Mon Dieu... Si beau...

Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 15:27

Je me réveille, putain je suis dans le potage moi, quelle heure il est? Il fait encore sombre. Je regarde ma montre, putain, 6h30! J'ai dormi six heures moi? C'est pas possible! Ppourtant le jour commence à poindre à travers les volets, ça fait bizarre de dormir... Et puis du coup, je suis crevé moi... Je m'habille silencieusement et je prends discrètement mes affaires de cours, je me lève et je vais réviser et m'avancer un peu sur le programme dans la salle de bains ou il y a une lumière puissante. A huit heures et demie, ma mère me retrouva assis sur le bord du bac de douche, plongé dans mes cours, je n'avais pas entendu la maison se révieller. Je suis allé ranger mes bouquins et je suis descendu en bas, tout le monde était déja la. C'est un fait exceptionnel, d'habitude on commence plus l'ouverture des cadeaux vers neuf heures, neuf heures trente, mon colis mysterieux aurait il motivé certaines personnes pour se lever plus tôt? Sans doute, car je surprends souvent des regards en coin qui lui osnt lancés. Tout le monde est la, l'ouverture des cadeaux peut commencer. J'ouvre d'abord les autres, des CDs, des CDs, toujours des CDs, ça fait un bon moment que je ne demande que ça, de la musique japonaise difficile à trouver ailleurs que sur internet. J'arrive au colis, je vais chercher un couteau pour l'ouvrir. Dans la boite, il y a un petit paquet, de la taille et de la forme d'un CD, et un paquet plus grand que ressemble plus à un livre, ou à une sorte de cahier à couverture rigide, un peu comme une BD. Je ne suis pas sur de vouloir les ouvrirs, je me demande ce que ces cadeaux peuvent contenirs, et... Pourquoi est ce que je sens tout les regards posés sur moi? Je me retourne, ils détournent tous les yeux et font semblant de retourner à leurs cadeaux, ben voyons. Si ils continuent comme ça, je vais faire exprès de ne pas les ouvrir maintenant, juste pour les embêter... Je tourne et je retourne les paquets, à la recherche d'une carte, d'un indice, de quelque chose en fait, jsute de quelque chose. Quelque chose qui pourrait me donner un indice, une indication sur le contenu de ces dexu paquets. Je suis certain qu'il s'agit d'un CD et d'un livre ou d'un cahier, mais ce que je me demande, c'est ce qu'ils peuvent renfermer.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 15:43

Je me décide à les ouvrir, je commence par le CD. C'est son nouvel album.  Sur la photo, il apparait dans son habituel tenue décontracté -marcel balnc et gilet à capuche gris- il a mis la capuche et il s'est reteint les cheveux en noirs, il me "regarde", la tête baissée avec un petit sourire tendre, et il forme un coeur avec ses doigts qu'il a placés devant son véritable coeur . Le titre de l'album me frappe, "Adam". Je retourne l'album pour avoir la liste des chansons, 12 chansons qui ont toutes l'air de parler d'amour, la dernière porte mon nom. J'ouvre le CD et je prends le livret, sur chaque page de droite, une image, parfois une photo de nous deux ensemble -je ne pensais pas qu'il les rendrait publiques, mais je ne lui en veux pas- sur chaque page de gauche, un petit mot, sur la première, "Adam", je tourne la page: "mon ange", je tourne :"je t'aime", je tourne : "veux tu m'épouser?", je tourne : "je sais que nous nous sommes éloignés", je tourne : "pardonne moi pour ça", je tourne : "mais ma promesse tient toujours", je tourne : "alors je te le demande encore une fois", je tourne : "Veux tu m'épouser?", je tourne : "s'il te plait, répond moi", je tourne : "mon coeur", je tourne : "appelle moi". Je me rends compte que je pleure uniquement lorsqu'une larme coule de ma joue et tombe sur ma main, je m'essuie les yeux. Cette dernière phrase est plus q'une demande, c'est un ordre, cela fait tellement longtmeps que nous ne nous sommes pas parlés, pas revus, il doute de moi, il a peur que je l'ai oublié... Depuis combien de temps est ce que je pleure? Je ne sais pas, mes larmes ne veulent pas s'arrêter, mais ce sont des larmes de joie, alors je les laisses couler. J'entends une de mes cousines qui me demande d'une petite voix :

 

-Adam, ça va?

-Hein? euh, oui oui, ça va...

 

