Je reprenais mon souffle, Matthieu était toujours à l'interieur de moi et j'avais la tête
posée sur son torse.
-Tu vois que tu aime souffir.
-Fuck><
-Sans problème, mais toi tu dois commencer à fatiguer, reste ici pendant que je nettoie un peu.
Il me souleva doucement et me reposa par terre. Je le regardais nettoyer, effectivement, j'étais un peu fatigué. Faut dire que je sors de l'hopital et que je viens de me faire baiser
comme une chienne (avouons le quand même><) à deux reprises, en très peu de temps et dans une salle de bain, ce qui n'est tout de même pas extremement confortable... Il ramassa nos
vêtements et me les donna, ensuite, il me prit dans ses bras et me porta jusqu'au lit version mariée. Il me posa sur le lit et balança nos vêtements je ne sais pas trop ou(et je m'en fous).
Il se positionna à califourchon sur moi et me regarda pendant un moment. Il finit par se pencher sur moi et par m'embrasser, doucement. Il me caressa le torse et ramena mes bras au dessus de ma
tête, en m'embrassant toujours. J'entendis soudain une sorte de déclic. Je brisais le baiser et relevais la tête. Des menottes en fourrure noire>< je savais bien qu'il finirait par
m'attacher au lit...
-Désolé, mais je sais que tu aime ça bébé et ça faisait longtemps que j'avais envie d'essayer.
Han, putain oui, ne te prive pas*-*
Il me mordilla l'oreille et m'embrassa partout, sur la joue, le front, la bouche, le cou... Il me mordit violemment les tétons et je sentis mon pénis se durcir. Je suis hyper sensible>< Il
descendit plus bas pour me faire une fellation, je sentais qu'il s'amusait à passer ainsi sa langue sur mon sexe, mes gémissements lui plaisaient, il adorait me voir totalement soumis. Je
relevais mes jambes pendant qu'il me suçait toujours, je n'avais aucune pudeur et je me foutais totalement d'être attaché au lit, j'adorais ça et il l'avait compris. L'absence de langue sur mon
sexe me fit réagir et je gémis de mécontentement, constatant qu'il s'était arrêté.
-Si tu jouis maintenant, ça ne sera pas drôle.
Je lui fis un fuck et fermais les yeux en attendant la suite. Je les rouvrais sous le choc, laissant echapper un petit cri de douleur. Mathieu me pénetra violemment, il me pilona puissament. Je
ne pouvais retenir les gémissements de pur plaisir qui s'échappaient de mes lèvres. Matthieu me faisait mal, atrocement mal, mais mon Dieu, qu'est ce que c'était bon... Matthieu accéléra le
rythme, je sentis son pénis se durcir à l'interieur de moi. Il se libéra pour la troisieme fois en moi et je le suivi bientôt tant le plaisir était intense. Matthieu se retira et s'effondra sur
moi. J'essayais de résister mais je ne pus empêcher mes yeux de se fermer, épuisé, je me laissais aller au sommeil.