Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:17

A la même heure qu'hier; Lucie rentra, et, comme hier; nous fûmes contraints d'arrêter de travailler.
Le père de Mathieu rentra également et, après le repas; alors que je me dirigeais vers la salle de bain; je vis Mathieu, adossé contre le mur du couloir, en train de me dévisager, perdu dans ses pensées...
Je m'approchait de lui et le "réveillait" d'un léger baiser sur les lèvres...
Ses deux neurones eurent l'air de se reconnecter et il me repoussa brutalement, comme choqué par ce que je venais de faire, ou plutôt choqué par ses pensées, car il rougit légerement, plaqua une main devant sa bouche et baissa les yeux vers le sol...
Le trouvant définitivement trop craquant, je le prit dans mes bras et le serrais fort, avec tendresse...

Voyant qu'il ne résistait pas, je le pris par le bras et l'entraînais dans la salle de bain ou je le plaquais contre le mur avant de l'embrasser...
Il ne put me refuser l'accès à sa bouche; dans laquelle j'introduisit ma langue de force.
Lentement, je passais une main sous son T-shirt, le carressant, m'attardant sur ses têtons durcis, Je m'écartais un court instant afin de le lui retirer; j'en profitais également pour enlever le mien et repris mes carresses, Mathieu retint un gémissement :

-Léo, arrête, mon père et ma soeur sont la..
-Et alors? m'en fout. répondis je, commençant à lui enlever son jean.
-Léo, bordel... Dit il dans un sursaut.
-Oui? Répondis je, enlevant mon jean à mon tour.
-Arrêêêêêêteuuuuh, dis il, me regardant d'un air presque apeuré, alors que je me rapprochais dangereusement de lui; allant même jusqu'à coller mon bassin au sien... Son air éffrayé me pinça le coeur, mais il était trop tard, je ne pouvais déja plus m'arrêter, je ne me contrôlait plus...
Je sentais son excitation, il le savait et en avait honte, mais cela ne faisait qu'augmenter mon plaisir...
Je bougeais doucement contre lui; l'une de mes mains était déscendue le long de sa cuisse, tandis que l'autre remontais le long de son dos.
Il gémit une nouvelle fois, s'efforçant tout de même de se contenir.
Alors que je carressais ses fesses et commençait à lui enlever son boxer; il tenta finalement de me repousser; mais je m'accrochait à lui et je refusais de le lacher, ce qui n'était pas pour me déplaire...
Il gémit plus fort cette fois ci.
Malgré ses mains qui tentaient de me repousser, je lui enlevais son boxer, et profitais d'un de ses moments de faiblesse pour le lacher et enlever le mien.
L'instant d'après, je le décollais du mur et le forçait à entrer dans la douche; faisant couler l'eau au passage, Mathieu était maintenant plaqué contre le mur de la douche.
L'eau était froide, mais elle se réchauffa rapidement.
Je l'embrassais dans le cou, laissant une trace brillante à chacun de mes baisers.
Je descendit progressivement vers son bas ventre, m'attardant sur ses têtons, durcissants sous l'actions de ma langue, une zone particulièrement érogène chez lui, tout comme son nombril, ou je m'attardait également; faisant glisser ma langue à l'interieur..
Il gémit de plus en plus fort, je me retirais et remontais vers son visage; je l'embrassais doucement avant de reccommencer à bouger contre lui; je ne ferais rien, rien de concret; j'allais le faire jouir par de simples carresses, peu importe le temps que ça me prendrait, j'y arriverais. J'avais l'impression d'évoluer dans une sorte de brouillard, et une voie dans ma tête me hurlait que je devrais m'arrêter immédiatement, qu'il risquait de ne pas me pardonner, mais mon corps ne m'obéissait pas, et je ne pouvais pas m'empêcher d'y prendre du plaisir... De toutes façons, cela ne devait pas prendre bien longtemps, je me saisis du savon, ayant ainsi trouvé une raison de plus de toucher Mathieu; je commençait à le laver, commençant par les bras, descendant le long de son torse, finissant par ses jambes, m'attardant sur ses cuisses, et même un peu plus haut (on se demande ou^^)
Mathieu gémissait, de plus en plus fort, mais il ne se lachera pas totalement tant qu'il y aura d'autres personnes que nous dans la maison...
Alors que mes carresses se faisaient plus insistantes; et l'eau ruisselant sur nos corps augmentant notre plaisir, Mathieu en fut subitement submergé et se libera dans un soupir de soulagement; il était propre, pas moi, je me savonnais rapidement et l'embrassait légerement avant de le laisser reprendre ses esprits.
Alors que je sortais de la salle de bain, prit d'une certaine nausée à cause de ce que j'avais fait, j'aperçus la mère de Mathieu, qui venait tout juste de rentrer; je la saluais rapidement et partis me demêler les cheveux, Mahtieu m'évitais, comme si il avait peur de moi, ce qui, en y réfléchissant, était peut être le cas... Je me prit la tête dans les mains d'un air désespéré, mais après tout, il allait me retrouver rapidement; il avait oublié qu'on dormait dans la même chambre?

