Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 15:30

Mon Dieu... Si beau... chapitre 31 -Ellipse:quelques jours-





Cela fait maintenant quelques heures que je suis prêt à partir, la, j'attends avec impatience mon chauffeur qui doit me conduire à l'aéroport. Malgré mon empressement à revoir Adam, j'ai prévu quelques jours pour surmonter le décalage horaire, j'arriverais en France un vendredi soir. Mon chauffeur frappe à la porte, je descends en hate et il charge mes valises dans la voiture, nous partons. Arrivé à l'aéroport, je monte dans l'avion avant tout le monde, j'ai un salon privé pour ne pas être dérangé, un carré VIP en somme. Durant tout le voyage, ma nervosité ne fait qu'augmenter, j'ai tellement envie de le revoir... Lassé de me ronger les sangs, je finis par m'endormir.

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Lorsque je me réveille, j'entends le signal sonore et je voie la lumière signalant que je dois attacher ma ceinture clignoter. Nous allons bientôt atterrir. Déja? J'ai passé combien de temps dans cet avion? Le voyage m'a semblé court. Je regarde ma montre, en fait, j'ai passé plus de dix heures dans cet avions. Nous atterrissons à l'aéroport de Paris, la bas, je prends un taxi qui m'emmène à la gare, et de la, je prends le premier train pour Lyon. Ensuite, je vais me poser un peu à mon hotel, j'ai pas envie de dormir, pourtant il est 11h du soir. Je me couche, il faut que je me force à dormir, sinon le décalge horaire va m'en faire baver, je dors.

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Je me réveille, pas vraiment difficilement, mais j'état en train de rêver la, par contre, de quoi ou de qui, je sais plus. Je regarde l'heure, il est 6h30 du matin, c'est tôt, mais au moins, j'ai dormi. Je me lève et je vais prendre ma douche, je n'ai pas eu le courage de le faire hier soir. Quand il sera un peu plus tard, je téléphonerais au room service pour avoir un petit déjeuner, en attendant, j'allume mon ordinateur et je reste la, à regarder mon fond d'écran. C'est une photo de Adam qu'il m'a envoyé, un jour où je lui avait demandé une photo de lui, je lui ai envoyé la mienne en échange, même si il ne me l'avait pas demandée. Il est beau sur cette photo, il m'a dit que c'était à Noël, chez ses grands parents et que c'était pour ç qu'il était bien habillé. Je sais bien qu'il n'est pas comme ça d'habitude, pas aussi soigné, mais ce n'est pas plus mal, je le préfère naturel, sur cette photo, on voit bien qu'il joue un rôle, pourtant, je ne sais pas combien de temps j'ai passé à regarder cette photo.
Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 15:48

Mon Dieu... Si beau... chapitre 32 -Ellipse:2 jours-





Le Week end est passé, je vais enfin pouvoir revoir Adam. Mais avant ça, je vais prendre mon temps, parcequ'il est
7h30 et que les cours n'ont même pas commencés. En fait, à cette heure ci, Adam est à peine parti de chez lui, il arrivera au lycée entre 7h45 et 7h55, ensuite, il montera au premier étage pour ses TPs de Physique-Chimie et SVT. Il parait que en ce moment, en Chimie, ils font la géométrie des molécules, en Physique ils ofnt les forces et en SVT ils font l'ADN. C'est pas vrai, c'est loin pour moi tout ça! C'est quoi déja une force? et une molécule? quant à l'ADN, n'en parlons pas. Il est 8 h maintenant, je vais commander un petit dej'. J'appelle le room service et je commande un petit déjeuner, je ne suis pas vraiment sorti de ma chambre ce week-end, ça va leur faire bizarre de me voir descendre en bas. Mon petit dej' est arrivé, je prends le plateau et je mange assis sur mon lit en lisant un mange, un seinen du nom de MPD psycho, une histoire de psycopathes schyzophrènes pour me mettre en appétit dès le matin... 10h, ça fait donc déja 2 heures que je glandouille lamentablement sur internet. Adam sors à 10h30, il va falloir que j'y aille... J'ai hâte, mais en même temps, j'ai peur de sa réaction. J'éteint l'ordi et je m'habille, j'aime bien rester en calbut' à rien faire le matin. Après m'être habillé, je sors de l'hotel et je me dirige vers le lycée de Adam. J'arrive 10 minutes avant la sonnerie, je m'appuie contre la barrière de l'uatre côté de la route et j'attends. Avec ma capuche et mes lunettes de soleil, les gens me regardent bizarrement, je dois avoir l'air d'un dealer... Tant que personne appelle les flics, j'men fous. Un homme sort et me regarde bizarrement, je le reconnais, c'est un CPE que Adam m'a souvent décrit, il a l'air de tout le temps vouloir mordre, mais il parait qu'il est juste strict et qu'il peut être super sympa parfois. La sonnerie retentit, presque aussitôt, le trottoir est envahi par la marée d'élèves qui finissent à cette heure la, encore que ils ne sont pas très nombreux finalement, ils allument immédiatement leurs cigarettes. Ils me regardent bizarrement, je ne supporte pas l'odeur de la clope. J'ai fumé pendant un temps, mais manquer de souffle, pour un chanteur, c'est la fin de sa carière alors j'ai arrêté quand je me suis rendu compte que j'avais du mal à assumer mes concerts. Je baisse la tête, je la relêve lorsque je sens une mains douce et chaude me caresser la joue, une seule pensée s'impose à mon esprit : Adam.
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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 16:44