C'est vrai que ça va, j'ai faim, mais je me rends compte que je dois sans doute les inquieter à pleurer comme ça... Mais je n'arrive pas à m'arrêter. J'ouvre le second paquet, c'est bien un cahier, il est recouvert de cui noir et il n'y a rien sur la couverture. Je le retourne, évidemment, c'est un  sens de lecture japonais, je suis bête. Mon nom est brodé de fils rouges, dans la même calligraphie que sur l'album, il est entouré d'arabesques et de petits coeurs, eux aussi brodés de rouge. J'ouvre le cahier et mes pleurs redoublent, ce sont les paroles des chansons, elles sont toutes magnifiques, ce sont toutes des chansons d'amour, qui palrent tantôt de notre rencontre, tantôt de notre relation, ou encore de la douleur de l'éloignement... Il s'est appliqué à calligraphier les caractères japonais, une page est égale à une chanson, et sur chaque double page, il y a un dessin en filigrane. Sur la première double page, chansons un et deux, c'est un dessin de lui et moi, un zoom sur nos visages, nous avont l'air de nous tenir par les épaules et nous sommes tous les deux morts de rire, nous avons l'air heureux. Sur la seconde double page, chansons trois et quatre, nous sommes en train de nous embrasser passionément, j'ai passé mes bras derrière son cou et les siens sont dans mon dos, nous nous serrons le plus fort possible, pour être les plus proches possible. Sur la troisieme double page, chansons cinq et six, nous dormons ensemble, apparement nus, sans doute après l'amour, mes bras entourent son cou et j'ai niché ma tête dans le creux de son épaule, sa main repose sur ma taille, et elle semble avoir repoussé le drap qui nous recouvrait. Sur la quatrième double page, il n'y a qu'un dessin. Lui et moi, exactement comme sur la première double page, mais beaucoup plus vieux, notre visage est ridé et la aussi, nous avons l'air heureux. Il a marqué des choses, en haut, à droite de la page de droite, je peux lire "Adam, mon ange, je t'aime et je veux vivre avec toi", en bas, à gauche de la page de droite : "Je veux être encore avec toi dans trente ans". En haut, à droite de la page de gauche : "Nous serons vieux, tu auras 48 ans et j'en aurais 72", en bas, à gauche de la page de gauche : "Voudras tu être encore avec moi dans trente ans?". Ensuite, les chansons reprennent : sur la cinquième double page, chansons sept et huit, nous sommes enlacés sur une chaise longue, sur la terrasse d'une grande maison, la chaise longue est un peu étroite pour deux, c'est pourquoi nous sommes fortement serrés dans les bras l'un de l'autre.  Sur la sixième double page, chansons neuf et dix, nous sommes tous les eux en train de lire un livre (différent) à la lueur d'une lampe de chevet dans un lit deux places, chacun de notre côté du lit, tel un vieux couple bien installé dans sa routine et heureux de l'être. Sur la denrière page, chansons onze et douze, nous sommes en train de nous embrasser dans une église, devant un autel, c'est notre mariage. Je porte un costume noir et lui blanc, on distingue sur les côtés nos divers invités assis sur les banc, ainsi que le prêtre en arrière plan, mais de façon floue, comme si ce genre de détails n'étaient pas très importants. C'est notre mariage...

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 16:28

Je serre le cahier contre moi, je ne peux pas m'empêcher de pleurer. Mes pleurs sont d'ailleurs le seul bruit qu'on entend, tous les autres sont silencieux, muets comme des tombes et me regardent. Je n'arrête pas de m'essuyer les yeux, à chaque fois, mes larmes continuent de couler. Ma mère s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule :

 

-Adam, ça va?

-Hein?

 

Ah, c'est vrai, je pleure toujours, donc je les inquiète toujours, comment leur faire comprendre qu'il s'agit de larmes de joie? Ah, bah peut être en le disant, chui con des fois...

 

-C'est rien, je suis juste heureux, dis je en tentant encore une fois d'essuyer mes larmes (sans succès), tellement heureux...

-Ces cadeaux sont de qui?

-De mon chéri.

-Et on peut savoir qui c'est?

-Bah toi tu devrais pouvoir deviner, j'ai plein de posters de lui dans ma chambre.

-Pardon?

-Bah quoi? C'est vrai, je suis tombé amoureux de lui à un de ses concert, dès qu'il est aparu sur scène, maintenant tu devine qui c'est parceque sinon c'est pas drôle, c'était de quel concert que je parlais en évoquant la meilleure soirée de ma vie? Je suis revenu de ce concert complètement hystérique et je n'y étais pas allé seul.

-. . .

-Cherche, je suis sur que tu peux trouver.

-Je vois bien quelqu'un, mais ce n'est pas possible...

-Bah pourquoi est ce que ça le serait pas? vas y dis le.

-Le seul concert ou tu es allé avec quelqu'un, c'était celui de Miyavi.

-Eh bah voila t'as trouvé.

- Tu ne vas pas me faire croire que tu es tombé amoureux de Miyavi? Je savais que tu étais homo, mais de la à tomber amoureux de... d'une image, c'est dangereux Adam, tu dois être soigné...

-Tu veux dire aller voir un psy? Tu crois pas que j'en ai assez vu comme ça? Ca ne te parait pas possible à toi? que je sois tombé amoureux d'un homme de 42 ans maintenant, et que je n'ai jamais vu ailleurs que sur scène? bah si c'est possible, et je le connais plus que tu ne le crois.

 

Je lui tends l'album et je lui dis de regarder le livret, elle le lit en silence, en tremblant elle demande :

 

-C'était quoi cette promesse?

-On a signé un acte de fiançailles sans le dater lorsque j'avais quinze ans, comme il avait à cet époque 39 ans et qu'il était donc largement majeur, comme c'était -et c'est toujours- une star et qu'une liaison homosexuelle et en plus avec un jeune garçon était dangereuse, nous nous sommes jurés de patienter jusqu'à mes dix-huit ans, maintenant c'est fait, donc il renouvelle sa demande en mariage.

-Vous êtes fiancés? demande-t-elle d'un air scandalisé.

-Bah oui, pas encore totalement puisqu'il nous faut dater le document avant de le faire officialiser, mais oui.

 

Elle prend une grande inspiration et elle demande :

 

-Et ce cahier, c'est quoi?

-Ce sont les paroles des ses chansons, mais tu ne vas pas comprendre, c'est écrit en japonais.

-Parceque tu parle japonais toi?

-Maman, ça fait quand même trois ans que je le connais, il a eu le temps de m'apprendre à parler sa langue, même si c'est vrai qu'il l'a fait en quelques semaines... Je lui ai appris à parler français aussi, quand nous nous sommes quittés, il le parlait assez bien, mais il avait toujours cette accent, cette difficulté à prononcer les "r", puisque cette lettre n'existe pas dans sa langue.