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:18

Nous nous sommes couchés; tranquillement; Mathieu évitait mon regard et s'éloignait de moi le plus possible; mais à part ça, tout allait bien...
J'avoue avoir mis du temps à
 trouver le sommeil, tourmenté par mon acte, j'ai bien du tourner et retourner dans mon lit pendant deux heures... Et le lendemain, je me posais toujours autant de questions...
Comment Mathieu allait il réagir? Allait il se comporter comme d'habitude?
Ou bien est ce qu'il allait me rejeter comme autrefois?
La situation se dégraderait elle par rapport à ce temps la?
Il était 6h30 du matin et je me faisais chier à penser à ces conneries dans mon lit, en fait, j'avais tout simplement peur du moment ou Mathieu se réveillerait, peur d'affronter son regard, peur de sa réaction, et surtout, de devoir assumer mes actes. J'avais peur de l'avoir brisé, d'avoir réussi à me faire détester et de m'être débrouillé d'une telle façon que j'aurais moi même réussi à perdre toutes mes chances... Finissant par en avoir marre de ces pensées sombres, je me suis levé. Par un extraordinaire miracle, ou hasard, appelez ça comme vous voulez, il était sept heures du matin, et la maison était vide. Malheureusement, je n'avais pas grand chose à faire, et je n'ai rien trouvé de mieux que de m'allonger sur le canapé et de reccomencer à penser.

J'ai du me rendormir sans même m'en rendre compte... Et je me suis réveillé en sursaut; 3heures plus tard après un rêve particulièrement érotique, et une envie relativement grande de me jeter par la fenêtre pour ne pas risquer de faire plus de conneries... De plus, j'avais gardé tous les souvenirs de ce rêve, ce qui expliquait la résistance de cette foutue bosse qui était apparue dans mon boxer...
J'en avais marre de faire des rêves comme ça; la réalité était tellement mieux... Enfin, quand elle pouvait être plus qu'un rêve, bien sur... Lassé de devoir contrôler mes pensées, je laissais les souvenirs de ce rêve  me submerger...
J'ai joui sans même m'en rendre compte...
Je suis allé me changer rapidement et j'ai attendu le reveil de Mathieu; en silence, toujours sur ce foutu canapé qui me donnait bien trop d'idées...


Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:19
Mathieu se réveilla environ 1heure plus tard; il me trouva recroquevillé sur moi même, toujours sur ce foutu canapé; perdu dans mes pensées qui étaient toujours aussi sombre, et dont même les souvenirs de mon rêve ne parvenaient pas à égayer les couleurs, au contraire, chaque fois qu'un détail de ce rêve me revenait en mémoire, mes pensées s'assombrissaient un peu plus.
Il s'approcha de moi par derrière  et s'appuya par dessus le canapé afin de pouvoir me regarder, enfin, en contre plongée. Surpris, je sursautais:

-Léo? Qu'est ce que tu fous la? Ca va?
-Hein? Euh, oui,oui...
-T'es sur?
dit il d'un air inquiet.
-Oui, ne t'inquiète pas; répondis je, souriant, manquant de fondre littéralement sur place de soulagement, devant ce visage si beau et qui ne semblait pas m'en vouloir de ce que j'avais fait hier.
-Tant mieux, répondit il avec un sourire.
Je détournait vivement le regard, rougissant. Comment pouvait-il s'inquieter pour moi après ce que je lui avait fait hier?
Semblant comprendre la raison de mon malaise, il se retira et me demanda si j'avais pris mon petit déjeuner, je répondis que non, et il m'invita à le prendre à ses côtés; comme tous les matins en fait...
Apaisé de voir qu'il se comportait comme d'habitude, je l'accompagnais, rassuré.
Je reprenais du poil de la bête...

