Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.

Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 08:27

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Il fait chaud, même si la rentrée est proche, nous sommes encore en août, du coup, nous passons l'après midi dans la piscine, et je dois résister à l'envie de me jeter sur Treechada pour lui arracer son maillot... Par contre, c'est uniquement lorsque nous nous sommes allongés sur l'herbe pour nous reposer et qu'elle à fait exprès de laisser couler de la glace à la vanille sur mon ventre, pour ensuite la lecher et remonter le long de ma ligne abdominale jusqu'à ma bouche, que je me suis demandé si elle ne se retenait pas, elle aussi...

Après m'avoir longuement embrassé, elle s'est assise à cheval sur moi, une main sur mon sexe, et m'a embrassé encore, nos langues se redécouvraient avec bonheur dans une dans endiablée, et de se main, elle a commencé à me caresser. Je l'ai serrée contre moi alros que je sentais mon sexe durcir, et mes mains ont caressé son dos jusqu'au noeud de son maillot de bain deux pièces. Son haut est tombé, et ses deux petits seins éspiègles, ronds comme des pommes, parfait pour la paume de la main, ont pointé vers moi leurs deux tétons roses insolemment durcis. Je n'ai pu m'empêcher de les pincer, faisant sursauter la sublime créature à qui ils appartenaient, et qui m'embrassait toujours. A bout de souffle, nous nous sommes séparés. La main toujours posée sur mon sexe maintenant bien dur, Treechada me regardait d'un air incroyablement sexy et charmeur, et pourtant un peu lointain, comme si elle était perdue dans ses pensées. A quoi elle pensait, je n'en avais aucune idée, mais j'étais sur qu'elle avait une idée derrière la tête...

Nous avons reccomencé à nous embrasser et j'ai fini par prendre à pleine mains ses seins insolents qui rougissaient sous la pression de mes doigts. Treechada a commencé à gémir et à soupirer, pendant que je maltraitais cette zone si sensible chez elle, et sa main s'était maintenant glissée sous mon maillot pour caresser mon sexe durci. Puis, j'ai laché ses seins et mes mains ont glissé dans son dos, sont descendues jusqu'à la délicieuse courbe de ses reins qu'elles ont doucement caressée, avant de descendre plus bas pour enlever ce bas de maillot qui commençait à devenir gênant. 

Treechada à mit fin au baiser, avant d'aller mordille rmon lobe d'oreille, puis mes tétons, me faisant gémir de plaisir, alors que sa main s'aventurait hors de mon maillot pour le faire glisser et m'en débarasser. Sa langue a parcouru ens ens inverse mon ventre encore un peu collant de sucre et de vanille, pour descendre encore plus bas et s'arrêter à ma toison pubienne. Avant de continuer, elle a relevé la tête, m'a souri, guettant à la fois mon désir et mon approbation, et a changé de position. La coquine, je savais très bien ce qu'elle voulait. Elle a placé ses jambes longues et douces de chaque côté de ma tête, me laissant tout le loisir de les caresser. Donnant une légère impulsion, je nous ai couchés sur le côté. 

J'ai frémi lorsque j'ai senti sa langue glisser sur mon sexe érigé, et je me suis réjoui de la réaction de Treechada, similaire à la mienne, alors que ma propre langue s'introduisait timidement dans le sien. Treechada passa sa langue à plusieurs reprises sur mon sexe et me fit sursauter lorsqu'elle le prit en bouche, tandis que ma langue glissait dans son vagin, que je mordillais son clitoris durci par le plaisir, que je ne cessais de serrer un peu plus ses cuisses laissant la marque de mes doigts profondément imprimée dans sa chair... Nos gémissements s'élevaient bruyamment dans le gigantesque jardin, nos soupirs se faisaient plus appuyés et plus fréquents. J'ai poussé un cri lorsqu'elle a mordillé mon gland, avant de passer sa langue dans mon prépuce. Je l'ai remerciée en mordant son clitoris un peu plus fort qu'à l'accoutumée, ravis d'obtenir un long gémissement en guise de réponse... Me sentant proche de la jouissance, je lui ai demandé d'arrêter. A contrecoeur, elle s'est executée. Elle m'a regardé en souriant, les joues rougies par le plaisir, avant de revenir m'embrasser, un baiser doux et calme cette fois, alors que je la sentais doucement s'abaisser sur moi, mon sexe étant peu à peu entouré par une douce chaleur... Incapable de me retenir plus longtemps, je nous ai fait rouler sur le côté, me retrouvant ainsi au dessus d'elle. Les jambes écartées, elle se laissait entirèrement dominer, et j'ai entamé un va et vient doux, mais au rythme rapide, soutenu. Elle poussait de petits cris à chacun de mes à-coups, les yeux fermés et la tête renversée en arrière sous l'effet du plaisir...

