A la même heure qu'hier; Lucie rentra, et, comme hier; nous fûmes contraints d'arrêter de travailler.
Le père de Mathieu rentra également et, après le repas; alors que je me dirigeais vers la salle de bain; je vis Mathieu, adossé contre le mur du couloir, en train de me dévisager, perdu dans ses
pensées...
Je m'approchait de lui et le "réveillait" d'un léger baiser sur les lèvres...
Ses deux neurones eurent l'air de se reconnecter et il me repoussa brutalement, comme choqué par ce que je venais de faire, ou plutôt choqué par ses pensées, car il rougit légerement, plaqua une
main devant sa bouche et baissa les yeux vers le sol...
Le trouvant définitivement trop craquant, je le prit dans mes bras et le serrais fort, avec tendresse...
Voyant qu'il ne résistait pas, je le pris par le bras et l'entraînais dans la salle de bain ou je le plaquais contre
le mur avant de l'embrasser...
Il ne put me refuser l'accès à sa bouche; dans laquelle j'introduisit ma langue de force.
Lentement, je passais une main sous son T-shirt, le carressant, m'attardant sur ses têtons durcis, Je m'écartais un court instant afin de le lui retirer; j'en profitais également pour enlever le
mien et repris mes carresses, Mathieu retint un gémissement :
-Léo, arrête, mon père et ma soeur sont la..
-Et alors? m'en fout. répondis je, commençant à lui enlever son jean.
-Léo, bordel... Dit il dans un sursaut.
-Oui? Répondis je, enlevant mon jean à mon tour.
-Arrêêêêêêteuuuuh, dis il, me regardant d'un air presque apeuré, alors que je me rapprochais dangereusement de lui; allant même jusqu'à coller mon bassin au
sien... Son air éffrayé me pinça le coeur, mais il était trop tard, je ne pouvais déja plus m'arrêter, je ne me contrôlait plus...
Je sentais son excitation, il le savait et en avait honte, mais cela ne faisait qu'augmenter mon plaisir...
Je bougeais doucement contre lui; l'une de mes mains était déscendue le long de sa cuisse, tandis que l'autre remontais le long de son dos.
Il gémit une nouvelle fois, s'efforçant tout de même de se contenir.
Alors que je carressais ses fesses et commençait à lui enlever son boxer; il tenta finalement de me repousser; mais je m'accrochait à lui et je refusais de le lacher, ce qui n'était pas pour me
déplaire...
Il gémit plus fort cette fois ci.
Malgré ses mains qui tentaient de me repousser, je lui enlevais son boxer, et profitais d'un de ses moments de faiblesse pour le lacher et enlever le mien.
L'instant d'après, je le décollais du mur et le forçait à entrer dans la douche; faisant couler l'eau au passage, Mathieu était maintenant plaqué contre le mur de la douche.
L'eau était froide, mais elle se réchauffa rapidement.
Je l'embrassais dans le cou, laissant une trace brillante à chacun de mes baisers.
Je descendit progressivement vers son bas ventre, m'attardant sur ses têtons, durcissants sous l'actions de ma langue, une zone particulièrement érogène chez lui, tout comme son nombril, ou je
m'attardait également; faisant glisser ma langue à l'interieur..
Il gémit de plus en plus fort, je me retirais et remontais vers son visage; je l'embrassais doucement avant de reccommencer à bouger contre lui; je ne ferais rien, rien de concret; j'allais le
faire jouir par de simples carresses, peu importe le temps que ça me prendrait, j'y arriverais. J'avais l'impression d'évoluer dans une sorte de brouillard, et une voie dans ma tête me hurlait
que je devrais m'arrêter immédiatement, qu'il risquait de ne pas me pardonner, mais mon corps ne m'obéissait pas, et je ne pouvais pas m'empêcher d'y prendre du plaisir... De toutes façons, cela
ne devait pas prendre bien longtemps, je me saisis du savon, ayant ainsi trouvé une raison de plus de toucher Mathieu; je commençait à le laver, commençant par les bras, descendant le long de son
torse, finissant par ses jambes, m'attardant sur ses cuisses, et même un peu plus haut (on se demande ou^^)
Mathieu gémissait, de plus en plus fort, mais
il ne se lachera pas totalement tant qu'il y aura d'autres personnes que nous dans la maison...
Alors que mes carresses se faisaient plus insistantes; et l'eau ruisselant sur nos corps augmentant notre plaisir, Mathieu en fut subitement submergé et se libera dans un soupir de soulagement;
il était propre, pas moi, je me savonnais rapidement et l'embrassait légerement avant de le laisser reprendre ses esprits.
Alors que je sortais de la salle de bain, prit d'une certaine nausée à cause de ce que j'avais fait, j'aperçus la mère de Mathieu, qui venait tout juste de rentrer; je la saluais rapidement
et partis me demêler les cheveux, Mahtieu m'évitais, comme si il avait peur de moi, ce qui, en y réfléchissant, était peut être le cas... Je me prit la tête dans les mains d'un air désespéré,
mais après tout, il allait me retrouver rapidement; il avait oublié qu'on dormait dans la même chambre?