* * *

Après le petit déjeuner, nous sommes partis lire quelques livres empruntés à la bibliothèque municipale lors de notre précédent passage dans les alentours de la Part Dieu.
Au bout de plus d'une heure de lecture, Mathieu dit:

-J'en ai marre, on va faire un tour?
-OK, ça me va.

Après nous être un minimum préparés et avoir laissé un mot à l'intention de Paul; nous avons pris un peu d'argent et nous sommes partis vers le parc de la tête d'or.
Nous avons pris le métro, ou nous sommes entrés ensemble, et ou nous nous sommes assis côte à côte, nous avons commencé à discuter.
Les gens nous regardaient bizarrement, mais cela n'avait pas l'air de déranger Mathieu, en fait, je ne suis même pas sur qu'il ait remarqué
En sortant du métro, il me prit la main et me demanda:

-Le regard des gens ne t'as pas trop gêné?
-Non, pas vraiment, moi j'assume... J'ai l'habitude, de toutes façons, ça se voit à 15 bornes que je suis gay...
-Faut croire... effectivement t'assume,
dit il en riant.

 

Il lacha ma main, je me suis gardé de tout commentaire et nous avons commencé à nous diriger vers le parc de la tête d'or en discutant.

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:22

Nous sommes arrivés au parc; cela nous faisait du bien de sortir un peu, nous décidâmmes de faire le tour et d'aller regarder les animaux, puis, de nous arrêter vers midi dans un restaurant ou dans une buvette quelconque...
J'imaginais bien la scène, deux jeunes hommes, apparement gays, en balade et allant manger au restaurant, ça promettais d'être marrant. Vu la tête des gens dans le métro, ici, ça n'allait pas être triste... Quoique, ça pouvait aussi devenir très facilement désagréable...
Après avoir visité une partie du parc, nous nous sommes arrêtés, vers midi, au restaurant, finalement (ben ouais, je les imaginais pas manger des frites assis sur un banc^^), après avoir mangé rapidement et avoir rembarré celui qui nous a fait payer la note, qui nous avait traités de "tarlouses" en précisant que MOI, j'était gay, mais que Mathieu ne l'était pas, et en disant que l'amitié entre hommes, même gay-hétéro pouvait exister, nous sommes sortis du restaurant, quelque peu agacés par cet remarque et par l'idiot de serveur qui l'avait prononcé.
Mathieu me dit:

-Désolé...
-De quoi?
-C'est moi qui ai proposé de venir ici...
-Et alors? Ce n'est pas de ta faute; et puis, moi, ça me fait très plaisir d'être ici avec toi...
-C'est vrai?
-Bien sur que c'est vrai, idiot.
-D'accord, je vois, dit il, souriant, dans ce cas, ça va alors?
-Ca va très bien,
dis je en me collant à lui; il sourit, mais ne me repoussa pas.
Nous avons continué notre balade, tranquillement, nos doigts entrelacés, sans prêter attention au regard des gens; nous avons fini par nous alonger dans l'herbe, comme ces jeunes couples que l'on voit ci souvent...
Je me posait de plus en plus de questions sur Mathieu, mais pour le moment, cela n'avait plus beaucoup d'importance...

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:24

Je me blottis contre lui et fermait les yeux, m'imprégnant de cette odeur ci douce qui était la sienne...
Il me laissa faire et m'enlaça en souriant.

                                                             * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Il semblerait que je me soit endormi, je me suis réveillé quelques heurs plus tard, dans les bras de Mathieu; il s'était également endormit et dormait encore; il m'enlaçait toujours, et je ne pouvais donc, pas bouger, ce qui ne me gênait aucunement... J'attendis patiemment son réveil, qui arriva environ dix minutes plus tard.
Il ouvrit lentement les yeux et me regarda, avant de me sourire doucement et de dire :

-Bien dormi?
-Très bien, et toi?
-Très bien.
-Vraiment?

