Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 14:54



Nous essayons de nous calmer et de reprendre notre souffle, mais nos coeurs semblent soudain s'arreter de battre lorsque nous entendons la porte d'entrée claquer. Merde. Je regarde l'heure. Merde. Il est 11h30, j'entends ma mère qui baisse les volets de la porte vitrée de la salle à manger. Merde. C'est sur qu'il ne peut plus repartir la. Merde, merde, merde, commenct est ce qu'on va faire nous? Bon, on à pas vraiment le choix la.

-Il ne faut pas faire de bruit, si elle me croit endormi, elle ne viendra pas, si elle rapplique quand même, on avisera.

Nos coeurs battents à tout rompre lorsque ma mère monte l'escalier et va poser ses affaires dans sa chambre, mais tout n'est pas encore gagné pour nous. Rien n'est certain tant qu'elle ne s'est pas couchée pour lire. Heureusement, elle passe à la salle de bain et se couche sans venir nous voir. Un soupir de soulagement nous échappe.

-On a pas le choix, tu vas dormir avec moi et demain je trouverai un moyen de te faire sortir en douce.

Je lis dans son regard qu'il à compris, nous sommes un peu à l'étroit dans mon petit lit une place, mais ce n'est pas bien gênant, plus on est serrés et mieux c'est en fait. Nous sombrons peu à peu dans un sommeildoux et parfait pour la première fois depuis longtemps, chacun étant heureux et rassuré par la présence de l'autre.

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Le lendemain, nous nous réveillons un peu tôt, quand l'heure vient pour moi deme lever, nous nous habillons tous les deux en silence, j'ouvre mes volets et je fais mon lit, comme d'habitude. La descente d'escalier est un peu acrobatique et difficile car les marches craquent et il faut que Miyavi mette le pied sur la même marche que moi ua même moment. Arrivés en bas, j'ouvre les volets de la porte fenêtre et je fais sortir Miyu. Si ma mère me demande, c'était pour faire sortir le chat... Je me prépare ensuite rapidement, mon coeur commence tout juste à se calmer, c'est flippant quand même. Je remonte me borsser les dents, ma mère me dit bonjour/au revoir et se recouche, je redescends les volets en partant sinon elle va me faire une crise vu que ça fait deux fois qu'on se fait cambrioler, enfin, un vol et une tentative. En sortant, je retoruve Miyu, il m'embrasse intensément et pousse un long soupir avant d'éclater de rire, je joints mon rire au sien, c'est vrai qu'on s'est fait des frayeurs la, et encore, on a eu dela chance.
Par kagura - Publié dans : Mon Dieu... Si beau... - Communauté : Communauté gay
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