Le blog de kagura
Je me souviens également d'un jour ou j'ai piegé Mathieu, et l'ai presque forcé à accepter un baiser. Je
me suis approché de lui et me suis positionné à califourchon sur ses cuisses. L'attirant à moi, je l'ai embrassé, du bout des lèvres d'abord, puis de plus en plus goulûment, jusqu'à pouvoir
forcer le barrage que constituaient ses lèvres... Ma langue à cherché la sienne, pour l'entraîner dans une danse endiablée... J'ai glissé une main sous son
T-shirt, afin de pouvoir carresser ses pectoraux, et je l'ai senti frissoner...
Nous n'avons pas entendu la porte d'entrée...
Paul, son père, est apparu dans l'encadrement de la porte et s'est figé. J'ai relevé la
tête. La situation devait être asser drôle, voir même comique à regarder:
Moi, assis à cheval sur Mathieu, une main sous son T-shirt, regardant son père d'un air pervers, comme si je le mettais au défi de nous empêcher de continuer; Mathieu, qui évitait le regard de
son paternel d'un air gêné; et le paternel en question, retenant un fou rire, qui passait simplement en disant:
-Oh, pardon, je vous ai dérangés, continuez.
Il passa, je regardais Mathieu. Il était évident que j'avais très envie de continuer; surtout si on s'appuie sur le fait que mon jean, comme celui de Mathieu,
commençaient à devenir "un peu" trop étroit; mais, à ma grande déception, il dit :
-On devrait peut être s'arrêter non?
Il avait raison, on ne pouvait pas risquer de voir un tel incident se reproduire, j'aquiescais :
-OK, mais c'est bien parceque c'est toi.
Il a poussé un soupir, l'air de se dire "il faut à tout prix que je réussisse à éviter ses prochaines attaques," Il m'a repoussé sur ma chaise, et est parti s'enfermer dans sa chambre...