Il sourit avant de dire:

-Oui, j'ai fait un rêve bizarre et j'ai vraiment l'impression que je ne peut plus te resister, mais je ne ferais rien pour toi...
-Je le sais, je m'en doutais, puisque tu n'arrive pas encore à t'accepter tel que tu es...
-Désolé...
-T'inquiète, ça viendra, moi j'au eu aucun problème, mais moi je suis gay depuis ma naissance... A part ça, c'était quel genre de rêve?

-Euh... Genre chiant...  Fit il d'un air amusé, bien que un peu gêné.
-Genre érotique?  demandais- je avec un sourire narquois.

-Ouais, ce genre ladit-il en rosissant un peu.

  

Je me retenais de hurler de rire devant ce jeune gay refoulé, qui semblait vouloir hurler au monde qu'il était aussi PD que Laurent Ruquier, mais qui semblait avoir de la peine à se l'avouer à soi même,

et qui, en fait, souhaitait juste qu'on le force un peu pour pouvoir dire ensuite qu'on l'avait forcé...

  

-Bon, ça fait pas trop mal?

-Non, non...  Dit il en tournant la tête pour que je ne le vois pas rougir, mais en ne cherchant même pas à contrôler le ton amusé de sa voix, parcequ'il savait qu'il se conduisait lui même comme une petite vierge éffarouchée.

  
-C'est pas la peine,  continua-t-il.
-Si t'en as pas besoin, c'est que c'était vraiment très chaud comme rêve...
-Oh, ça va..!   répondit-il en rougissant un peu plus.

-C'est ça, bon, on y va?  Dis-je en réprimant un éclat de rire, et soupçonnant qu'il devait en avoir plus besoin qu'il  le disait.

 

Nous avons refais le chemin en sens inverse. Dans le métro, je me suis assi sur les genoux de Mathieu, et nous nous foutions éperduement du regard des gens.

 

 

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:25


Nous sommes rentrés, toujours en nous tenant par la taille; Paul et Marie, qui, elle, était rentrée plus tôt, nous regardèrent passer en souriant.
Le repas était prèt, nous sommes allés manger, pour ensuite nous doucher, séparément, et nous coucher.Après avoir éteint les lumières, je me glissais discretement dans le lit de Mathieu :

-Léo; je ne ferais rien pour toi, et tu le sais.
-Je le sais; c'est pour ça que tu 'as rien à faire... Mis à part apprecier... 
Répondis je en me plaçant au dessus de lui.