Mon Dieu... Si beau... chapitre 33 (POint de vue Adam)





7h du matin, j'ai un peu mieux dormi que d'habitude cette nuit, c'est bizarre. J'empêche mon réveil de sonner et je me lève, je m'habille, je fais mon lit et j'ouvre mes volets. En sortant de ma chambre, j'attrape mon sac de classe, ma blouse de chimie et mon blouson et je descends à la cuisine. Je ne mange pas le matin, alors je ne mets pas trop de temps, je prends juste les compléments alimentaires et les trucs censés faciliter mon sommeil et je sais plus trop quoi que ma mère tient absolument à me faire bouffer, elle n'est pas encore levée. Je remonte me laver les dents etje redescends ensuire pour mettre mes chaussures. J'embrasse ma mère qui s'est levée entre-temps et je pars, Miyavi dans les oreilles, je me suis remis à l'écouter ces derniers temps, il faut dire que nos relations se sont largement arrangées. J'arrive au lycée etje monte diremctement au premier étage pour attendrela sonnerie, lorsqu'elle retentit, j'entre en salle de Physique. On travaille sur les ordinateurs, donc, pas besoin de la blouse, elle aurait pu prévenir. La géométrie des molécules avec le logiciel fourni avec notre livre et les exos qui vont avec, quand je pense que ce Tp la, on ne le rendra pas... Ensuite, j'ai un TP de SVT, la aussi on est sur les ordis pour comparer des séquences de nucléotides, de prtoéines, etc... l'emmerdement pas excellence, d'habitude j'aime bien la SVT, mais la, je ne peux pas saquer la prof et si ça continue, je vais finir par detester cette matière et ça e rendrait pas la prof moins chiante. Quand elle nous parle, on à vaguement l'impression d'être une bande de clébards galeux qui de toutes façons n'apprendront jamais rien et qui n'ont, par conséquent, pas de raison d'être ici, mais bon c'est pas grave. En plus, tout le monde me demande les réponse, je les emmerde moi, y a pas marqué "dictionnaire". Et puis il faut vraiment être con pour ne pas faire le lien entre UN nucléotide qui change et une maladie génétique grave quand même... La sonnerie, je rends mon TP à la prof et je me dépèche de sortir. J'aime bien la SVT, mais c'est définitif, je déteste cette prof.
J'ai fini les cours ce matin, avant j'avais ECJS, mais plus maintenant, donc du coup il est 10h30 et j'ai fini, je reprends cet après midi pour une heure d'allemand à 15h45, emploi du temps de merde... Je sors dehors et je m'éloigne de l'attroupement de fumeurs, je commence à sortir mon Ipod quand j'aperçois quelqu'un de l'autre côté de la rue, cette silhouette la, je la reconnaitrais entre mille... Miyavi!!! Je vais à lui, je ne pensais pas le revoir, il m'avait dit qu'il viendrait me voir mais je n'y croyais pas... Il regarde vers le sol, c'est vrai que les autres lui lancent des regards bizarres... Je lui caresse la joue pour lui dire que je suis la, il relève la tête et me sourit.
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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 17:32

Mon Dieu... Si beau... chapitre 34 (Point de vue Miyavi)






