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Aujourd'hui, nous sommes le 14 Février, c'et donc la Saint-Valentin, et Treechada et moi avons tout préparé... Ce qui a principalement consisté à envoyer Kehoo chez ses grands parents, il est adorable; mais parfois un peu fouineur, on aurait pas pu être tranquilles...
Le chocolat est juste fondu et glougloute gentiment dans sa marmite, la chantilly attend patiemment à côté, la glace commence à fondre, le champagne est dedans, et le lit est recouvert d'un drap en vinyle... Tout est parfait... Après un délicieux repas évidemment préparé par mes soins, nous sommes fin prêts pour notre petite soirée...
Treechada passe, vêtue simplement de son peignoir en soie, elle trempe un doigt dans le chocolat, le suce, et s'en va, elle aime me faire languir... Pour ma part, je suis encore habillé, simplement, c'est vrai, -un T-shirt et un jean- mais le tout étant parfaitement adapté à mon corps, le résultat est décontracté tout en étant sexy.
Lorsqu'elle revient, Treechada regarde un instant le peu qu'il y a à voir dans l'encolure de ma chemise entrouverte, avant de m'attraper par le col et de me jeter sur le lit. Elle s'assoit à califourchon sur moi et m'embrasse sauvagement. A en juger par son peignoir qui remonte haut sur ses cuisses, et par ses deux seins que je vois pointer sous le tissu, je peux dire qu'en dessous, elle est entièrement nue, et ça me plait beaucoup...
Elle passe ses mains sous ma chemise et les fait glisser sur mon torse, le tissu remonte et elle va mordiller mon téton droit, puis, elle se redresse, et semble réfléchir un instant... Finalement, elle m'arrache ma chemise, et les boutons volent à travers la pièce, pendant qu'elle me l'enlève et la jette au pied du lit.
Ses yeux brillent d'une lueur coquine, presque sauvage. Elle s'amuse beaucoup, et elle sait très bien que ça m'excite autant. Elle reccomence à m'embrasser, et me caresse de nouveau le torse, sauf que cette fois ci, elle remonte mes bras au dessus de ma tête...
Alors que nous nous embrassons toujours, je sens quelque chose qui s'enroule autour de mes poignets, quelque chose qu'elle s'affaire à fermer. Je relève la tête, elle m'a attaché au lit avec des lanières de cuir. Je baisse les yeux vers elle, elle me regarde avec un petit sourire pervers que je lui rend avec curiosité. Ainsi, je suis le jouet ce soir? Très bien, jouons. Que va-t-il se passer maintenant?
Nous nous embrassons encore et je sens un liquide chaud goutter sur mon torse, et couler le long de ma ligne abdominale. Elle rompt le baiser et va lécher le chocolat, remontet le long de mon torse, me faisant gémir de plaisir et de douleur lorsqu'elle mord mes tétons jusqu'au sang, et qu'elle me fait ensuite goûter à la saveur surcrée du chocolat resté sur ses lèvres.
Elle pose une sur mon entrejambe aussi proéminente que douloureuse, et me regarde un instant, l'air de se dire "est-ce que je lui enlève ou pas?" D'un côté, ce ne serait pas drôle, de l'autre, c'est difficile de continuer les festivités en me le laissant. Elle opte pour un compromis, et m'enlève mon jean, mais pas mon boxer, mais je suis déja plus à mon aise, et je laisse échapper un soupir de soulagement.
Elle trempe son doigt dans la chantilly et le lèche d'un air provocateur, m'embrasse, avant d'aller mordiller mon sexe à travers mon boxer. Je me cambre sous l'effet du plaisir mêlé à la douleur, et elle se décide enfin à me débarrasser de ce morceau de tissu plus que gênant. Je meure d'envie d'empogner ses deux seins qui bougent et pointent d'une manière si provocante sous le fin tissu de son peignoir, mais mes mains sont toujours attachées au lit, et je suis entièrement à sa merci, mon état de demain dépend donc de sa clémence ou de sa cruauté...