Dans un long gémissement, elle me demanda d''accélérer, et j'ai augmenté avec plaisir la cadence de mes mouvements, aggripant ses hanches à lui en laisser des bleus. Les jambes repliées dans mon dos et m'enserrant avec force dans un geste de possession adorable, elle me demanda d'accelerer encore. Je la savais proche de l'orgasme, mais je voulais lui fair eovir des étoiles.. J'ai accéléré encore le rythme, rendant mes à-coups plus saccadés et plus violents, la faisant crier de plaisir à chaque fois que je m'enfonçais en elle... Elle jouit dans un sursaut, hurlant alors que je m'enfonçais profondément en elle, resserant l'étau de ses jambes autour de mes reins et me faisant jouir à mon tour, profondément en elle... Puis, à bout de force, ses jambes s'affaissèrent, et ses mains, auparavant sur mes épaules, retombèrent mollement dans l'herbe après m'avoir laissé de profondes griffures dans le dos... 

Fatigué, j'allais doucement embrasser Treechada, qui, le regard adorablement embrumé, répondit tendrement à mon baiser. Après encore quelques instants passés en elle, je me suis doucement retiré, provoquant un dernier gémissement de la part de ce si beau mannequin, allongé, nu, sans aucun complexe, dans son jardin... Treechada à passé ses mains dans mon cou, quémandant un dernier baiser, avant de me pousser un peu pour pouvoir poser sa tête sur ma poitrine, apparemment fermement décidée à dormir la... En riant, j'ai replié un coin de ma serviette sur sa tête, pour qu'elle échappe aux ardents rayons du soleil, et puis je l'ai laissée dormir, la regardant, passant doucement la main dans ses cheveux.

Environ un demie-heure plus tard, elle a relevé la tête. Peut être avait-elle été réveillée par la petite brise qui s'était levée? Le soir approchait, et lentement, nous nous sommes levés, et nous sommes allés nous doucher, encore couverts de la douce sueur de nos ébats, et encore enveloppés dans cette douce brûme qui les suivaient toujours... Nous nous sommes douchés, lentement, profitant de l'autre, heureux de nous retrouver, et heureux parcequ'il n'y avait plus de raison pour que nous soyons séparés. Nous avons ensuite mangé un petit peu, toujours dans cette petite bulle rien qu'à nous et que personne ne pouvait pénétrer, sans parler, nos regards parlants d'eux même... Avant d'aller nous recoucher, blottis l'un contre l'autre, ravis de la perspective d'une journée similaire le lendemain...

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 13:45

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Cela fait maintenant plusieurs mois que je suis revenu en Thailande et que j'habite chez Treechada, les cours ont commencé, et ma moyenne relativement élevée leur donne une certaine facilité. J'ai aussi commencé à travailler. De temps en temps, lorsque Treecha entend parler de quelque chose d'interessant, elle me met sur le coup, tout enrestant dans l'ombre. Elle a raison, la beauté occidentale est très recherchée en Asie, ça compense même ma petite taille, donc sans faire grand chose, j'ai mon petit succès... Il faut dire que Treecha m'a pas mal coaché aussi,  donc tout en étant totalement débutant dans ce milieu, j'ai plus ou moins acqui une certaine "technique", qui peut faire la différence, même face à des mannequins professionnels, mais j'avoue que ça m'a quand même fait bizarre la première fois que je me suis vu sur une affiche dans le métro... 

Popur l'instant, ma relation avec Treechada est tenue secrète, personne n'est au courantn pas même ses parents... Je veux qu'on me voie comme une mannequin qui sort avec Nong Poy, pas comme le petit ami de Nong Poy qui profite d'elle pour se lancer dans le mannequinat, du coup, tout en suivant mes cours, je m'arrange pour me faire connaitre...

Dans quelques mois, ce sera Noël, du coup, je retournerai dans ma famille pour les vacances, et je sens que ça va barder la bas, car j'ai quelque chose à leur annoncer sur Treechada et moi... Je n'ai peut être que vingt ans, mais elle en a déja trente, et nous nous aimons vaiment, donc déja,  l'image de notre mariage se profile à l'horizon... Nous avons déja commencé à en parler, et il faudrait sans doute qu'on le fasse un peu plus sérieusement, mais d'ici Noël, je serai fixé... Et je ne sais vraiment pas pourquoi je m'inquiète encore, je suis déja fixé, par les gestes et les regards, qui valent plus que n'importe quelle parole, mais c'est vrai que pour l'instant, il n'y a rien d'officiel... Je ne leur présenterai pas Treechada pour l'instant, je n'ai pas envie qu'elle se fasse manger toute crue, je tiens trop à elle, mais je les avertirai de notre prochain mariage... Nous nous sommes dit que nous pourrions nous marier dès la fin de mes études en fait, cela nous laisse donc encore quelques mois, un peu trop à mon goût, mais après tout, rien ne presse... Et puis, comme ça, j'aurais le temps de rencontrer sa famille... Je crois que son frère se doute de quelque chose, mais pour l'intant, il ne dit rien...

