vraiment officiel, et même plus.

-Tu veux dire que tu resors avec lui?

-Gagné.

-C'est génial, je suis trop content pour toi Léo!

-Merci.

-Juste une chose, qu'est ce que tu entends par «plus qu'officiel?»

-Ben, disons juste que maintenant, toute l'école est au courant...

-Huh?

-Tu devrais voir ta tête, elle est extra...

-Crétin...

-Mais c'est vrai.

-Léo, sérieusement, qu'est ce que tu veux dire par la?

-Ben, on s'est à peine embrassés devant tout le lycée.

-Arrête de baver.

-Hein? Ah, désolé.

-Tu m'avais pas dit que ceux de ta classe étaient tous des homophobes?

-Si pourquoi?

-Tu m'avais pas dit que tu te faisait persécuter?

-Si pourquoi?

-Ben putain, tu vas morfler...

-Ouais, mais au moins, je serais pas tout seul.

-C'est vrai, je ne connait pas de meilleur soutient que celui de l'être aimé...

-Tu deviens poète.

-Ta gueule.

-La tienne.

-Putain Léo, t'es vraiment un gamin ce soir.

-Qu'est ce que tu veut que j'y fasse? Je vois la vie en rose.

-Ouais, ben fait gaffe parce que ça a pas duré longtemps la dernière fois...

-Va te faire foutre.

-Nan merci, j'en viens.

-Huh?

-Tu devrais voir ta tête elle est extra.

-Raaaah l'enfoiré! Il m'a eu en plus.

-Niark, je me venge.

-C'est ça! Dit, tu me préviendra quand tu le feras?

-Bien sur, je te raconterais tout en détails.

-Trop cool.

-Et en plus il y croit l'autre.

-Boarf, je te l'ai dit moi, non?

-Oui, mais tu m'as pas donné de détails

-Pourquoi, t'en veux?

-Naaaaaaaaaaaan.

-Menteur, je suis sur que t'en a envie.

-Naaaaaaaaaaaaaaaan.

-Ok, tant pis pour toi...

-Quoi? Nan, Léo attends.

-Oui? Quoi?

- Rien, tire toi.

-Et c'est moi le gamin? Tu parle, on fait la paire, oui...

-J'avoue><

-C'est ça, bon je vais bosser ok?

-Voui, a plus.

-Yep.

 

Je suis parti dans ma chambre, pour essayer de travailler.

Par kagura - Publié dans : amour et amitié
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Jeudi 1 janvier 4 01 /01 /Jan 19:39


Dans cette vidéo, vous pouvez voir Seth, le grand démon noir, ansi que la tablette d'émeraude apportée par un autre démon, au cas ou certains ou certaines auraient mal vu, voila Seth:


Et voila la tablette d'émeraude tenue à bout de bras par Danny frémont, le héros de film:



Et voila l'article^^


Lorsque le jeune homme se réveilla, il était déjà tard et la matinée était déjà bien avancée...

Il mangea très peu, mais cela lui suffisait... Il finit par sortir, pour voir comment allaient les gens depuis l'attaque d'hier; ceux ci semblaient aller bien, ils saluaient le jeune roi lorsque celui ci passait, et un grand nombre d'entre eux lui étaient reconnaissants d'être intervenu si vite, ceux qui étaient blessés étaient maintenant au travail dans les champs et ceux qui étaient morts se précipitèrent et s'agenouillèrent aux pieds du jeune homme, débordants de gratitude, promettants de se mettre à son service à chaque fois qu'il le désirerait, le remerciant tant qu'ils le pouvaient...

Le jeune pharaon saisit cette occasion.

«Vous pouvez dès maintenant me rendre service, mais je ne veux pas vous épuiser et je veux que vous ayez le temps de vous reposer»

«Peu^importe notre état; demandez maintenant monseigneur»

Tous, il furent d'accord sur ce point... Tous ils étaient prêts à apporter immédiatement leur aide à leurs seigneur... Celui ci n'avait qu'à ordonner pour que ses sujets s'exécutent...

«Le pharaon du Pays du Nord et son peuple subissent une grave sécheresse,elle décime les cultures comme les hommes, je lui ai promis de lui envoyer de l'aide...»