Elle étale du chocolat et de la chantilly sur mon sexe, avant de venir le lécher avec délectation. Sa langue va et viens sur mon sexe, s'introduit dans la fente de mon gland, s'enroule autour, ne laissant plus aucune trace de sucre... Treechada s'amuse à me faire gémir et soupirer, crier même, lorsqu'elle prend mon sexe en bouche... Ses va et viens reprennent de plus belle, plus saccadés et plus rapides. Toujours attaché, je lutte contre ces liens qui m'empêchent de la retenir. je vais bientôt jouir, mais sous le plaisir qu'elle me donne, je ne peux que gémir, et je suis incapable de le lui dire... Elle semble heureusement comprendre, et s'arrête, me faisant gémir à la fois de frustration et de soulagement...
Elle remonte vers moi et m'embrasse tendrement. Doucement, elle déserre mes liens, mais elle me maintient toujours les mains... Lentement, elle s'abaisse sur moi, me faisant la pénetrer de la plus douce des façons, jusqu'à ce qu'elle soit assise sur mes cuisses. Elle pose lentement mes mains sur ses hanches.
"Fais moi bouger," m'ordonne-t-elle. Avec lenteur, je m'éxecute. Je la fais bouger, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. A l'entente de ses gémissements, mais surtout, à l'éxpression de ses grands yeux sombres et remplis de désir...
Ses deux seins se sont échappés de son peignoir et bougent maintenant librement, pour le plus grnad plaisir de mes yeux, elle gémit sans retenue et de plus en plus fort, jusqu'à presque crier à chaque fois que je m'emfonce en elle... L'orgaseme la prend sans prévenir, ses jambes se contractent compulsivement et elle se cambre, au point que je sente ses longs cheveux qui me chatouillent les pieds, et un long gémissement de pur plaisir sort de sa bouche... La voir comme ça m'excite plus que tout autre chose, et dans un sursaut, je jouis en elle...
Elle se redresse, se penche au dessus de moi et me regarde, ses longs cheveux trempés de sueur encadrant son visage fatigué, alors que je suis toujours en elle... Elle a perdu son peignoir dans la bataille, et il git maintenant abandonné sur le drap de vinyle...
Elle se penche sur moi pour m'embrasser, avant de remonter jusqu'à mon oreille et de chuchoter "maintenant, c'est ton tour..." Je souris, parcequ'elle est encore d'attaque?
Lentement, elle s'écarte de moi, puis elle s'allonge sur le ventre à côté de moi, avant de s'étirer langoureusement. Je rêve, elle le fais exprès la... Elle me lance un sourire coquin, "Tu peux faire de moi ce que tu veux," dit-elle en me lançant un regard aguicheur, ok, elle le fait exprès...
Je me penche vers elle et murmure "vraiment tout?"
Elle sourit, "Tant que tu reste gentil, oui."
Je rit, "Rassure toi, je serais gentil," dis-je en prenant une cuiller de glace fondue que je laisse goutter entre ses omoplates. Elle frissonne,e t je regarde la glace glisser le long de son dos, pour s'arrêter et fromer une petite flaque dans le creux de ses reins... J'ai ensuite pris une cuiller de chocolat fondu et ai fait de même, sentant ma Treechada frissonner délicieusement sous l'effet mélangé du froid et de la chaleur...
Je me suis assis à calfourchon sur ses fesses fermes et rebondies, avant de lui mordiller la peau du cou, et de descendre laver cet univers de courbes, toutes plus parfaites les unes que les autres, de toute substance sucrée... J'ai léché le chocolat et la glace à la vanille avec douceur, sentant mon sexe s'ériger contre les fesses de Treechada au fur et à mesure que ma langue descendait le long de son dos, la faisant frémir de plaisir...
J'ai mordillé la chair tendre au creux de ses reins, la faisant gémir, tant cette zone est sensible chez elle... Ma langue est ensuite descendue plus bas, s'est insinuée dans la raie de se sfesses, les faisant crier de surprise, avant de descendre encore plus bas, pour se retrouver en terrain plus connu...