En regardant l'heure, je me rends compte que Treechada va bientôt rentrer, j'abandonne donc ma méditation pour commencer à préparer le reaps. Treechada bosse dix fois plus que moi et je suis à la maison beaucoup plus tôt qu'elle, du coup, je prépare les repas, et ça me va bien, parceque j'aime ça... Mon palai occidental s'est maintenant bien habitué aux épices de la cuisine thaï, donc je peux maintenant en profiter pleinement... Je me mets aux fourneaux, et après une petite demie heure, j'entends Treechada qui rentre. Le temps pour elle de prendre une douche et elle peut mettre les pieds sous la table et commencer à manger... Les rôles sont inversés, non? Elle bosse et ramène de l'argent, pendant que moi, son homme, je fais la cuisine, mais tout propos machiste mis à part, je peux bien faire ça pour celle que j'aime, non?

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 09:03

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C'est Noël. La, je  suis en chemin pour aller chez mes grands parents, ou plus exactement, je suis à la gare de la Rochelle, à la recherche de la voiture de ma mère, qui doit m'emmener chez eux...

Après l'avoir reperée (pas difficile, ma mère me faisait de grands signes en hurlant, et mon frère essayait de se cacher derrière sa copine,) je me dirige vers elle. Je suis puisé par le décalage horaire autant que par le vol Bangkok-Paris et le train Paris-la Rochelle, mais bon, je n'ai que quelques jours à tenir... Comme les vacances sont différentes en France et en Thailande, je reste à peine une semaine au total, en fait, j'ai juste le temps de m'adapeter à l'heure d'ici avant de repartir...

Le temps de dire bonjour à tout le monde et de me poser dans la voiture et ma mère m'assome de questions pendant tout le trajet, heureusement qu'il ne dure que quarante-cinq minutes... J'arrive chez mes grands parents et j'ai droit à la tournée de bisous et de poignées de mains avant de pouvoir poser mes affaires dans la chambrer et respirer, ça fait vingt-quatre personnes à saluer en même temps, et sachant que j'ai pas dormi depuis plus ou moins quanrante-huit heures entre le décalage horaire et le voyage, c'est hard... 

Nous sommes le 24 Décembre, il est dix-huit heures, et tout à l'heure au repas, je leur annoncerais quelque chose... Ca ne risque pas de leur plaire et même de gâcher la fête, mais après tout, c'est à eux de voir si ils veulent remettre l'engueulade à plus tard... Pour l'instant, je sors quelques affaires et je me repose dix minutes, le temps de descendre en bas pour me rendre compte qu'on a pas besoin de moi, et je peux me préparer pour le réveillon... J'ai comme l'impression que je ne vais pas pouvoir manger ce soire, la simple odeur de friture qu flotte dans l'air me donne la nausée... (C'est le traditionnel repas de midi du 24/12 : Rosbif et Pommes de Terre sautées...) La cuisine de ma grand mère est toujours excellente, malheureusement, elle a la fâcheuse habitude de mettre un tiers de la plaque de beurre par plat, la cuisine asiatique est l'une des plus saines du monde, et je crains de ne pas pouvoir me réhabituer à la grasse cuisine occidentale... Le réveillon va passer à la trappe.

Je m'habille rapidement et je redescends, j'aide vaguement aux derniers préparatifs pendant que les flles e sa famille finissent de se pomponner. Nous prenons ensuite l'apérétif, et je suis obligé de partir à la messe de Noël avec les autres, les seuls à pouvoir y échapper sont mon parrain protestant, mon frère non-baptisé et sa copine, les veinards, ils échappent à une heure de berceuse façon révérend lovejoy des simpsons dans une Eglise ou il fait tellement froid qu'il n'est même pas possible de dormir...

Lorsque nous revenons, nous servons les plats, et lorsque tout le monde est assis, et avant que tout le monde ne se mette à perler dans un brouhaha assourdissant, je me relève, j'utilise mon couteau pour taper sur mon verre, et j'attends le silence après les dernières vannes de mes oncles sur les discours.

"J'ai quelque chose d'important à vous annoncer," ai-je commencé, "c'est bien ce qu'on dit dans ces cas la, non? Je vais me marier." Exclamation de surprise générale. Suivie d'un grand silence. Suivi d'un brouhaha gigantesque, dominé par la voix indignée de ma mère, qui hurle qu'elle n'est pas d'accord, que je suis trop jeune, qu'il est hors de question que je me marie, qu'elle ne me laissera pas faire, etc...

Je savais qu'elle allait réagir comme ça, aussi, après avoir rapidement résumé la situation, et plus ou moins présenté Treechada, je lui explique qu'elle n'a pas son mot à dire.