Doucement, je l'embrassais, d'abord timidement, puis, de plus en plus profondément, ma langue jouait avec la sienne; il gémit faiblement...
Je commençait à carresser son torse de mes mains, ma bouche et ma langue sont ensuite venues prendre le relais; je l'embrassais dans le cou, mordillant légerement sa peau, je descendit doucement vers son torse, vers ses tétons que je mordillais également, il gémit plus fort que précédement; je remontais vers ses lèvres afin de le faire taire; profitant de cette occasion pour bouger plus que sensuellement et de façon plus qu'explicite contre lui...
Il gémit de plus en plus fort; je posais une main sur sa bouche; et redescendis doucement lecher son nombril... Il ne put retenir un fort gémissement et posa sa main sur la mienne, pour la presser encore plus fortement contre sa bouche.
Je suis descendu vers son entrejambe et lui ai enlevé son boxer, qui, à en voir la bosse qui le déformait, commençait à devenir excessivement sérré , il à soupiré de soulagement lorsque je l'en ai débarrassé...
D'une main; je commençait alors à le masturber, sa respiration se faisait de plus en plus lourde et saccadée, il sursauta lorsque je pris son sexe en bouche, ma langue reprenant les mouvements de va et viens commencés par ma main; chacunes de ses respirations lui arrachait un sursaut de plaisir...
Je m'arretais un instant, pour lecher deux de mes doigts; lentement, j'en introduisit un dans son anus, il sursauta sous l'effet de la surprise.
Les yeux écarquillés, il me regarda d'un air paniqué, je remontais et l'embrassais pour le rassurer; il sembla se détendre, je fis bouger mon doigt en lui, il gémit ,de douleur d'abord, de plaisir ensuite...
J'introduisit alors un deuxieme doigt; il était calme, c'est à peine s'il a gémit de douleur.
Lorsqu'il bougea ses hanches pour me faire comprendre que tout allait bien, je me suis retiré et j'ai écarté ses jambes avant de m'approcher, je le regardais pour m'assurer que tout allait bien, il avait un regard emplit de désir et de plaisir, il y avait peut être un peu de peur aussi, je l'interrogeais du regard, il hocha légerement la tête, je m'approchais un peu plus et  commençait à le pénetrer.
Il gémit et sursauta de surprise; je m'enfonça un peu plus en lui; il se détendit.
Je commençait alors mes mouvements de va et viens, il gémit de douleur et me regarda d'un air suppliant, me demandant de ralentir, je repris alors mes mouvements, plus doucement; la douleur et la peur que je lisais dans ses yeux laissèrent bientôt la place à la luxure et au plaisir pur, il reccomança à bouger ses hanches; me demandant cette fois ci d'accelerer, ce que je fis sans hésiter. Nos souffles étaient saccadés, Mathieu se cambrait à chacuns de mes mouvements; se retenant de hurler de plaisir, ce qui était également très difficile pour moi, je me mordait la lèvre jusqu'au sang pour m'en empêcher, et c'est seulement lorsque j'aperçus un liquide sombre couler entre mes doigts posés sur la bouche de Mathieu, que je compris qu'il le faisait également...
Alors que , dans un ultime mouvement de hanches, je jouissais à l'intérieur de lui; il se libéra sur nos deux torses...
Je me retirais, doucement, et le laissais reprendre son souffle, mais son sexe était encore dur, tout comme le mien...
Décidant d'inverser les rôles; je m'empalais sur son sexe dressé je retenais un gémissement du à cette douleur qui me sciait en deux, Mathieu, lui, semblait assommé par la luxure; qui le submergeait entièrement.
Peu à peu; la douleur s'attenua; je commençais alors à me soulever et à me rabaisser; incitant Mathieu à me guider, ce qui'l fit sans tarder. Il alla doucement, attendant que la douleur laisse place au plaisir, attendant de pouvoir accelerer sans crainte; je bougeais légerment mes hanches; l'incitant à aller plus vite; il accéléra la cadence; chaque à coups m'arrachait un râle de plaisir, que je tentais vainement de contenir...
Je sentais le sexe de Mathieu pulser en moi, il allait toujours plus vite; je sentis sa verge se durcir un peu plus; il allait bientôt jouir...
Alors que je m'abaissais brutalement, le faisant ainsi ainsi aller plus loin que jamais, il éjacula un nouvelle fois, je le sentais en moi, c'en était trop...
Je hurlais presque de plaisir, oubliant même toutes les personnes censées dormir à côté...
Je me retirais et me couchait aux côtés de Mathieu; qui me regarda; peinant à reprendre son souffle, chose que je comprenais aisément... Nous nous sommes endormits presque aussitôt l'un sur l'autre...

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:26


Pris d'une irrésistible flemme de bosser, nous nous sommes mis à jouer au jeu "Time splitter 2" en mode "capture de sac"; le tout bien évidemment agrémenté de baisers mouillés de réconfort à chaque fois que l'un d'entre nous perdait... Finalement j'avais eu raison de le brusquer, et je ne le regrettais pas...
Alors que je passais dans la cuisine pour me servir à boire; je remarquais un mot que je n'avais pas vu auparavant :

 

 

Coucou les garçons!

Vous vous êtes bien amusés hier, non?
Ca a duré... quoi? au moins 4 heures...
Ah, la jeunesse! Nous ne tenons plus aussi longtemps, nous...

Il me semble que vous avez passé une bonne nuit, donc il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne journée;
reposez vous bien.
 
       
Marie

Suivi d'un:

woa; quelle nuit, vous n'auriez pu nous laisser dormir, non?
Bah, vous êtes jeunes, alors profitez de la vie...

       
Paul

Et d'un:

Laissez nous dormir la prochaine fois; tout le monde n'est pas en vacances, OK?

       Lucie.


Complètement mort de rire, je tendis le mot à Mathieu qui m'avait rejoint et s'était fait du café.
Il recracha la gorgée de café qu'il s'apprètait à avaler et manqua de s'étrangler avec la suivante.
Il considéra le mot d'un air ahuri pendant que j'étais toujours à côté en train de me marrer.