 

Elle prend le cahier et regarde les dessins.

 

-Qu'est ce qu'il y a d'écrit ici? Elle me montre la quatrième double page, je lui traduis ce qu'il y a d'écrit et elle demande :

 

-Alors c'était pour ça que tu étais dans cet état?

-Mouais, comme se revoir était risqué, on s'est éloignés d'un commun accord, mais c'était tellement dur... Je te l'avais dit chez le dernier psy, je savais qu'on se retrouverait, donc j'aurais pu changer si je l'avais voulu, c'est juste que je voulait pas, je voulait souffrir de son absence pour avoir infiniment plus de joie à le retrouver... La bague, c'est lui qui me l'a offerte, c'est ma bague de fiançailles.

 

Ma mère reste silencieuse, elle réfléchit, elle doit avoir beaucoup de questions.

 

-Vous vous êtes rencontrés comment?

-Le lundi qui suivait le concert, on s'est croisés dans le métro. Il n'aurait pas du être la, mais il s'était fait mal en tombant de la scène à Bordeaux, donc il a prit des jours de repos, à Lyon au lieu de la ville suivante, car la douleur était forte. J'étais déja amoureux à ce moment la, et je n'ai pas été capable de me cacher, il m'a remarqué et je me suis enfui, mais j'avais pas vu que j'avais laissé tomber derrière moi une rédaction d'anglais dont le sujet était "la plus belle soirée de ma vie", rédaction qui parlait évidemment de son conert et qui se terminait évidemment lorsque je disais que je l'aimais. Il l'a ramassée et le lendemain, il m'est tombé dans les bras en pleurant et il m'a donné son adresse msn.

-Il a que age?

-Je te l'ai dit, à note rencontre, 39 ans, maintenant 42, c'est pour ça que j'en ai jamais parlé d'ailleurs, tu m'aurais fait une crise, pire que celle de maintenant. Tu n'aurais pas été capable de comprendre et tu ne l'est toujours pas...

-Est ce qu'il t'as...

-Nan mais c'est pas vrai, j'y crois pas... Il ne m'a jamais violé, mais on a déja couché.

-Pardon?

-Bah oui, qu'est ce que tu veux que je te dise? Quand on s'est rencontré, il était marié, mais lorsqu'il est rentré au Japon, il s'est rendu compte qu'il était fou amoureux de moi, donc il a divorcé et un lundi, je l'ai trouvé en train de m'attendre devant le lycée... Et il est resté en France un certain temps, pour être avec moi, je n'ai jamais seché de cours, mais je rentrais tard et je partais tôt, pour pouvoir passer plus de temps avec lui. Tous les matins il m'attendais devant chez nous, hors de ton champ de vision et nous partions ensemble, je mangeais avec lui à chaqe fois que j'en avais l'occasion, en annulant certains jours de self...Cette période a été la plus heureuse de ma vie. Un mercredi soir ou tu étais partie, en conférence -ça m'arrangeais bien-, je l'ai ramené à la maison et on a couché ensemble, d'ailleurs il n'a pas pu partir avant ton retour, il a dormit avec moi pour la nuit et je l'ai fait sortir le matin lorsque je me suis levé.

 

Ma mère semblait outrée, mais il fallait bien qu'elle l'apprenne un jour ou l'autre non?

 

-Il est évident que je vais me marier le plus vite possible et je ne te laisserais pas t'interposer.

-C'est hors de question tant que tu n'as pas fini tes études!

-J'y crois pas, t'as toujours pas compris que c'est pour lui que je les fais ces études? T'as toujours pas compris que je veux devenir ingénieur du son juste pour pouvoir le suivre dans ses tournées? pour pouvoir vivre avec lui? Mes études, je les continuerais chez lui, au Japon, et les écoles japonaises sont largement mieux cotées, ça tu peux en être sure.

 

Ma mère, toujours aussi scandalisée, ne savait plus quoi répondre, j'ai pris mon CD et le cahier qui allait avec et je l'ai plantée car j'ai entendu mon portable sonner. Je n'ai qu'un seul numéro dessus, donc je n'ai aucun doute sur l'identité de la personne qui m'appelle, juste à tant d'ailleurs. Tant mieux, il fallait que je le fasse de toutes façons, ne serait ce que pour répondre à ce qu'il avait inscrit dans le CD, et puis, j'ai besoin de l'entendre parler, d'entendre sa voix, c'est un besoin presque vital la...

 

 

 

Bon, voila pour les articles que j'aurais du poster samedi dernier, la suite dans deux jours.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 10:15

Je monte l'escalier en courant et je décroche mon téléphone :

 

-Moshimoshi? Taka-chan?

-Ca faisait super longtemps que tu ne m'avait pas appelé comme ça...

-Ca t'as manqué?

-Franchement? oui, alors Adam-chan, t'as ouvert mon cadeau?

-Oui.

-Et donc?

-Et donc tu m'as fait pleurer, abruti.><

-Nan, c'est vrai? je voulais pas, désolé.

-Nan mais c'était des larmes de joie alors ça va.^^'

-Tu me rassure la, et le CD, tu l'as écouté?

-Bah, nan, ici je peux pas trop, et puis la première fois au moins, je veux l'écouter tout seul.

-D'accord, je m'en doutais, mais je te préviens, je veux que tu joues dans les clips.

-Bah moi je veux bien.

-Cool, au fait Adam, concernant notre promesse...

-Je sais, pour toi elle tient toujours.

-Bah justement, pour moi oui, mais pour toi...

-Pour moi, je t'interdit de penser, ou même d'insinuer, qu'elle ne tient plus.