"Maman, si tu crois que je pensais qu'à vingt ans à peine, alors que mes études ne sont pas terminées, tu allais m'autoriser à épouser le transsexuel le plus célèbre de Thailande, ne t'inquiète pas, tu te trompais, et c'est pour ça que je ne te demande pas ton avis, et je te rappelle que tu l'as déja rencontrée." Nouvelle exclamation de surprise. Et oui, c'est un trans. Quelle scandale dans ma petite famille qui fait semblant de ne pas être conservatrice. Faire semblant c'est pas suffisant pour se décoincer le cul. Toujours il ont joué les hypocrites, avec leurs idées bien arrêtées sur tout, ils vous démontrent par A + B qu'ils ont raison et que vous avez tort. Mais pas cette fois, désolé les gens. J'en ai assez de me laisser marcher sur les pieds, et de me laisser étouffer par cette famille. J'en ai assez de supporter tout ces gens à l'ego démesuré, qui se croient grands, beaux et intelligents, alors qu'ils ne sont en réalité qu'une bande de têtes à claques insupportables, tous ces gens qui font semblant d'être gentils, mais vous font bien sentir que vous leur êtes inferieur. J'en ai assez de tout ça. Il est temps que je vive ma vie, vous ne croyez pas? Aujourd'hui, à tous ces gens, je leur dis merde, et ils restent la, comme une bande de bourgeois culs-serrés, choqué que leur domestique qu'ils ont été assez bon pour ramasser dans la rue et faire loger comme un chien au fond du jardin fasse preuvent d'une telle grossiereté. Et ben ils feraient bien de vite s'y habituer, parceque le domestique va se tirer, en les laissant se démerder tous seuls comme des grands avec leurs invités de marque, sans personne pour servr le champagne, et oui. A force de traiter le domestique comme une merde, il fallait bien que ça arrive...

Après m'être débrouillé pour couper court à toutes les questions par des répliques glaciales qui touchaient à chaque fois leur but, le réveillon à plus ou moins repris son cours. Je sentais que mes cousins assis à côté de moi étaient mal à l'aise et m'en voulaient un peu d'avoir gâché le réveillon, mais d'un autre côté, ils savaient aussi que les parents auraient très bien pu décider d'en parler calmement plus tard, mais qu'ils étaient juste trop cons pour le faire, résultat, ils les laissaient  se démerder tout seuls, et ils ne comprennaient que trop bien ce que je pouvait ressentir au milieu de cette famille de gens tordus et pervers jusqu'à la moelle. J'étais loin d'être le seul à en souffrir...

Je me suis débrouillé pendant le reste de mon séjour en France pour échapper aux leçons de morales de mes oncles, tantes et grands parents, soit en mettant mon cerveau sur off, soit en leur faisant bien sentir que ça faisait vingts ans maintenant que j'avais envie de leur coller une baffe et de les humilier en leur dire leurs quatres vérités, et que si ils continuaient à m'emmerder, je risquais fort de m'y mettre... Ma mère a au moins eu le tact de vouloir m'en parler à l'écart, ce qui ne m'a pas empêcher de lui hurler qu'elle ne m'empêcherait pas de vivre, que j'en avais assez de devoir marcher sur le chemin qu'elle m'avait tracé, et qu'il était hors de question que je continue. J'étais outré qu'elle veuille me dicter mon bonheur... Quant à mon père, je me suis arrangé pour le voir, lui aussi, pour pouvoir lui en parler, et avec lui aussi, je me suis engueulé, enfin, tant pis. Ils recevront un faire-part de mariage et une photo, point, barre... Finalement, après avoir longuement parlé avec mes deux parents et mon frère, j'ai plus ou moins réussi à faire en sorte qu'ils me lâchent, mais mon dieu, quel soulagement quand je suis rentré "à la maison", car ce n'était plus chez moi ici, et que j'ai passé les portes de l'aéroport de Bangkok, pour tomber sur Treechada qui m'attendais, cachée derrière ses lunettes noires, un grand sourire sur les lèvres... 

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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Samedi 26 mai 6 26 /05 /Mai 13:50

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J'ai enfin terminé mes études. Enfin, mon année de licence, quoi. Ca me fait un petit bac plus trois, mais ce n'est pas bien grave. Ma renommée en tant que mannequin s'est bien étendue, et je pense pouvoir laisser tomber mes études sans risque... Mais ce n'est pas cela le plus important, non, le plus important, c'est qu'aujourd'hui, j'épouse Treechada. Ca fait déja un moment qu'elle m'a présenté à ses parents et ils l'ont pris assez bien je trouve, mieux que les miens, et comme je m'en doutais, son frère avait deviné depuis longtemps. Il s'est un peu moqué de moi quand on s'est revus, mais sinon, il est sympa. 

Ce sera une cérémoni semi occidentale, moitié Française, moitié Thailandaise, ça peut sembler compliqué comme ça, mais c'est assez simple en fait... J'ai juste du être un peu coaché par Treecha et son frère pour les coutumes thaï, mais ça devrait aller. Je ne suis pas sur que les parent de Treechada approuvent vraiment notre union, mais ils veulent avant tout voir leur fille heureuse, quant à mes parents à moi, ils recevront comme promis un faire-part et une photo et basta... Après  notre mariage, notre relation sera rendue publique, ou plus exactement, nous avons invité des paparazzis à notre mariage, ça évite qu'ils s'invitent eux même... Et comme je suis déja relativement connu des gens, en tant que mannequin publicitaire ou pour des marques connues en Thailande, mon souhait sera réalisé : je serais le mannequin qui a épousé Nong Poy, plutôt que le mari de Nong Poy qui est devenu mannequin, c'est beaucoup mieux comme ça... Sans compter le bon que peut faire ma carrière... Ca peut aussi aider celle de Treecha, ou la plomber, mais ça m'étonnerai, après, si ça aide, ça se verra moins, car elle n'a jamais eu besoin de moi pour être connue, ce serait plutôt l'inverse... Disons que ça peut être consideré comme un effet secondaire interessant.