Je relève la tête et je souris, c'est bien lui, je savais que c'était lui, Kami-sama, j'ai tellement souhaité le revoir...
J'enlève ma capuche et je remonte mes lunettes de soleil, je l'attire brusquement à moi. Il a l'air surpris mais il me laisse faire, je lui enlève son sac et je le serre dans mes bras. Je suis tellement heureux que j'ai l'impression que mon coeur se gonfle de bonheur et que en cet instant, rien ne peux nous atteindre. Il m'enlace, il répond à mon étreinte, je niche ma tête au creux de son cou et il pose la sienne contre mon épaule. Je peux enfin sentir la haleur de son corps et son coeur battre contre le mien comme je l'ai tant rêvé ces derniers temps. Il ne fait pas froid, je le lache un instant et j'enlève mon manteau que je laisse tomber au sol. Il a juste déserré son emprise pour me permette le mouvement mais il ne m'a pas lâché. Je l'enlace à nouveau, il descend doucement ses mains le long de mon dos, mon T-shirt ne rentre pas dans mon pantalon et je sens que ses doigts effleurent la peau de mon dos. Je frissone, j'ai l'impression que je vais m'évanouir de bonheur et je voie la rue danser devant mes yeux. Est-ce que je pleure? Oui, je pleure, encore, mais cette fois ci, je pleure de bonheur, je suis si heureux de l'avoir retrouvé. Je sens que mon épaule est un peu humide etje comprend qu'il pleure aussi. Au bout d'un long moment, notre étreint se relache et nous séchons nos larmes. Nous partons en direction du métro, sans un mot, les mots sont inutiles pour l'instants, les questions et leurs réponses peuvent attendre plus tard. Un peu avant de passer le pont qui nous emmène sur la place de l'hotel de ville, il y a un petit square avec des bancs et une fontaine, nous nous asseyons. Je prends la tête de Adam entre mes mains et je le regarde, ses joues sont rouges de gêne, mais ses yeux sont brillants de joie et il ne cherche pas à éviter mon regards. J e lui dit juste deux mots, "je t'aime". Une unique larme de joie coule sur sa joue et il me sourit d'un air heureux. Doucement, je m'approche de lui et je pose mes lèvres sur les siennes, nos yeux se ferment.



Je m'arrête juste la, la suite la semaine prochaine, c'est con hein? Ne me faites pas chier avec ça, vous avez déja neuf chapitres au lieu de huit parceque ça me faisait chier d'avoir un nombre impair et de m'arrêter à 33, alors bon, vous pouvez bien mariner une semaine non? je vous ai bien fait mariner pendant deux semaines quand je suis partie au ski non? pour la deuxieme semaine, c'est pasceque je suis restée chez ma mère, je ne suis allée voir mon père que jeudi soir. Je vous prierais d'avoir un peu de reconnaissance pour une créa qui se force à écrire régulièrement, parceque moi j'en connais qui n'ont pas écrit depuis 3 mois, et en sachant que je n'écrit que pour 2 personnes, voir même une et demie vu que j'ai des nouvelles soit de l'une, soit de l'autre, mais jamais des deux, je trouve ça pas mal. donc si Elodie et Laura alias Baguette974 pouvaient laisser un commentaire de temps en temps, ce serait sympa, merci, un peu de soutient, juste un petit peu s'il vous plait...
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 14:53

Mon Dieu... Si beau... chapitre 35




Le baiser se prolonge et nos langues se touchent. Je pensais que Adam serait plus timide que ça, au contraire, il m'embrasse comme si sa vie en dépendait. Dans un sens, je crois que c'est le cas, je l'embrasse pareil et je ne réussi pas à comprendre comment est ce que j'ai pu me passer de lui pendant les 39 ans de ma vie. Je trouve que pour quelqu'un qui n'a jamais embrassé personne, il embrasse foutrement bien, il va finir par m'exciter si ça continue.
Je l'enlace et je le serre contre moi, même si c'est assez inutile, il se rapproche de lui même. Nos bouches se sont séparées, nous avions le souffle court. Je quémandais encore quelques instants de tendresse et il répondit aux baiserz papillons que je lui faisait dans le cou par un grand éclat de rire joyeux. Je m'arrête et je le regarde, ses yeux brillent de bonheur et rien que pour ça, je suis content d'être revenu, le problème, c'est qu'il va bien falloir qu'on bouge. Il se love dans mes bras et je le regarde d'un air attendri avant de lui demander :

-Ta mère doit t'attendre, non?
-M'en fous, j'ai pas envie d'y aller><
-Sans dec'? J'avais compris je crois.

