Nous sommes rentrés, toujours en nous tenant par la taille; Paul et Marie, qui, elle, était rentrée plus tôt, nous regardèrent passer en souriant.
Le repas était prèt, nous sommes allés manger, pour ensuite nous doucher, séparément, et nous coucher.Après avoir éteint les lumières, je me glissais discretement dans le lit de Mathieu
:
-Léo; je ne ferais rien pour toi, et tu le sais.
-Je le sais; c'est pour ça que tu 'as rien à faire... Mis à part apprecier... Répondis je en me plaçant au dessus de lui.
Doucement, je l'embrassais, d'abord timidement, puis, de plus en plus profondément, ma langue jouait avec la sienne; il gémit faiblement...
Je commençait à carresser son torse de mes mains, ma bouche et ma langue sont ensuite venues prendre le relais; je l'embrassais dans le cou, mordillant légerement sa peau, je descendit doucement
vers son torse, vers ses tétons que je mordillais également, il gémit plus fort que précédement; je remontais vers ses lèvres afin de le faire taire; profitant de cette occasion pour bouger plus
que sensuellement et de façon plus qu'explicite contre lui...
Il gémit de plus en plus fort; je posais une main sur sa bouche; et redescendis doucement lecher son nombril... Il ne put retenir un fort gémissement et posa sa main sur la mienne, pour la
presser encore plus fortement contre sa bouche.
Je suis descendu vers son entrejambe et lui ai enlevé son boxer, qui, à en voir la bosse qui le déformait, commençait à devenir excessivement sérré , il à soupiré de soulagement lorsque je
l'en ai débarrassé...
D'une main; je commençait alors à le masturber, sa respiration se faisait de plus en plus lourde et saccadée, il sursauta lorsque je pris son sexe en bouche, ma langue reprenant les mouvements de
va et viens commencés par ma main; chacunes de ses respirations lui arrachait un sursaut de plaisir...
Je m'arretais un instant, pour lecher deux de mes doigts; lentement, j'en introduisit un dans son anus, il sursauta sous l'effet de la surprise.
Les yeux écarquillés, il me regarda d'un air paniqué, je remontais et l'embrassais pour le rassurer; il sembla se détendre, je fis bouger mon doigt en lui, il gémit ,de douleur d'abord, de
plaisir ensuite...
J'introduisit alors un deuxieme doigt; il était calme, c'est à peine s'il a gémit de douleur.
Lorsqu'il bougea ses hanches pour me faire comprendre que tout allait bien, je me suis retiré et j'ai écarté ses jambes avant de m'approcher, je le regardais pour m'assurer que tout allait bien,
il avait un regard emplit de désir et de plaisir, il y avait peut être un peu de peur aussi, je l'interrogeais du regard, il hocha légerement la tête, je m'approchais un peu plus et
commençait à le pénetrer.
Il gémit et sursauta de surprise; je m'enfonça un peu plus en lui; il se détendit.
Je commençait alors mes mouvements de va et viens, il gémit de douleur et me regarda d'un air suppliant, me demandant de ralentir, je repris alors mes mouvements, plus doucement; la douleur et la
peur que je lisais dans ses yeux laissèrent bientôt la place à la luxure et au plaisir pur, il reccomança à bouger ses hanches; me demandant cette fois ci d'accelerer, ce que je fis sans hésiter.
Nos souffles étaient saccadés, Mathieu se cambrait à chacuns de mes mouvements; se retenant de hurler de plaisir, ce qui était également très difficile pour moi, je me mordait la lèvre jusqu'au
sang pour m'en empêcher, et c'est seulement lorsque j'aperçus un liquide sombre couler entre mes doigts posés sur la bouche de Mathieu, que je compris qu'il le faisait également...
Alors que , dans un ultime mouvement de hanches, je jouissais à l'intérieur de lui; il se libéra sur nos deux torses...
Je me retirais, doucement, et le laissais reprendre son souffle, mais son sexe était encore dur, tout comme le mien...
Décidant d'inverser les rôles; je m'empalais sur son sexe dressé je retenais un gémissement du à cette douleur qui me sciait en deux, Mathieu, lui, semblait assommé par la luxure; qui le
submergeait entièrement.
Peu à peu; la douleur s'attenua; je commençais alors à me soulever et à me rabaisser; incitant Mathieu à me guider, ce qui'l fit sans tarder. Il alla doucement, attendant que la douleur laisse
place au plaisir, attendant de pouvoir accelerer sans crainte; je bougeais légerment mes hanches; l'incitant à aller plus vite; il accéléra la cadence; chaque à coups m'arrachait un râle de
plaisir, que je tentais vainement de contenir...
Je sentais le sexe de Mathieu pulser en moi, il allait toujours plus vite; je sentis sa verge se durcir un peu plus; il allait bientôt jouir...
Alors que je m'abaissais brutalement, le faisant ainsi ainsi aller plus loin que jamais, il éjacula un nouvelle fois, je le sentais en moi, c'en était trop...
Je hurlais presque de plaisir, oubliant même toutes les personnes censées dormir à côté...
Je me retirais et me couchait aux côtés de Mathieu; qui me regarda; peinant à reprendre son souffle, chose que je comprenais aisément... Nous nous sommes endormits presque aussitôt l'un sur
l'autre...