Le mariage a lieu dans quelques heures, et j'ai beau avoir terriblement hâte, je suis aussi rongé par le stresse, les prochaines heures vont être longues... Je suis un peu déçu que mes parents ne soient pas la, mais bon, je n'y peut rien, j'ai quitté le nid plus tôt qu'ils l'auraient voulu, c'est tout. Tant pis pour eux, pour moi, c'est mon bonheur qui importe, pas le leur... J'éspère juste qu'on réussira à se réconcilier avant  qu'ils soient sur leur lit de mort.... 

Le temps passe et l'heure tourne, il reste à peine deux heures avant que Treechada et moi nous soyons mariés. Je suis de plus en plus stressé, mais aussi de plus en plus impatient, j'éspère juste ne pas faire d'erreurs... J'ai le pressentiment que Treechada sera encore plus magnifique que d'habitude aujourd'hui. J'ai hâte, j'ai vraiment hâte...

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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Vendredi 8 juin 5 08 /06 /Juin 19:21

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Un an, cela fait maintenant un an que Treechada et moi nous sommes mariés, et je crois que je n'ai jamais été aussi heureux... Plus exactement, chaque jour est un bonheur renouvelé, et ça, autant pour elle que pour moi, et je suis ravi, et particulièrement fier, de pouvoir faire son bonheur... J 'ignore si cela va durer, mais ce serait merveilleux que cela dure toute notre vie, non? 

La Thailande semble avoir bien pris notre union, mais comme tout a été très soudain, notre relation ayant été tenue entièrement secrète, notre mariage a été une véritable surprise pour le peuple thaï... Ma carrière a littéralement explosée, et celle de Treechada a égélement pris un bon coup de fouet, même si c'est vrai que vu ça s'est moins vu, puisque sa notoriété était déja bien établie, en tant que mannequin, actrice, chanteuse, et miss Tiffany... 

Bon, tout cela mis à part, aujourd'hui est un jour spécial : C'est le lendemain de notre premier anniversaire de mariage. Bien sur, nous l'avons fêté comme il se doit, mais surtout, aujourd'hui, nous adoptons un enfant... Actuellement, nous attendons d'être reçus par la directrice d'un orphelinat de Phuket. Lorsqu'elle arrive, elle nous explique qu'il y a trois salles : dans la première, se trouvent les enfants de trois à dix ans, dans la seconde, les enfants de onze à dix-sept ans, et dans la troisième, un peu à l'écart pour qu'ils puissent faire la sieste, ce sont les enfants de zéro à trois ans...

Nous suivons la directrice dans les couloirs, et elle nous laisse sur le seuil de la première pièce. Treechada et moi, nous échangeons un regard incertain, puis, nous prenons une grande inspiration, nous posons ensemble notre main sur la poignée, et nous poussons la porte...

A peine l'avont nous ouverte, qu'un petit garçon se précipite sur Treechada et s'accroche à ses jambes en disant "maman," puis, il relève la tête vers moi et me dit "papa," en souriant. J'y crois pas, j'ai jamais vu un gosse aussi manipulateur... Non seulement il sait très bien ce qu'il fait, mais en plus, ça marche... Treechada a du mal à retenir ses larmes, et je dois avouer que moi aussi. Le petit garçon s'appelle Kehoo, et il a trois ans. Nous commençons à lui parler, alors que les autres restent à l'écart. Les pauvres, j'ai de al peine pour eux, ils doivent avoir compris qu'ils ne partiront pas aujourd'hui, encore...

Nous demandons à Kehoo de s'éloigner un instant pour que nous puissions "réfléchir," mais je pense que c'est déja tout réfléchi, car Treechada ne veut pas un autre enfant, et moi non plus, je crois... C'est une sacrée tactique qu'il a, il a gagné sur tous les plans la...

Nous laissons Kehoo dans la pièce et nous rejoignons la directrice, elle semble surprise que nous ayons "choisi" aussi vite. Je suis presque chosué que ce soit aussi simple, j'ai l'impression d'avoir fait mes courses, mais bon, puisque ça se passe comme ça...

Nous repartons avec Kehoo, qui semble fou de joie d'avoir trouvé des parents. Nous le tenons chacun par une main, mais il n'arrête pas de sauter partout. Il nous demande nos noms, semble nous reconnaitre, et éclate de rire, avant de s'exclamer qu'il voulait absolument avoir des parents aussi beaux! Il nous fait rire...

Un papier doré, que Treechada utilise comme marque-page, tombe de son sac. Kehoo le ramasse, et glousse. C'est un bon pour une opération des seins dans une clinique privée de Bangkok, ça fait partie des lots gagnés par la gagnante de Misse Tiffany's Universe. Je reste en bug. 

"Tu ne l'as pas utilisé?" Décidément, j'ai encore beaucoup à apprendre...

Treechada s'esclaffe. 

