Le blog de kagura
En effet, les deux jeunes servantes s'appliquaient particulièrement à éloigner tous ceux qui passait à proximité de la chambre des deux jeunes rois, et c'est à grand renfort de «Ils ont ordonné ceci», de «Il vaut mieux ne pas les déranger, c'est ce qu'ils ont demandé.» et de «Les médecins souhaitent qu'ils se reposent», qu'elles envoyaient poliment promener quiconque était susceptible de les interrompre, et ce pour le plus grand bonheur des jeunes rois, car ceux ci étaient au final, en pleine partie de jambes en l'air...
Toutankhamon gémissait, il dut se contenir pour ne pas jouir dans la bouche de son amant. Amenhotep le remarqua et se retira, conscient que le moment n'était pas agréable pour personne, il s'allongea sur le lit, totalement offert. La encore, Toutankhamon dut réprimer ses pulsions, il y arriva, et il put donc embrasser tranquillement son amant... Enfin, tranquillement... Si on considèrent que «tranquillement» signifie «embrasser aussi profondément que possible jusqu'à l'arrêt (complet) du souffle», alors oui, c'est tranquillement... Toutankhamon releva lentement les jambes de son amant et les mit sur ses épaules, doucement, il s'approcha, guettant l'approbation dans ses yeux, il le vit hocher la tête.
Doucement, Le jeune homme à la peau dorée introduit son sexe à l'interieur de son amant, celui ci se crispa un peu, quelques larmes perlèrent à ses yeux. Toutankhamon se fit plus doux, il s'arrêta, essuya des ses doigts les larmes de celui qu'il appelait secretement «mon ange», et l'embrassa pour le rassurer. Amenhotep se détendit. Toutankhamon l'interrogea du regard, oui, son amant était d'accord pour qu'il aille un peu plus loin. Le jeune Pharaon à la peau d'or s'executa, lentement, il s'enfonça un peu plus, Amenhotep fut pris d'un spasme de douleur, il se calma vite, Toutankhamon s'enfonça encore un peu plus en lui, le torse de son amant se souleva brusquement, il retomba sur le lit avant de pousser un gémissement de douleur. Toutankhamon s'immobilisa, laissant ainsi la douleur s'apaiser un peu. Toutankhamon dut encore une fois se retenir de jouir, Amenhotep était si chaud, si étroit, que c'était une véritable torture....
«Je t'en prie, bouge.»
«Tu en est sur?»
Le jeune homme acquiesqua,
«Ca va passer, ne t'inquiète pas.»
«D'accord.»
Lentement, Toutankhamon commença à se mouvoir à l'interieur de son amant, il se retira et se renfonça légerement, Amenhotep gémit, mais il le supplia de continuer, Toutankhamon reccomença, le visage d'Amenhotep se crispait de douleur à chaque fois, mais il ne voulait pas arrêter, alors Toutankhamon continua. Peu à peu, la douleur sembla disparaître du visage du jeune homme à la peau argentée. Les gémissements de douleurs se muèrent en gémissements de plaisir, puis, la douleur disparut totalement pour laisser place à la luxure.Les gémissement se firent plus fort et plus prononcés, bientôt, Toutankhamon put entendre un timide «Plus vite», laché entre deux respirations saccadées. Toutankhamon s'executa, ils se mirent à gémir à l'unisson, c'était si bon... Toutankhamon s'enfonçait toujours plus profondément, il allait toujours plus vite, et il était encouragé par les gémissements, voir même par les hurlements de plaisir de son amant, le sentir bouger de cette façon, le sentir bouger pour s'empaler encore plus profondément sur son sexe, l'entendre hurler et reclamer toujours plus, plus vite, plus fort, encore... C'était si bon... Amenhotep hurla, son torse se souleva, il retomba lourdement sur le lit, a bout de souffle, la respiration saccadée. Toutankhamon s'arrêta et le regarda. Amenhotep ne réussi qu'à dire quelques mots: «Refait le».
Toutankhamon reccomança, il alla aussi loin, aussi fortement que la première fois, Amenhotep eut la même réaction, il ne semblait pas souffrir. Toutankhamon reccomença à nouveau, Amenhotep hurla encore plus fort que précédement, il implorait son amant de reccomencer, alors que Toutankhamon réitérait l'experience, Amenhotep se libéra puissament sur son propre torse, dans un hurlement de jouissance. C'en fut trop pour Toutankhamon, cela faisait trop longtemps qu'il attendait, trop longtemps qu'il se retenait... Il hurla également et jouit à son tour à l'interieur de son amant... Il se retira lentement, le souffle court et saccadé, il s'allongea sur son Amenhotep. Tous deux fermèrent les yeux et s'endormirent paisiblement, dans les bras l'un de l'autre, tendrement enlacés.
Si ils étaient restés éveillés (ce qui devait tout de même être difficile après une activité physique si intense) et qu'ils étaient sortis sur le balcon, ils auraient vus que dans le ciel, quelque chose d'étrange était en train de se passer, ils auraient vus que tout ceux qui étaient présents dans le palais(a l'exception des deux médecins qui étaient toujours en train de dormir) sortaient dehors pour observer le ciel, ils auraient pu deviner que dans toute l'égypte, et même dans le monde entier, les gens faisaient de même... Dans le ciel, le soleil s'était levé, mais la lune ne s'était pas couchée... Pas entierement, et le soleil ne s'était pas levé totalement. La partie gauche du soleil était totalement occultée parla partie droite de la lune. Le soleil et la lune s'étaient unis. Et de cette union, naquit un petit garçon. Un petit garçon avec, d'un côté, la peau dorée comme le soleil, la peau dorée comme de l'or... De l'autre côté, sa peau était pâle comme la lune, pâle comme l'ivoire... Le petit garçon tomba endormit, du ciel sur le balcon des deux rois, il était nu, mais enveloppé dans une étoffe dorée striée d'argent, une étoffe qui semblait si légère qu'elle aurait pu couler comme de l'eau entre les doigts...
Le petit garçon bougea dans son sommeil, mais ne se reveilla pas.