En soupirant, il s'est levé et nous sommes repartis en direction du métro. Je l'ai raccompagné chez lui et nous sommes restés blottis l'un contre l'autre pendant tout le trajet. Bizarrement, j'ai eu l'impression que Adam se déplaçait anormalement lentement et il m'a semblé qu'il priait pour qu'il y ai un problème de métro. Malheureusement, ce ne fut pas le cas et nous sommes tous deux arrivés trop vite à notre goût, et les prières de Adam n'auront pas réussi à faire durer le temps que nous avons passé ensemble. Je l'ai raccompagné jusqu'à chez lui et nous avons marché lentement, sans nous presser. Arrivés devant sa porte, je l'ai à nouveau serré dans mes bras et nous nous sommes à nouveau embrassés. Il embrasse vraiment comme un Dieu, je crois que si on avait été dans une chambre d'hotel, je lui aurait sauté dessus.
Nous nous sommes séparés et je l'ai regardé rentrer.
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 15:33

Mon Dieu... Si beau... chapitre 36 (Point de vue Adam)




Je referme la porte et je m'y adosse, un main sur ma poitrine, j'essaye de calmer les battements de mon coeur affolé. Ma mère n'est pas encore rentrée de ses courses, tant mieux parceque vu mon état, elle m'aurait questionné de façon évdemment gênante. Il n'y a pas plus fort que nos parents pour s'immiscer dans notre vie privée. D'un autre côté, la je pourrais être encore dehors avec lui... Bon, de toutes façons je ne peux plus ressortir parceque j'ai trop de chances d'ête grillé. Mes joues me brûlent, je sais que je suis encore tout rouge et ça m'énèrve. Je me décolle de la porte et je monte lentement dans ma chambre, comme un robot, je m'allonge sur mon lit. Je n'arrive pas à me calmer. Je n'arrive pas à croire à ce qui s'est passé. Il m'aime, il est venu jusqu'en France pour me retrouver et me le dire, il m'a attendu à la sortie du lycée, il m'a raccompagné et surtout, il m'a dit qu'il m'aimait et il m'a embrassé. Il m'a murmuré à l'oreille qu'il m'aime. Je n'en reviens pas, comment est ce possible? Comment peut il être amoureux de moi, moi qui ne suit qu'un gosse, moi qui n'ai rien fait d'autre que d'échanger quelques mots avec lui, résigné, alors que je pensais que mon amour serait à jamais impossible. Comment a t'il pu tomber amoureux de moi alors que nous ne nous sommes vus qu'une fois? Bon, ok, pour moi ça a été le coup de foudre à son concert, ne vous foutez pas de moi, j'y croyais pas non plus avant de m'en prendre un dans la gueule, mais lui, il n'a fait que m'entrapercevoir dans le métro avant que je parte en courant, et quand il m'a chopé au pasage le lendemain, nous n'avons fait qu'échanger quelques mots. Il faut que je me calme, récapitulons : Ce matin, je suis parti au lycée normalement et la matinée s'est déroulée de façon normale, quand je suis sorti du lycée, j'ai vu que l'homme que j'aime à la folie qui est -soit dit en passant- une star internationale m'attendait. Lorsque je suis allé le voir, il m'a serré dans ses bras et il s'est mit à pleurer. Nous sommes rentrés ensemble en nous tenant la main et en nous serrant l'un contre l'autre, lorsque nous nous sommes arrêtés pour profiter un peu de l'instant présent, cet homme que j'aime à la folie m'à dit qu'il m'aimait et m'à embrassé...
C'est un rêve. Ce n'est pas possible, lorsque je vais repartir au lycée vers 15 h, il ne sera pas la à m'attendre et lorsque je sortirai du lycée vers 16h35, il ne sera pas la pour me raccompagner. Ca ne peut pas être possible, c'est un trop beau rêve pour qu'il soit vrai. La porte claque, brusquement; je sors de mes pensées et je descends dire bonjour à ma mère.
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 15:59