"Mes seins sont à quatre-vingt-dix pour cent naturels, le reste, ce sont des hormones, parceque j'ai commencé à en prendre à douze ans, avec la pilule contraceptive de ma mère. Lorsque mes parents s'en sont aperçus, ils m'ont soutenue, et fait prescrire un dosage plus adapté, du coup, il y a eu un apport en oestrogènes très important, avant même le début de ma puberté. A quinze ans, j'ai été castrée chimiquement, et à dix-sept, je me suis faite operer."

"T'es sérieuse?" j'avoue être abasourdi. Je réfléchi deux minutes. "Attends un peu la! chez un trans, normalement, les prothèses empêchent le développement de la glande mammaire, mais si toi, t'en as pas, et comme t'as un traitement hormonal à vie, ça veut dire que tes seins vont continuer à grossir?"

Elle rit. 

"Ben oui."

Malgré moi, je ne peux m'empêcher de m'exclamer, "mais c'est génial!" résultat, Treechada et Kehoo se foutent de moi...

Après avoir arrêté de rigoler, Kehoo baisse la tête et demande d'une petite voix "Ils sont valables jusqu'à quand ces billets?"

Treechada le regarde avec un sourire. "Il n'y a aucune date limite, pourquoi, ça t'interesse?"

Il hausse les épaules, mais sans pour autant réussir à s'empêcher de rougir. "Ben si je peux, peut être, on verra..."

Treechada et moi, nous échangeons un regard.

"Bien sur que tu peux," dis-je vivement. "Ta mère est un transsexuel, et moi je l'ai épousée, donc aucun de nous ne peut décement t'en empêcher... Mais tu ne le feras qu'à la condition que cela corresponde à un véritable mal-être, que tu sois une femme née dans un corps d'homme... Rassure toi, on te soutiendra..."

Il relève la tête et sourit. "On verra," dit-il, avant de serrer nos mains, très fort...

J'éspère que je réussirais à présenter ma petite famille à mes parents un jour, parceque mon nouveau fils a l'air d'avoir un sacré caractère, et que je n'aurais pas pu rêver d'une meilleure compagne que Treechada... 

Entre mon fils, mon métier, ma condition d'époux d'une célébrité, et de personne publique, ma vie promet d'être mouvementée, et c'est parfait, car je n'aime pas la monotonie, et puis, j'ai maintenant tout ce dont j'ai besoin pour être heureux.

J'ai vraiment de la chance, car je suis quelqu'un de comblé...

 

 

 

"Miss Tiffany's Universe, My Lovely Ladyboy, Chapitre 14, FIN."

 

La semaine prochaine, un petit bonus sur cette histoire, et ensuite, je reprends "Pas de sexe pendant un mois!" mais avant ça, j'ai le bac, donc il n'y aura probablement pas de maj la semaine prochaine, bisous à tous! (et passez voir mon autres blog svp, j'ai eu aucun visiteur depuis sa création... T_T)

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 16:16

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Aujourd'hui, nous sommes le 14 Février, c'et donc la Saint-Valentin, et Treechada et moi avons tout préparé... Ce qui a principalement consisté à envoyer Kehoo chez ses grands parents, il est adorable; mais parfois un peu fouineur, on aurait pas pu être tranquilles...

Le chocolat est juste fondu et glougloute gentiment dans sa marmite, la chantilly attend patiemment à côté, la glace commence à fondre, le champagne est dedans, et le lit est recouvert d'un drap en vinyle... Tout est parfait... Après un délicieux repas évidemment préparé par mes soins, nous sommes fin prêts pour notre petite soirée... 

Treechada passe, vêtue simplement de son peignoir en soie, elle trempe un doigt dans le chocolat, le suce, et s'en va, elle aime me faire languir... Pour ma part, je suis encore habillé, simplement, c'est vrai, -un T-shirt et un jean- mais le tout étant parfaitement adapté à mon corps, le résultat est décontracté tout en étant sexy.

Lorsqu'elle revient, Treechada regarde un instant le peu qu'il y a à voir dans l'encolure de ma chemise entrouverte, avant de m'attraper par le col et de me jeter sur le lit. Elle s'assoit à califourchon sur moi et m'embrasse sauvagement. A en juger par son peignoir qui remonte haut sur ses cuisses, et par ses deux seins que je vois pointer sous le tissu, je peux dire qu'en dessous, elle est entièrement nue, et ça me plait beaucoup...

Elle passe ses mains sous ma chemise et les fait glisser sur mon torse, le tissu remonte et elle va mordiller mon téton droit, puis, elle se redresse, et semble réfléchir un instant... Finalement, elle m'arrache ma chemise, et les boutons volent à travers la pièce, pendant qu'elle me l'enlève et la jette au pied du lit.

Ses yeux brillent d'une lueur coquine, presque sauvage. Elle s'amuse beaucoup, et elle sait très bien que ça m'excite autant. Elle reccomence à m'embrasser, et me caresse de nouveau le torse, sauf que cette fois ci, elle remonte mes bras au dessus de ma tête...

