Le blog de kagura

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Nous avons continué à parler un moment, et bien que je ne me sois absolument pas rendu compte du moment ou cela s'était produit -pas plus qu'elle en tout cas-, lorsque nous nous sommes levés, nons mains étaient étroitement liées, et c'est collés l'un contre l'autre que nous nous sommes remis à marcher. Doucement. En profitant. Sans trop savoir ou nous allions...

Nous avons monté la colline jusqu'à Fourvière, qu'elle n'avait pas encore visitée, et nous nous sommes assis sur l'herbe, dans les jardins en contrebas, avant de reprendre notre route. Un moment, en rigolant, elle a fini par demander, "est ce que tu m'emmène chez toi?". Je lui ai sourit, "pas du tout, je suis chez ma mère pour les vacances, et c'est assez loin si tu veux savoir..." Elle à rit. "Amène moi chez toi.

Alors je l'ai amenée chez moi. "Sans commentaires sur ma chambre," ai-je dis, "elle est comme je l'ai laissée quand j'ai quitté la maison." Elle a ouvert la porte, et a gloussé devant mes murs tapissés de posters, que des japonais, à part Michael Jackson et les TH.  "Tu n'écoute rien de thailandais?" a-t-elle demandé. "Je t'écoute toi, si c'est la question, mais sinon, je ne connais pas beaucoup de chanteurs thaïs, à si, Zee, mais lui c'est plutôt une chanteuse... 'fin, un tomboy, quoi..." Elle sourit et me fait assoir sur le lit, "tu n'as jamais eu de petite amie, pas vrai?" Un peu gêné, je répond, "ben, non... Avant de te rencontrer, j'étais gay, et en plus de ça, je suis romantique... Donc je ne sors pas avec quelqu'un si je ne suis pas amoureux, et comme tu est la première personne que j'aime, en dix-neuf ans de vie..." Elle détourne les yeux, "c'est vrai que j'ai dix ans de plus que toi..."

Je me rapproche d'elle et en profite pour l'enlacer et déposer un petit baiser dans son cou, "ça ne me dérange pas," ai-je dit. 

Elle se retourne, et avant que j'ai pu réagir, ses lèvres se posent sur les miennes, les embrassent, les suçotent... Quelques instants après, une petite langue mutine vient les taquiner, j'ouvre immédiatement la bouche. Nos langues jouent ensemble, se cherchent, se trouvent, se perdent et se retrouvent... Puis, à bout de souffle, nous nous séparons, avant de nous embrasser encore et encore, avidement...

Deux ans, ça fait deux ans que j'attends ça, et pourtant, je n'osais même pas l'espérer...

Sans même nous en rendre compte, nous nous allongeons, et ma main passe dans son dos, sous son chemisier, pour aller dégrafer son soutient-gorge, elle glisse ensuite sur son ventre et remonte jusqu'à sa poitrine, pour aller se refermer sur un de ses seins, tandis que de l'autre, je défais doucement les boutons de son chemisier. Je frissonne lorsque je sens ses mains à elle se poser sur mes hanches et se glisser sous mon T-shirt et me caresser le dos, avant de remonter doucement, pendant que Nong Poy se redresse pour m'enlever mon T-shirt, alors que mes propres mains glissent sur ses épaules pour la débarasser de son chemisier et de son soutient-gorge, je peux enfin admirer sa superbe poitrine, pourtant sans aucune trace de chirurgie ésthetique, liberée de totue entrave...

Je reccomence à l'embrasser, tout en reccomançant à lui caresser les seins, et elle commence à laisser entendre de petits gémissements de plaisir qui me ravissent au plus haut point, puis, ma bouche descend le long de son cou, laissant une petite trace brillante sur son passage... Je lui mordille un peu la peau de la gorge, mais sans lui laisser de marque, avant de m'aventurer entre ses deux seins qui sont toujours prisonniers de mes mains.

Je la sens se tortiller en dessous de moi pour enlever son pantalon et sa culotte, et lorsqu'elle y est parvenue, elle entreprend de me retirer mon jean et mon boxer d'un même mouvement. Je bande, et pas qu'un petit peu. 

Je prends dans ma bouche l'un de ses petits tétons rose, que je m'amuse à suçoter, mordiller, que je torture et que je martyrise jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter, alors que ma main fait subir le même traitement à son autre sein... Je continue alors mon exploration. Ma langue descend pus bas, en décrivant de légers zig-zags, avant de se perdre dans les méandres de son nombril, et de reprendre sa course, plus bas, toujours plus bas...

Elle pousse un long gémissement lorsque je lui écarte les cuisses et que ma langue va se perdre au plus profond de son intimité. Doucement, je vais titiller, suçoter, mordiller son gland devenu clitoris, la faisant gémir chaque fois un peu plus fort, puis, ma langue descend encore plus bas, et va doucement s'introduire dans son vagin reconstitué. Elle se cambre sous les assauts de ma langue indiscrète, elle frissonne, soupire, gémit sans retenue... Lorsque, sans prévenir, je m'arrête.... Ma main prend le relais, alors que je retourne l'embrasser. Elle m'enserre de ses bras et relève ses jambes dans un mouvement compulsif, m'embrassant avec ardeur, comme si c'était la dernière fois... Quand, enfin elle se décide à ma lâcher, c'est dans un souffle qu'elle demande, "dis, est ce que tu as ce qu'il faut?" 

Merde.

"Malheureusement, non, je n'était pas censé sortir avec quelqu'un d'autre que toi tant que je t'aimerais encore, et je ne pensais pas te revoir... D'un autre côté, je suis vierge, donc tu n'as pas à craindre les MST..." Je souris,  "Ni les bébés..." Elle se serre contre moi et gémit de frustration, "Tant pis, j'en ai trop envie," dit-elle, avant de m'embrasser de nouveau avec impatience... Ma main reprend quelques instants son action, pendant ce baiser avide et lourd de sens... Elle pousse de petits cris à chaque mouvement de mes doigts... Sans cesser de l'embrasser, j'écarte un peu plus ses jambes, et doucement, je m'insinue en elle... Nos lèvres toujours scellées étouffent nos deux gémissements de plaisir mêlés, alors que je la pénètre... Nos bouches se séparent, et sa respiration, déja saccadée, se fait érratique lorsque je me met à bouger en elle.

J'entame un lent va-et-viens, qui devient vite plus rapide et plus intense sous l'insistence de ses cris et de ses gémissements de plaisir... Elle enroule ses jambes autour de ma taille et se met à acompagner mes mouvements de plus en plus violents, ses gémissements se font plus forts et plus appuyés sous l'assaut du plaisir... Mes mouvements s'accélèrent encore et elle les accompagne avec joie, alors que nous sommes déja au bord de l'orgasme et de la luxure... Elle hurle, sous la violence de mes coups de reins alors que je jouis en elle, et elle hurle alors que l'orgasme la submerge... Epuisée, soupirant de plaisir, ses membres se relâchent et ses jambes s'affaissent  de part et d'autre de mon corps. Tendrement, je retourne l'embrasser, avant de me retirer, et de m'allonger à côté d'elle. Amoureusement, je la regarde en écartant ses cheveux trempés de sueur de son visage. Les yeux mis-clos, elle somnole doucement le temps de récuperer...

Sam 24 mar 2012 Aucun commentaire