Mon Dieu... Si beau... chapitre 37




Je mets la table pendant que ma mère prépare le repas, nous mangeons et je suis tellement ailleurs que je n'entends même pas quand elle me parle. Je veux croire que ce rêve est réel, vivement 15 h, que je reparte et que je puisse à nouveau l'embrasser... Après le repas, je suis censé travailler, déja que d'habitude je ne le fais pas,la ce n'est même pas la peine d'essayer. Je suis trop dans la lune et je n'ai pas vraiment envie de redescendre de mon petit nuage alors je vais rester dessus. Je dessine vaguement en attendant que le temps passe et en priant pour que ma mère ne rentre pas dans ma chambre et ne vienne pas m'emmerder, c'est toujours lui que je dessine. Je ne sais pas du tout dessiner, mais quand c'est lui que je dessine, je réussis toujours à faire quelque chose de beau et de ressemblant, il est magnifique. Toutes mes feuilles de brouillon, tous mes cahiers sont recouverts de dessins de lui, je dessine même en transparence sur mes cahier de cours, si ma mère sait ça, elle m'égorge. Enfin, elle m'égorge d'abord et ensuite elle me demande ce que cela signifie. Je l'aime, je suis vraiment fou de lui, j'ai accroché les posters de son concert à côté de mon lit, comme ça je peux les voir quand je tourne la tête, j'en ai un autre aussi, un vieux poster tiré d'un japan vibes de mon frère, je l'ai accorché au plafon au dessus de mon lit, juste en face de mon visage lorsque je suis couché. Je pose ma tête sur le bureau tout en continuant à dessiner de la main droite, je suis gaucher, mais quand je le dessine, je n'ai aucun problème. Je regarde vaguement ma montre, il est 3h-10, il va falloir que je bouge. Je range mes affaires, je prends mon sac et mon blouson, le temps de me préparer et il est déja 15h, et pourtant, j'arriverai avec 10 minutes d'avance. Je soupire. Quelque part, je n'ai pas envie de sortir, j'ai peur que ce rêve ne soit qu'un rêve, j'ai peur de ne pas le retrouver en sortant. Il ne sera sûrement pas la, et pourtant, je veux croire le contraire, j'ai du rêver depuis le début, ce n'est pas possible, il ne peut pas être la, et encore moins être amoureux de moi...
J'embrasse ma mère et je sors, je me tourne sur la droite et et je sens un sourire de joie se dessiner sur mon visage.
Il est la, il m'a attendu, il me serre dans ses bras.
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 16:14

Mon Dieu... Si beau... chapitre 38




Il me serre dans ses bras et je sens la chaleur de son corps contre moi, et moi qui pensais que ce n'était qu'un rêve. Ce n'en est pas un et mon Dieu, quel bonheur. Je l'embrasse, il semble ravi de cette initiative et il prolonge le baiser, nos langues se touchent et jouent ensemble, je n'ai jamais ressenti ça. Je n'ai jamais embrassé personne et j'avoue avoir toujours plus ou moins angoissé vis à vis de mon premier baiser, mais je me suis déja aperçu tout à l'heure que c'est quelque chose de totalement instinctif et c'est vrai que quelque part, ça me soulage... Mais je ne pensais pas que ce serait aussi génial, je ne me doutais vraiment pas que la sensation procurée était aussi délicieuse, c'est tellement de plaisir et de bonheur d'embrasser la personne que l'on aime... Il me plaque contre le mur et son baiser devient plus sauvage, plus violent, je nepensais pas qu'il me ferait cet effet la, pas tout de suite en tout cas, mais il faut bien que je l'avoue, il m'excite beaucoup... Il me mord violemment la lèvre avant de se séparer de moi, à bout de souffle. Il me regarde avec ses yeux sombre animés d'une lueur sauvage. Il est plus adulte et plus matûre que moi, je crois qu'il bande. Il m'embrasse à nouveau, plus doucement cette fois, un goût de sang se mêle à celui de nos salives, il m'a bien mordu et ma lèvre est un peu douloureuse, mais j'ai adoré ça alors je ne vais pas me plaindre, en fait, j'aimerais bien qu'il reccomence... Il m'embrasse, mais il se retient de se coller contre moi, ok, j'ai la confirmation, il bande. Mais c'est que je ne vais pas tarder non plus si il continue à m'exciter comme ça... Je romps le baiser à contre coeur, je lui dis qu'il faut que je parte, il est déja 15h10. Il me sourit et nous partons vers le métro, c'est dommage, la non plus il n'y à pas de problème, sinon j'aurais pu avoir une excuse pour secher l'allemand et rester avec lui, mais de totues façons, je n'ai jamais eu de chance moi... Quoique, vu ce qui m'arrive en ce moment, je devrais peut être reconsiderer la question... Lorsque nous arrivons au lycée, c'est la fin de la récréation, je l'embrasse une dernière fois et j'entre, j'éspère qu'il sera la quand je sortirais. 
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 17:37

Mon Dieu... Si beau... chapitre 39 (Point de vue Miyavi)