Alors que nous nous embrassons toujours, je sens quelque chose qui s'enroule autour de mes poignets, quelque chose qu'elle s'affaire à fermer. Je relève la tête, elle m'a attaché au lit avec des lanières de cuir. Je baisse les yeux vers elle, elle me regarde avec un petit sourire pervers que je lui rend avec curiosité. Ainsi, je suis le jouet ce soir? Très bien, jouons. Que va-t-il se passer maintenant? 

Nous nous embrassons encore et je sens un liquide chaud goutter sur mon torse, et couler le long de ma ligne abdominale. Elle rompt le baiser et va lécher le chocolat, remontet le long de mon torse, me faisant gémir de plaisir et de douleur lorsqu'elle mord mes tétons jusqu'au sang, et qu'elle me fait ensuite goûter à la saveur surcrée du chocolat resté sur ses lèvres. 

Elle pose une sur mon entrejambe aussi proéminente que douloureuse, et me regarde un instant, l'air de se dire "est-ce que je lui enlève ou pas?" D'un côté, ce ne serait pas drôle, de l'autre, c'est difficile de continuer les festivités en me le laissant. Elle opte pour un compromis, et m'enlève mon jean, mais pas mon boxer, mais je suis déja plus à mon aise, et je laisse échapper un soupir de soulagement. 

Elle trempe son doigt dans la chantilly et le lèche d'un air provocateur, m'embrasse, avant d'aller mordiller mon sexe à travers mon boxer. Je me cambre sous l'effet du plaisir mêlé à la douleur, et elle se décide enfin à me débarrasser de ce morceau de tissu plus que gênant. Je meure d'envie d'empogner ses deux seins qui bougent et pointent d'une manière si provocante sous le fin tissu de son peignoir, mais mes mains sont toujours attachées au lit, et je suis entièrement à sa merci, mon état de demain dépend donc de sa clémence ou de sa cruauté...

Elle étale du chocolat et de la chantilly sur mon sexe, avant de venir le lécher avec délectation. Sa langue va et viens sur mon sexe, s'introduit dans la fente de mon gland, s'enroule autour, ne laissant plus aucune trace de sucre... Treechada s'amuse à me faire gémir et soupirer, crier même, lorsqu'elle prend mon sexe en bouche... Ses va et viens reprennent de plus belle, plus saccadés et plus rapides. Toujours attaché, je lutte contre ces liens qui m'empêchent de la retenir. je vais bientôt jouir, mais sous le plaisir qu'elle me donne, je ne peux que gémir, et je suis incapable de le lui dire... Elle semble heureusement comprendre, et s'arrête, me faisant gémir à la fois de frustration et de soulagement... 

Elle remonte vers moi et m'embrasse tendrement. Doucement, elle déserre mes liens, mais elle me maintient toujours les mains... Lentement, elle s'abaisse sur moi, me faisant la pénetrer de la plus douce des façons, jusqu'à ce qu'elle soit assise sur mes cuisses. Elle pose lentement mes mains sur ses hanches.

"Fais moi bouger," m'ordonne-t-elle. Avec lenteur, je m'éxecute. Je la fais bouger, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. A l'entente de ses gémissements, mais surtout, à l'éxpression de ses grands yeux sombres et remplis de désir...

Ses deux seins se sont échappés de son peignoir et bougent maintenant librement, pour le plus grnad plaisir de mes yeux, elle gémit sans retenue et de plus en plus fort, jusqu'à presque crier à chaque fois que je m'emfonce en elle... L'orgaseme la prend sans prévenir, ses jambes se contractent compulsivement et elle se cambre, au point que je sente ses longs cheveux qui me chatouillent les pieds, et un long gémissement de pur plaisir sort de sa bouche... La voir comme ça m'excite plus que tout autre chose, et dans un sursaut, je jouis en elle...

Elle se redresse, se penche au dessus de moi et me regarde, ses longs cheveux trempés de sueur encadrant son visage fatigué, alors que je suis toujours en elle... Elle a perdu son peignoir dans la bataille, et il git maintenant abandonné sur le drap de vinyle...

Elle se penche sur moi pour m'embrasser, avant de remonter jusqu'à mon oreille et de chuchoter "maintenant, c'est ton tour..." Je souris, parcequ'elle est encore d'attaque?

Lentement, elle s'écarte de moi, puis elle s'allonge sur le ventre à côté de moi, avant de s'étirer langoureusement. Je rêve, elle le fais exprès la... Elle me lance un sourire coquin, "Tu peux faire de moi ce que tu veux," dit-elle en me lançant un regard aguicheur, ok, elle le fait exprès...

Je me penche vers elle et murmure "vraiment tout?

Elle sourit, "Tant que tu reste gentil, oui.

Je rit, "Rassure toi, je serais gentil," dis-je en prenant une cuiller de glace fondue que je laisse goutter entre ses omoplates. Elle frissonne,e t je regarde la glace glisser le long de son dos, pour s'arrêter et fromer une petite flaque dans le creux de ses reins... J'ai ensuite pris une cuiller de chocolat fondu et ai fait de même, sentant ma Treechada frissonner délicieusement sous l'effet mélangé du froid et de la chaleur...