Ma langue s'es doucement introduite dans son vagin, goûtant le sperme qui s'y trouvait encore, avant de commencer un lent va et viens, qui provoquait à chaque fois de petits cris de la part de ma partenaire...
Je me suis ensuite retiré pour aller torturer son clitoris rose et érigé, que j'ai suçoté, mordillé, pincé, jusqu'à ce que j'entendr ema Treechada crier de plaisir... J'ai continué à le faire durer de cette façon jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, jusqu'à ce qu'elle arrive aux portes de la luxure et me cri d'arrêter...
Alors je me suis écarté, j'ai posé mes mains sur ses hanches, l'incitant à se mettre à qutre pattes, et doucement, je l'ai pénétrée... Mais son état et le mien ne nous laissaient pas le choix du rythme, et je me suis direcement lancé dans un va et viens rapide, presque violent, et pourtant, le plaisir était déja si grand qu'elle me hurlait d'aller plus vite et plus fort... Je ne pouvais qu'obéir, et je le faisait avec plaisir...
Nos respirations saccadées et nos cris de plaisir se mêlaient dans l'air brûlant de la pièce, alors que le plaisir montait de plus en plus...
Incapable de tenir plus longtemps, je laissais l'orgasme me happer dans un ultime coup de reins, qui fort heureusement, fit crier ma femme d'une façon que je connaissais bien. Treechada hurla alors que je jouissais en elle, qu'elle sentait mon sperme la parcourir et que l'orgasme la submergeait. Elle retomba su le lit, épuisée...
Après avoir somnolé un moment, nous nous sommes relevés, pour enlevé le drap de vinyle, le lit était fait en dessous, et nous nous sommes couchés l'un contre l'autre, nus comme au premier jour, mais nous n'avons pas dormi pour autant...
Adossés contre la tête de lit, nous avons pris une coupe de champagne bien méritée, pour fêter cette Saint Valentin particulièrement réussie, et malgré notre repas, délicieux, mais copieux, nous nous sommes goulûment jetés sur la crème chantilly, le chocolat et la glace fondue, dont nous avons fini jusqu'à la dernière goutte, et cela en nous battant comme des gamins, en nous aspergeant de crème ou de glace, et en venant ensuite lécher chaque parcelle de peau atteinte, c'est maintenant que le drap en vinyle nous aurait été utile...
Après une denrière coupe de champagne, je n'ai pas oublié de passer le cadeau de Treechada autour de son cou. Elle m'a regardé et ma sourit, avant de se jeter sur moi pour un long baiser, à la fois tendre et passionné, mais comme nous étions tous les deux trop fatigués pour faire plus, elle s'est contentée de me lancer un sourire heureux, et un regard brillant de bonheur et de joie, avant de m'embrasser encore, et de poser sa tête sur mon torse pour s'endormir, pendant que je lui caressait les cheveux... Vous, je ne sais pas, mais moi je me dis "vivement le White Day*..."
FIN
* En Thailande, je ne sais pas, mais au Japon, le 14 Mars, le "White Day," les garçons doivent offrir aux filles un présent d'une valeur dix fois supérieure à celle du cadeau qu'elle leur ont offert, en sachant qu'il existe deux sortes de chocolats, les "honmei-choco" pour l'homme aimé, et les "giri-choco" pour tout les autres, (père, frère, amis, etc...) je trouve ça pas mal, moi...^^
Voila, c'est fini, merci d'avoir suivi cette petite histoire hétéro. Peut être qu'un jour je reprendrais ce couple pour faire un OS sur le White Day, mais pas obligatoirement...
A partir de maintenant, je reprend "pas de sexe pendant un mois" mais le scénario a tellement changé que leur pari ne tient déja plus, et au final, c'est devenu une histoire normale, c'est bête, hein? En tout cas, je vous préviens, il ne se passe RIEN... Désolé, j'y suis pas encore, mais je vais faire de mon mieux -_-"
Sinon, pas de maj pendant environ un mois, parceque la semaine prochaine je serais sans doute chez ma mère, et que ensuite je (re)pars en Grèce pour trois semaines de colo, gros bisous et bonnes vacances à toutes.^^