-C'est vrai? tu veux toujours m'épouser?

-Mais bien sur que je veux toujours andouille, mais pour toi ça va poser problème non?

-Tu veux dire pour mon coming out? pas de soucis, je l'ai déja fait.

-Ah bon?

-Ouais, un peu avnt la sortie de l'album, c'est à dire le 20, j'ai fait passer une annonce à la télé et j'ai donné plusieurs conférences de presse dans lesquelles j'annonçais que je suis gay. J'ai bien précisé que j'arrêterai la musique si il  le faut.

-Quoi? mais ça va pas!?

-Oui, mais t'inquiète, j'arrèterais pas.

-Hein?

-Bah, dès que Yoshiki à entendu parler de ce que je faisais, il a rassemblé tous les grupes que tu connais, Kagerou, Dir en Grey, An Cafe, Moi-dix-mois, Kagrra, D'espairs ray, Gackt, l'Arc~en~ciel, etc... et même d'autre groupes que tu connais pas, et ils ont tous annoncé que si je suis obligé d'arrêter la musique parceque les fans me snobent, ils arrêtent aussi parcequ'ils sont pratiquement tous homos ou bien "sympathisants, non pratiquants", comme Ayumi Hamasaki par exemple, ou les Buono.

-Ok, je vois le truc, et donc?

-Donc les gens s'arrachent mon dernier album et on prévoit déja une réédition.

-Ok, je vois, donc tout va bien alors?

-Absolument, au fait, t'es bien chez tes grands parents la?

-Bah oui, pourquoi?

-Je suis pas loin, à la Rochelle.

-Pardon? mais qu'est ce que tu fous la bas?

-Je me repproche de toi, il y aurait un moyen pour qu'on se voit ce soir?

-Euh, ça m'étonnerais, mais je suppose que je peux essayer de négocier, même si je pense que je connais déja la réponse.

-Essaye quand même s'il te plait, je veux qu'on se voit.

-Ok, je demande et je te rappelle.

-D'accord, à tout de suite mon ange, je t'aime.

-Moi aussi je t'aime, bisous.

 

Je raccroche et je descends avec mon téléphone à la main pour retrouver ma famille qui prend son petit dej'.

 

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 10:48

Je m'assois à la table des "adultes" et je me serre un bol de céréales, je le prends et je vais embêter ma mère, j'en ai marre de toujours me faire chier avec des stratégies:

 

-Maman, il y aurait un moyen pour que tu m'emmène à la Rochelle aujourd'hui et pour que tu m'y laisse?

-Pardon?

-Bah oui, Miyavi est la bas et j'aimerais bien le voir moi.

-C'est hors de question Adam, parceque ce sont les fêtes et parcequ'il est hors de question que j'encourage ça...

-Ok, eh bah t'inquiète pas pour les fêtes, je trouverais un moyen de les gâcher.

 

C'est un peu salaud d'agir comme ça, mais il va bien falloir qu'un jour elle comprenne que mon côté fouteur de merde, je le tiens d'elle. Je finis tranquillement mon bol et je sors dehors, heureusement que je suis habillé, pour appeler Taka-chan.

 

-Taka-chan?

-Ouais?

-C'est non.

-J'men doutais.

-Alors, qu'est ce qu'on fait?

-Bah, il y a bien une autre solution... Mais ça m'étonnerais que tu l'accepte.

-Je sais pas moi, dis toujours.

-Enfuie toi avec moi.

-T'es sérieux la?

-Très, de toutes façons, j'étais censé repartir demain, tu n'as qu'à partir avec moi.

-Mais comment peux on trouver des billets de train pour Paris aussi vite?

-T'occupe pas de ça, je me débrouille, tes affaires sont prêtes?

-On reste ici trois jours, je les défais pas.

-Ok, alors tu rassemble tout et ut te tiens prêt à partir, je t'envoie mon chauffeur dans l'après midi.

-D'accord, à ce soir.

-A ce soir, je t'aime.

-Moi aussi, bisous.

-Bye.

 

Je suis remonté dans ma chambre pour arranger mes affaires. Dans l'après midi, c'est à dire après le gros repas de midi (chez nous, c'est un peu comme si il y avait deux réveillons en fait), certains ont voulu partir en balade, dont ma mère évidemment. J'ai du batailler pour rester, mais j'ai gagné avec "mais je suis fatigué moi, je viens tout juste de reccomencer à dormir, je préfère rester ici et me reposer". Fait exceptionel, tout le monde est parti à la plage, sauf ma grand mère qui fait la sieste et mon grand père qui travaille. A condition d'être silencieux, il est facile de descendre mon sac,. Une fois mes affaires rassemblées dans l'entrée, je sors guetter les chauffeur de Miyavi, avec en main la lettre ou j'explique tout. Je la laisse et ils se démerdent avec, j'éspère que ma mère aura mauvaise conscience. Telle que je la connais, non, elle est trop fière pour reconnaitre qu'elle à merdé.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 11:09

Il est 17h30 et le chauffeur n'est toujours pas la, je flippe la. Même si ils sont partis tard, il peuvent rentrer d'une minute à l'autre. Il y à une autre raison pour laquelle je m'inquiète aussi. J'ai beaucoup changé depuis mes quinze ans, je me demande comment Taka-chan réagira en me voyant... J'entends un crissement de pneus dans l'allée, je me précipite au devant de la voiture qui arrive, en priant pour que ce soit la bonne. Woaw, une limousine noire aux vitre teintées, carrément. Le chauffeur en sort et s'adresse à moi en japonais :

 

-Adam-san?