Je me suis assis à calfourchon sur ses fesses fermes et rebondies, avant de lui mordiller la peau du cou, et de descendre laver cet univers de courbes, toutes plus parfaites les unes que les autres, de toute substance sucrée... J'ai léché le chocolat et la glace à la vanille avec douceur, sentant mon sexe s'ériger contre les fesses de Treechada au fur et à mesure que ma langue descendait le long de son dos, la faisant frémir de plaisir...

J'ai mordillé la chair tendre au creux de ses reins, la faisant gémir, tant cette zone est sensible chez elle... Ma langue est ensuite descendue plus bas, s'est insinuée dans la raie de se sfesses, les faisant crier de surprise, avant de descendre encore plus bas, pour se retrouver en terrain plus connu...

Ma langue s'es doucement introduite dans son vagin, goûtant le sperme qui s'y trouvait encore, avant de commencer un lent va et viens, qui provoquait à chaque fois de petits cris de la part de ma partenaire...

Je me suis ensuite retiré pour aller torturer son clitoris rose et érigé, que j'ai suçoté, mordillé, pincé, jusqu'à ce que j'entendr ema Treechada crier de plaisir... J'ai continué à le faire durer de cette façon jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, jusqu'à ce qu'elle arrive aux portes de la luxure et me cri d'arrêter...

Alors je me suis écarté, j'ai posé mes mains sur ses hanches, l'incitant à se mettre à qutre pattes, et doucement, je l'ai pénétrée... Mais son état et le mien ne nous laissaient pas le choix du rythme, et je me suis direcement lancé dans un va et viens rapide, presque violent, et pourtant, le plaisir était déja si grand qu'elle me hurlait d'aller plus vite et plus fort... Je ne pouvais qu'obéir, et je le faisait avec plaisir...

Nos respirations saccadées et nos cris de plaisir se mêlaient dans l'air brûlant de la pièce, alors que le plaisir montait de plus en plus...

Incapable de tenir plus longtemps, je laissais l'orgasme me happer dans un ultime coup de reins, qui fort heureusement, fit crier ma femme d'une façon que je connaissais bien. Treechada hurla alors que je jouissais en elle, qu'elle sentait mon sperme la parcourir et que l'orgasme la submergeait. Elle retomba su le lit, épuisée...

Après avoir somnolé un moment, nous nous sommes relevés, pour enlevé le drap de vinyle, le lit était fait en dessous, et nous nous sommes couchés l'un contre l'autre, nus comme au premier jour, mais nous n'avons pas dormi pour autant...

Adossés contre la tête de lit, nous avons pris une coupe de champagne bien méritée, pour fêter cette Saint Valentin particulièrement réussie, et malgré notre repas, délicieux, mais copieux, nous nous sommes goulûment jetés sur la crème chantilly, le chocolat et la glace fondue, dont nous avons fini jusqu'à la dernière goutte, et cela en nous battant comme des gamins, en nous aspergeant de crème ou de glace, et en venant ensuite lécher chaque parcelle de peau atteinte, c'est maintenant que le drap en vinyle nous aurait été utile...

Après une denrière coupe de champagne, je n'ai pas oublié de passer le cadeau de Treechada autour de son cou. Elle m'a regardé et ma sourit, avant de se jeter sur moi pour un long baiser, à la fois tendre et passionné, mais comme nous étions tous les deux trop fatigués pour faire plus, elle s'est contentée de me lancer un sourire heureux, et un regard brillant de bonheur et de joie, avant de m'embrasser encore, et de poser sa tête sur mon torse pour s'endormir, pendant que je lui caressait les cheveux... Vous, je ne sais pas, mais moi je me dis "vivement le White Day*..."

 

FIN

 

 

 

* En Thailande, je ne sais pas, mais au Japon, le 14 Mars, le "White Day," les garçons doivent offrir aux filles un présent d'une valeur dix fois supérieure à celle du cadeau qu'elle leur ont offert, en sachant qu'il existe deux sortes de chocolats, les "honmei-choco" pour l'homme aimé, et les "giri-choco" pour tout les autres, (père, frère, amis, etc...) je trouve ça pas mal, moi...^^

 

Voila, c'est fini, merci d'avoir suivi cette petite histoire hétéro. Peut être qu'un jour je reprendrais ce couple pour faire un OS sur le White Day, mais pas obligatoirement...

A partir de maintenant, je reprend "pas de sexe pendant un mois" mais le scénario a tellement changé que leur pari ne tient déja plus, et au final, c'est devenu une histoire normale, c'est bête, hein?  En tout cas, je vous préviens, il ne se passe RIEN... Désolé, j'y suis pas encore, mais je vais faire de mon mieux -_-"

Sinon, pas de maj pendant environ un mois, parceque la semaine prochaine je serais sans doute chez ma mère, et que ensuite je (re)pars en Grèce pour trois semaines de colo, gros bisous et bonnes vacances à toutes.^^

Par kagura - Publié dans : Miss Tiffany's Universe, My lovely Ladyboy.
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