«Alors nous irons monseigneur, pour vous»

«Je fais confiance à vos femmes et à vos enfants pour s'occuper des cultures, je sais que  tous ils se débrouilleront à merveille, puisqu'ils reçoivent votre enseignement dès leur plus jeune âge, je pense qu'il devraient pouvoir aider vos femmes, mais vous, êtes vous réellement près à partir?»

«Absolument monseigneur, et ce sans aucune hésitation»

«Alors je partirai avec vous, je vais immédiatement envoyer un messager au seigneur Amenhotep, pour le prévenir de notre arrivée, si l'émissaire part maintenant, alors il devrait arriver à temps pour le réveil du seigneur du Pays du Nord. Que tous ceux qui souhaitent m'accompagner et apporter de l'aide à ce seigneur se présentent demain devant le palais, aux premières lueurs de l'aube; et sachez que vous ne serez pas seuls à travailler, car je le ferais également.»

Sur ce, le jeune pharaon repartit chez lui, sans se retourner. Arrivé au palais, il demanda à ce qu'on lui présente un émissaire, il confia à celui ci son message d'arrivée, ainsi que son souhait de travailler de jour et de dormir la nuit; il ordonna au jeune coursier de prendre le meilleur cheval qu'il trouverait et de partir sur le champ.

Le jeune pharaon occupa le reste de sa journée à la lecture et à l'écriture, l'ennui le possédait, et il se demandait comment allait réagir le pharaon du Pays du Nord en le voyant, allait il le reconnaître? Ou, au contraire, se contenterait il de passer son chemin? S'il le reconnaissait, alors que ferait il?

Étrangement tourmenté par ses pensées, le jeune pharaon sombra dans un sommeil agité; il se réveilla à l'aube, en sueur.

Il mangea rapidement, avant de se rendre sur son balcon, tous, tous les paysans étaient la, même des hommes qui semblaient à peine sortis de l'enfance, même les vieillards.

Encouragé par cet enthousiasme; le jeune pharaon demanda aux gens d'aller se chercher de quoi manger pour la journée, si ce n'était déjà fait, il les prias ensuite de se rendre aux écuries du palais, car ils ne feraient pas la voyage à pied, surpris par cette nouvelle, une ovation monta d'en bas, les paysans ne s'attendaient pas à voyager de la même façon que leurs seigneur, mais celui ci semblait en avoir décidé autrement... Les gens se retirèrent, partirent chercher de quoi se nourrir pour la journée, et se rendirent par la suite aux écuries, le pharaons les y attendaient déjà; si tout se passait bien, ils arriveraient dans le Nord à la tombée de la nuit. Il se mirent promptement en route. Le soleil du désert était brûlant; mais ils y étaient habitués et n'en souffraient pas, et puis... leur pharaon était à leurs côtés, sa présence était rassurante...

Ils arrivèrent en Pays du Nord au crépuscule, il restait encore un peu de route à faire, et les gens commençaient à fatiguer, le jeune roi s'apprêtait à leurs dire de s'arrêter, quand un messager vint à leur rencontre.

«Vous devez venir du pays du Sud, vous devez être fatigués, mon maître m'envoie vous mener à vos appartements où vous serez tous logés et nourris pour vous remercier d'être venus si rapidement, mon seigneur à également accepté votre demande de travailler le jour et de dormir la nuit, il viendra probablement vous voir demain matin, je serais chargé de vous réveiller et de vous mener à nos champs,j'adopterais votre rythme et superviserait votre travail.»

Toutankhamon intervint:

«Vous remercierez votre seigneur de sa sollicitude, mais nous ne voulons pas vous forcer à adopter notre rythme, vous avez donc si peu confiance en nous?»

«En effet, personnellement, je ne vous accorde aucune confiance, et je veux m'assurer que vous ne bâclerez pas le travail»

«Votre seigneur nous a demandé de l'aide, croyez vous vraiment que nous allons risquer de perdre le peu de bonnes relations que nous entretenons?»

«Quelles relations? Votre seigneur n'a jamais rencontré le notre, comment pouvons nous entretenir des relations?»