 

Je répond brievement d'un signe de tête et je lui dis de ne pas faire de bruit, il charge mes valises dans la voiture et je pose la lettre sur la table.

 

-Miyavi-sama vous prie de l'excuser de ne pas avoir pu venir vous chercher lui même, il s'occupe des préparatifs de votre départ.

 

Je hoche la tête et je monte à l'arrière de la voiture. Dans un sens, ça me soulage, j'appréhende vraiment notre prochaine rencontre. Je me positionne confortablement sur la banquette de cuir de la limousine. Minibar, télé, il y a tout la dedans, même des revues pornos. Nous commençons à partir. La Rochelle, ce n'est pas bien loin, mais pour tuer le temps, je sors ma DS et la cartouche des "100 livres classiques" et je continue ma lecture de "l'Avare" de Molière. Environ une heure plus tard, la chauffeur se gare sur le parking d'un hotel Hilton. Je sui pas suffisament bien fringué pour entrer la dedans moi, heureusement, le chauffeur d'un client riche, ça aide. Il m'emmène à la chambre de Miyavi et il m'y laisse, Taka-chan n'est pas la, mais il y a un mot sur la table.

 

"Konnichi wa mon ange, comment tu vas? Excuse moi dene pas être la à ton arrivée, je suis allé chercher les billets de train. En attendant mon retour, n'hésite pas à appeler Jean-Charles si tu en as besoin, il est à ton service, vu qu'il est au mien.

 

PS: Quand je rentrerai, il faudra que nous parlions de notre promesse non?(quel pays, quelle date...)"

 

Son Post-Scriptum me fit rire. Comme apparement il va bientôt rentrer, je m'assois sur le canapé de sa suite et je ressors ma DS. Peu de temps après, j'entends des pas précipités et des hurlements dans le couloir.

 

-Bonjour monsieur.

-Jean-Charles? Vous êtes rentré? Il est la?

-Oui monsieur, mais je m'appelle pas Jean-Charles, je m'appelle...

-Hey, COPYRIGHT JOSE ! Pourquoi tu m'as pas dit plus tôt qu'il était la aussi? 

-Mais, euh...

 

Le pauvre Jean-Charles, si Miyu vient d'arriver, il n'à pas pu avoir le temps de lui dire. La porte s'ouvre brusquement et laisse apparaitre mon magnifique amant, éssouflé d'avoir trop couru.

 

 

Salut les gens, le "copyright josé" vient d'une fic yaoi sur Gackt et Miyavi que j'adore, cette fic est bourrée de conneries et je fini à chaque fois par crever de rire devant son ordi. Elle m'a tellement fait rire avec le chauffeur de Yoshiki, Hashiba alias José, que j'ai plus réussi à trouver un autre nom pour mon chauffeur à moi, j'ai pas réussi à la joindre et je ne voulais pas lui piquer son perso, donc je me suis démerdé pour trouver un truc et je place un "copyright jose". et en plsu, je lui fait de la pub, j'adore ces deux fics, très drôles, vous avez le droit de ne plus laisser de coms sur mon blog  jusqu'à la fin de cette histoire si vous ne vous marrez pas devant votre ordi. Moi ces fics, je les trouve à crever de rire, donc, les voila.

 

http://yaoi-gackt-miyavi.skyrock.com écrite pas Saru

http://magic-boy-circus.skyrock.com écrite par Saru, son deuxième blog, une histoire d'enlèvement louche par Gackt et Hyde, ils enlèvent pas mal de gens célèbres et ils les balances dans un manoir bizarre paumé au milieu de nulle part, le but et de faire en sorte que les stars foutent un maximum le bordel (sexe, baston, etc...) parcequ'ils sont tous filmés en permanence, le dvd sera revendu au profit des pitis zenfants d'afrique^^ très marrante elle aussi, la fiction porte bien son nom de "madhouse" allez y si'l vous plait, au moins pour vous marrer un peu. moi j'adore.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 11:39

Il s'adosse contre la porte et me regarde.

 

-Putain, j'y crois pas.

 

Il s'avance vers moi et il me serre dans ses bras.

 

-C'est toi, c'est bien toi, putain, tu m'as manqué.

 

Je réponds à son étreinte.

 

-Il y a interet tiens.

-Hey, c'est valable pour toi aussi.

-Bien sur que tu m'as manqué, j'ai déprimé pendant trois ans.

-Ah, toi aussi?

-Désolé.

-Urf, t'inquiète, maintenant t'es la alors ça va. Laisse moi te regarder.

 

Il prend mon visage dans ses mains et il me regarde, me détaille, me fixe.

 

-Tu as changé toi.

-Bah ça fait trois ans.

-A ton âge on change vite.

-Je sais.

 

Il lache mon visage et pousse un soupir.

 

-En trois ans nous sommes devenus deux étrangers non?

 

Je détourne les yeux, il a raison.

 

-J'avoue que je ne sais plus vraiment comment me comporter avec toi.

 

Il sourit et il m'entraine vers le gigantesque lit avant de m'y faire assoir.

 

-Laisse moi te redecrouvrir.