-Merde, j'avais complètment oublié.
-Ouais, je crois qu'ils avaient remarqué.
-Crétin...
-Matt; la tu me déçois, je pensais que tu le savais depuis le temps...


Eclatant de rire suite à cette réponse inattendue; il se dirigea vers sa chambre; le reste de la journée se déroula dans une ambiance chaleureuse et agréable; malgré qulques regards gênés; mais néanmoins amusés lors du dîner.
Le reste de la semaine s'est déroulé dans le même genre d'ambiance idyllique.
Tout ça aurait pu continuer; si je ne lui avait pas demandé cela...

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:27

-Pourquoi tu refuse de la plaquer?
-Bordel! Ca fait moins de 3 mois que je suis avec elle!
-Et alors!? Maintenant, tu es avec moi!
-Oh, ça va! Y a pas marqué "propriété privée" sur mon front, il me semble!
-Non, mais sortir avec 2 personnes en même temps, ça ne se fait pas!
-Ah ouais? Et pourquoi?
-C'est dégueulasse! Pour l'un comme pour l'autre!
-Ouais! Et alors?
-Bordel! J'vais te tuer!
-Essaye, que je me marre! T'en est pas capable!
-C'est vrai; j'en suis pas capable; c'est bien dommage d'ailleur!
-En même temps; si tu le faisais; tu te retrouverais à chialer 30 secondes après...
-Ouais, parceque je t'aime!
-Dommage! Pas moi!
-Menteur! fis je, sentant les larmes me brûler les yeux.
-Même pas! a t'il répondu. C'est toi qui a commencé!
-Tu as continué!
-Je bandais, j'avais pas le choix, Abruti!
-Je t'ai fait bander!
-Ce qui aurait été la réaction de n'importe quel adolescent en manque de sexe, même avec un mec!
-CONNARD, je ne veut plus jamais te voir!
-C'est ça! Ca me va!


Je le giflais, prenais mes affaires, quittais la maison et rentrais chez moi, en pleurs.             
Par chances, Paul, Marie et Lucie n'étaient pas la, nous leurs épargniions cette scène de ménage humiliante; notre histoire se terminait donc sur cette note malheureuse...Mes parents n'avaient pas l'air contents de me voir, ben voyons; heureusement que mon petit frère était la pour me remonter le moral...
                               

          

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:29

-Léo? Qu'est ce qui se passe? Demanda mon petit frère, Marc.
-Rien; rien de bien grave en tout cas...
-Tu dis ça; mais c'est le première fois que je te voit pleurer comme ça!

-Désolé de t'inquieter.
Répondis je avec un sourire.
-Grand frère; qu'est ce qu'il se passe?
-Rien, j'te dis, j'ai juste largué mon copain...
-Quoi!? Mais t'étais avec lui depuis à peine une semaine...
-Ca va! La ferme, fis je d'un air amusé
; si tu continue comme ça, tu va finir par être la pire commère du quartier.
-Hey; même pô vrai! A part ça; qu'est ce qu'il a fait?
-Il refuse de larguer sa copine.
-Quoi!? Mais c'est dégueulasse pour toi!
-Effectivement, je trouve aussi.
-Hum... Euh... Grand frère?
-Quand tu m'appelle comme ça; c'est que tu as un truc à me demander.
-En effet; euh... Tu le diras pas aux parents?
-Promis!
-Nan, parceque t'as été sincère et j'aimerais bien me soulager un peu de ce foutu poids que j'ai sur les épaules...
-Tu ne peut pas en parler aux parents?
-Ben, j'ai pas super envie de me faire trucider...
-Je vois; dis toujours...
-Tu promet que tu leurs diras pas, hein? Fit il d'un air gêné.
-J'ai déja promis; tu veut que je le refasse?
-Euh, nan, ça va; bon, ben, en fait... Je... Euh...
-Tu...
-Je suis amoureux d'un de mes copains
, lacha t'il d'une traite.
-Je vois, je le connais? Demandais je d'un air ni moqueur, ni totalemnt sérieux, juste d'un air de grand frère (gay et qui comprend son petit frère)^^
-Peut être que tu te souviens de lui; c'est Thomas; celui que j'avais invité à dormir après mon anniversaire...
-Thomas;.. Thomas... Ca me dit quelque chose... Ah! C'est bon, je vois qui c'est! Le beau brun aux yeux verts?
-Il hocha légerement la tête; les joues légerement rougies par la gêne...
-Eh bien; je ne sais que répondre à ça; si ce n'est qu'on ne peut pas dire que la déscendance soit assurée... Fis je avec un sourire amusé.
-Hem, euh... Ouais... Ca c'est sur...
-Et tu le lui as dit.
-Quoi!? Nan, mais ça va pas!?
-Si tu ne le lui dit pas, tu le regretteras toute ta vie.
-Ouais, ben si je le lui dit, je peut aussi le regretter toute ma vie...