«Je vois ce que vous voulez dire, eh bien, conduisez nous la ou vous devez nous conduire, demain, vous nous surveillerez»

«Enfin décidés à suivre, c'est pas trop tôt»

Les paysans suivirent le messager en murmurant d'un air indigné, ce messager s'était montré incroyablement insolent avec leur pharaon, et celui ci s'était laissé faire sans réagir, mais ce que les paysans ne savaient pas, c'est que si le jeune roi avait prévenu de leurs arrivée, il n'avait pas prévenu de la sienne, de plus, il portaient une cape de lin blanc qui lui couvrait le dos, ôtant ainsi à celui qui le regardait, toute chance d'apercevoir la Tablette d'Emeraude.

Malgré cela, ils suivirent docilement le messager, qui les conduisit dans un bâtiment ou ils pourraient tous coucher, ils avaient de la nourriture et les lits étaient confortables. Apparemment, le pharaon de ce pays n'éprouvait pas à leur égard la même antipathie que son messager; Toutankhamon en fut rassuré. Ils se couchèrent et s'endormirent rapidement, au lever du soleil, le messager vint les réveiller, il leur ordonna de manger rapidement, ensuite, il les mena au champs, l'eau apportée était bien parvenue au pharaon et celui ci en était reconnaissant a Toutankhamon, il demanda aux paysans de transmette ce message à leur seigneur. Les paysans, perplexes, se tournèrent vers celui ci, mais le messager ne sembla pas le remarquer.

Vers midi, cet idiot de messager s'endormit, et Toutankhamon aperçut un char arrivant du Nord. Il se douta qu'il s'agissait du pharaon, mais il attendit sa venue; celui ci passa près du messager endormit, et ne sembla pas vouloir le réveiller, il parcouru du regard l'étendue de paysans qui le regardaient d'un air intimidé, même s'ils ne s'étaient pas agenouillés, de toutes façons, ils n'avaient pas à le faire, car  Amenhotep n'était pas leur Roi... Toutankhamon releva la tête, son regard croisa celui d'Amenhotep, et ce fut comme s'il ne pourrait plus jamais s'en détacher... Il était hypnotisé, il ne parvenait pas à se libérer de l'emprise de ce regard, le jeune pharaon à la peau pâle, qui s'abritait du soleil sous une vêtement d'un noir profond qui le couvrait entierement, et qui semblait dans le même état que lui. Leurs visages étaient, à part la couleur de peau, strictement identique, et instinctivement, Amenhotep sut qu'il se trouvait en fasse du seigneur de l'Egypte du Sud. Les paysans les regardaient  d'un air intrigué; dans un silence religieux... Un bruit sec et mat ramena Toutankhamon à la réalité, il venait de laisser tomber son outil... Il ne portait pas de cape cette fois ci, car il préfère être libre de ses mouvements pour travailler, et, lorsqu'il se baissa pour ramasser l'outil qu'il tenait quelques instants auparavant, son regard quitta celui d'Amenhotep, et celui ci put voir la tablette d'émeraude incrustée dans son dos. Comprenant qu'il s'agissait de Toutankhamon, il invita celui ci à le rejoindre sur son char, il pourrait ainsi se reposer au palais; le pharaon accepta, Amenhotep remercia les paysans du sud pour le travail, il leurs demanda de ne pas réveiller son messager, c'était un véritable emm... (ce sont ses propres mots, censurés pour ne pas choquer... huh? Pour choquer qui? Vu ce que j'écris, si vous êtes choqués, ben faut pas rester^^) Il leur demanda également de lui donner ce message(il tendit un rouleau de papier à l'un des paysans)à son réveil; il ajouta que malgré ce que cet idiot avait pu leurs dire, il avait confiance en eux et il savait qu'ils n'avaient nul besoin d'être surveillés. Toutankhamon termina en leurs disant que lui aussi leurs faisait confiance, et qu'il comptait sur eux pour faire du bon travail; les paysans, qui avaient une dette éternelle envers leur Roi acquiescèrent.

Toutankhamon monta sur le char d'Amenhotep, celui ci, en passant, donna un coup dans les côtes du messager à l'aide du bout en bois de sa lance; celui ci se réveilla en sursaut, et commença à hurler et à les insulter car ils ne l'avaient pas réveillé, qu'il était sur qu'ils avaient profité de son sommeil pour bâcler le travail, qu'il allait faire une inspection générale, etc... Les paysans, qui avaient tous lu le message, lui lancèrent le message à la figure en le regardant d'un air goguenard.