 

Il commence par parcourir mon visage de ses mains, délicatement, comme si j'étais fragile. Il retrace le contour de mes yeux, de mon nez, de mes lèvres. Mes yeux se ferment, il me fait un bisou d'esquimau avec son nez et il commence ensuite des baisers ailes de papillons. Ses yeux se ferment doucement contre mes yeux, mon nez, mes lèvres, mes joues, mon cou. Cette caresse est si agréable, ses cils chatouillent doucement ma peau et ils finissent par être remplacés par sa bouche. Il pose ses lèvres sur mes paupières, sur le bout de mon nez, sur mes joues, sur mon cou... Ensuite il remonte doucement et il vient poser sa bouche contre la mienne. Sa langue demande doucement l'accès à ma bouche, j'entrouvre mes lèvres et sa langue vient rejoindre la mienne. Ca faisait tellement longtemps que j'attendais ça. Presque inconsciemment, je m'allonge sur le lit et je le sens qui se positionne au dessus de moi. Sa main passe sous mon T-shirt et vient me caresser, le contact de sa main chaude contre ma peau me fait frissoner et bientôt, ma respiration s'accélere. Il pince un de mes têtons et un timide gémiseement s'échappe de ma bouche toujours scellée à la sienne. Il brise le contact et il descend à nouveau m'embrasser dans le cou. Chacun de ses baisers est doux et pourtant brûlant, enfievré. Il agit avec empressement et pourtant avec calme, comme si il ne voulait pas gâcher ces retrouvailles par trop de brusquerie. Il m'enlève doucement mon T-shirt et me regarde à nouveau.

 

Hey, c'est dommage hein? ça fait déja quatre chapitre,s vous n'aurez pas la suite avant la semaine prochaine....

a part ça, vous avez du remarquer que j'ai supprimé la première histoire de mon blog, "coeur brisé", c'était un méga plagia, il était temps.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Mardi 25 mai 2 25 /05 /Mai 19:00

D'habitude, je poste le matin, mais la on avait des éléctriciens qui ont tout bidouillé dans la cuisine, donc j'ai preferé attendre l'après midi. Voila le lemon tant desiré.

 

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Putain, il a tellement changé. Et en bien en plus. Sa taille s'est affinée, ses épaules se sont élargies, ses pectoraux et ses abdominaux se sont affirmés et vont maintenant jusqu'à saillir soous son T-shirt.

Je n'arrive pas à croire que le petit Adam que j'ai connu soit devenu ce si beau jeune homme. C'est un véritable plaisir de le contempler et de parcourir de la main son corps devenu adulte. Il gémit sous mes caresses qui se font de plus en plus appûyées. Je l'embrasse, et tout en l'embrassant, je retrace de mes doigts ses abdominaux fermes et bien déssinés. Je remont ma main le long de son bras, puis de son épaule, de son cou, de son visage, et ma main glisse dans son dos et va cette fois redessiner la courbe de ses reins. Il se cambre et gémit à ce mouvement. Doucement, ma main va défaire sa ceinture et déboutonner son pantalon, elle se glisse à l'interieur de son boxer pour aller caresser son membre érigé qui est devenu adulte avec le reste de son corps. Pendant ce temps, ma bouche descend le long de ses pectoraux, en laissant un sillon humide derrière elle. Son souffle est court et bruyant, il gémit lorsque ma main commence à s'activer sur son sexe. De l'autre main, je lui enlève son pantalon et son boxer, je m'arrête un instant pour enlever mes propres vêtements. Maintenant que nous sommes tous deux nus, il me contemple et une légère rougeur vient colorer ses joues. Il est adorable. Je l'embrasse à nouveau avant de descendre ma bouche au niveau de son sexe, j'embrasse doucement ce morceau de chair palpitante avant de le prendre en bouche. Sa respiration s'accélere de plus en plus. Je remonte une de mes mains jusqu'à sa bouche, il attrape deux de mes doigts ,et  il les suce d'une telle façon, qu'apparement il veut que je m'occupe de ça aussi... Ou plus exactement, il veut que sa bouche ait quelque chose à faire... Je retire mes doigts et, sans cesser mon action sur son sexe, je change de position et je me retrouve avec les pieds vers sa tête. Il comprend immédiatement ce que je veux et sa bouche vient timidement embrasser mon sexe aussi dur que le sien. Il ne s'en doute pas, mais il s'y prend ultra bien, et j'ai du mal à retenir mes gémissements, pourquoi je les retiens d'ailleurs? lorsqu'il devient évident que j'apprécie, il prend plus d'assurance et accélere le rythme, mais à ses gémissements à lui, je comprends qu'il n'a pas oublié ma langue sur son propre sexe. J'introduit avec douceur deux de mes doigts en lui, il se crispe un peu, mais il sembe trop occupé pour crier. Je commence à bouger mes doigts et il se détend. J'imprime à mes doigts un mouvement régulier d'avant en arrière, je les plis en lui, et sans prévenir, il se cambre avec violence et un gémissement de plaisir s'échappe de sa bouche toujours "occupée". Il cesse son action sur mon sexe et se retire :

 

-Han, putain, refais moi ça!

 

Je déplie les doigts et je les replie, cette fois, c'est un véritable cri de plaisir qui lui échappe.

 

-Hah, putain, oui encore!!

 

Je reccomence, il a encore la même réaction, il hurle:

 

-hah! nan, putain.... En fait,arrête..! Arrête...!

 

Je reccomence.

 

-Pourquoi?

 

Il hurle:

 

-Parceque sinon, je vais jouir avant toi!!! Je souris, il est trop mignon...

-Ne t'inquiète pas pour ça, va y je t'en prie.

 

Je reprends son sexe en bouche et je continue ma fellation tout en poursuivant ce mouvement de mes doigts. Il ne me suce plus, il ne peut plus, il hurle tellement que son souffle lui manque. Il ne tente même pas de retenir ses cris, et je crois qu'il a le cerveau trop embrumé pour ça. je ne sais pas si il a sentit l'orgasme arriver, mais même si c'est le cas, il n'a pas eu le temps de me prévenir, car j'ai soudain senti son sperme couler dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. J'avale et je me retire, il me regarde, rouge et épuisé par ce qui vient de se passer, il me regarde d'un air un pe gêné.

