Le blog de kagura
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Il fait chaud, même si la rentrée est proche, nous sommes encore en août, du coup, nous passons l'après midi dans la piscine, et je dois résister à l'envie de me jeter sur Treechada pour lui arracer son maillot... Par contre, c'est uniquement lorsque nous nous sommes allongés sur l'herbe pour nous reposer et qu'elle à fait exprès de laisser couler de la glace à la vanille sur mon ventre, pour ensuite la lecher et remonter le long de ma ligne abdominale jusqu'à ma bouche, que je me suis demandé si elle ne se retenait pas, elle aussi...
Après m'avoir longuement embrassé, elle s'est assise à cheval sur moi, une main sur mon sexe, et m'a embrassé encore, nos langues se redécouvraient avec bonheur dans une dans endiablée, et de se main, elle a commencé à me caresser. Je l'ai serrée contre moi alros que je sentais mon sexe durcir, et mes mains ont caressé son dos jusqu'au noeud de son maillot de bain deux pièces. Son haut est tombé, et ses deux petits seins éspiègles, ronds comme des pommes, parfait pour la paume de la main, ont pointé vers moi leurs deux tétons roses insolemment durcis. Je n'ai pu m'empêcher de les pincer, faisant sursauter la sublime créature à qui ils appartenaient, et qui m'embrassait toujours. A bout de souffle, nous nous sommes séparés. La main toujours posée sur mon sexe maintenant bien dur, Treechada me regardait d'un air incroyablement sexy et charmeur, et pourtant un peu lointain, comme si elle était perdue dans ses pensées. A quoi elle pensait, je n'en avais aucune idée, mais j'étais sur qu'elle avait une idée derrière la tête...
Nous avons reccomencé à nous embrasser et j'ai fini par prendre à pleine mains ses seins insolents qui rougissaient sous la pression de mes doigts. Treechada a commencé à gémir et à soupirer, pendant que je maltraitais cette zone si sensible chez elle, et sa main s'était maintenant glissée sous mon maillot pour caresser mon sexe durci. Puis, j'ai laché ses seins et mes mains ont glissé dans son dos, sont descendues jusqu'à la délicieuse courbe de ses reins qu'elles ont doucement caressée, avant de descendre plus bas pour enlever ce bas de maillot qui commençait à devenir gênant.
Treechada à mit fin au baiser, avant d'aller mordille rmon lobe d'oreille, puis mes tétons, me faisant gémir de plaisir, alors que sa main s'aventurait hors de mon maillot pour le faire glisser et m'en débarasser. Sa langue a parcouru ens ens inverse mon ventre encore un peu collant de sucre et de vanille, pour descendre encore plus bas et s'arrêter à ma toison pubienne. Avant de continuer, elle a relevé la tête, m'a souri, guettant à la fois mon désir et mon approbation, et a changé de position. La coquine, je savais très bien ce qu'elle voulait. Elle a placé ses jambes longues et douces de chaque côté de ma tête, me laissant tout le loisir de les caresser. Donnant une légère impulsion, je nous ai couchés sur le côté.
J'ai frémi lorsque j'ai senti sa langue glisser sur mon sexe érigé, et je me suis réjoui de la réaction de Treechada, similaire à la mienne, alors que ma propre langue s'introduisait timidement dans le sien. Treechada passa sa langue à plusieurs reprises sur mon sexe et me fit sursauter lorsqu'elle le prit en bouche, tandis que ma langue glissait dans son vagin, que je mordillais son clitoris durci par le plaisir, que je ne cessais de serrer un peu plus ses cuisses laissant la marque de mes doigts profondément imprimée dans sa chair... Nos gémissements s'élevaient bruyamment dans le gigantesque jardin, nos soupirs se faisaient plus appuyés et plus fréquents. J'ai poussé un cri lorsqu'elle a mordillé mon gland, avant de passer sa langue dans mon prépuce. Je l'ai remerciée en mordant son clitoris un peu plus fort qu'à l'accoutumée, ravis d'obtenir un long gémissement en guise de réponse... Me sentant proche de la jouissance, je lui ai demandé d'arrêter. A contrecoeur, elle s'est executée. Elle m'a regardé en souriant, les joues rougies par le plaisir, avant de revenir m'embrasser, un baiser doux et calme cette fois, alors que je la sentais doucement s'abaisser sur moi, mon sexe étant peu à peu entouré par une douce chaleur... Incapable de me retenir plus longtemps, je nous ai fait rouler sur le côté, me retrouvant ainsi au dessus d'elle. Les jambes écartées, elle se laissait entirèrement dominer, et j'ai entamé un va et vient doux, mais au rythme rapide, soutenu. Elle poussait de petits cris à chacun de mes à-coups, les yeux fermés et la tête renversée en arrière sous l'effet du plaisir...
Dans un long gémissement, elle me demanda d''accélérer, et j'ai augmenté avec plaisir la cadence de mes mouvements, aggripant ses hanches à lui en laisser des bleus. Les jambes repliées dans mon dos et m'enserrant avec force dans un geste de possession adorable, elle me demanda d'accelerer encore. Je la savais proche de l'orgasme, mais je voulais lui fair eovir des étoiles.. J'ai accéléré encore le rythme, rendant mes à-coups plus saccadés et plus violents, la faisant crier de plaisir à chaque fois que je m'enfonçais en elle... Elle jouit dans un sursaut, hurlant alors que je m'enfonçais profondément en elle, resserant l'étau de ses jambes autour de mes reins et me faisant jouir à mon tour, profondément en elle... Puis, à bout de force, ses jambes s'affaissèrent, et ses mains, auparavant sur mes épaules, retombèrent mollement dans l'herbe après m'avoir laissé de profondes griffures dans le dos...
Fatigué, j'allais doucement embrasser Treechada, qui, le regard adorablement embrumé, répondit tendrement à mon baiser. Après encore quelques instants passés en elle, je me suis doucement retiré, provoquant un dernier gémissement de la part de ce si beau mannequin, allongé, nu, sans aucun complexe, dans son jardin... Treechada à passé ses mains dans mon cou, quémandant un dernier baiser, avant de me pousser un peu pour pouvoir poser sa tête sur ma poitrine, apparemment fermement décidée à dormir la... En riant, j'ai replié un coin de ma serviette sur sa tête, pour qu'elle échappe aux ardents rayons du soleil, et puis je l'ai laissée dormir, la regardant, passant doucement la main dans ses cheveux.
Environ un demie-heure plus tard, elle a relevé la tête. Peut être avait-elle été réveillée par la petite brise qui s'était levée? Le soir approchait, et lentement, nous nous sommes levés, et nous sommes allés nous doucher, encore couverts de la douce sueur de nos ébats, et encore enveloppés dans cette douce brûme qui les suivaient toujours... Nous nous sommes douchés, lentement, profitant de l'autre, heureux de nous retrouver, et heureux parcequ'il n'y avait plus de raison pour que nous soyons séparés. Nous avons ensuite mangé un petit peu, toujours dans cette petite bulle rien qu'à nous et que personne ne pouvait pénétrer, sans parler, nos regards parlants d'eux même... Avant d'aller nous recoucher, blottis l'un contre l'autre, ravis de la perspective d'une journée similaire le lendemain...