Pour toute réponse, je lui tirais la langue.

-Et qu'est ce que tu compte faire alors?
-Je sais pas, j'en sais rien!
-Tu veut que je lui dise?
-Nan; mais ça va pas?
-J'me disais aussi...
-C'est juste que je ne sais quoi faire de ce foutu sentiment et que je me vois mal lui annoncer ça...
-Bienvenu dans le monde gay, mon vieux.
-Ca va, la ferme.
-Je comprends pourquoi tu ne voulais pas en parler aux vieux...
-Et pourquoi je voulais t'en parler à toi...
-Aussi, oui.
-Dans un sens; j'étais soulagé quand tu le leurs a dit; au moins, je pouvais avoir du soutient...
-Mais, je ne devrais pas être le seul à te soutenir.
-Qu'est ce qu'on y peut? Il ne tolèrent pas, c'est tout...
-Ouais, ben, c'est chiant.
-Tu m'étonne...
Fit il d'un air las
.
-Dis moi, tu as cours demain, non?
-Oui, pourquoi?
-Non, juste comme ça...
-La, t'as une idée derrière la tête; t'as pas intéret à faire une connerie, sinon, je te tue!
-En tout cas, ça ne coute rien d'essayer,
fis je avec un sourire...
-QUOI!
S'exclama t'il.
-Rien, rien, répondis je, avant qu'il n'ait eu le temps de me rappeler, j'étais déja sorti de la chambre.

Effectivement, j'avais une idée derrière la tête.
Puisque mon petit frère était trop timide pour lui dire lui même, j'allais le dire pour lui.
J'allais écrire une lettre à ce fameux Thomas. Peut être que m'occuper des histoires des autres me remonterais le moral? Si ça marchait, évidemment...

 

Par kagura
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 18:32

Lundi matin.

6h45

Je me lève, après une assez mauvaise nuit.
Je n'ai même pas essayé de deviner ce que voulait faire Léo; je savais que je n'avais aucune chance de le découvrir.

7h20

Je part au collège (j'ai 13ans et je suis en 5ème)

8h10

J'arrive au collège.

8h15

Nous attendons le prof de Maths; j'ouvre mon sac et sors mes affaires, quand une lettre tombe de mon agenda, je la prends, le nom de Thomas est écrit sur la lettre, elle est accompagnée d'un mot:

  Donne ça à ton mec,
       Et ne te défile pas, OK?
                           Léo



Je n'ai pas le choix, il faut que je lui donne; quand je cache quelque chose à Léo; il fini toujours par deviner ce que c'est...
Les joues rouges, je vais voir Thomas et fourre la lettre dans sa main.

-Ne la lit pas tout de suite, ne me demande pas ce que c'est, j'en sais rien, bye.

Il me regarde m'éloigner d'un air ahuri, avant de regarder la lettre, de hausser les épaules et de la mettre dans son sac.
Franchement, j'ai peur.
D'un côté, je suis curieux de connaître le contenu de cette lettre, et de l'autre, je ne suis pas sur de vouloir le savoir...
Est ce que c'est une lettre d'amour?
NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN!!!!!!!!!!
Léo! Si t'as fait ça, j'te tue! Enfin, j'essaye, quand on compare les chances de réussite d'un meurtre entre un gamin de 13 ans et un type de 18 ans, on ne peut pas dire que celles du gamin soient très élevées...
Malgré mon inquiétude et mes questions, je me suis éfforcé de suivre les cours.

9h45

Fin du deuxieme cours (Français), et récréation, je me retourne juste à temps pour voir Thomas prendre le lettre et sortir de la classe.
Je le suis de loin, sans le quitter des yeux, en étant incroyablement anxieux.

Par kagura
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