 

-Ah, désolé.

 

Je vais l'embrasser, il répond un peu faiblement à mon baiser et il se tortille un peu sous moi, à bout il demande:

 

-Enlève tes doigts s'il te plait.

-Hey, tu as jouis, pas moi, il faut bien que je m'amuse.

 

Je replie mes doigts, il a exactement la même réaction que tout à l'heure.

 

-Au fait, je crois que j'ai trouvé ton point G.

 

Je replie mes doigts, en fait, je ne crois pas, je suis sur, parcequ'il reccomence à bander encore une fois, et il bande vraiment. Je retire mes doigts et je me redresse, je me place devant lui et je lui écarte les jambes, sans prévenir, je le pénètre profondément. Il se cambre encore, ouais, j'ai trouvé.

 

-Han putain encore!

 

Comme si j'allais m'arrêter la, Il hurle de plaisir et entoure ma taille de ses jambes. Je m'enfonce aussi profondément que je le peux en lui, il hurle, et ses jambes me serrent si fort que je en peux pas me retirer. Putain, c'est incroyable ce qu'il peut être étroit, j'adore, c'est comme si mon sexe était comprimé à l'interieur de lui, c'est excellent. Il ne faut pas que je reste comme ça trop longtemps, parceque sinon, je vais jouir rapidement.

Il me laisse enfin me retirer et je me renfonce plusieurs fois en lui. Il me crie d'aller plus vite, plus fort, c'est avec joie que j'obéis à ses ordres. Je vais de plus en plus vite, et de plus en plus fort, ses réactions ne se font pas attendre, il hurle, aussi fort qu'il le peux. Nous ne sommes plus maitres de nous même, cet acte d'amour a quelque chose de si sauvage, si animal, pour notre plus grand plaisir, c'est vrai. Je vais de plus en plus vite, et il me crie d'accelerer encore, mais je n'en peux plus, je n'arrive plus à me retenir... Je jouis puissament à l'interieur de lui et je le frappe une dernière fois, aussi profondément que je le peux. C'est les yeux exorbités par le plaisir qu'il jouit sur son torse.

Je lèche son sperme et je vais l'embrasser, j'ai tout juste asser de force pour rouler sur le côté, il m'a épuisé. Son souffle est court, et lorsque je tourne la tête vers lui, il s'est déja endormi. Je le mets dans le lit pour qu'il est chaud, je me couche à côté de lui avant de poser ma tête sur son torse fin et imberbe. Dodo.

 

 

 

Bon, apparement cet article n'a pas été lu, donc je le remets ici. 

Donc, je vous l'ai déja dit, "Mon Dieu... Si beau..." est une histoire presque finie, donc pour me faire pardonner par Baguette974, j'annonce la suite, viendra donc un One Shot sur le groupe Moi-dix-mois appelé "Otomen", avec ensuite une histoire sur Tokio Hotel avec BillXAdam, pas trop longue parceque je vous emmerde avec mes fantasmes depuis un bon moment, ensuite, ce sera une mini fic de quatre chapitres sur LM.C intitulée (je dis le titre ou pas? ok je le dis, si je ne vous fait pas chier, c'est pas drôle), qui s'appellera "Un plan à trois? et pourquoi pas?" sur Adam et les LM.C (je vous dis pas comme c'est chaud d'écrire un lemon avec trois personnes... Aieuh, putain baguette974, il te restait des cailloux?), ensuite viendra un One Shot, encore sur BillXAdam, appelé "Next!" et inspiré de l'émission du même nom (avec un briefing pour celles qui captent sans doute pas à la Réunion), et ensuite, un dernier One Shot sur LM.C, qui s'appellera "French Kiss"...

 

Alors, heureuses? Je suis pardonnée ou pas?

 

Bon, après, ça c'était les bonnes nouvelles.

 

La mauvaise, c'est que toutes ces fics partaient de quelque chose de précis (concerts souvent, euh, tout le temps en fait) et que maintenant, comme il ne s'est rien passé d'extraordinaire dans ma vie (j'mennuie><) et encore moins de choses qui ont trait au yaoi, je n'ai absolument plus AUCUNE idée pour écrire. Donc le temps de poster tout ça et il y aura peut être un petit temps d'inactivité sur ce blog, (sauf si je trouve un truc avant) désolée...  (voir fin)

 

De toutes façons, je vois du yaoi partout X), donc si un film, par exemple, m'inspire particulièrement, il est possible que je fasse une fic dessus, j'aimerais bien en faire une sur le film "Moonchild" avec ShôXKei, mais je ne connais pas asser le film pour ça et je n'aurais pas envie de suivre le scénario, ma fic à moi se finirai bien alors ça ne le ferais pas^^", et quand au couple Gackt(Shô)XHyde(Kei), il est très classique, mais j'ai tellement aucune idée de la relation entre eux que je ne vois pas quoi faire, il me faut toujours une base...

Par contre, j'en ferais bien une INSPIREE (et donc totalement différente) du film "Kagen no Tsuki : Last Quarter, avec Adam (joué par Hyde) en l'un des personnages principaux... Qu'en pensez vous?

 

 

(En fait, j'ai commencé une fiction sur Kagen no Tsuki^^ Je mettrais le lien vers un téléchargement gratuit pour que vous puissiez voir de quoi l'histoire part.)