Je rentre à mon hotel en courant, il faut absolument que je me branle. Bordel, ce gosse! Si j'avais pu, je lui aurait sauté dessus. Mais ce n'est qu'un gosse, il n'à que quinze ans, il n'est pas prêt à ça, je ne veux pas le brusquer, je veux qu'il ressente du plaisir, pas qu'il ait l'impression d'être violé. En même temps, quand je l'ai mordu, ça n'a pas eu l'air de lui déplaire, je n'ai pas pu m'en empêcher, j'étais comme pris d'un désir sauvage, j'éspère quand même qu'il ne m'en voudra pas... 
Aaaaaah, putain j'ai mal! Ou est ce qu'il est déja ce putain d'hotel? J'en peux plus..!
Je ralentis mon allure lorsque je commence à l'apercevoir, j'y entre en aillant l'air parfaitement calme, je sais pas comment je réussis ça, mais ça marche. Je m'engouffre dans l'ascensceur en priant interieurement pour qu'il monte plus vite; je traverse le couloir, toujours aussi calme. J'ouvre ma porte avec ma carte magnétique, j'entre et je la referme précipitamment, je soupire en entendant le signal sonore indiquant qu'elle est vérouillée. Je m'adosse à la porte, je défais la ceinture de mon jean, j'ouvre le bouton et la braguette, putain, ça va déja mieux. Je passe une main sous mon boxer, ça va beaucoup mieux mais c'est pas encore ça. Je prends en main mon sexe douloureux et je commence un va et viens violent, au point ou j'en suis de toutes façons... Je m'affale sur la moquette de ma chambre et je me recroqueville sur moi même, je gémis, me retenir est absolument impossible, c'est trop bon, j'ai trop envie de lui... Mais je suis toujours derrière la porte moi>< Mon corps est soudain agité d'un sursaut de plaisir et je sens mon sperme couler entre mes doigts, je reste ainsi un moment, le temps de me remettre. C'était la première fois que je ressentais un tel plaisir, ni Melody, ni aucune fille n'aurait pu m'apporter ça. Je me lève et je vais me laver les mains, il faut que je reparte, je veux être la quand Adam sortira du lycée, j'éspère juste qu'il n'y à pas trop de gens qui sont passés dans le couloir et que la chambre était suffisament insonorisée... Je sors et je me mets à courir en direction de lycée de Adam, je suis déja à la bourre la... Chance, quand j'arrive, ça vient juste de sonner. 
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 17:58

Mon Dieu... Si beau... chapitre 40 (point de vue Adam)




Déja que d'habitude, je comprends pas ce qui est dit en cours d'allemand, la, je n'écoute même pas, enfin, encore moins que d'habitude, quoi. Je repense à ce qui s'est passé tout à l'heure lorsqu'il m'a embrassé, il semblait vraiment affamé. Je sais qu'il ne veux pas me brusquer, mais je crois que si on avait été à son hotel, il m'aurait pris sur le champ... Le pire, c'est que je suis pas sur que ça m'aurait déplu, ça aurait sans doute été un peu rapide, mais pas déplaisant... Merde, la prof m'interroge, qu'est ce qu'elle a dit? Je peux pas répondre, vu que j'écoutais pas, évidemment c'est l'affiche... Elle interroge quelqu'un d'autre et je regarde ma montre, il reste 10 minutes, ça passe vite l'allemand en fait, mais quand on fait pas. J(attends patiemment la sonnerie, de toutes façons j'ai pas le choix. La prof donne les devoirs et la sonnerie retentit, je sors à toute vitesse et je dévale les escaliers en courant. Lorsque je sors, je bouscule les fumeurs et je m'éloigne, j'arrive pas à respirer et de toutes façons, on y voit rien la, je vais attendre un peu avant d'aller le voir, je ne l'ai pas encore vu, mais je sais qu'il est la... J'allais retourner le voir lorsque je me suis senti happé en arrière, apparement, il n'a pas attendu que je retourne le chercher. Il m'enlace et il m'embrasse dans la cou, je l'entraine un peu plus loin, on a déja été trop imprudents la dernière fois, il ne faut pas qu'on nous voit. Qu'on m'emmerde et qu'on me dise que je sors avec un vieux, je m'en fous, mais je ne veux pas que lui, on l'accuse de pédophilie, il ne faut pas que ma mère soit au courant et il vaut mieux qu'il évite d'être reconnu, d'une façon générale, moins on nous voit et mieux c'est... Il me plaque contre un mur et m'embrasse, je n'ai même pas envie de résister, je gémis en sentant sa bouche contre la mienne, j'ai atrocement envie de lui. Je l'enlace et je me serre contre lui, il répond à mon étreinte et sa langue s'insinue dans ma bouche. 
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