Le messager les regarda d'un air furieux et déplia le message; il pâlit:

 «Abruti,

Sache que ce ne sont pas parce qu'ils viennent du Sud qu'ils nous sont inférieurs et qu'il faut les traiter comme des chiens, avec des idées pareilles, tu finira dans une geôle froide et humide... Pour t'apprendre l'humilité, tu travailleras avec eux et sous leurs ordres, même si je ne suis pas sur que tu apprenne quoi que ce soit... Travaille bien, sinon tu en souffrira.

Ton pharaon qui te bottera les fesses si tu fais l'andouille

Amicalement,

Amenhotep.»

Le messager releva les yeux d'un air inquiet, son visage se décomposa subitement sous le regard moqueur des paysans, qui s'étaient tous mis d'accord et qui commençaient à envisager les meilleurs plans pour lui en faire voir de toutes les couleurs...



Par kagura - Publié dans : Pharaons
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Vendredi 2 janvier 5 02 /01 /Jan 17:28

J'ai bien dit «essayer».

Putain impossible de me concentrer, raaaaaaaaaaaaaaah Matthieu sort de ma tête abruti>< C'était trop bon, j'ai trop halluciné quand il m'a embrassé O_o D'ailleurs, c'était réel ce baiser? Bon ben, je me connecte sur msn pour vérifier...*gifle intérieure*, putain, c'est ça cherche des excuses abruti... Comment ça je suis un taré parce que je me parle à moi même? Mais allez vous faire foutre! Vous verrez c'est très agréable... Putain, bon, faut que j'arrête moi... Aller, reprends toi Léo, tu vas y arriver, je sais que tu peux faire tes devoirs sans penser à Matthieu, aller, 1, 2, 3 essai...

Merde, j'y arrive pas, ben voyons...

J'avais l'air très bien partit pour faire mes devoirs moi... D'autant plus que ma santé mentale semblait menacée...

 

Bon, essai n°2... Raté. Essai n°3... Raté. Essai n°4... Raté, essaie encore...

Putain! Je vais devenir dingue! Chbaf aieuh... Bon, merci, j'en avais peut être besoin... Peut être, comme si j'en était pas sur, tiens... Bon, putain... *Concentration* Mathieuu*baaaaaaavee* *Chbaf*aieuh...* Ben putain, c'est pas gagné...

 

 

bon, chaque chose en son temps, mon sac... Ah ben merde, il est où? *ting* la salle à manger; fait chier... Je me lève, et vais chercher mon sac, je retourné dans ma chambre sous l'oeil goguenard de mon petit frère...

-Toi, t'as l'air de quelqu'un qui cherche une baffe.

-T'es mignon, tu sais?

-C'est ça, fous toi de moi...><

-C'est vraiment craquant le sketch de l'amoureux qui arrive pas à penser à autre chose qu'à son premier baiser...

-Enfoirééé! C'était pas le premier.

-Je sais, mais ça change rien au fait que comme ça t'as l'air d'une petite vierge effarouchée...

-Même pô vrai.

-T'es sur?

-Tu veux que je te montre?

-Euh, nan, ça va.

-Dans ce cas, tu veux que je te rappelle combien tu était mignon à rougir comme une fille quand tu m'as dit que tu était amoureux de Thomas?

-Euuuuuuuuuh non plus...

-Alors ta gueule.

-Va te faire foutre Léo!

-Avec joie.

-Oh, putain... C'est ça qui est chiant quand on est gay et qu'on a un frère gay; on peut pas s'envoyer des fions sans se les reprendre dans la gueule.

 -Ouais, j'avoue...

 -Putain, mais va lui causer à ton mec, après t'as deux solutions; soit tu repense encore à lui comme une prude qui vient de recevoir son premier baiser, soit tu trouve le moyen de le mettre de côté et de bosser...

-Mouais, je vais essayer...

-Ben, bon courage, bye bye.

-C'est ça, sale gosse.è_é

-Prude.^^

-TA GUEULE.