 

 

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 29 mai 6 29 /05 /Mai 16:02

Bwaaaaaaaaaah! Je suis dans le potage moi. Tiens, c'est bizarre, il est que 20h30... Je sais pas comment il a fait, mais Adam a trouvé le moyen de s'allonger sur moi pendant son sommeil, du coup, je peux pas vraiment bouger la, je vais attendre qu'il se réveille. Environ 15 minutes plus tard, je le sens bouger contre moi, ça a l'air d'être difficile d'émerger. Il ouvre les yeux, l'air endormi et les cheveux tout ébouriffés, il est trop mignon, j'adore. Il se redresse et il s'assoit à califourchon sur moi et se frotte les yeux. Il semble oublier que nous sommes complêtement nus, lorsqu'il rouvre les yeux, je n'arrive pas à dire lequel de nous deux a le regard. Je finis par demander :

 

-Bien dormi?

-Fatigué...

-Sans blagues? ça m'étonne pas, tu m'as bien épuisé aussi, si ça peut te consoler. 

-Je sais, jolie vue...

-pour moi aussi, merci.

 

Nous nous observons mutuellement pendant un certain temps, une légère rougeur finit par colorer ses joues et je détourne le regard. Il finit par quitter sa position initiale -assit sur mes hanches, pour ne pas dire un peu plus bas- et il s'assoit à côté de moi en s'enveloppant dans le drap, il était temps.

 

-Il faudrait peut être qu'on bouge...

-Ouais...

 

j'ai l'air très convaincu la, nous regardos chacun dans une direction opposée.

 

-Je vais me rhabiller.

 

Il descend du lit et se baisse pour ramasser son caleçon, la aussi, la vue n'est pas mal du tout.

 

-Arrête de ma mater le cul!

-Pas envie...

-Hey, je ne suis pas contre reccomencer, je suis contre reccomencer maintenant, et puis j'ai faim la.

-Putain, tu casse l'ambiance.

-Je sais, je suis un pro pour ça.

-C'est ça, bon, on appelle le room service et on va manger dans le jacuzzi, ça te va?

-Parfait.

 

J'appelle le groom et je commande 2 repas japonais -je paierais la livraison de toutes façons-, avec de la crème fouettée, un gâteau au chocolat et des biscuits. En attendant que tout ça arrive, je vais faire couler l'eau du bain.

20 minutes plus tard, le groom nous apporte ce qu'on a commandé, lui non plus, il a pas l'air habitué à se faire recevoir par des gens en caleçon, mais j'avais la flemme de m'habiller, et puis pour se dessaper après, de toutes façons...

Adam s'est rendormit à plat ventre sur le lit, avec juste son boxer. Il a un bras qui pendouille, il est marrant comme ça. Je vais silencieusement chercher mon portable et je le prends en photo. Au déclic de l'appreil, il se met à bouger, je balance mon portable ailleurs et je fais comme si de rien n'était, mais l'air de rien, j'ai un nouveau fond d'écran. Je me décide à aller le réveiller, je m'asosis sur le lit et je lui caresse la joue jusqu'à ce qu'il se réveille, je lui  dit que tout est prêt. il se lève et nous allons dans la salle de bain pour nou plonger dans le jacuzzi.

 

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 29 mai 6 29 /05 /Mai 16:35

C'est avec délice que nous nous plongeons tous les deux dans l'eau bouillonante. Il pose sa tête sur ses bras, sur le rebord de la baignoire et il ferme les yeux, je fais glisser osn bento vers lui.

 

-Hey, tu ne vas pas te remettre à dormir quand même?

-Pour que tu mange tout? tu rêve.

 

Nous attaquons tous les deux notre dîner, et vu que nous mourrons tous les deux de faime, les plateaux sont vides en 5 minutes et nous reccomençons à nous amuser comme un jeune couple. Je lui étale de la crème sur le visage, et comme il se débat, il finit par en avoir partout, c'est un plaisir pour moi de lécher après l'avoir immobilisé. Nous nous empiffrons de gâteau au chocolat et il se venge en m'en étalant partout. Il enlève le chocolat avec des morceaux de biscuits qu'il me fait manger et son regard se fait pervers lorsque je lui croque les doigts. Une bataille de biscuits commence, celui qui en mange le plus au vol a gagné. D'ailleurs, c'est lui qui gagne, il a de bons réflexes, ce petit. On s'en met un peu partout avec la bataille de crème fouettée, la salle de bain est dégueulasse mais on en a pas grand chose à faire, on finit morts de rire à lécher la crème qu'on à mis sur l'autre et à lécher nos "blessures de guerre". On est quand même un pu fatigués la, il reprend son souffle, la tête posée sur mon torse. Je finis par le retourner pour lui faire un massage des épaules et il se détend un peu. Maintenant, on devrait pouvoir reccomencer non? je suis complètement crevé, mais j'ai envie de m'amuser.  Mes mains glissent sur son torse et continuent leurs massages, il lui faut un peu de temps pour commencer à gémir, et il lui en faut encore moins pour remarquer...

 

-Miyu, tu bande.

 

Sans blagues? c'est lui que j'ai dans les bras alors c'est normal... Sans que je m'y attende, il se recula brusquemment, se souleva et s'abaissa sur moi. Il poussa un gémissement digne d'un esclave eunuque dans un harem...

Doucement, je commence à le faire bouger, à nouveau, nos respiration s'accélerent et de nouveau des gémissements de plaisir nous échappent. J'accélere le rythme, je sais ce qu'il attend, je frappe la ou il le souhaite et ses gémissements me prouvent que j'ai raison... Après plusieurs minutes ou le plaisir a manqué de nous submerger à chaque instant, l'orgasme nous prit tous les deux au même moment, nous restons un epu dans le jacuzzi pour reprendre  nos esprits, mais l'eau refroidie nous a bientôt forcé à sortir et nous sommes allés nous mettre au lit. Dodo.

Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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