Je suis reparti dans ma chambre avec mon sac, pour essayer, encore une fois, de travailler...

 

Par kagura - Publié dans : amour et amitié
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Vendredi 2 janvier 5 02 /01 /Jan 18:17

 

Toutankhamon repartit avec Amenhotep, celui ci finit par dire:

«Excusez cet idiot monseigneur, il a des idées très arrêtées, mais il n'est pas méchant...»

«Vous êtes sur? Pour moi, il n'aboie pas, il mord...»

Amenhotep se mit à rire:

«Vous n'avez pas idée du nombre de fois ou j'ai entendu cette phrase à son sujet.»

«Oh, il y a aussi des grandes gueules chez moi...»

«Pour notre plus grand malheur...»

«Il faut savoir les gerer, mais je reconnais que cela est parfois compliqué."

lls se turent pour le reste, c'était une impression assez étrange qu'ils ressentaient, comme s'ils se connaissaient depuis longtemps; ils ne s'étaient jamais vus, et pourtant, ils n'arrivaient pas  à se parler autrement que familièrement...

L'avantage de leurs silence, fut au moins que Toutankhamon pouvait détailler le jeune homme qui se trouvait devant lui, en train de tenir les rênes des chevaux, à loisir... Il lui ressemblait, vraiment... Toutankhamon avait la peau colorée, presque dorée, tandis que celle d'Amenhotep était blanche, peut être un peu rosée, comme de l'ivoire, et pourtant irisée comme du vieil argent... Les yeux de Toutankhamon étaient de couleur noisette, ceux d'Amenhotep étaient gris, gris perle, gris acier... Tous deux avaient les cheveux rasés, avec une petite tresse noire derrière l'oreille droite, et tous deux étaient vêtus d'une sorte de pagne, en toile de lin blanc noué de manière égyptienne autour de leur taille, ce tissu est réservé aux plus riches égyptiens... Sinon, leurs nez étaient pareils, leurs bouches étaient pareilles, leurs bustes étaient pareils,  leurs bras étaient pareils, leurs jambes étaient pareilles... la seule différence réellement tranchante était la couleur des tablettes incrustées dans leur dos, Toutankhamon se demanda s'il avait vécu la même chose que lui... En tous cas, mis à part les petites différences citées plus haut, les deux pharaons étaient rigoureusement identiques, et Toutankhamon se surprit à trouver le jeune homme devant lui beau... Il s'abima dans sa contemplation, tant et si bien, qu'il ne se rendit même pas compte que le char s'était arrêté... Ce fut seulement lorsque Amenhotep tourna ses yeux si étranges vers lui qu'il se rendit compte de l'insistance de son regard... Il baissa les yeux.

«Depuis tout à l'heure, vous m'observez, et je dois vous avouer que j'ai bien du mal à me retenir de le faire moi aussi»

«Pardonnez moi, je ne m'en était pas rendu compte...»

«Je sais, moi non plus, c'était comme tout a l'heure sur le chantier, cette impression, comme si je vous connaissait depuis toujours, alors que nous ne nous étions jamais vus, comme si nous étions liés depuis notre naissance, comme si je vous connaissait plus intimement que n'importe qui d'autre...»

«Vous m'ôtez les mots de la bouche, je ne sais pas quoi dire d'autre...»

«Alors ne dites rien, parce que pour le moment, il n'y a rien d'autre à dire, suivez moi je vous prie.»

«Entendu»

Amenhotep conduisit Toutankhamon dans une chambre richement décorée, un lit défait aux draps de soie trônait au centre de la pièce, des corbeilles de fruits ainsi que des pichets de vin et d'eau étaient disposés sur les tables, des écrits, des rouleaux de papyrus et de l'encre étaient également disposés un peu partout...

«Vous êtes ici dans mes appartements privés, nous ne serons pas dérangés»

En regardant le lit, Toutankhamon finit par identifier quel était ce sentiment de malaise qui l'avait envahi à son entrée dans la pièce...

«Monseigneur, vous devriez être couché»

«J'ai déjà un peu dormi tout à l'heure, et puis, je voulais vous rencontrer... Même si vous ne l'aviez pas précisé dans le message, je me doutait que vous viendriez...»

Par kagura - Publié dans : Pharaons
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